Avis : Divergente - Page 4

c'est vrai que cela ressemble à Hunger Games mais l'histoire tient la route
et les scènes d'action sont bien réalisées.
pour ma part j'ai passé un excellent moment.

Bon film avec un bon scénario, l'idée est plutôt originale mais ce n'est bien sûr pas le premier du genre.

La trilogie Divergente fait partie de la scène new age du cinéma action/SF. Une page de littérature moderne surfant sur une nouvelle tendance, de nouveaux frissons. Un style trop souvent jugé puérile mais qui dégage une classe incommensurable, un visuel époustouflant. Le cinéma du genre a fait du chemin depuis les Eragon ou Percy Jackson. Ici on fait d'avantage référence à Hunger Game ou encore Equilibrium, le genre de tableau relativement classique avec des personnages rapidement attachants, animés d'une soif de rébellion. Comment être convaincue de son aptitude la plus élémentaire, la plus viscérale, celle qui vous anime chaque jour consciemment ou inconsciemment, celle qui fait de vous ce que vous êtes. Dans ce monde ravagé, les bons choix n’existent pas et la survie ne dépends pas d'une simple volonté; elle transcende les peurs jusqu'aux confins de l'esprit. Acculée entre une émancipation forcée et un dépassement personnel indispensable à sa subsistance, Tris devra faire les meilleurs choix dont les alliances seront la clef. Tome 1, le décor est planté, s'étale sur 2h20 et n'en finit pas de surprendre. Le scénario est tout à fait palpitant, au moins suffisamment pour languir de la suite. 4,5/5

Divergente sera-t-elle la nouvelle saga à suivre ? N'ayant pas lu le roman d'origine, je ne serais vous dire si l'adaptation est fidèle ou non et je me garderais de tous jugements. Cependant, rien ne m'empêche de juger le film pour ce qu'il est. Et bien je dois dire que Divergente est un film plutôt intéressant. Même si certains points évoquent Hunger Games (attention je ne dis pas que c'est du copier-coller, loin de là, mais je trouve que par moment cela peut y faire penser), Divergente a sa propre identité et son propre univers. L'histoire est assez intéressante, la réalisation est correcte et Shailene Woodley livre une très bonne prestation, non dénuée de charme. Pour le reste, les scènes d'action sont plutôt bien menées mais les combats au corps à corps sont loin d'être efficaces et manquent cruellement de rythme et de style, Kate Winslet, Maggie Q et Ray Stevenson apportent un certain cachet au film mais leurs prestations ne sont pas exceptionnelles (dû à des rôles secondaires voir tertiaires) et certaines scènes sont un peu prévisibles. Ceci étant, Divergente est quand même un film plutôt sympathique à suivre, qui pourrait se suffire à lui même (n'ayant pas de cliffhanger à la fin) mais étant prévu comme une trilogie et si suites il y a, j'irais les voir avec plaisir.

Agréablement surpris par ce Divergente, critiqué pour son côté teen-movie, lorgnant sur des précédents par si datés et finalement peu original.

Attaquons par le côté lumineux de la force (c'est de la SF, on a le droit !). On ne s'ennuie pas dans Divergente, même si c'est long et qu'on s'attend plusieurs fois à ce que le générique tombe avant la fin. Dynamique, avec de nombreuses idées intéressantes (les classes, le pouvoir du libre arbitre, les césures familiales, etc.), le film a bien plus de ressources narratives que n'en ont ses concurrents teen-SF. Il lui arrive même de pousser certains thèmes assez loin pour qu'on s'imagine des orientations franchement intéressantes pour cet univers. Mais, et c'est là que le côté obscur rattrape l'oeuvre, ce n'est clairement pas assez pour apporter quelque chose d'autre que du pur divertissement. Dommage, car la matière est là.

