Avis : Halloween, 20 ans après - Page 3

Le retour de Michael Myers, dans ce 7ème volet qui se montre assez gore, exellente prestation de Josh Hartnett, c'est un de mes preféré, Jamie Lee Curtis n'a pas perdu la main pour rejouer Laurie Strode, toujours aussi dynamique, un des meilleurs Halloween.

Il y avait là une réponse; Trop teenagers sans doute pour épouser le mythe, mais une incursion en son époque, plus inspirée que les précédents épisodes.
On retrouve un récit cohérent et un concepte moderne. Dommage que le ridicule prenne souvent le pas en s'alignant sur d'autres franchises. Les meurtres toujours très accessoires, ne sont pas un atout majeur.
Pourtant, on ne peut que se réjouir de ce retour en grâce, avec son actrice.
Une vraie résurrection qui s'aligne sur l'épisode 2 et omet le reste.

Ce nouvel opus nous permet de retrouver deux anciens personnages des deux premiers opus, Marion Chambers l'infirmière (mon personnage préféré de la saga) qui cache la nouvelle identité de Laurie Strode qui est en réalité en vie et se cache. Sam Loomis est mort. Michael revient finir son travail en s'en prenant à Marion pour découvrir ou se cache Laurie. Pendant ce temps nous retrouvons une Laurie brisée par le drame qu'elle a subit et se réfugie dans l'alcool. Nous apprenons aussi qu'elle a un fils. Le film est haletant et plus psychologique et toujours aussi bon. Pour moi il s'agit du dernier de la saga car elle offre une fin magnifique de la saga. spoiler: Seul point négatif je regrette qu'il est coupé la scène ou on introduit les 3 précédents opus à la chronologie de la saga).

Je trouve vraiment ce film sans intérêt. On voit assez de violences gratuites dans les rues pour demander à ne pas en voir au cinéma.

20 ans après les meurtres du premier Halloween, Michael Myers revient plus vieux et pouilleux que jamais.
Quitte à jouer le ridicule à fond, un déambulateur n'aurait pas été de trop!
A ne réserver qu'aux inconditionnels du genre, et encore!

Cela faisait bien longtemps que l’on attendait un épisode tel que celui-ci. Car après La Nuit des masques (1978) & Halloween 2 (1981), rares étaient les suites dignes de ce nom. Si l’on fait abstraction de Halloween III : Le Sang du sorcier (1982) qui était un film indépendant (et réussit), il faut bien l’admettre, les suivants étaient tous très décevants, pour ne pas dire inutiles.

Alors quand on nous annonce enfin (!) le grand retour de Laurie Strode (Jamie Lee Curtis), 20ans après le film culte de John Carpenter, on ne peut que s’en réjouir. Ce nouvel opus se place directement comme une suite aux deux premiers volets et fait donc abstraction de tous les autres (ce qui n’est pas plus mal).

On retrouve donc Laurie Strode qui vit sous une fausse identité auprès de son fils. Bien évidemment, le calme sera de courte durée car son très cher frère arrive à retrouver sa trace et est bien décider à finir le travail et ce qu’il avait entreprit il y a 20ans, à savoir de la tuer !

Si l’on fait abstraction du prologue qui n’apporte pas voir peu d’intérêt au film, il faut bien reconnaître que tout le reste passe à une vitesse folle (on ne voit clairement pas passer les 85min du film).

En l’espace de 20ans, le slasher en lui-même a beaucoup évolué et surtout, a connu une vague successive de franchise, avec les Scream (1996, 1997, 2000 & 2011), suivi de Souviens-toi… l'été dernier (1997, 1998 & 2006) ou encore Urban Legend (1998, 2000 & 2005) et cela se ressent aisément dans la mise en scène, la narration et surtout, le casting de têtes d’affiche (rappelez-vous, dans les années 70 & 80, il n’y avait aucun acteur connu parmi la distribution), cette fois-ci, on a droit à tout un panel de gueules connues, avec notamment Josh Hartnett, Michelle Williams, LL Cool J ou encore Joseph Gordon Levitt. Sans oublier, la petite participation de Janet Leigh (Psychse - 1960), la mère de Jamie Lee Curtis à la ville ! On appréciera d’ailleurs le clin d’œil au film d’Hitchcock lorsque l’on entend au détour d’une scène, un petit air de la musique de Psychose composée par Bernard Herrmann.

