Mon compte
    Only Lovers Left Alive
    Note moyenne
    3,8
    4055 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Only Lovers Left Alive ?

    391 critiques spectateurs

    5
    51 critiques
    4
    127 critiques
    3
    90 critiques
    2
    67 critiques
    1
    35 critiques
    0
    21 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    64 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2014
    Quel étrange objet que le nouveau film de Jim Jarmush. J'ai mis un peu de temps à rentrer dans le film, mais une fois que je me suis laissé entraîner, j'ai voyagé. En effet Jarmush nous embarque dans un trip psychédélique, musical, hypnotique où tout ne respire que nostalgie et solitude (des thèmes récurrents chez ce cinéaste). On entre dans un monde désabusé, fantôme de sa splendeur passée, tout juste animé d'une lueur fanatique et fébrile : la musique lancinante, pesante qui donne à réflexion sur l'effondrement de notre monde. Au delà du trip visuel, auditif et esthétique, ce film interroge, sur la condition de chaque être et la propension la solitude à nous submerger. Jarmush remet aussi au goût du jour le mythe de vampire en prenant un virage totalement atypique : certes ils sont toujours aussi friands de sang, mais ils sont plus introvertis, plus romantiques et surtout des observateurs las et impuissants de la déchéance irrémédiable et inexorable de notre société. J'en profite pour parler du magnifique duo Tilda Swinton / Tom Hiddleston, qui chacun à leur manière incarne des vampires déprimés et subissant l'effondrement de leur réalité, comme un chateau qui tomberait progressivement en ruine. Parfois cependant, l'humour vient apporter un peu de chaleur à cette vision pessimiste du monde. L'un des autres thèmes récurrent dans ce film comme dans le reste de la filmographie de Jarmush, c'est le temps qui passe, que l'on ne peut rattraper, que l'on peut regretter d'avoir perdu ou que l'on voudrait suspendre. La métaphore principale du film repose d'ailleurs sur ce fait : Adam et Eve semblent au début hors du temps, comme à l'époque de la Bible, puis redécouvrent progressivement ce que le monde est devenu, ce que les hommes en ont fait. Un monde inhumain, figé, désert, sur le point de tomber en lambeaux. Ce monde les déprime d'une telle manière qu'ils appellent les hommes des "zombies" alors qu'eux-mêmes sont déjà morts, c'est dire la gravité de la situation. Riche en symbolique et en questions métaphysiques, à la fois nouveau dans la forme et typiquement de Jarmush dans le fond, ce film ne peut laisser indifférent. Une claque cinématographique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 février 2014
    Juste parfait, arrêtez de chialer pour le scénario, ce film est juste parfait.
    Myene
    Myene

    17 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2014
    J'ai horreur des films de vampires et d'horreur en général, mais je tenais à dépasser mes préventions pour découvrir un " grand cinéaste". Je n'ai pas été choquée par les sanguinaires , mais d'autres stéréotypes...Désolée pour les inconditionnels de Jarmush j'ai trouvé son film, malgré la recherche esthétique à la fois prétentieux et sans créativité( Accumulations de clichés et de name dropping) On accompagne l'itinéraire (long comme ...une éternité) de 2 créatures caricaturales et presque risibles de suffisance une albinos et un musicos en quête de pseudos qui se référent à leur maitre Marlow !!!( si vous ne connaissez pas voyez sur le net les grosses ficelles) C'est cousu de références littéraires/scientifico/anecdotiques connues ad nauseum, encombré d'allusions musicales et instrumentales ou l'on sent que le réalisateur" s'onanise" C'est ce coté qui m'a le plus gênée, un message snobinard , creux qui se veut profond parce que rejetant les autres et se référant à un soit disant indicible...Je suis prête à découvrir d'autres films du réalisateur qui ne doit pas susciter un tel engouement sans raison Mais ici le compte n'y est pas... même si j'ai fait l'effort de rester jusqu'a la fin , ce qui ne fut pas le cas de nombre de mes voisins...
     Kurosawa
    Kurosawa