Du coup, Divergente finit comme Hunger Games, gâchant un réel potentiel dans des mièvreries si pauvres que le plus puritain de tous ne pourrait accepter. Et il sombre dans des métaphores si évidentes et grossières qu'il devient niais. A chercher à toucher tous les publics, on rate l'excellence. Le pire dans cette histoire est la romance pré-pubère des deux héros. Ils se cherchent, se trouvent assez vite, et puis ... non ... Ca dure, comme dans une boum où il faut attendre le huitième slow pour qu'il se passe quelque chose. Et là, l'homme lâche un truc du genre : "tu as envie de le voir mon gros tatouage ?". Bizarrement, les rires fusent dans la salle et on sort du film. On touche là la limite du teen-movie vu par des adultes.

Pourtant, le film ne fonctionne pas si mal. Il est bien réalisé, il est efficace, et c'est déjà pas mal, bien mieux que beaucoup même.

NAVET !
Mon Dieu que le film est nul. Tout est vu et revu. Bouh les méchants divergents. Bouh nous on est les audacieux, on est les rebelles, on est cool on saute partout... Sérieux film pour ado. Rien à sauver. Hunger Games passe pour un chef-d'oeuvre à coté.

Le roman m'avait séduit par son scénario original et bien ficelé mais l'écriture pêchait. Trop simpliste avec des répliques mollasses ça me bloquait vraiment pour entrer dans l'univers de Tris. L'adapter en film était donc un bon compromis. En effet, le scénario demeurait mais l'écriture serait remplacée par de belles images : j'étais donc emballée !
Ma satisfaction a été encore plus grande lorsque j'ai appris que Shailene Woodley tiendrait le rôle principale. Cette actrice m'épatait ! Que cela soit son rôle dans The Descendant ou Spectacular Now, elle crevait l'écran et communiquait merveilleusement ses émotions. Et c'est encore le cas dans ce film.
Certains n'ont pas été convaincu par son jeu, je trouve au contraire que c'est l'une des forces du film (vu en VO). Les autres acteurs ne sont pas mauvais mais ils n'ont pas franchement le même charisme. Hormis peut-être Zoe Kravitz qui a du charme. En ce qui concerne Kate Winsley, elle m'a particulièrement déçue et la mère de Tris...peut-être est-ce dû à son rôle de Bruce Willis à la fin mais franchement elle surjoue -selon moi-. Theo James ne casse pas la baraque non plus même s'il s'en sort trop de dégât.
L'esthétique du film est très bon, il faut le dire. Les belles images s'enchaînent, le tout est bien filmé et colle au bouquin et on est vraiment pris dans l'action. Dans Divergent(e) on ne s'ennuie pas une seule seconde, la caméra cumule les gros plans pour nous mettre à la place de Tris et cette technique fonctionne bien. Tris sourit, on sourit, elle saute, on saute avec, elle grimpe, on grimpe aussi etc. La caméra suit l'actrice tout en nous faisant admirer le panorama et si Tris n'apparaît pas à l'écran, sa voix off prend le relai. Cette aventure par procuration est agréable à vivre et contribue à faire de Divergent(e) un bon divertissement.
