Avis : Les Saveurs du palais - Page 5

Zzzzz je m'attendais à tout sauf ça... J'aurai imaginé en voir plus sur le palais de l'Elysée, plus d'humour (et de l'humour moins niais), plus de... Non, je me suis retrouvé devant un livre qu'on racontait...Aucune magie... Des actions qui s'enchaînent c'est tout... Et pourtant j'aime l'actrice principale... Eh bien du coup je n'achèterai pas le film en DVD (na)

Film français qui débarque avec ses gros sabots. Alors si vous êtes attaché à la tradition et les sentiments fluets il se peut que vous trouviez de l’intérêt au film mais seulement si. La réalisation ne vaut rien. Les acteurs nagent à contre courant que d'efforts perdus.

Franchement, ça me pompe les couilles de voir des films comme ça. Le marketing m'a bien eu, je m'attendais à un film avec une critique sérieuse et objective de la vie politique, et de la vie à l'Elysée, accompagnée de joutes oratoires entre Frot et D'Ormesson. A place, j'ai eu le droit a un cours de cuisine, et des dissertations sur les sauces et une morale niaise, débile qui consiste à faire plaisir à tous les français incultes mais fiers de leurs terroirs, et à dire que le blabla des politiques, des philosophes, des écrivains fait pas avancer le schmilblik, et qu'il faut mieux se concentrer à préparer des plats. Oui, faut bouffer, faut pas lire, faut pas s'intéresser à la politique. On pensait pas l'avoir dans le cul, mais on l'a eu, et en plus bien profond ! Ceux qui seront d'accord avec moi comprendront, le reste me trouvera vulgaire, alors que c'est eux qui le sont.

Editez votre critique

En cliquant sur le bouton "Postez votre critique", vous acceptez les conditions d'utilisation d'AlloCiné.
Le film
Les saveurs du palais

Les saveurs du palais
Réalisateur : Christian Vincent
Avec : Catherine Frot, Jean D'ormesson
Règles d'écriture

Ecrivez une critique de 50 caractères minimum
N'utilisez pas d'expressions offensantes
Ecrivez en respectant la grammaire et l'orthographe
Evitez les CAPITALES dans votre critique
Si vous dévoilez des secrets du film, merci d'utiliser le bouton "Spoiler" pour les cacher

Ex. : The dark knight rises, Pathé, Gaumont, 69001, Marseille...

Tous les films | Tous les cinémas | Toutes les séries

Plan du site

Cinéma
Les meilleurs films
Films à l'affiche
Agenda
Séances
Box Office
Courts-metrages
Films pour enfants
News
Festivals
Tous les films
Séries TV
Les meilleures séries
Les plus attendues
Agenda
News séries
Toutes les séries
Vidéos
Bandes-annonces
Emissions Allociné
Vidéos de séries TV
Interviews de stars
TV, DVD, VOD
Programme TV
DVD & Blu-ray
VOD en streaming
Mon AlloCiné
Mes films
Mes séries TV
Mes stars
Mes cinémas
Voir les amis
Speednoter
Jeux-concours
Plus
News et Dossiers
Stars
Jeux vidéos
Billet électronique
Applications Mobile
Applications TV
Application Windows 8

Des idées, des remarques à nous suggérer sur notre site. Donner mon avis !

Contact
|
A propos d'AlloCiné
|
AlloCiné Insider
|
AlloCiné recrute
|
Publicité/Annonceur
|
Conditions générales d'utilisation du site

Filmstarts (Allemagne)
-
Screenrush (Angleterre)
-
SensaCine (Espagne)
-
Kinopoisk (Russie)
-
Mtime (Chine)
-
Beyazperde (Turquie)
-
Adoro Cinema (Brazil)
-
AlloCiné Canada
-
AlloCiné Pro
-
AlloCiné Shop
-
Allofamille
-
Cinéstore

Copyright © 1993-2012 AlloCiné - All Rights Reserved |
AlloCiné - 63 avenue des Champs Élysées - 75008 Paris, France

