Avis : X-Men: Days of Future Past - Page 7

Un film décevant, qui renouvelle pas la réussite des précédents, le scénario est bancal et des longueurs sont perceptible, reste les acteurs impeccable. Pas fondamentale.

Voila un film superbement maitrisé que nous livre
Monsieur Singer aprés 11 ans d'abscence derrière
la caméra entre lui et ses mutant fétiche,le réalisateur nous
prouve avec style et panache qu'il sait encore y faire dans le monde des super-heros
Un film tout simplement spectaculaire,accompagné d'un
casting prestigieux ou chaqun donne le meilleur de lui meme.
Mention spécial a Vif argent joué par Evans Peter qui nous offre une scene d'anthologie
mémorable. Quand au scénario il est trés bien construit et Singer arrive
à controler deux timeline sans que le spectateur ne se perde. X-men DOFP est un film qui vous collera au siége tout au long de la séance.

Parfois, il arrive qu'on ait pas grand chose à dire sur un film. Tout simplement parce qu'on a rien à lui reprocher sans qu'il soit pour autant exceptionnel. X-Men : Days of Future Past est de ceux-là et en soit, c'est déjà une réussite. Pourquoi ? Parce qu'il n'y a rien de sous-dévellopé dedans, riens de raté. Tout se tient, le film créé quelque chose sans pour autan être un chef d'oeuvre. Je parle d'un scénario solide qui fait la part belle aux rebondissements et ne s'acoquine pas avec le manichéisme habituel de ce genre de film. Je parle des personnages principaux, qu'ils soient charismatiques (Wolverine et Vif-D'argent) ou tout bonnement exceptionnels, tant dans la profondeur (Mystique, Magneto, Xavier du passé) que dans le jeu d'acteur (Xavier/ McAvoy !!!). Le film tient en haleine sans avoir recours à l'overdose de scènes d'actions trendies qu'on voit ces dernier temps. Dialogues bien ficelés, situation qui avance, scénario qui, sans être exceptionnel, attire vraiment l'attention.
Le film ne manque pas vraiment d'action et arrive à aller au bout de ses objectifs, avec brio. En créant de la surprise, de l'émotion, de la passion grâce au talent du réalisateur, des acteurs.
Le seul vrai reproche que l'on peut faire, c'est qu'en faisant un film d'un tel niveau, ils auraient peut-être dut chercher à le rendre exceptionnel en faisant ressortir quelque chose de magistral. Ce n'est pas le cas, faute de quoi le film est seulement très bon.
La musique, sans être enormissime, remplit son objectif. Atmosphérique, discrète et épique, elle porte le film de manière très satisfaisante.
Le scénario, basé sur un synopsis très simple (corrigé le cours du temps avant qu'un futur apocalyptique ne puisse être évité) nous embarque sur une route plus surprenante que ce qu'il en parait, quittant les schéma narratifs des films du genre "epique moderne".
Et les relations entre le vrai trio du film : Magneto, Mystique et Charles Xavier sont le véritable point fort du film.

Bref, un très bon film qui n'a rien d'exceptionnel... excepté pour un film de super-héros où il renvoi la plupart de ses concurrents aux oubliettes par la justesse de ses propos.

J'y retrouve la force des meilleurs X-Men mais magnifiés par du talent.
En conclusion, le meilleur X-Men, l'un des meilleurs films de Super-Héros, sans que ce ne soit pour autant un film excellent. Pas de reproches à faire sur le film, il se laisse regarder s'apprécie et ne s'oublie pas vraiment.
Et j'imagine que celui qui se retrouvera dedans pourra le considérer comme un chef-d'oeuvre.
Néanmoins, j'ai l'intuition que mon avis pourrait être amélioré par un second visionnage.
Ps : J'aimerai noter 2 points qui ont été invoqués. L'incohérence sur l'adamantium des griffes de Wolverine dans le futur est une incohérence externe et non interne au film. Pour moi, elle ne compte pas vraiment puisque je considère ce film comme étant auto-suffisant. Néanmoins, si certains y voient une incohérence au sein de l'univers, je ne doute pas que certains trouveraient une explication en invoquant les "lois" de cet univers. Le 2e point, c'est le cas de Trask. Certains lui ont repprochés que son nanisme n'apporte rien... je ne suis pas d'accord. En terme de scenario, il n'évoque rien mais le choix d'un nain est formidable puisqu'il évoque le combat d'un être faible contre des puissants : le nain à la démarche gauche face aux humains. En effet, humains et mutants étant physiquement semblables, ce choix permet d'ajouter un élément visuel de ce combat du faible contre le fort, qui prend la forme de l'intelligence contre le physique (puisque Trask est un scientifique et les mutants sont, souvent, des combattants)
16/20