Mais malheureusement si le film nous épargne de l'écriture orale de Veronica, les répliques restent les mêmes. Les répliques ne sont pas percutantes, presque ridicules (surtout Quatre et la mère de Tris), des fois et le discours argumentatif de Kate Winsley se perd en une répétition de la même phrase : " Les divergents menacent le système qui a instauré la paix, il faut donc savoir à quoi vous appartenez pour la paix ; parce que le système est bon et instaure la paix blabla".
La relation Quatre/Tris apparaît comme une autre niaiserie pour satisfaire les ados. Quel dommage ! Ce n'est pas de la faute du film fidèle au bouquin, mais malheureusement ça ne passe pas non plus à l'écran. Leur amour n'est pas crédible et n'est pas assez creusé.
Par ailleurs, je n'avais pas aimé la fin du livre qui arrive comme un coup de massue et a des faux airs de films d'actions américains enlevant l'originalité et l'intelligence du script. Le coup de massue est atténué dans le film mais le blockbuster d'action américain est là. spoiler: Fusil à la main, Tris perd son meilleur ami et ses parents en 5min et le tout se révèle too much. L'émotion persiste à la mort de la mère pendant 1min d'arrêt puis le film d'action reprend avec l'héroïque père qui plie sous les coups de feu. Too much. Et ça empire à partir du moment où Tris retrouve Quatre. C'est alors l'amour des deux protagonistes qui va triompher du vil sérum -non sérieusement ??- et Quatre bat une dizaine de mercenaire grâce à ses poings -non sérieusement ??-. La miss annonce alors fièrement qu'elle est Divergente et elle retourne l'arme meurtrière des Erudits contre la méchante Kate Winsley.
Bon on peut pas en vouloir au film encore une fois puisque l'histoire originale se déroule ainsi. Mais bon cette histoire nous arrache un petit sourire moqueur.
Enfin, parlons de la bo ! Lorsque j'ai vu s'inscrire le glorieux nom d'hanz Zimmer au début du film, j'étais ravie. Le pari est relevé, la musique est homogène avec les images....Sauf lors des chansons d'Ellie Goulding. En effet, lorsque Lights commence, on décroche du film un instant. Ca ne colle pas. Peut-être parce qu'on connaît ce titre tendance. Ou peut-être parce que de la pop avec une voix aussi synthétique sonne faux lors d'une cérémonie du choix aussi importante.
Beating Heart lors du générique n'est pas le plus approprié non plus selon moi. Pour reprendre la comparaison Hunger Games/Divergent(e) alors qu'Atlas de Coldplay était magique après les pleurs de Katniss ; Beating Heart ne correspond pas aux derniers instants cruels et durs du périple de Tris.
Ellie Goulding est un peu comme une bavure dans la bo réussi du film. Etrange puisque j'apprécie cette artiste.
Au final, c'est un bilan plutôt positif du nouveau film de Neil Burger. Divergent(e) divertit malgré quelques imperfections et les lecteurs ne seront pas déçus de cette adaptation fidèle au bouquin. Je ne sais pas si je courerai voir le deuxième opus (que je n'ai pas eu l'envie de lire) mais si je le fais ce sera en parti pour Shailene. Shailene que j'attends dans Nos Etoiles Contraires, un livre hilarant qui reprend l'acteur du frère de Tris. Un dernier conseil : allez le voir en vo :)