AlloCiné avec Akamai

Partenaires : Goom Radio (musique), Au féminin (magazine féminin), Up Concert (concerts)

Catherine Frot est crédible dans son interprétation de cette cheffe des repas privés du Président de la République. Arthur Dupont semble avoir été en cuisine toute sa vie. Jean d'Ormesson, que j'adore par ailleurs, était déjà bien trop âgé pour jouer le Président de la France. Les Français aiment des hommes d'expérience pour les guider, mais pas à ce point là ! Le scénario est bien pensé. Du coup le film se regarde bien sans susciter d'émotion particulière. On se rassure en se disant qu'il est inspiré d'une histoire vraie.

Un comédie agréable à voir et sans prétention, si l'on aime C. Frot et Jean d'Ormesson dont les performances dominent le casting. On salive devant les recettes à l'ancienne de nos grands-mères. On peste devant les jeux de pouvoirs machistes dans le palais de l'Elysée. Sortant de la comédie Vincent flirte avec la satire sans y rentrer vraiment. La réalisation plutôt moyenne ne tient que par ces deux acteurs et le sujet. La partie terre australe, certes autobiographique, n'est pas exploitée pour en tirer autre chose qu'un repas de départ, plein d'émotion, mais manquant de saveur. Justement. DVD 1 - juin 2018

Un film lisse et sans saveur, un comble pour un tel sujet. Bien sûr Catherine Frot est très bien dans son rôle mais cela ne suffit pas et c'est sans grand intérêt que l'on suit l'histoire de cette cuisinière.

Les Saveurs du palais (2012) s’inspire librement du parcours de Danièle Delpeuch, première femme chargée de cuisiner à l’Élysée les plats personnels (ainsi que des amis) du Président de la République François Mitterrand.
On y découvre alors Hortense Laborie, une cuisinière du Périgord, dépêchée en quatrième vitesse sur Paris pour prendre possession de la cuisine de l’Élysée. Cependant, tout ne va pas se dérouler comme prévu, entre sa cuisine et la centrale (chargée de faire la cuisine pour l’ensemble Palais), très rapidement des animosités vont apparaitre entre elle et le responsable de la centrale.
Christian Vincent a pris la mauvaise décision d’agrémenter son film de flash-backs. On y suit Hortense Laborie au Palais de l'Élysée, puis on se retrouve sur une plate-forme scientifique en Antarctique (où elle est devenue cuisinière après avoir servi le Président). Tout son film est construit de cette façon, sans cesse entrecoupé de flash-backs (pour le moins inutiles il faut bien le reconnaître). Au final, on prendra plus plaisir à y retrouver Catherine Frot & Jean D'ormesson parler cuisine (même si ces rencontres restent relativement rares, ce qui est bien dommage) ou retrouver cette dernière derrière les fourneaux à nous en donner l’eau à la bouche avec ses produits du terroir (entre le chou farci au saumon, la tarte aux fruits rouge, les truffes noires ou encore le foie gras du Sud-Ouest). Ce qui est au final une sympathique comédie aurait pu l’être d’avantage, le film avait un réel potentiel, on regrettera amèrement que Jean D'ormesson ait été autant sous-exploité, heureusement que Catherine Frot est là, toujours aussi amusante.

Derrière ce film un trio réalisateur-producteur-scénariste spécialistes des comédies à la françaises plus oumoins réussies. "Les saveurs du Palais" en fait partie. Seulement cette fois-ci il faut avouer que l'originalité du fond se retrouve dans la forme. En effet le film s'inspire de l'histoire vraie de Danièle Delpeuch (ex-cuisinière personnelle de Mitterrand), mais le film n'est pas un biopic l'histoire narrée se basant surtout sur les anecdotes que la cuisinière a bien boulue racontée. Le canevas autour étant une invention. La vraie réussite réside dans le mixte parfait entre l'apologie de la cuisine française et le protocole dsans les coulisses de l'Elysée. On passe donc des protocoles fastidieux parfois assez grotesques aux mets savoueux dont les quelques vers de "Eloge de la cuisine française" de Edouard Nignon est l'apogée poétique. Belle performance de Catherine Frot qui n'est pas bonne cuisinére et qui fait illusion de la plus gourmande des manières. Seulement voilà Christian Vincent n'est pas spécialement un grand réalisateur et tombe dans ses travers habituels ; les flash-backs lourds et inutiles qui ajoutent de l'émotion à coups de gros sabots (la plus grosse erreur du film). On sourit, ça donne l'eau à la bouche, on se dit que le protocole devrait avoir ses limites (aussi bien dans un sens que dans l'autre, voir le prix des plats !!!) mais le film reste une comédie à la française dans la moyenne. Sympathique.