Clairement, on ne boude pas notre plaisir devant ce slasher au combien rythmé et qui nous change de ces innombrables suites qui ont pullulé entre 1982 & 1998.

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dans ce 7 ème film, Michael myers nous revient pour à nouveau traquer Laurie strode alias Jamie Lee curtis et son fils et sans le regretter Donald pressure malheureusement décédé.
Le film a été réaliser dans le veine des films d horreur des années 90.
Mieux que le precedents mais en rien Comme depuis pas mal de ses prédécesseurs innovant.

Les 20 ans d'Halloween seront assumés par Steve Miner. On reconnaîtra le style du cinéaste en ce qui concerne le final : Myers s'en prend plein la gueule. Souvenez-vous du troisième film des « Vendredi 13 » (l'un des meilleurs de la saga), Jason se fait également démonter par le personnage féminin. Ici, Myers affronte à nouveau sa soeur 20 ans après les événements relatés par Carpenter. Et pareil, il n'aura jamais le dessus sur Laurie qui est réellement déterminée à le tuer, le jeu de « chat-souris » du final est brillamment construit et la dernière scène en est presque touchante. On notera l'audace du réalisateur qui fera mourir notre croquemitaine par décapitation ! Steve Miner retrouve Jamie Lee Curtis qu'il mettait déjà en scène dans l'excellent « Forever Young » pour lui redonner le rôle qui l'a rendu célèbre. Sauf qu'ici, Laurie ne joue plus la victime, elle joue la femme prudente et « trop » protectrice par rapport à son fils mais elle n'a plus peur de son frère.
La scène où Curtis revoit pour la première fois Myers à travers la vitre est juste fantastique, son regard dit tellement de choses (notamment un certain soulagement), le réalisateur fait durer très justement la scène qui en devient épique.
Le choix de reprendre « Mister Sandman » en ouverture de l'oeuvre est astucieux, il rappelle le meilleur film de la saga (le deuxième) et nous offre la nostalgie nécessaire pour aborder ce nouvel opus comme il se doit. La scène d'introduction est très prometteuse, amusant d'y voir le jeune Joseph Gordon-Levitt en première victime et nous ne sommes pas au bout de nos surprises : nous pourrons voir en leurs débuts de carrière : le sympathique Josh Hartnett et Michelle Williams.
Après cette scène d'introduction, le rythme tendra à baisser ! Certes, les personnages sont attachants et l'histoire se suivra sans difficulté mais il faut attendre très longtemps pour le retour à l'horreur effectif... En fait, il faut attendre le final... Mais attendez-le ! Il vaut la peine !
Il empruntera au 5ème volet l'idée du monte-charge, scène à nouveau très angoissante et assez gore... Le jeu chat-souris entre Laurie et Myers est très efficace, à couper le souffle. Le tout est filmé très soigneusement (même le long passage sans meurtre), Steve Miner nous offre donc une suite majeure dans la saga.

Le tueur est encore présent, 20 ans plus tard. Quelques jeunes acteurs, connus aujourd'hui. Le retour de Jamie Lee Curtis mais rien à se mettre sous la dent, côté plaisir visuel. Toujours des banalités et beaucoup d'ennuis. Les bons acteurs peinent à combler les lacunes scénaristiques. Jamie Lee Curtis s'en sort cependant assez bien les 15-20 dernières minutes.

Vu #Halloween20ansAprès.

Retour aux sources inutiles, jamais novateur, souvent tres ennuyeux.