Une assez bonne adaptation du livre, on ne s'ennuie pas et l'atmosphère est très bien retranscrite. Les acteurs sont assez bons et collent pour la plupart aux personnages du livre. Globalement, j'ai trouvé le film à la hauteur du livre, une histoire prenante et bien construite, sans être la meilleure saga du genre.

Divergente est vraiment un excellent film, tout d'abord de par la trame qu'il propose : dans un Chicago post-apocalyptique, la population se répartit en 5 factions : les "Érudits" (les savants), les "Sincères" (honnêtes), les "Fraternels" (ceux qui cultivent la terre), les "Audacieux" (les courageux, ceux qui défendent la population et servent d'armée) et les "Altruistes" (ceux qui s'occupent des autres et apportent au mieux leur aide). À l'age de 16 ans, chaque individu passe un test qui lui révélera pour quelle faction est-ce qu'il présente le plus d'aptitude. Seulement, aux vues de ce test, chacun est libre de choisir quelle faction il rejoindra, selon ses plus profonds désirs. C'est ici que toute la puissance de l'histoire entre en jeu : faut-il choisir ce pour quoi on a une prédisposition, ou au contraire faut-il avoir le courage d'aller contre ce qui est pré-écrit, et faire un choix pour soi-même ? Ce film présente donc une véritable force socio psychologique, et nous plonge au cœur de l'histoire de Béatrice, une divergente qui présente des aptitudes pour les 5 factions, et devra tout de même faire un choix. Au-delà de l'aspect science-fictionnel, un des atouts de ce film est qu'il amène le spectateur à se poser des questions sur les thèmes de la faculté de choisir, du libre-arbitre dans la société, et la faculté à imposer sa différence. Pour ce qui est des personnages, ceux-ci sont très bien pensés, et surtout très recherchés. Au fil de l'intrigue, on récoltera multitudes d'éléments qui nous permettront de mesurer combien la personnalité de l'héroïne est complexe, et qu'elle ne se résume pas juste à quelqu'un qui ne rentre pas dans le moule. On peut le dire, Shailene Woodley est faite pour le rôle, et son charisme donne un plus au personnage de Béatrice. Il en va de même pour Theo James, qui allie à la fois autorité mais aussi le regard de celui en qui on peut avoir confiance. De plus, les deux acteurs forment vraiment une très belle paire à l'écran. Une histoire avec un fond de romance, mais qui ne fait à aucun moment défaut à l'intrigue principale, et qui jamais ne perd en crédibilité ; voilà encore un atout de Divergente. Parlons maintenant des scènes d'action : elles savent se faire attendre, mais tombent au bon moment. Les plans qui suivent les Audacieux dans la ville savent donner du mouvement au film : on les voit courir dans les rues, grimper sur les tours, sauter d'un train en marche. Ses prises de vue font que l'on se retrouve comme pris à cent à l'heure au milieu de ce groupe. Une mise en bouche dirait-on, avant que l'on ne plonge dans encore plus d'action, une action qui est justement bien dosée, sans que ce soit "too much", et ce qu'il faut noter, c'est que tout va crescendo au fil du temps. La bande originale colle très bien aux scènes, et la voix d'Ellie Goulding s'intègre à merveille au milieu de tout ça, donnant également son rythme aux paysages qui défilent. On notera également qu'il y a énormément de plans d'ensemble, et une volonté de "prendre de la hauteur", ce qui donne beaucoup d'espace, et laisse un spectateur un peu ébahi par la beauté des images et des couleurs. Certains pourraient penser que 2h20 serait un peu long, mais pas du tout. À aucun moment le rythme du film n'est ralenti. L'histoire est très bien introduite au début, ce qui fait que l'on capte très bien les enjeux du film, et on se laisse porter. La bande annonce présageait un bon film, cela est donc confirmé, et on va même plus loin en disant en sortant du cinéma que c'était carrément génial, et qu'on est impatient de voir la suite.

Il est vraiment super, une histoire d'amour fabuleuse, et pas lourde. Beaucoup d'actions. Les montages sont merveilleux. De la diversité.

Voilà la nouvelle grande saga qui doit concurrencer les Hunger Games ou autres. Et pour commencer il faut admettre que Divergente possède son propre univers avec une base solide. Après ça fait toujours un peu film d’ado, il y a peut-être un excès de romance mais quand on rentre dans le film, c’est sympa, on rentre dans le jeu et on ne s’ennuie pas. Je trouve le choix de l’actrice très bon, Shailene Woodley est un des plus gros espoirs du cinéma américain après ses prestations dans The Descendants et The Spectacular Now. Bref, ce n’est pas encore extraordinaire mais j’attends la suite avec impatience !

Intolérable conglomérat de niaiseries pour ados en manque sensatione. Cette fade copie d'hunger games se noie dans un bouillon de musique actuelle sans goût et sa âme.

On connait surtout Neil Burger pour "Limitless" ou pour "l'illusionniste" mais, selon moi, Divergente va les détrôner. Le film, qui se décrivait déjà comme étant de la même lignée qu'Hunger Games, n'en est pas loin ! En effet, Divergente est une très bonne surprise et j'ai adoré ! Le scénario est vraiment très intéressant, les acteurs (que je découvre dans ce film) sont bons, les relations entre les personnes sont attachantes, etc. J'ai envie de dire : vivement le second opus !