Attention : voilà un film qui va vous donner faim ! Le nouveau film de Christian Vincent (La discrète, La séparation, Quatre étoiles) est une comédie savoureuse à tous les sens du terme. Voir tous ces plats (vrais, et cuisinés par de grands chefs) défiler à l'écran (et la façon de les préparer) ne peut qu'émoustiller nos papilles et nous donner envie de se rendre illico dans un bon restaurant. Savoureux aussi par la façon dont le film est réalisé. Avec élégance, simplicité et un bel humour qui sied bien à l'ensemble et désacralise un peu les lieux imposants dans lesquels l'action prend place. Les dialogues sont comme les plats : aux petits oignons....
La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-les-saveurs-du-palais-110590954.html

Il ne faut pas voir le film avec le climat actuel de crise et des cireur et coiffeur particuliers de notre président. Ici, la cuisine particulière du Président et son personnel nous sont dévoilés sans tabous, ce qui est très appréciable. Les coûts doivent être justifiés, le protocole doit être respecté et nous nous apercevons que le Président a un emploi du temps très variable. Les plats donnent, la plupart du temps, l'eau à la bouche. Et le personnage principal a une personnalité que je qualifie de controversée. Elle exerce son métier dans le plaisir et sans compter. Ce n'est pas un chef d'oeuvre et si l'on oublie notre climat de crise, il peut être très apprécié et suscite l'envie de pouvoir cuisiner comme "Hortense" s'efforce à le faire : Comme une grand-mère, avec gourmandise, douceur, attention et beaucoup de fermeté.

Sur un scénario vraiment ténu d'Etienne Comar et de Christian Vincent, ce dernier réussit le tour de force de ne jamais nous lasser ni nous ennuyer dans un film qui est une véritable ode à la cuisine du Sud-Ouest. Ce scénario est inspiré par l'histoire de Danièle Mazet-Delpuech qui fut la cuisinière personnelle de François Mitterrand pendant deux ans, lors de son séjour à l'Elysée. On y rencontre une femme passionnée par son métier tout en étant horripilée par la jalousie et le machisme des hommes de la cuisine centrale. Cette femme, qui, par la suite, s'exilera pendant un an comme Chef de cuisine dans une mission scientifique en Antartique, est interprétée par Catherine Frot. Cette actrice dont le jeu et les intonations ont tendance, parfois, à m'irriter, est ici absolument prodigieuse. Aidée par Arthur Dupont et un Jean d'Ormesson assez crédible en Mitterrand, elle arrive à nous faire passer du rire à l'émotion en une fraction de seconde : du grand art ! On notera que certaines scènes du film ont pu être tournées à l'Elysée, en profitant de l'absence de Sarkozy durant un G20. quant aux scènes de l'Antartique, elles ont été tournées en Islande. Quant à savoir s'il est préférable de voir ce film avant de manger ou après, c'est à vous de voir. En tout cas, il mérite d'être vu !

Un film léger sur la cuisine dans les hautes sphères de l'Elysée. L'aspect qu'on retient est parfois un peu trop le fait que les banquets sont tout de même trop élaborés et que penser que tout ça est au frais de la princesse est assez révoltant. Frot est bien, l'histoire sympathique. Pas un grand film mais un bon film quand même.

