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    Comme des frères
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Comme des frères" et de son tournage !

    A l'origine

    L'idée de base de Comme des frères est née de la propre vie du réalisateur, Hugo Gélin : "Il se trouve que j’ai deux amis très proches, l’un de 20 ans et l’autre de 40, alors que j’en ai un peu plus de trente. J’ai réalisé que je n’avais jamais vu cet angle-là au cinéma. Les trois quarts des films sur l’amitié mettent en scène des personnages de la même génération", raconte le cinéaste.

    Construire une complicité

    Avant le tournage, Nicolas Duvauchelle, Pierre Niney et le réalisateur Hugo Gélin ont été invités par François-Xavier Demaison chez lui, dans le sud de la France : "Très vite, on a alors vécu comme nos personnages", explique ce dernier. Pour le cinéaste, ces quelques jours l'ont aidé à se rassurer : "Un week-end qui nous a permis de nous connaître et au terme duquel j’ai eu la certitude que tout se passerait bien, tant la complicité entre eux trois a été immédiate."

    La bonne comédie

    Avec Comme des frères, c'est la première fois que Nicolas Duvauchelle tourne dans une comédie : "(...) jusqu’ici, très franchement, les scénarios de comédie que je recevais ne me faisaient pas rire. Et je ne me voyais pas m’investir dans un film censé être drôle mais qui m’arrachait à peine un sourire à la lecture du script ! Et puis j’ai reçu celui de Comme des frères et je me suis marré du début à la fin", explique-t-il.

    Une belle rencontre

    Le jeune acteur Pierre Niney désirait énormément jouer dans Comme des frères : "Dès la lecture du scénario, j’ai su que j’allais tout faire pour en être, tellement j’ai ri sur de vraies scènes de comédie", explique-t-il. Pour obtenir le rôle, sa rencontre avec Hugo Gélin a été décisive : "J’ai vu pour le rôle de Maxime une trentaine de jeunes acteurs. Pierre était le dernier à passer les essais (...) il est arrivé, avec une excellente technique, un vrai capital sympathie et surtout, dans ses grands yeux, une maturité que les autres n’avaient pas (...) je crois que je n’aurais pas fait le film sans Pierre", raconte le réalisateur.

    L'amour des premières fois

    François-Xavier Demaison a énormément apprécié le fait de participer à la "naissance" d'un cinéaste à travers son premier film, comme c'était le cas pour Hugo Gélin avec Comme des frères : "(...) j’adore jouer dans des premiers films (...) la plupart du temps ce sont des projets que les réalisateurs portent depuis très longtemps en eux et qui sont donc paradoxalement assez aboutis. Et si manque d’expérience il y a, il est compensé par une motivation et une envie colossales", explique l'acteur.

    Loin de la capitale

    Le tournage de Comme des frères s'est déroulé à plusieurs centaines de kilomètres de Paris, notamment dans le sud de la France. Cet éloignement de la capitale n'a posé aucun problème aux acteurs : "On séjournait dans un petit hôtel en bord de mer et on se baignait à la pause déjeuner, au grand dam de l’assistant réalisateur, paniqué à l’idée des raccords !", explique François-Xavier Demaison. Dans ce cadre idyllique, même les choses les plus complexes à faire avaient un goût différent : "Même le premier jour de tournage, qui a été le plus difficile parce qu’on a filmé de minuit à midi et que ma première scène était à 4h du mat, s’est déroulé dans une belle ambiance", commente Nicolas Duvauchelle.

    Réalisateur et acteurs

    Sur le plateau, Hugo Gélin a laissé les comédiens libres de jouer comme ils le désiraient : "Avec les acteurs, je pars du principe que c’est leur instinct qui doit primer plus que le mien à l’écriture. Quand on prend des bons, à l’arrivée il ne reste pas forcément grand-chose à dire", explique-t-il.

    Deux parties en un film

    Par des choix de mise en scène précis, le réalisateur a séparé son film en deux parties : "(...) je voulais que toute la partie road-movie soit un peu "germanique" dans la manière de filmer, avec des cadres assez composés au départ (...). Quant aux flashbacks, ils sont tournés (...) caméra à l’épaule avec beaucoup de plans volés où j’allais chercher des détails", commente Hugo Gélin.

    Coïncidences

    La musique du film a été composée par Ambroise Willaume, Christophe Musset et Jérémie Arcache, plus connus sous le nom de "Revolver". Lorsque le cinéaste leur a proposé cette collaboration, ils ont rapidement accepté : "(...) il y avait trop de coïncidences et de points communs entre nous (...). L’histoire, d’abord, de ces trois copains, renvoyait forcément au trio que nous formons. Le film s’appelle Comme des frères et nous avons dans notre deuxième album un morceau intitulé "Brothers"", explique le groupe.

    Cannes, mon amour

    Comme des frères a été projeté pour la première fois au festival de Cannes 2012, lors d'une séance spéciale pour les exploitants. Ce passage sur la croisette a laissé un bon souvenir à toute l'équipe, et notamment à Mélanie Thierry : "On s’est retrouvés tous les quatre dans ma chambre d’hôtel autour d’une bouteille de champagne, on a mis de la musique et on a dansé en regardant la mer. Il faisait beau et on était sincèrement heureux de se retrouver."

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