Avis : JC Comme Jésus Christ - Page 2

Voici une comédie ratée accompagnée d’une bonne B.O. Certains acteurs sont méconnaissables (Elsa Zylberstein est plus qu’agaçante), le scénario est creux, bref R.A.S.

tellement drôle ! tellement décalé ! découvert à l'AP aux Halles. Lacoste énervant et tendre à la fois. plein de cameos amusants, notamment Gilles Lellouche qui postule pour un rôle dans une comédie musicale sur Marc Dutroux...

Quand le personnage principal n'est pas attachant et refuse de changer tout au long du film, c'est inutile de continuer. In-regardable.

Un film comme plus jamais on veut en voir !! Le scénario est de piètre qualité, aucune histoire est présente dans ce navet . Vincent Lacoste qui d'habitude est un bon acteur est tombé au fond du trou dans ce film. La note de 0,5/5 car ont peut pas mettre 0/5. Bref, si vous avez du temps à perdre : n'hésitez pas à regardé ce film.

Le film est en train de prendre un bide monumental, et visiblement les gens détestent pour la plupart... C'est un peu comme si Jonathan Zaccaï cherchait à bousculer le spectateur en lui donnant l'impression qu'on se fout de sa gueule à tous les étages : acteurs déplorables, réalisation tarte, scénario inexistant, auto-commentaires sur un film en train de se faire sous nos yeux... Que reste t-il ? Une vraie bonne idée, impertinente et malicieuse, à savoir explorer - de manière parfois un peu trop ténue, peut-être - l'état actuel du cinéma français en la personne de Jean-Christophe Kern ( Vincent Lacoste, inégal mais attachant ). Un cinéma où le jeunisme est devenu un culte éphémère mais catégorique, culte de toutes les hyperboles ( génial, ahurissant, brillant, incroyable, extraordinaire, bouleversant, etc...) chez le public comme dans la presse, culte absolu de la personnalité qui interchange à sa guise. Une vraie bonne idée donc, ou plutôt une non-idée, un concept à la con maladroit et sans scrupules pour le spectateur. Sauf qu'en jetant un pavé dans la mare on obtient rarement le vol grâcieux d'un ricochet : ainsi JC fait plouf, coulant comme bon nombre d'irrévérencieux cailloux avant, pendant et après lui...

le film de Jonathan Zaccaï est inclassable je ne sais pas dans qu'elle catégorie le situer mais il a le mérite de ne pas ressembler aux autres films et de pratiquer un humour que j'aime bien et surtout Vincent lacoste est un jeune acteur qui promet même si il se cantonne trop dans les mêmes rôles alors sans être un chef-d'oeuvre j'ai passé un moment sympatique

Le sujet est très intéressant mais pas assez fouillé ou développé on tourne rapidement en rond et a une demi heure de film tout a été dit !
C’est une comédie dramatique aux accents loufoques mais surement pas une comédie au sens ou l’entendent ceux qui l’on qualifié de NUL sur ce site.
Les enjeux dramatiques, les péripéties n’atteignent pas le personnage principal qui semble se foutre de tout, donc le spectateur s’en fout aussi un peu !
Le décalage avec les autres acteurs plus âgés est la vrai réussite du film, il provoque les moments forts du film : drôles, touchants ou vecteurs d’un profond malaise.
Vincent Lacoste joue sans avoir l’air de jouer il a une présence a l’écran assez impressionnante, le rôle lui colle a la peau et a surement été écrit pour lui

Un film très corrosif et très critique à l'égard du monde du cinéma, mais aussi de la nouvelle génération truffé de références et le final est terrible, restez pour le générique. Une surprise du chef vous y attend! Ah oui pour l'humour parfois con, parfois surréaliste il est terriblement efficace pour critiquer notre époque même si ce premier essai long est quelquefois inégal! Vu en octobre au FIFF de Namur.

Après avoir lu les critiques, j'ai décidé d'aller le voir, on s’aperçoit déjà que 80% des spectateurs sont là sans savoir pourquoi, ils ne suivent pas le film et partent avant la première demi heure, grosse erreur !! Si vous suivez de la première à la dernière minute, sans faire attention aux commentaires de vos voisins, et que surtout vous restez JUSQU'AU bout du film, jusqu'à l'écran noir, vous allez comprendre pas mal de choses durant le générique de fin. J'ai bien aimé l'humour, certes il faut prendre 90% du film au second degrés ainsi, vous allez commencer à sourire, voir rigoler si vos amis sont dans le délire !! Je comprends tout de même les avis négatifs, ca passe ou ca casse, mais pour ma part, il est tout à fait passé, c'est un autre genre de film.