Il fallait ici relever l'impossible : rester cohérent pour chaque trame temporelle individuellement mais aussi entre elles pour un tout harmonieux et solide tout en offrant du spectacle et du suspens. En cela, le film est une réussite. Quid des fans plus pointilleux sur les détails ? Eux le diront bien assez tôt. En attendant, il faut clairement souligner deux choses. La première, c'est que le film est empreint d'une nostalgie très agréable et bien traitée. Les non-dits sur la réalité 2023 et son chaos donnent une vague idée de ceux et celles qui ne sont plus là et de tout ce qui a été détruit et, par conséquent, renvoient à nos souvenirs à nous, spectateurs, des trois premiers films. Le fait de ne rien savoir ou presque rend le contexte plus réaliste et plus tragique. Une astuce maligne et efficace pour aller chercher l'émotion, chose que tout film de ce type se devrait de faire. Days Of Future Past y parvient ici avec une aisance assez redoutable. La deuxième chose à souligner, c'est le point fort que constitue le traitement des personnages principaux et secondaires du film. Les acteurs incarnent tous plus ou moins bien mais incarnent, et c'est bien là l'essentiel. Pour rester sur le cas de la réalité 2023, quelle tristesse que de les voir tous se faire traquer et tuer aussi sauvagement eux qui, pourtant, sont pour la plupart des mutants dont on se fiche et qu'on ne connaissait pas avant. L'affection qu'ils se portent est presque palpable. Il y a aussi ce désespoir ambiant qui se lit dans leur regard et leur absence de mots et de sourires. On sent aussi le poids des années et du deuil à travers eux. Tout cela est génial. Ce qui coince, c'est finalement la réalisation de Bryan Singer, certes, pas indigne du tout mais qui manque franchement d'audace. Aussi, trop nombreuses ont été les fois où le montage aurait pu être facilement plus fort et pertinent. Quoi qu'il en soit, Days Of Future Past reste un bon film, honnête et émouvant.

Je ne sais pas quoi penser de ce film. J'ai passé tout le film a essayer de lier les analogies avec les autres films. Et je n'ai pas pu apprécier le film. Je vais donc exposer ma vue.

SPOIL !

Selon moi on a du grand Bryan Singer, un film sans cohérence ! Kitty a des pouvoirs psychiques ? Non elle sait se rendre transparente c'est tout. A vouloir mélanger passer et présent on se perd et rien ne va. Charles a été désintégré comment il est revenu ? Le X-men 3 existe puisque les souvenirs de Logan sur la mort de Jean sont là. Comment Logan a pu récupérer l'adamentium dans le présent alors que d'après le spin off, il ne l'a plus et à la fin Charles et Magneto viennent le chercher disant " on a besoins de toi ". Depuis cet évènement il s'est passé tout ça ? Destruction, guerre, sentinels etc. Mais alors comment Charles a pu avoir besoins de Logan car dans le film, Charles ne connait pas le voyage dans le temps dés le départ et les sentinels ne sont pas encore là.
De plus, les sentinels font leurs apparition en 1970 et la trilogie X-men se déroule vers 2000, donc elles devraient être déjà là !
Le fauve qui développe un anti-mutagène, on a vu ça dans le 3, et dans le 3 tout le monde est surpris par cette invention qui a dû même être tiré d'un pouvoir mutant. Incohérence totale !
Les jeunes mutants tués mais comment ? On sait pas. Magnéto enfermé mais attendez, comment ? Il est surpuissant comment il a pu être arrêté si facilement et finir en prison sans l'aide de pouvoir ou autre ?
Mystique, d'après le comics à la base elle copie simplement l'apparence mais pas les pouvoirs. Après une amélioration génétique elle peut imiter les pouvoirs et encore pas à la perfection, mais pas avant. Mais les sentinels peuvent tout copier à la perfection. Or on a vu Mystique copier les griffes de Logan mais pas son pouvoir de guérison dans le 1. On a l'impression que ces sentinels ont le pouvoir de Malicia mais on dit que c'est celui de Mystique.
Magnéto qui récupère la totalité de ses pouvoirs, comme-ci il n'y avait pas eu d'injection dans le 3 malgré la fin mais faut pas abuser, ça doit laisser des séquelles.