Il n'empêche que le casting, Jammie Lee Curtis en tête, sa durée courte et une véritable conclusion pour #MichaelMayers lui donne quelques qualités

Aaah le come back de Jamie Lee ! Il était temps. Michael commençait à se sentir seul en 20 ans d’abstinence meurtrière. Oui car le film semble éluder tous les volets post épisode 2 pour repartir sur de nouveaux rails et enfin recréer cette fameuse confrontation frère-soeur qui est à n’en pas douter la source principale de "Halloween", les opus suivants n’ont à mon sens fait que broder autour du personnage de Myers sans forcément chercher à magnifier quoi que ça soit, autant les balayer d’un revers de main. Laurie Strode refait donc son apparition pour le plus grand plaisir des fans et un nouveau duel peut s’engager, cool ? Pas tant que ça.

Il faut pourtant dire que tous les ingrédients étaient là, mais encore une fois le scénario fait les mauvais choix en se détournant de l’intérêt premier de ce revival, il va d’avantage se focaliser sur d’autres personnages comme les jeunes acteurs en vogue de l’époque Josh Hartnett et Michelle Williams, ce qui est un peu dommage pour ne pas dire frustrant de passer à côté d’une construction principalement centrée sur Laurie, elle ne sert finalement que de faire valoir pour l’escalade de massacres. Le réalisateur s’attarde sur les relations mère-fils, sorte de passage de témoin des 17 ans, l’âge maudit, comme si Michael avait tout prémédité, fort du cawa mais bon pourquoi pas, le gars est doué pour poireauter gentiment dans l’ombre, Laurie a elle entre temps changée d’identité en tentant de fuir son passé morbide, mais quand les forces du mal te collent au cul c’est pour la vie. John part donc contre l’avis de sa môman faire la fiesta avec sa meuf et ses potes dans un petit cadre intimiste, nulle doute que Micky va passer leur dire bonsoir armé de son éternel couteau de boucher, les ressorts sont prévisibles et les jumpscares pleuvent, le lot des films d’horreur post "Scream", Steve Miner, réalisateur de deux épisodes de "Vendredi 13", s’exécute et livre un copie bien peu originale en terme de tension horrifique, bien que certains passages soient assez efficaces.

Bien sûr quand je dis que l’histoire ne se focalise pas sur Laurie ça ne veut pas dire qu’elle n’apparait que peu à l’écran, car quantitativement elle est très présente sur les 1h20 de film, mais sa névrose, son alcoolisme, ou son idylle avec petit ami ne sont pas super intéressants dans le sens où sa ne sert pas le thème de la revanche de Michael, c’est une perte de temps malgré que scénaristiquement il y a de l’idée pour ce qui est de nous présenter cette nouvelle femme toujours hantée par cette nuit du 31 Octobre 1978, Jamie Lee Curtis est juste excellente, son charisme manquait cruellement à la franchise, ça fait un bien fou de la retrouver, mais preuve en est qu’elle se bat un peu toute seule. Hartnett et Williams semblent jouer des rôles quasi identiques à ceux qu’on connait dans "The Faculty" et "Dawson", je m’interroge encore sur la présence de LL Cool J qui ne sert absolument à rien, par contre la brève apparition de Janet Leigh est très sympa et le clin d’oeil à "Psychose" est super malin.

Après il faut aussi dire que malgré ses défauts ce film se regarde plutôt bien, il n’y a pas vraiment de lourdeurs, le montage est correct, globalement c’est bien mis en scène et interprété, la bande son est bonne, mais le principal problème c’est qu’il ne fait pas peur, enfin l’ambiance est faible, ce n’est pas en faisant sursauter qu’on instaure un climat d’épouvante, cette technique a tendance à bien souvent m’énerver, et Michael Myers en est l’objet idéal, il sera toujours ravi de se pointer derrière notre dos pour nous trucider, même si on le voit arriver à des kilomètres sur ses gros sabots. La dernière partie du long métrage alterne entre clichés agaçants et références sympathiques, c’est un peu maladroit et le réalisateur semble être pris par le temps pour finir son oeuvre et conclure cette confrontation qui marinait depuis tant d’années, l’ultime séquence est presque drôle tellement elle est aberrante et le générique sonne comme un léger foutage de gueule.