Premier film derrière la caméra de l’(excellent) acteur belge Jonathan Zaccai. Pour le coup, il aurait peut être mieux fait de rester devant ! Ce qui aurait pu être une satire acerbe du milieu du cinéma se transforme en comédie ratée. Pourtant ça commence plutôt pas mal, les premières minutes sont prometteuses. Mais très vite le tout se dégonfle comme un soufflé et cela finit par tourner en rond et être répétitif. Le scénario veut jouer sur un humour décalé et sur du second degré mais cela ne fonctionne pas du tout. Et puis l’idée du film dans le film (en l’occurrence un documentaire ici), on a vu ça mille fois et en bien meilleur, rien d’innovant ni d’original...
La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-jc-comme-jesus-christ-98900298.html

Qui peut bien avoir envie d'aller voir un film comme celui-ci ? Peut être des fans de Vincent Lacoste, l'interprète principal, dont la prestation dans "Les beaux gosses" n'étaient pourtant pas renversante. Disons qu'ici, il est plutôt en progrès, dans le rôle d'un génie du cinéma de 17 ans.
Ce premier film de l'acteur Jonathan Zaccaï, est, au départ, une bonne idée de comédie qui aurait pu déboucher sur un véritable jeu de massacre. Imaginez une espèce de semi-débile ingrat qui est couronné à 15 ans par une palme d'or et à 16 ans par une flopée de Césars. Tout le gratin du cinéma français est à ses pieds et rêve de produire ou de jouer dans son prochain film, une comédie musicale autour de l'affaire Dutroux.
Le film est le récit du tournage d'un documentaire qu'on lui consacre. Nous voyons tour à tour, Elsa Zylberstein et Aure Atika dans leur propre rôle, stars abusées ou abusant de ce nouveau talent qui les éblouit dès qu'il prononce un mot vaguement savant comme "verticalité" ou "transcendant". Ces scènes là sont assez savoureuses tout comme celles où Kad Merad et Gilles Lellouche sont prêts à toutes les compromissions pour obtenir le rôle de Dutroux. Nous assistons aussi à une succession de témoignages divers (son psy, ses producteurs, un mécène), macédoine de scènes aussi plates qu'un sketche de la miss météo de Canal plus.
Et quand le film zone aussi dans l'univers familial du jeune prodige, c'est encore plus convenu. Et ça devient carrément inintéressant quand on aborde son histoire d'amour avec une jolie étudiante de l'ENA. Comme ces parties sont les plus développées, on s'ennuie un peu, la faute aux dialogues poussifs et au manque de charme de Vincent Lacoste.
La fin sur le blog :
http://sansconnivence.blogspot.com/2012/02/jc-comme-jesus-christ-de-jonathan.html

L'idée de base est intéressante mais tel un pétard mouillé le film ne va pas au bout de son délire....si ce n'est lors du générique avec l'intervention de Godard. Frustrant d'avoir pour scène amusante le générique de fin !! Dommage car la performance de Vincent Lacoste est excellente. Pas vraiment un film, pas vraiment un documentaire, pas vraiment quelque chose de concret et fini. Revoir la copie !

JC Kern est intellectuellement et artistiquement précoce - il a pulvérisé tous les records en décrochant à 15 ans une Palme d'Or, et le César du Meilleur réalisateur l'année suivante. Il prépare un musical qui devrait décoiffer : "Dutroux in the Rain".... Mais doit aussi passer son bac - ce qui s'annonce plus compliqué, car le petit génie est immature et rétif à toute discipline.
Ce 1er "long" de l'acteur Jonathan Zaccaï est très original dans la démarche - il réalise un portrait documentaire de "JC comme Jésus-Christ" (Vincent Lacoste dans le rôle et la posture, plutôt meilleur qu'à l'ordinaire, et avantagé au physique par des lunettes qu'il ne quitte jamais, même pour dormir..), où de nombreux intervenants le sont sous leur identité réelle (techniciens, producteurs, directrice de casting, acteurs...). Cela tire un peu à la ligne (bien que sur 1 h 15 seulement - ne ratez pas la fin !), mais si la réflexion sur la création est un peu courte, il y a de bonnes choses, c'est vif et cocasse.
Une bonne surprise de "streaming".

JC Comme Jésus Christ est un film qui fait rire celui qui l'a fait JC comme Juste Connerie !

Jonathan Zaccaï a voulu nous faire croire qu'il savait passer derrière la caméra.
Il a voulu nous amuser avec l'histoire d'un ado qu'on adule.. l'histoire de notre société, en somme... mais c'est un bel échec !
On a du mal à rire, on a du mal à sourire, on a même envie de pleurer mais ça serait trop d'émotions à donner à ce.. navet !
On fini par espérer pendant tout le film qu'aucun centimes de nos impôts n'a servi à subventionner ce genre de long métrage !