Avis : Noé - Page 9

Bien loin du personnage biblique, Russell Crowe incarne Noé, avec des effets spéciaux qui ne servent en rien l'histoire elle-même si ce n'est l'actualiser. La construction de l'arche de Noé et le déluge qui s'en suivirent ne sont pas trop mal retranscrits mais la renaissance soudaine du monde manque de réalisme.

La légende de l’Arche de Noé en version blockbuster par le talentueux Darren Aronofsky, il y avait de quoi attiser la curiosité : verdict, le réalisateur fait effectivement des merveilles dans plusieurs passages empreint de mysticisme, librement inspirés de l’Ancien Testament, et particulièrement réussis visuellement. Les péripéties familiales de Noé, elles, présentent nettement moins d’intérêt : Russel Crowe tient la baraque, mais l’ensemble, sans être raté, ne bénéficie pas de ce souffle épique qui aurait pu l’emmener vers les sommets.

Difficile de s’exprimer sur un film quand on en ressort sans mots. Avec Noé, Darren Aronosky (Black Swan) signe une œuvre indescriptible, un savant mélange de genres saisissant.
Alors qu’il vit isolé avec sa famille, Noé reçoit un message de Dieu. Celui-ci lui demande de construire une arche afin de sauver d’un futur déluge apocalyptique, un couple de chaque espèce animale ainsi que lui-même et sa famille. Le prophète est aidé dans sa mission par des anges déchus piégés dans des corps de pierre tandis que les hommes abrutis par le pêché tentent de s’incruster à bord.
Néo-péplum à grand spectacle mâtiné d’Heroic Fantasy (le réalisateur dit s’être inspiré du Seigneur des anneaux), on assiste dans un premier temps à un blockbuster biblique où déluge d’effets spéciaux, photographie à couper le souffle et spiritualité ne font qu’un. Une alliance qui s’illustre parfaitement le temps d’une séquence magique mêlant créationnisme et darwinisme. Mais une fois Noé et sa famille à l’abri des pluies torrentielles, le film à gros budget se mue en drame familial intimiste qui fait la part belle à ses acteurs. Russell Crowe en tête. Ce dernier retrouve enfin un personnage à la hauteur de son talent. Grâce à Darren Aronofsky qui livre une version de l’histoire de Noé plus sombre et fouillée que celle présente dans la Genèse, l’acteur néo-zélandais incarne avec brio un homme foncièrement bon et loyal et dont le caractère consciencieux le fait craquer sous le poids de la pression divine. Il a beau avoir été choisi, il n’en est pas moins humain. Face à lui, Emma Watson brille dans la peau de sa fille adoptive Ila, son premier grand rôle depuis Harry Potter. À mesure que le patriarche se radicalise, la jeune fille plus confiante tente de le faire revenir à la raison avec l’aide de son épouse Naameh (Jennifer Connelly). La conversation finale entre Noé et Ila illustre parfaitement les différentes interprétations qui peuvent être faites d’un message de Dieu et confère au film une portée philosophique inattendue mais bienvenue. Il est aussi évident que le cinéaste veut faire d’Ila, une sorte d’icône. Stérile, elle tombe miraculeusement enceinte. C’est par donc par elle que l’humanité doit renaître tandis que Noé est persuadé que sa tâche est d’y mettre fin. Chez Aronosfky, la femme est définitivement l’avenir de l’homme.
Noé est un film souvent très déroutant – on est même perplexe face à ces...

