Pour info : si la couche d'ozone disparaît, comme postulé dans le film, on ne mourra pas d'un pet, mais doucement, lentement, de cancers, de brûlures, etc. Sachant cela, impossible d'y croire. Les aurores boréales finales sont magnifiques.
Ce film est à mourir d'ennui. Ferrara ne nous fait pas croire une seconde à la fin du monde. Et les sentiments qu'il fait vivre à ses personnages sont d'une platitude affligeante. Ni poésie, ni beauté, ni même un début de commencement de questionnement sur la fin de l'humanité. Tout juste si on ne rit pas de voir Ferrara s'extasier sur l'utilité pratique de Skype.
Le pire dans ce film n’est pas la fin du monde mais le film lui-même. Quelques mots pour définir ce navet...Echec, désastre, fiasco, déconfiture. A éviter sous peine de subir un vrai supplice visuel et sonore. Si seulement, ils avaient pu périr avant 4h44.
Si j'avais pu mettre zero....Mauvais scénario, les acteurs font ce qu'il peuvent mais le défit est énorme.... Un amateur de blue qui rentre en transe pendant que ses potes jouent de la guitare sur skype... Mais c'est qui cet extraterrestre?