    523 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2014
    D'un côté, la morbidité de Détroit, et de l'autre, la chaleur de Tanger. Autrement dit, le dépressif Adam éloigné de l'énigmatique Ève. L'opposition mise en place dans les quarante cinq premières minutes du nouveau film de Jim Jarmusch est fascinante. Mais plus que deux caractères présentés, ce sont surtout deux notions du temps bien différentes qui nous sont proposées. Parce que si le film est principalement contemplatif (il est meilleur dans ce domaine que dans la narration), il raconte avec une grande subjectivité le rapport entre l'immortalité et le fait de vivre en reclus. Et par cette idée, on se rend compte que Jarmusch fait bien un film de vampire tout en se l'appropriant. L'idée que l'artiste n'est pas un simple être humain, mais bien au dessus de cette condition est contestable, mais parcourt le film avec conviction. La noirceur mélangée à l'ironie, certaines images formellement sublimes (les amoureux marchant dans les rues de Tanger), et une lenteur délectable font de ce film un beau moment de cinéma. Enfin, on note bien quelques défauts frustrants, comme les considérations autobiographico-temporelles des vampires assez lourdes, ou encore le moment de flottement d'une vingtaine de minutes à partir du moment où les amants se retrouvent, mais qui heureusement ne parviennent pas totalement à vampiriser la très belle atmosphère ambiante.
    Jeanluc.M
    Jeanluc.M

    20 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2014
    Si on m'avait mis dans une salle avec ce film en projection surprise, je pense que j'aurais deviné les yeux fermés qu'il s'agissait d'un film de Jim. La bande son est très travaillée, le rythme lent et teinté de mélancolie. Cette histoire de vampires dépressifs est étrange, intriguante et originale. On ne peut que se réjouir d'être des êtres humains en sortie de salle. :-) a voir.
    Flore A.
    Flore A.

    33 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2014
    La musique, la mise en scène, les pointes d'ironie et les acteurs envoûtants (Tilda Swinton en tête) donnent à ce film un charme particulier. Jarmush nous conte ici une belle histoire d'amour, empreinte de mélancolie. Et un très beau titre !
    Yves G.
    Yves G.

    1 309 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2014
    Je n'aime pas les films de Jarmusch.
    Musique post-punk, noir et blanc arty, dandysme désabusé, description d'anti-héros marginaux. Tout ce que je déteste !

    Aussi son dernier film ne m'inspirait guère confiance.
    Je me trompais lourdement. Preuve s'il en est qu'il ne faut pas avoir d’œillères et rester ouvert à tous les courants, même à ceux qu'on croit ne pas aimer.

    "Only lovers left alive" revisite le thème du vampire avec une élégance crépusculaire, une grâce nonchalante, une ironie (mordante !) qui forcent l'admiration.
    On est loin des niaiseries adolescentes à la Twilight ou autres Vampire diaries.

    Comme souvent chez Jarmusch, il ne se passe pas grand'chose. Mais cette lenteur, qui m'horripilait dans ses précédents films, m'a ici lentement subjugué.
    Le mérite en revient largement à Tilda Swinton, l'une des actrices les plus intrigantes de sa génération. Sa récente apparition dans "The Grand Budapest Hotel" en témoigne. Elle joue ici Eve, l'héroïne du film. Sa chevelure résume son personnage : immense, majestueuse, indomptable. Elle a pour partenaire un acteur moins connu, Tom Hiddleston, aux faux airs de Robert Smith.
    Même si je n'aime pas ce genre de musique-là, la BOF est envoutante.

    Le titre du film, qui m'était incompréhensible, s'éclaire dans la dernière scène, qui réussit à être à la fois romantique et sarcastique.
    Romain P
    Romain P

    25 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2014
    Oubliez Twilight ou True Blood, Jarmusch redonne aux vampires ses lettres de noblesse. Un grand film, un BO de dingue !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mars 2014
    Ce film est formidable !
    L'ambiance, l'atmosphère qui s'y dégage, les acteurs sont incroyables, tellement prenants ! Tom Hiddleston tient ce rôle à merveille, surtout aux côtés de Tilda Swinton qui, rien que dans son apparence, reflète quelque chose de merveilleux ! Étant blasée de tous les films de vampires, je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi bien, où le thème vampirisme n'est pas du tout omniprésent. On comprend très bien que ce thème sert simplement à insérer le côté immortel de l'amour.
    La Bande Originale y joue pour beaucoup de choses aussi, Sqürl est génial ! De Détroit à Tanger, les ambiances changent mais reste ce côté lugubre, funeste, amoureux.
    À voir et à revoir absolument dès que possible !
    Léa H.
    Léa H.