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Film attendu et controversé, Noé sort (enfin?) sur les écrans. Si, ici, l'on ne vas pas rentrer dans un débat philosophico-religieux mettant en doute la véracité des propos de l’œuvre, on peut toutefois remettre en doute la qualité du métrage. Comment le talentueux réalisateur du traumatisant ''Requiem for a dream'' a pu nous pondre une daube infâme sur l'un des épisodes bibliques le plus célèbre. Certes, Arronofsky a prouvé qu'un film a priori d'auteur pouvait attirer du monde (l'excellent Black Swan), mais comme d'habitude il s'est fait engloutir par l'Hollywood mercantile et est devenu au service d'un projet à 130 millions de $ (1/3 du budget de tous ses films réunis) qu'il tenait à cœur depuis plus de quinze ans : pourquoi alors passer autant de temps sur un projet pharaonique au sujet risqué pour un résultat aussi mièvre. Dès le début, on sentait que la machine était rouillée avec une vision plus que cocaïnée et son résumé de la bible façon ''pour les nuls'' (la première phrase : « Au commencement, il n'y avait rien »). La suite n'est guère réjouissante : malgré une troupe d'acteurs aussi expressifs qu'une huître : Emma Watson (ex-Hermione Granger) passe son film à pleurer, Jennifer Connely dit littéralement cinq phrases tout au long du film, Anthony Hopkins est pathétique en Mathusalem à la recherche d'une baie (oui, oui le fruit) et un Russel Crowe qui fait partie de ses rôles (à la James Franco dans Spring Breakers) dont on ne sait pas si ils sont excellents ou ridicules ; les 2h10 du film passent agréablement vite et sa deuxième partie semble un peu plus réussie puisqu'elle développe les sentiments des personnages réfugiés sur l'arche après le déluge (sensiblement le même que dans le Jour d'après d'Emmerich), tout cela filmé avec des coupes propres à une série télévisée, preuve une fois de plus (s'il en fallait encore une) que les sériés TV ont aujourd'hui dépassé et inspirent le cinéma. En fait on a tout compris ! Noé c'est en fait l'épisode de la Bible façon Seigneur des anneaux (les anges déchus transformés en pierre, ce sont les arbres qui parlent de chez Tolkien) filmé comme un épisode de série télévisée par un fan de Roland Emmerich. Déjà pas trop emballé par la bande-annonce, on aurait pu s'abstenir davantage...

Blasphématoire. Honteux. Une insulte. Navrant.
A des années lumière du récit original. C de la propagande anti-créateur

Je sais pas trop quoi dire sur ce film tellement mon ressenti est bizarre. D'un côté, le film souffre de défauts presque impardonnables, d'un autre côté, il arrive à se rattraper avec des moments de pure grâce. Après on peut toujours se demander si 10 minutes de film suffisent à rattraper tout le reste, mais j'estime que c'est presque le cas.
A la base Noé est un pari hyper casse-gueule, non pas en raison de son caractère religieux mais surtout à cause de la difficulté à rendre l'histoire un minimum crédible. Le caractère religieux n'est pas difficile à estomper, puisque les textes de la genèse sont des paraboles, ça parle à tout le monde, et je n'ai pas de souci avec ça. Mais puisque ce sont des paraboles, le réalisme est absent, or, au cinéma, il faut un minimum de crédibilité pour que le spectateur croit à ce qu'il voit. Et pour le coup c'est presque réussi, ou en tout cas c'est pas complètement raté et c'est déjà presque une réussite pour ça ! On pourrait presque situer l'histoire dans un futur post-apocalyptique, et c'est bien foutu. le coup de l'arche fonctionne bien aussi, on sait très bien que le concept est pas réalisable, du coup on passe pas 3 plombes à expliquer comment ça fonctionne, il y a une arche et puis c'est tout.
Après au rayon des défauts, on peut déjà citer l'esthétisme du film, qui est à gerber, déjà avec la genèse en intro qui est hideuse, avec les anges de pierre, on peine à comprendre pourquoi c'est si moche vu le budget du film.
Surtout le film souffre de son intrigue, l'histoire avec les humains qui ont fauté est belle, avec Russell Crowe qui cherche auprès du créateur (on ne dit jamais Dieu dans le film, bien vu) des signes du bien fondé de ce qu'il fait. C'est vraiment beau de voir le doute quand il est appelé à sacrifier son espèce, et se sacrifier lui-même. Mais pourquoi avoir rajouté une intrigue avec Emma Watson, pourquoi avoir rajouté un dilemme en plus? On s'en fout de l'histoire avec ces gosses et pourtant ça prend la moitié du film alors que c'est un truc inventé de toute pièce ! L'histoire ne fonctionne pas, on se fout du personnage, on se fout de l'intrigue parce qu'on sait très bien ce qu'il va se passer, surtout que la musique est assourdissante et nous dit bien quoi penser.
Qu'est-ce qu'il y a à sauver donc? Et bien une chose selon moi, quand Noé raconte la genèse à ses enfants et lui explique les raison de son action. D'une part c'est très bien écrit, d'autre part c'est dénué de tout caractère religieux, et surtout c'est intemporel, c'est à dire qu'on à l'impression que Noé nous parle à nous, spectateur en 2014. ça dure peut-être 10 minutes, et c'est beau, avec une magnifique évolution de l'homme sur des ombres jusqu'à notre époque (intemporel j'ai dit !).
En soit le film est raté, mais le parie est presque réussi, donc je met la moyenne pour saluer ça !

