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    The Color Wheel
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    2,9
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    8 critiques spectateurs

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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 241 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juin 2020
    The Color Wheel est un film vraiment horrible. Commençons par le simple fait que le titre n'a rien à voir avec le film. Il a été tourné en noir et blanc pour une raison inconnue et presque certainement complètement inutile. C'est un film de type road movie. Le cinéaste Alex Ross Perry essaye de capturer certains moments comme par magie mais il a lamentablement échoué. C'est l'histoire d'un frère et d'une sœur en voyage sur la route joué par un couple dans une ambiance très étrange. Les dialogues sont entièrement improvisé, ce qui peut être une bonne chose si les personnes qui improvisent ont du talent. Malheureusement ce couple n'en a pas. Si vous avez déjà été coincé dans un long trajet en voiture avec des gens qui pensent qu'ils sont spirituels et n'arrêtent pas de se chamailler jusqu'à ce que vous ayez l'envie de leur mettre un pic à glace dans la tête, alors vous avez vécu ce film. La fin est si démotivée et les personnages sont tellement dissemblables que toute cette histoire tombe à plat. Et quand film touche a sa fin vous un vain espoir que cela pourrait aller mieux, mais vous êtes profondément déçu. Restez à la maison et regardez les rediffusions des Simpsons au lieu de vous soumettre à ce gâchis...
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    40 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2019
    Ce bon vieux cinéma indépendant, souvent surprenant comme l'est ce "the color wheel". On peut à peine parler d'un film en noir et blanc mais d'un film "granuleux" à la pellicule toute moisie, normalement ça nous saoulerai mais comme le film est sympa, on l'accepte comme élément de décor, il fait son charme. Le scénario tient sur 2 lignes et le film vaut surtout pour son humour aussi sincère qu'absurde, à ses dialogues, et bien évidemment pour ses 2 acteurs principaux plutôt attachant. Leur péripéties, leurs rencontres en chemin renforcent l'ensemble du film mais globalement la réussite reposent sur ce seul duo. Elle, aussi jolie que mythomane, un style bohème New Yorkais assumé, peste, ambitieuse et charmante à la fois. Lui le ,petit frère semble un peu mal dans sa peau mais semble plus raisonné et honnête que sa soeur. Comme sa soeur, ses charmes résident das ses défauts : Un coté loser, une gaucherie à toute épreuve, un débit de parole incontrôlable et une voix le rendant instantanément comique ! Ce petit road movie comme rarement j'en ai vu d'aussi cool, ravira surtout bon nombre de frères et soeurs qui se reconnaitront facilement dedans. Les autres peuvent le voir aussi, mais au vu des critiques que le film a reçu, il semblerai qu'il soit plus facile à appréhender si l'on a un frère ou une soeur à peu près du même âge. Ce film est bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre, il ne fait pas partit de mes films préférés, néanmoins ce film m'a touché par son authenticité et m'a très souvent fait rire. Si je ne devais embarquer que 5 films pour un long moment d'exil, celui-ci en ferait sûrement partit. Un vrai "feel good movie", une réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 août 2012
    « The Color Wheel », un titre bien surprenant pour un film tourné en Super 16 noir et blanc. Alex Ross Perry est, quelques mois après Evan Glodell (auteur de « Bellflower ») le nouveau homme à tout faire du cinéma indé américain. Scénariste, réalisateur, acteur, producteur, monteur : la volonté de tout contrôler vient naturellement se couronner d'une certaine image arty témoignant aussi bien d'une belle éducation cinéphile que d'un certain autisme artistique.