Ces retrouvailles sont donc loin d’être parfaites, la malédiction des Strode n’inspire qu’un sentiment de frustration, Jamie Lee sonne la révolte en gueulant un vieux coup contre la franchise et tous ses anciens volets qui n’avaient franchement guère lieu d’être sans sa présence, et elle a raison, mais le projet apparait comme survendu et symptomatique d’une ère du genre en manque d’idées, qui ne se contente de jouer que sur des sensations gratuites et des schémas préconçus, fort heureusement ce "Halloween : 20 ans après" reste tout de même une parenthèse plutôt conviviale par rapport à d’autres oeuvres de la même époque.

Jamie Lee Curtis is back. Oh yeah. Une bonne bouffée d'air frais après les opus 5 (pas terrible) et 6 (le pire de la saga, de très loin), ce Halloween : 20 ans après fait en réalité suite aux deux premiers opus (en ne reniant pas vraiment le troisième, puisqu'il s'agit d'un spin-off) et s'offre un très bon staff, à commencer par Kevin Williamson à la production exécutive (le scénariste des deux premiers Scream, et ça se sent dans l'ambiance assez proche de cet opus d'Halloween, ce qui est très loin de nous déplaire). Ajoutez un bon scénariste qui se préoccupe de la solidité de ses personnages (on a été surpris par le "Langdon, Illinois" au début au lieu de l'habituel "Haddonfield, Illinois", mais on comprend peu à peu que Laurie a été traumatisée par les venues de Michael et a préféré se fondre dans une autre ville, ce qui n'est d'abord pas expliqué mais que l'on cerne avec l'approfondissement de ses peurs), et un bon metteur en scène (Steve Miner aime bien les travelings au travers des maisons, et les réussit). On notera enfin un bon panel d'acteurs dont Jamie Lee Curtis qui signe un retour plein d'envie et s'offre des punchlines qui "envoient" : lorsque la directrice de l'école (Janet Leigh, accessoirement la mère de Jamie Lee Curtis) l'effraie : "C'est Halloween, on a tous droit à une petite frayeur..." / "J'ai eu ma part.", ou lors du final "Qu'est-ce qu'on fait ?!" / "On essaie de pas crever."... Le film sait heureusement doser ses punchlines pour ne pas ressembler à un film d'action décérébré, nous laissant nous étonner lorsqu'elles sortent (on a presque envie de lâcher un micro imaginaire à chaque fois). Le combat final est aussi très fun, avec une dernière embardée qu'on n'attendait pas et qui nous régale (on aurait voulu que cela se termine comme ça, quand on voit ce qu'ils ont fait de la suite directe...). En tout cas, Halloween : 20 ans après souffle ses bougies avec un entrain contagieux, porté par l'envie de son équipe à signer un joli petit slasher qui ne fait pas honte aux deux premiers. Un exploit.

Toujours difficile de vouloir revenir 20 ans après avec une recette qui avait bien marché. Le film d'épouvante a fait son chemin, d'autres concepts sont arrivés sur le marché et la mode a changé. Les fêtes d' Halloween arrivent et Jamie Lee Curits est toujours présente pour face au tueur psychopate.( au demeurant très bonne J.L Curtis , mais que l'on en voit pas assez au cinéma) Tout cela sent le réchauffé et devient presque ennuyeux..

Un film très anecdotique dans la saga "Halloween". Ce "20 ans après" accumule les poncifs du genre, sans donner d'explication sur les motivations réelles de Michael Myers. Néanmoins il est toujours sympa de suivre les aventures du tueur masqué, avec notamment en guest Jamie Lee Curtis, faisant le pont avec le tout premier film de la saga.

La principale limite d’Halloween H20 : Twenty Years Later est de n’avoir strictement rien à raconter, sinon les retrouvailles du monstre sacré et de sa belle, frère diabolique et sœur persécutée de nouveau au premier plan après vingt ans de séparation. Tous les personnages semblent jouer à se faire peur, prennent un malin plaisir à se cacher dans des lieux improbables puis surgir devant la pauvre Laurie Strode qui n’a décidément pas de chance. Un Halloween moyen mais qui divertit. C’est déjà pas si mal.