Et bien ... Difficile de croire que c'est bel et bien Aronofsky à la réalisation de ce "Noé" à la limite du consternant. Retirez Russel Crowe et il n'y a strictement plus rien ! Les autres acteurs et actrices jouent comme des manches, les dialogues sont relativement pauvres et la réalisation est très en dessous de ce qu'est capable de faire Aronofsky. La bande annonce, une fois de plus, nous induit totalement en erreur. On s'attend à un film épique, plein de rebondissement, calqué plus ou moins sur les écrits bibliques et à la place on a ... rien ou presque, c'est long, c'est chiant, il ne se passe quasiment rien et en outre le réalisateur prend largement ses aises pour nous pondre un ovni indigeste et qui ne va nul part. Seule l'évolution psychologique de Noé peut paraitre intéressante mais est-ce bien l'endroit pour ça ? Je ne pense pas. Plus de deux heures d'ennui et d'incompréhension devant ce lourd ratage à qui il reste les jolis décors pour se consoler, bien trop peu.

C'est marrant, plusieurs fois dans le film je me suis dit "waaah c'est exceptionnel", et plusieurs fois je me suis dit "qu'est-ce que c'est nul ?". En bref, j'ai pas été totalement satisfait du film qui reste bon tout de même, mais qui aurait pu être excellent avec un peu plus d'effort. D'abord, il faut vraiment éviter la morale à deux balles, je vais au cinéma, c'est pas pour m'entendre dire ce que je dois faire dans la vie, où alors faudrait-il que ça soit bien dit. Parce que des longues pauses dans le récit pour entendre deux personnages parler entre eux, c'est juste pas possible et les dialogues sont trop stéréotypés. On a compris que les hommes étaient des cons, qu'ils étaient en train de détruire la nature et compagnie, c'est pas la peine de le rabâcher 15 fois. Ensuite, au niveau du scénario, je ne l'ai pas trouvé assez poussé, c'est dommage, quitte à faire un adaptation libre de l'arche de Noé, autant prendre plus de risques, je sais pas moi, j'aurai kiffé que ça aille plus loin dans le "Noé devient méchant" et surtout j'aurai aimé que le roi ne rentre pas dans l'arche. À partir de là, mon attention a un peu décliné parce que je voyais le truc venir gros comme une maison (ou comme une arche) et ça n'a pas manqué, le truc est un peu convenu sur la fin. On va dire que la première heure est vraiment pas mal, c'est divertissant, c'est spectaculaire mais encore une fois, que vient foutre le roi Tubal-Caïn dans l'arche, il ne sert à rien. Il était bien dans la première partie du film, mais après il est inutile. Pourquoi ne pas laisser Noé avec sa famille, ses problèmes et son dilemme ? Bref, à côté de ça, ça reste un bon film. On reconnait la patte Aronofsky et le type sait y faire avec la caméra, c'est bien filmé, c'est beau à voir, les personnages sont intéressants et les acteurs sont bons (Russell Crowe en tête). C'est donc un bon film fantastique mais qui aurait pu être encore meilleur avec un scénario plus poussé.