Encore une fois, et cela commence à devenir une habitude, je ne suis pas d'accord avec la presse. Je suis même outrée de voir la mauvaise foi de celle-ci ! Comment peut-on comparer Divergente à Twilight ?! D'accord, les personnages sont jeunes. D'accord, il y a une histoire d'amour. Mais les points communs s'arrêtent là ! Parce que si on pense de cette façon, on peut arriver à la conclusion que les trois quarts des films sont comparables à Twilight ! Et là, ça devient du grand n'importe quoi ! Mais de toute façon, j'ai arrêté depuis longtemps d'essayer de comprendre ce qui avait bien pu traumatiser les critiques de cinémas à ce point pour qu'ils soient aussi aigris, amers, et irrespectueux. Et pour la plupart des spectateurs, ce n'est pas mieux ! Ils s'enferment dans leur préjugés et dans leurs croyances, sans même parvenir à juger une oeuvre pour ce qu'elle est ! Est ce que quelqu'un se rend compte au moins de l'originalité du scénario ? De son aspect très inquiétant, car il pourrait ne pas être si futuriste et si fictionnel que ça ? D'ailleurs, le livre est à la base fondé sur une étude psychologique très sérieuse que l'auteur a faite lorsqu'elle était étudiante. Elle s'était interrogée sur la manière dont une société pouvait contrôler les citoyens par leurs propres peurs. Et le rendu est absolument parfait ! Il n'y a qu'à regarder la manière dont Tris apprend à réagir à ses peurs, à se persuader qu'elles ne sont pas réelles, qu'elles ne doivent pas l'entraver. Peut-on honnêtement dire qu'il y a une telle profondeur dans Twilight ? Enfin bref, petit coup de gueule, mais il fallait vraiment que ça sorte... Ma critique, maintenant ! Eh bien sans surprise, j'ai adoré ce film ! Non seulement il respecte totalement la trame du livre, mais il a en plus le mérite de créer une ambiance parfaite pour cette histoire, si bouleversante et si magnifique ! La photographie est vraiment belle, les décors grandioses, et l'atmosphère à la fois étouffante et pourtant totalement froide et aseptisée est parfaitement retranscrite. Et puis, il faut également noter une BO absolument incroyable, avec une musique qui colle parfaitement à chacune des scènes choisies. Les acteurs, quant à eux, sont irréprochables, et ont parfaitement compris les tourments intérieurs de leur personnages. Bref, en plus d'être très bien réalisé, le film préserve l'âme et l'essence du livre, et c'est je trouve le principal. Après, si certaines personnes passent à côté de toute la symbolique du scénario, de son inventivité et de son intelligence, je ne peux rien faire pour eux ! Mais aux autres, je ne peux que trop vous conseillez d'aller le voir, car il fait vraiment réfléchir sur ce que notre société pourrait devenir et sur la manière dont nous voulons vivre : libres et autonomes, choisissant d'être plusieurs choses à la fois et de ne pas uniquement être définis par un aspect de notre personnalité, ou bien exempt de toute responsabilité mais enfermé dans des cases que la société aurait choisi pour nous ? C'est le débat qu'ouvre ce film et c'est en cela qu'il est je trouve, particulièrement réussi.

A la base, Divergente était un film qui ne m'intéressait pas le moins du monde. Mais suite à quelques avis positifs de mes amis, j'ai décidé d'aller le voir. Eh ben franchement c'est très différent de Hunger Games. Vraiment. Les acteurs sont potables (même si je trouve que l'héroïne est moche ). Les musiques sont (bizzarement) plutôt bonnes. Et les scènes d'actions sont efficaces. Mais là où le film pêche de façon inadmissible, c'est le rythme et la romance. Le film dure 2H20 et j'ai eu l'impression qui l'en durait 3H minimum. Sans dec', il est mou. Beaucoup trop mou ! Au niveau de la romance, on y croit pas une seule putain de seconde. "Je ne veux pas aller trop vite" Ca existe une phrase plus cliché ? Enfin bref, ça reste un film sympathique et je verrais peut-être la suite.