Passons à la biologie. Un sérum qui répare temporairement la colonne vertébrale mais inhibe certaines capacités du cerveau ... Impossible, l'handicap est physique et non mental ! Logan finit à la flotte, d'après encore le comics le pouvoir de guérison de Logan est dans son cerveau, or noyade égal eau dans les poumons, donc plus d'oxygène, coeur qui n'alimente plus le cerveau et donc mort du cerveau ...

Et enfin POURQUOI POUQUOI finir avec Mistyque en Striker qui récupère Logan ? Pourquoi elle ferait ça ? On peut penser qu'elle va refaire l'expérience X, mais dans qu'elle but ? Et d'où elle connait ça ? Le réalisateur a voulu finir sur un truc plus ou moins énorme mais totalement inutile et incohérent ! Enfin voilà c'est du Singer, il a voulu en faire trop ! Et fini avec aucune logique ! Pour Apocalypse pas ça ! Revenons à nos jeunes X-mens

J'ai beaucoup l'impression que ce film ,ne tient pas compte de X-men 3, pourtant des passages y sont mit, donc il existe ! Et pourtant des évènements du 3 ne sont pas pris en compte.

Ouh ouh ouh, Singer nous donne de quoi manger ici!!! Ils corrigent le tir concernant certaines incohérences avec le X-Men le commencement et les autres volets, les fans apprécieront du coup. Le scénario tient la route, l'intrigue est, comme souvent désormais, raccrochée à des événements historiques réels (ça j'adore), Omar Sy est dans X-Men!!!! Quand même un truc de fou quand on y pense. Les effets spéciaux sont parfaits, on découvre moins de choses sur le passé des personnages qua d'habitude, mais il y a quand même quelques petites pépites. Bref, encore un volet très réussi pour les X-Men. Allez zou, la suite.....Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!

Le retour de Singer à la réalisation de ce volet des x men offre certainement le meilleur film de la série. Il surpasse de loin le médiocre et sommaire X-Men: Le Commencement. Car contrairement à ce précédent épisode singer prend le temps de développer son histoire,il porte une attention particulière à bien inscrire le rôle de chacun des protagonistes dans la chronologie x men. Ce voyage dans le passé est plutôt bien reconstitué et devient crédible,à l'inverse la représentation du futur est totalement ringarde. Son l'esthétisme est tellement cheap qu'on s'attend à voir surgir au hasard d'un plan, Christophe Lambert accompagné d'un éclair et épée à la main.