Une épopée biblique. Une légende sur la création du monde. La bible revisité par Darren Aronofsky. Un bon scénario malgré quelques longueurs. Une arche à tout épreuve. Une évolution dans la carrière d'Emma Waston. Russell Crowe interprète Noé avec détermination et conviction.

C'est le dèluge! Au sens propre comme au figurè! Et la construction de l'Arche par Noè qui va mettre toute sa famille à l'abri ainsi que tous les animaux du monde dans un seul et même navire en bois pour affronter la tempête! Cette histoire, tout le monde la connaît normalement! Une odyssèe biblique made in Hollywood, rèalisèe sans gènie et sans originalitè - ce qui est le comble pour un metteur en scène comme Darren Aronofsky - , en n'èvitant jamais les grosses ficelles des blockbusters! Au vu de la bande annonce, on s'attend à un film cataclysmique! il n'en est rien! Nous sommes en fait dans le drame intimiste avec des scènes d’action perdues au milieu de longueurs et de libertès prises à tire larigot! il paraissait insensè de porter à l'ècran l'histoire de l'arche de Noè : à la vision du film de Aronofsky, on comprend aisèment ce qui se passa! Une relecture aseptisèe avec des èlèments non bibliques risibles et des F / X à la « Transformers » (cf. les gèants de pierre). Dans un rôle à la « Gladiator » , Russell Crowe fait le job même si des acteurs comme Jennifer Connelly ou Anthony Hopkins sont sous-exploitès...

Nouveau film d'un grand réalisateur sur l'histoire de Noé et sa célèbre Arche, on pouvait imaginer un film mythique... mais voilà, rien ne convainc dans ce film apocalyptique sur la construction de l'Arche pour sauvegarder toutes les espèces du monde lorsque Dieu décide d'éliminer les hommes de la Terre...
Malgré un casting 4 étoiles, le rythme et le scénario sont trop pauvres pour en faire un grand film. On s'ennuit ferme mais peut être qu'il est trop difficile de faire un film intéressant sur ce sujet.
Bref : un film pour tout recommencer.

Un Noah osé dans son projet et son style mais terriblement ennuyeux dans sa réalisation. L'inventeur des séquences ultra montées et stylisées fait encore évoluer sa technique devenue célèbre depuis Requiem for A Dream. On peut comprendre que la mise en image d'une telle histoire ait été un défi immense surtout avec le soucis de crédibilité dont le cinéaste a fait preuve. On apprécie aussi la vision audacieuse d'Aronofsky sur la bible mais on ne peut que regretter que l'auteur se perde entre Héroïc Fantasy (les gardiens), film catastrophe (déluge), film d'aventure et histoires d'amours. A ce titre les dialogues sont particulièrement convenus et miteux. Les discours sur la famille, le bien, le mal, l'écologie sont d'une fadeur sans nom et participent grandement à l'ennui que l'on ressent tout au long des deux heures. Quelques scènes sont également assez maladroites : les Incursions de Noé chez les Tubal-Cainer et surtout Sahem et Ila qui reviennent sans Ham (jambon ?:) pour l'embarquement final, Noha : "Et Ham", ben sta dire y a grand père qui ma mis la main au ventre et pi... _ oui ? _ ... ben en fait on sait pas où est le petit frère on a préféré faire des galipettes. _ ha, bon ben montez parce que tous les autres derrières vous ils sont impurs, méritent pas, ils pensent qu'à leur gueules. Je n'ai pas trop compris la fin non plus. Où va Ham ? Sans lui ça veut dire qu'on va perpétrer la race humaine juste entre frêres et soeurs alors ? (C'est dans le Nord qu'on va être content:). Noah vaut surtout pour le personnage de Noé interprété par un Russel Crowe convainquant même si son apathie de circonstance peut être communicative à des spectateurs proches de l'endormissement. Son dilemme, le glissement de son âme vers la folie et le fanatisme sont les idées les plus réussies de Noah qui nous offrent aussi quelques jolis plans.
Une scène : Le plan fixe sur Noé dans l'arche refusant de bouger alors que les cris des noyés retentissent au dehors. Une belle citation pour finir : "Et, dans un blockbuster hollywoodien contemporain, rien ne dit mieux le silence de Dieu que la soudaine résorption des effets numériques."