    30 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 avril 2014
    Poseur et artificiel, ce nouvel opus de Jarmush est désespérément creux. Flottant au milieu des clichés les plus éculés (la mélancolie dépressive des immortels englués dans un dandysme bc-bg, ça ne vous rappelle rien ? Mais oui, même les « Prédateurs » de Tony Scott font office de chef d’œuvre en comparaison). Ces vampires-là sont bien inoffensifs et ne provoquent guère qu’un ennui profond.
    ffred
    ffred

    1 519 abonnés 3 972 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 février 2014
    Jusqu'ici, je n'avais vu (et beaucoup aimé) que deux films de Jim Jarmusch : Ghost Dog et Broken Flowers. Après son passage à Cannes (en compétition) en 2013, Only lovers left alive débarque enfin sur nos écrans. C'est donc une chance que de l'avoir déjà vu en avant-première, présenté par le réalisateur lui-même et son chef opérateur (le français Yorick Le Seaux déjà auteur de la superbe photo de Amore et de celle de plusieurs Ozon). Vu depuis quelques mois déjà, le film continue à faire son petit effet. Déjà un des grands moments de 2014...
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2014
    (...

    Jim Jarmush signe un film envoûtant et mélancolique, sur fond de jazz et de rock, célébrant Jack White (avec qui le cinéaste a déjà travaillé), Eddie Cochran ou Charlie Feathers. Dans Only lovers left alive ("les seuls amants restés en vie"), les vampires sont des créatures solitaires plus que sauvages, à l'opposé des représentations habituelles, même si le cinéaste s'autorise un plan final à la fois amusant et horrifique. Un film sombre et nostalgique, parmi les meilleures pièces de la filmographie de son auteur.
    Marine d
    Marine d