Septième film de la saga X-Men depuis sa création (en comptant les spin-off), « X-Men : Days of Futur Past » promettait de grandes on y prête vraiment attention, on se rend compte que cette saga X-Men comporte plusieurs incohérences, les films se contredisant parfois entre eux. Certaines de ces incohérences étaient notamment apparues avec le précédent film « X-Men : Le commencement ». Ce nouvel opus avait donc en partie pour objectif de corriger ces erreurs tout en assurant le divertissement. Et cet objectif n'ai qu'à moitié atteint. D'une part, ce nouveau X-Men apporte lui aussi son lot d'incohérences. L'histoire inventée autour de Mystique est par exemple assez étrange, on a du mal à y croire surtout parce qu'il n'en ai jamais fait allusion dans les autres films (spécialement ceux de la trilogie) alors que c'est un fait majeur dans l'histoire des mutants. De plus, ce film s'y prend assez mal pour corriger certaines incohérences, il prend des solutions de facilités qui ne satisfont pas complètement (au moins, elles sont corrigées à l'inverse d'autres). Ajouté à cela, une histoire de voyage dans le temps parfois assez confuse et qui va nettement compliquer les choses quand on va maintenant de la saga. Mais en même temps, d'autre part, ce nouveau X-Men est plutôt un bon divertissement avec d'excellents effets spéciaux (les sentinelles sont très bien faîtes) mais qui reste calme. On a peu de scènes de combat musclés où tout explose contrairement à certains autres blockbusters (et contrairement à  « X-Men : l'affrontement final » aussi) mais on ne s'ennuie pas une seconde. En plus, la scène dans les cuisines de la prison avec Quicksilver est très impressionnante. C'est dans ce genre de scène que Bryan Singer prouve qu'il a beaucoup de talent. Pour ce qui est du casting, il est imposant mais certains personnages ne servent quasiment à rien (désolé Omar Sy). Le personnage principale est une nouvelle fois Wolverine (on est habitué maintenant) et ce dernier s'humanise encore. Il a souvent été reproché qu'il ne faisait pas assez sauvage et dans cette suite, il fait encore moins sauvage qu'avant, ce qui n'est pas si mal tout compte fait. C'est pourquoi l'objectif n'ai qu'à moitié atteint. Bien que le divertissement est plutôt bien assuré, des incohérences persistent et l'histoire se complexifie. « X-Men : Days of Futur Past » est décevant en plusieurs points et les suites s'annoncent pour le moins intrigante.

Alors que je l'avais trouvé décevant après un premier visionnage, je l'ai revu récemment et il m'a beaucoup plu cette fois. Sur le thème central du voyage temporel et en dépit d'un nombre de pistes scénaristiques impressionnant, un film qui reste relativement maîtrisé jusqu'au bout malgré quelques petites faiblesses, incohérences ou quelques personnages qui s'avèrent au final peu utiles au développement de l'histoire. Riche, quelques très bonnes scènes. Vraiment bien, au final, peut-être l'une des meilleures oeuvres de la saga X-Men, la plus ambitieuse du moins.

Marquant le retour de Bryan Singer à la réalisation de la série, X-men : Days of future past permet de réunir le casting de la trilogie originale et celui de X-men : Le Commencement grâce à une histoire de voyage dans le temps et d'univers alternatifs. Une fois ce dernier point accepté (chose courante dans la BD mais rare au cinéma), le film se révèle très plaisant à suivre regorgeant de scènes d'action menées de main de maître (sans être abrutissantes comme dans la plupart des blockbusters contemporains) mais est affaibli par des incohérences chronologiques (si les évènements décrits étaient arrivés, il est surprenant que nous n'en ayons jamais entendu parlé; l'histoire accorde une importance à l'ADN qui semble un peu disproportionnée pour les années 70 ...). Sans être un film marquant (comme le sont les Batman de Tim Burton et Christopher Nolan), X-men: Days of future past reste un film de super-héros réussi qui atteint son objectif premier, à savoir être divertissant.

Très bonne suite des X-men, bon scénario, toujours une BO aussi bien et une belle brochette d'acteurs ^^ Il vaut un beau petit coup d’œil ^^

Remontons le temps. Le premier X-Men débarque sur les écrans en l'an 2000. Il révolutionne le film de super-héros et lance durablement la mode du genre,avec en plus un discours bienvenu sur la différence et l'intolérance. Après avoir passé la main avec plus ou moins de réussite,Bryan Singer revient aux commandes pour ce septième volet(en comptant les spin-offs et le reboot). On attendait beaucoup de ce "Days of future past". Peut-être trop. La déception est à la hauteur des espoirs suscités,en dépit de quelques passages grandioses. Pour commencer,les différentes timelines sont mal exploitées. Le futur où les Sentinelles ont pris le pouvoir,n'est qu'à peine effleuré. Le retour dans les années 70 pour empêcher la catastrophe,permet de se concentrer sur 4 personnages principaux,mais pêche par des incohérences scénaristiques,une ambiance d'époque inexploitée et une carence en affrontements ambitieux. Néanmoins,Singer connaît bien son bébé,capable par instants fugaces de poésie,d'humour salé. Et Wolverine n'a jamais été aussi charismatique,musclé,indispensable à l'avancée de l'intrigue. Mystique accomplit sa vengeance,et impressionne par ses métamorphoses. Le Professeur Xavier trouve un sens à sa vie,alors que Magnéto reste en retrait. La mythologie des X-Men se complète,reste d'un niveau qualitatif élevé. Pour "Apocalypse",il faudra surprendre plus que cela...