J'ai vu un film... qui a réussi à me surprendre, alors que l'histoire semble connue de tous... Il y a des séquences incroyables dans ce film... Il suffit, je crois pour l'apprécier, de quitter la dimension biblique, pour le vivre comme une histoire et une aventure innovante... Et de l'innovation, il y en a dans ce film... On se situe entre le Seigneurs des Anneaux, Gladiator et Mad Max... et le film pose beaucoup de questions d'ordre philosophiques sur la notion de "bien", de "mal", de "relation de l'homme à l'homme" et de "l'homme à Dieu" (et inversement)... Le film véhicule des messages assez bouleversants et est joué d'une manière admirable par Russell Crowe et celles et ceux qui l'entourent. Ce qui est également bien vu dans l'approche du formidable Darren Aronofsky, dont je suis totalement fan depuis le début de sa carrière, c'est le fait d'avoir donné de la profondeur psychologique à un homme qui aurait pu être lisse, parfait dans un monde horrible, et qui cherche sa voie (et à trouver une voix ?). Il tord l'histoire biblique pour l'enrichir de sa vision folle et audacieuse, et le message délivré nous touche aujourd'hui, ici et maintenant... Un vrai dilemme shakespearien sur les choix qui s'offrent à lui... A propos des effets spéciaux, certains étaient absolument fabuleux (les anges déchus, les séquences dantesques de bataille, les effets stromboscopique...), et certains plutôt moyens (les animaux, et notamment les oiseaux...)... Bon, mais dans l'ensemble, j'ai été très captivé par la façon dont il a géré des questions que j'ai pu me poser sur "Mais comment ont fait ces animaux pendant la traversée pour se nourrir ?"... Eh bien maintenant, je sais :)... Par ailleurs, je pensais que la traversée avait duré 40 jours, et eh bien, je sais qu'elle a duré 9 mois :)... Ce film m'a apporté tout un tas de détails qui m'ont ouvert les yeux... Bon, là, j'y vais, il se met à pleuvoir...

Des effets spéciaux pas toujours réussis pour un film inégal alternant entre récit biblique et fresque historique où la frontière entre réel et imaginaire est assez flou.
Reste une très bonne performance de Russel Crow toujours aussi bon dans ces films de héros !

réalisation parfaite, décors magnifiques, Darren Aronofsky signe un très beau film apportant en plus un message écologique. Je ne suis pas croyant du tout et ça ne m'a pas empêché d'aimer ce film pour autant; je l'ai tout simplement regarder comme un film historique m'en apprenant plus sur l'arche de Noé, bien sur de manière reformaté à la sauce holywoodienne. Je note toutefois quelques incohérences comme lorsque Tubal Caïn rentre dans l'arche en se forgeant un trou avec sa hache, mais que quelques secondes plus tard ce trou a disparu lorsque les vagues frappent l'arche. Les acteurs sont tous très bons à l’exception de Logan Lerman que j'ai trouvé très mauvais, je n'avais jamais vu une aussi mauvaise performance d'acteurs, en plus de cela pendant tout le film il n'a qu'un ton de visage ce qui est choquant. On a donc le droit à un Russell Crowe très froid qui sort une prestation de haut vol, ravi de revoir Emma Watson qu'on a pu découvrir dans un nouveau genre et elle l'a bien fait. Quant à Jennifer Connelly elle est parfaite. ¨Par contre j'ai trouvé la fin un peu longue à mon goût, on perd en intensité et c'est dommage. Au final un film qui ravira nombre de gens mais qui pourrait décevoir ceux qui s'attendent à un grand film biblique.