    18 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2014
    Très très perché, cela ne plaira pas à tout le monde c'est sûr. Mais en ce qui me concerne j'ai trouvé ça esthétiquement magnifique, j'ai adoré le jeu d'acteur, Tom est particulièrement renversant et j'ai aussi adoré l'utilisation des vampires comme métaphore pour critiquer la société actuelle.
    Seul hic, la première scène, tourne et tourne et tourne encore, à en vomir.
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    118 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2014
    Les vampires plus humains que les humains eux-mêmes ? Certainement, selon Jarmush, qui signe là un chef-d'oeuvre empli de romantisme, de nostalgie pour un temps qui n'avait pas encore désappris la beauté. Oui, l'humanité sombre chaque jour un peu plus dans le néant et la médiocrité. Oui, l'humanité détruit le monde et l'entraîne avec elle dans sa chute. Et, oui, l'espoir est en dehors, au-delà ou en deçà de l'humanité, dans cette poésie qui a cessé d'être son apanage pour devenir celui des créatures sorties de son imagination, parmi lesquelles les vampires, qui s'étoffent ici, acquièrent une humanité rêvée, quand les êtres humains, eux, ne sont plus que des zombies. Adam et Eve, les vampires bien nommés, ce sont les rêves des hommes incarnés, c'est l'art enfin, pour toujours supérieur à ceux qui l'ont engendré.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 février 2014
    Le jour et la nuit; entre l'aboutissement de ce nouveau Jarmusch et les dernières aventures de vampires portées au cinéma. Le jour et la nuit tout au long de cette histoire qui s'amuse habilement à marier les contraires.
    Cette romance donne d'abord le tournis et met astucieusement en place la distance de la relation. C'est déjà très beau et envoûtant. La ballade nocturne de Tilda Swinton dans le souk de Tanger glace le sang. La musique et le ralenti, très juste, appuient parfaitement le charisme de l'actrice. Les présentations sont bien faites et mettent d'entrée en évidence l'opposition des caractères du couple. La prestance d'Eve face à la fragilité d'Adam. La première distinction concrète et amusante, leur moyen de communication. Elle appelle avec un smartphone on ne peut plus en vogue, lui répond sur une antiquité.
    Mise en abîme brillante qui souligne la personnalité des protagonistes. Eve vie avec son temps, Adam survie avec la mélancolie de son époque. L'idée ne s'arrête pas là. Les amoureux veulent se voir. Pas de mal pour la vampire moderne, mais pour le casanier bricoleur non plus. Il enclenche un système sorti de l'univers Gondry pour projeter la communication sur sa vieille TV, et ça marche. Le son sort de partout et la tête de Tilda Swinton est bien dans la boite. L'iPhone donne certes une image bien plus belle et bien plus nette mais devient ridiculement petit. Ce petit rien donne d'entrée un trait de génie et de fun.
    Une fois familiarisé avec ces vampires séparés et leur mode de fonctionnement, les amants épris décident de se retrouver. Eve quitte Tanger (tension fabuleuse dans l'avion) pour rejoindre sa moitie à Detroit. Le simple choix de ces villes est encore très subtil. L'architecture marocaine enlève toute temporalité au contraire de la capitale du Michigan tristement bouleversée aujourd'hui. Paradoxalement c'est notre nostalgique qui est installé dans cette ville en faillite symbole de la crise actuelle et sa moderne compagne qui était réfugiée dans les battisses antiques du Maghreb. Il en découle néanmoins une logique implacable du mouvement venant de la plus vivante des deux êtres. Et quelle ville mieux que Detroit pouvait accueillir la passion musicale d'Adam ? Berceau de la musique avec le Label de la Motown et symbole du monde actuel, l'intrigue de Only Lovers est parfaitement à sa place dans cette ville fantôme qu'est devenue Detroit.
    Les virées de nuit en voiture montrent très bien le vide impressionnant qui ressort de cette grande cité américaine. Des jeunes qui errent dans les rues sombrent et au loin encore quelques enseignes illuminées. Une ville tenue par sa survie musicale. Fabuleuse scène sur la salle de spectacle devenue parking.
    Le jour et la nuit entre vampires et zombies. Cet énième conflit proposé dans Only Lovers Left Alive n'est pas franchement le cœur du propos. On ne sait même pas bien de quoi il s'agit quand ils parlent de zombies. Il semblerait tout de même que ces derniers ne soient simplement que les humains. Intéressante donc l'idée que les vampires voient ces êtres comme des morts-vivants. Quelques clins d’œil amusants sur d'autres mythologies (pleine lune) ou des références culturelles historiques (Hamlet) sont faits avec légèreté. C'est d'ailleurs ce qui caractérise la façon dont Jarmusch s'empare du mythe, il prend les codes (pieu de bois, sang, lumière...) sans les imposer à lui même ou au spectateur. Il fait des choix cohérents dans l'intégration qu'il en fait à sa légende.
    Enfin, le jour et la nuit entre le générations. Le conflit entre les époques que traversent notre couple. Adam et Eve ne s'adaptent pas de la même façon à leur temps. Mais leur fonctionnement à clairement évolué au fil des décennies tout de même. "On est au XXIème siècle". Cette petite phrase d'Eve dite à sa petite sœur après que celle-ci est "bue" un homme, le marque très bien. Leur méthode pour ce "nourrir" aussi. Adam semble tout de même resté quelques années en arrière, probablement pas si loin d'ailleurs. Moins d'un siècle pour sûr. Une autre réplique donnée par Tilda Swinton montre à quel point elle a plus la mesure de son époque. A Tom Hiddelston, dont le personnage demande quoi faire du cadavre, elle répond; "on ne peut plus le jeter dans la tamise, comme à l'époque, au milieu des lépreux". Cela situe encore très bien temporellement. La solution qu'ils trouvent ira complètement dans le sens de ce qu'est devenu le monde au XXIème siècle. Et puis il y a le conflit de générations à travers les âges. Le débarquement d'Ava avec sa fougue et sa "jeunesse" va créer un relation triangulaire fabuleuse. Tout de suite une évidence fraternelle ressort des échanges entre Mia Wasikowska et Tilda Swinton, Tom Hiddelston est excellent en beau-frère désabusé. La jeune actrice vue en 2010 chez Burton dans le rôle d'Alice a le sang chaud. Sa soif de vie (et de sang) relance le fun dans ce couple moribond. Cela agace Adam et amuse sa grande sœur, ainsi que nous même. Une fois qu'Ava leur propose de sortir faire un tour, ça prend un tournant brillant. La scène au bar est fascinante. Rapidement on devine le destin funeste du 4eme invité. Le choix scénaristique qui en est fait par la suite est très bien assumé. L’interrogation sur que faire du corps et le retour à Tanger finisse très bien le récit.
    Magnifique course face à la survie. Parcours dans une cité aux allures de jungle. Le rythme est ralenti, normal nos protagonistes n'ont plus d'énergie. Et leurs parcours nous laisse sur une dernière scène vraiment pleine de mordant.
    Avec des accents arabes dans les passages à Tanger, ou de Rock rétro dans la discographie d'Adam, la musique est très présente. Elle apporte beaucoup de dimension à cette fable contemporaine. Conjuguée à la photographie très inspirée, particulièrement dans les paysages marocains, et à un montage très soigné, le récit original est merveilleusement porté à l'écran.
    L'entretien de vampires pour vivre ou survivre avec leur époque. En s'accordant plus ou moins avec le rythme de leur époque, Adam et Eve font traverser leur romance à travers les âges.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top