    Cela étant, « The Color Wheel » est un film dont les faiblesses (de moyens) se transforment en force. A défaut d'argent, Perry a des idées et du talent et son film est magnifique. Si le débit des dialogues et une bonne partie des vannes rappellent certainement le Woody Allen des années 70, « The Color Wheel » s'en éloigne assez franchement quant aux sujets abordés. Les deux personnages sont tous les deux victimes du rêve américain : il voulait être écrivain, elle actrice, et ils se rendent compte en approchant de la trentaine qu'ils ont déjà raté leur vie et leur carrière. Paumés et différents, ce couple qui n'en est pas un va se replier sur lui-même au fur et à mesure des rencontres qu'ils effectuent (des fantômes de leur vie passée mais aussi de leurs rêves), le frère et la soeur ne semblant plus pouvoir trouver d'échappatoire ailleurs que dans leur propre relation, se complaisant dans leurs échecs au cours d'un ahurissant plan-séquence, dont l'issue ne manque pas d'étonner par sa radicalité alors même qu'elle était prévisible depuis le début du film et la scène du motel (qui est par ailleurs un délicieux moment d'humour absurde). De ce plan-séquence magnifiquement filmé et interprété, il n'en ressort pas tant de l'amoralité que de la mélancolie, celle de deux ados se retrouvant adultes sans avoir eu le temps de comprendre ce qui s'est passé. Il ne leur reste plus qu'à vivre un vie forcément un peu marginale et ennuyeuse (le film rappelle parfois « Strangers in Paradise » de Jarmusch) et on les abandonne, trois jours après le début de leurs aventures, sans qu'ils aient avancé d'un iota (ironique pour un semi-« road movie »).

    « The Color Wheel » est souvent drôle, finalement pessimiste, parfois émouvant, adoptant un air détaché, résigné et nonchalent, à l'image du personnage incarné par Perry lui-même (un physique banal et une voix à la Casey Affleck). Le film acquiert peu à peu une certaine poésie, une certaine grâce, et s'avère être une expérience cinématographique sincèrement enthousiasmante : on encourage Perry à ne pas renoncer à ses rêves et à continuer sur cette brillante lancée.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 août 2012
    Ca commence moyen, on sourit. Mais, le côté décalé glisse dangereusement vers l'ennui pour finir sur un rebondissement final glauque. Le duo scénaristes/acteurs Alex Ross Perry Carlen Altman est très limité au niveau du jeu: l'un en chien battu la tête en bas et l'autre qui fait des imitations, en déblatérant sur un ton monocorde et ennuyant. Et le côté artistique de la photographie noir & blanc avec le gros grain m'a échappé. A partir de la rencontre avec l'ex, on attend la fin avec impatience.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 août 2012
    Je ne savais pas trop à quoi m'attendre et le film est vraiment très drôle, les dialogues sont bien écrits, et la photo en N&B donne beaucoup de cachet au film, j'ai passé un bon moment.
    L'actrice est top !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 août 2012
    Très intéressant, petit budget mais plein d'idées et une critique virulente de la société américaine du Delaware. Pas très optimiste, c'est le moins qu'on puisse en dire. Excellents acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 août 2012
    Mouais... À peu près aucun intérêt, verbeux et assez bidon globalement, y compris l'esthétique noir et blanc qui tombe à plat. On s'ennuie assez vite mais, surtout, les personnages sont dès le départ crispants. Bref, la promesse était sympa, le résultat à peu près pas du tout.
    islander29
    islander29

    738 abonnés 2 257 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 août 2012
    j'étais confiant en la bonne critique du Monde....Mal m'en a pris....Ce film pseudo intellectuel new yorkais cible le désenchantement avec tant de désenchantement que j'ai eu envie de m'éclipser à deux reprises...D'abord (effet de style), le noir et blanc est comme dirait Godard "dégueulasse"...Première déception....Ensuite, même s'il a un rythme nerveux, le film nous montre un couple frère soeur qui déambule en se foutant de tout, avec un language parfois désabusé et désabusant....On finit par les hair dans leur supériorité détachée, ne plus se sentir concerné par leurs problèmes (sexuels pour la plupart...Les dialogues, borderline, finissent par rendre les personnes indifférentes, la scène la plus grotesque étant la party où le frère se fait moquer par des pseudo bouseux de la septième avenue (je suppose).....Noir et blanc sale, pas de bande son, faux snobs distants, voire précieux, si cet univers vous parle, tant mieux, sinon évitez....
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