Un film mignon tout plein sur un sujet qui aurait pu s'avérer passionnant. Avec son casting confortable, un sujet pas trop épineux, un scénario assez manichéen et quelques beaux moments de cuisine à l'ancienne, aucun doute, nous sommes devant du cinéma pour mamie et c'est un film assez rassurant. On apprend pas grand chose et la partie concernant les clashs entre l'administration et la cuisinière sont parfois savoureux mais voilà, pour un film sur la bonne bouffe, je trouve ça un peu léger. Déjà parce que la cuisine simple m'apparaît comme extrêmement sophistiquée et réservée à une certaine élite (à ces truffes, on peut dire que le film en fait bien la pub) et malgré quelques bonnes scènes, je n'ai pas été emballé plus que ça. La faute à des plans de cuisine trop propre et trop ampoulés, là où la télé film la bouffe avec plus de gourmandise et d'authenticité ? C'est bien écrit toutefois, bien joué la plupart du temps (J. D'Ormesson met un peu de temps à se régler) et c'est agréable à suivre mais sans plus pour ma part. D'autres critiques sur

Il faut l'avouer, on s'attendait à un film lisse et sans saveur, contrairement à son titre. Une avalanche de bons sentiments cernés de nougatine. Eh bien non! La surprise du chef est belle. Les Saveurs du Palais montrent à a fois les relations complexes, étriquées, vachardes et malsaines dans les petits pouvoirs des hautes sphères républicaines (et croyez moi, elles se voient à tout niveau, pas seulement à l'Elysée), mais aussi les milles saveurs de la France et ses plats qui font rêver aux quatre coins du globe. Car le personnage principal, il faut le souligner, c'est la cuisine, bien que la cuisinière et son jeune aide soient bien assaisonnés. Catherine Frot campe un personnage tout en mélancolie, presque triste là où l'on aurait pu s'attendre à une cuisinière pétillante et haute en couleur. Jean d'Ormesson joue faux... Mais on lui pardonne. Miam!

Ce film, réalisé par Christian Vincent et sorti en 2012, n'est pas terrible, enfin plutôt oubliable. Inspiré de la vie de Danièle Mazet-Delpeuch, le film nous raconte l'expérience d'une cuisinière au Palais de l'Élysée. Bon, sur le papier, ça n'a pas l'air bien passionnant et cela ne l'est malheureusement pas beaucoup plus à l'écran ! On a en effet du mal à comprendre les thèmes du film ou du moins ce qu'il cherche à faire passer à son spectateur, où il veut en venir. On le sait si on connait un peu la vie de Danièle Mazet-Delpeuch, que cette dernière est partie de l'Élysée à cause du machisme qui régnait en cuisine. Mais dans le film, on ne fait que survoler ce thème, tellement que ce n'est finalement jamais vraiment un problème pour le personnage puisqu'elle est dans sa petite cuisine accompagnée d'un jeune cuisinier plutôt sympa. Après, on nous fait comprendre qu'elle doit se plier à des règles plus strictes mais, encore une fois, ce n'est pas vraiment une raison suffisante justifiant son départ, ou alors elle est vraiment susceptible. Je ne remets pas en cause "l'histoire vraie", Mazet-Delpeuch avait sûrement de bonnes raisons de partir cuisiner pour une équipe de scientifiques en expéditions en Antarctique mais ces raisons n'apparaissent pas, en tout cas pas suffisamment, dans le film. Même toutes les scènes dans lesquelles le personnage se trouve en expédition n'apportent rien à l'ensemble. On comprend juste qu'elle aime pas trop qu'on l'emmerde, notamment avec l'intervention de cette journaliste (dont les raisons de sa présence me paraissent d'ailleurs encore obscures). Ainsi, au final, le film ne raconte pas grand-chose et, si nous suivons l'histoire sans trop d'ennui, elle n'en reste que très difficilement marquante ; d'ailleurs le film est passé inaperçu à sa sortie et continu de rester dans l'ombre. Concernant les acteurs, nous retiendrons principalement Catherine Frot, Arthur Dupont et Jean d'Ormesson qui jouent très bien. "Les Saveurs du palais" est donc un film qui se suit sans déplaisir mais qui manque justement de saveurs.