Plutôt excellent vu sa durée et le très faible ennui qu’il suscite. Wolverine montre enfin le visage que l’on voulait voir chez lui. Plaisant !!

Alors, j'avoue avoir peut être un peu trop mis d'espoir dans le dernier X-men, mais même si le dernier est vraiment pas sympa, avec une bonne histoire principale et des scènes et images vraiment très bien faites, j'ai comme un goût d'inachevé... Comme un: "Tout ça pour ça". Et un parti pris final super pour les fan mais un peu gênant pour l'univers d'X-men.
Bref, pour moi. très bon film mais... Mais, il manque quelque chose d'important dedans... Un manque qui me fait dire que finalement ça vaut pas "X-men "2 ou même "Les Commencement". Mais vous privez pas d'aller le voir quand même car vous passer un très bon moment :-).

Une réussite qui comble aisément les attentes du plus audacieux blockbuster du Studio Marvel de l’année. Bryan Singer soumet nos héros mutants à une trame plus tragique qu’auparavant. Et de surprises en surprises, il parvient à rendre son œuvre unique et bénéfique pour cette saga magistrale.
Comme on nous l’a constamment annoncé, le choc temporel induit un choc de castings entre le vieux et le neuf. Parmi les anciens, Patrick Stewart (Professeur X), Ian McKellen (Magneto), Halle Berry (Tornade), Ellen Page (Shadowcat) et Shawn Ashmore (Iceberg) marquent un passage naturellement bien intégré dans l’histoire. Ce qui ne fut pas un handicap, en comparaison de l’apparition majeure de James McAvoy, Michael Fassbender et Jennifer Lawrence. On passera cependant l’introduction de nouveaux personnages, non approfondit, par exemple le mutant « Bishop » interprété par Omar Sy. Mais ces derniers ne sont pas à négliger, car il s’agit d’une information ne résultant pas uniquement de clin-d’œil pour les fans de la saga…
Quant à Wolverine (Hugh Jackman), il est le lien fort unissant ces deux générations, d’un point de vue cinématographique bien sûr. Sa place est déterminante bien que sa prestation soit légèrement dissipée par l’intrigue par moment. Inutile de décortiquer une nouvelle fois son personnage, car le guide qu’il représente n’induit pas totalement les espoirs fondés sur lui. Un sujet intéressant que l’on aura plaisir de suivre et de se laisser séduire, tout au long d’une époque bien remaniée historiquement.
D’autre part, la part psychologique fait son effet, car bien qu’une trame plus dramatique fût adoptée, la pointe d’humour démontre que l’on puisse s’en divertir. Ceci, sans obligatoirement lui trouver un caractère essentiel à l’avancée dans un scénario troublant. C’est pourquoi Bolivar Trask (Peter Dinklage) a son mot à dire. Poussé par la crainte, non la haine, les « Sentinelles » qu’il créa sont les progrès d’une technologie, alliant parfaitement biologie et technologie. Si ses principes n’accueillent pas tout le monde comme il se doit, sa place est d’une grande valeur pour la compréhension de qui va suivre prochainement.
Et pour le régal sonore, John Ottman nous livre, une fois de plus, un son en accord avec la trame. Plus sombre, plus pesant et plus émouvant. Le côté épique est rangé pour des moments de « folie », en attendant la recherche d’une atmosphère joviale.
Une magnifique conclusion que l’on nous offre ? Ce n’est qu’une alternative comme une autre permettant de renouveler, non pas seulement les défauts des précédents X-Men, spin-off inclus, mais cela instaure un nouveau cycle réécrivant l’histoire de nos héros telle que nous le connaissons. Sur les traces de la fidélité, le style Singer se retrouve entre joie et tristesse qui s’entrechoquent pour rendre hommage, une fois encore, aux castings associés de ce dernier avec celui de Matthew Vaughn.
Si ce pari s’avère être essentiellement une résurrection qu’un succès mondial, l’habituel post-générique du studio nous invite à un rendez-vous, sans doute plus magistral que jamais dans son prochain opus en préparation : X-Men – Apocalypse.