Avis : Arnaque à la carte - Page 2

Fatiguant et pénible, ce sont les mots qui résument ce film. Pas d'intrigue, pas de suspense et pour ce qui est de l'humour, on repassera ou on ira voir ailleurs.

Ce film serait une comédie???? Ah, bon!!! Crispant d'un bout à l'autre. Rien à sauver vraiment.
Et cette histoire de nombre de mots insuffisant
ça devient aussi nul que ce film!!!!

Malgré une idée de départ qui aurait pu s'avérer payante si elle avait été bien mieux traitée, ce road-movie n'est qu'une succession de gags tombant complètement à plat, aux personnages stéréotypés et peu attachants. Apparemment, les studios n'ont toujours pas compris que ce genre de film ne prend pas...

Un bon buddy movie repose avant tout sur la qualité de son duo de tête, des acteurs certes mais aussi des personnages qu’ils doivent camper. Avec Arnaque à la Carte, Melissa McCarthy et Jason Bateman trouvent une alchimie rare qui détermine en partie la réussite du long métrage, assez classique dans sa forme, mais au comique savoureux et volontiers grossier. Faire rire demande un sens du rythme, et Seth Gordon s’en sort plutôt bien ici, l’ennui étant banni de l’écran alors même que le film dure deux heures : ce ne sont pas des gags qui s’empilent et s’enchaînent mais les étapes d’une cavale improbable et jubilatoire, étapes ponctuées par moult quiproquos, punchlines et coups de poing. Notons également que l’ensemble dispose d’une profondeur certaine, en dépit des apparences : il s’agit bien d’incarner cette angoisse de l’usurpation et de la fraude au sein d’une société où la réussite individuelle est synonyme d’efforts et de sacrifices. Le personnage interprété par Bateman est intéressant en ce sens où il représente un certain type de statut professionnel à la fois peu épanouissant et précaire – son chef menace d’ailleurs de supprimer son poste – mais nécessaire pour subvenir aux besoins de sa famille. Face à lui, une voleuse sans foi ni loi, sans attaches véritables sinon les collections d’articles piqués à droite à gauche et entassés dans sa maison. Elle est seule au monde, il est père de famille et employé dans une société fondée par l’un de ses amis. Solitude d’une part, appartenance au groupe et à la communauté d’autre part. Leur rencontre, sous la forme d’un road trip détonnant, équivaut donc à un choc des modèles culturels : deux visages de la réussite américaine s’affrontent dans cette arène qu’est la voiture, que sont la chambre d’hôtel ou le restaurant. Avec comme propos de fond une réflexion, certes primaire, sur la détresse affective qui gouverne Diana et la pousse à s’entourer d’objets et de soins pour mieux noyer son chagrin, de la même manière qu’un alcoolique le ferait avec de l’alcool. Le film nous dit quelque chose des dérives d’une certaine société de consommation, où l’entassement frénétique des biens a remplacé la valeur de gagner les choses jugées utiles ou agréables ; de criminelle, Diana évolue en victime d’une société qui incite à la réussite individuelle sans tenir compte de l’épanouissement et du bonheur de chacun. En ce sens, Arnaque à la Carte mute en œuvre de conversion au terme de laquelle la voleuse se repent et, ce faisant, réussit à intégrer une famille de substitution. Deux acteurs formidables pour une comédie alerte et plus intelligente qu’il n’y paraît.

Dans la ligné de Comment tuer son boss ?, Echange standard ou encore Crazy night ce délire est une petite pépite, les excellents Melissa McCarthy, Jason Bateman et Robert Patrick sont embringué dans une histoire complément folle, on dirait du Date limite de Todd Philips, le scénario est bien déjanté, on rigole encore et encore, un film qui nous fait passer un moment ultra fun !

Fan de Jason Bateman, déçu par ce film : il est pas trop mal, mais on tourne vite en rond, vite ennuyeux. Mais ça se laisse regarder.

Assez amusant, quelques passages loufoques, une morale à l'américaine, un peu long.

Je me suis rarement aussi ennuié enregardant un film. Les acteurs sont mauvais, tres mauvais. Le scenqrio d'un pauvereté affligeante! passez votre chemin et ne pensez meme pas vous distraire

Une comédie pas subtile, pas non plus réaliste, qui remplit sa fonction: distraire. Les acteurs sont honnêtes, le vol d'identité est réaliste (du moins aux USA), et les dialogues sont très corrects. Pas un grand film, juste une bonne comédie.

Efficace, drôle sans prétention et plutôt bien réalisé.

Le plus mauvais film que j ai vu depuis des mois .

.................................................................

L'idée de ce film était bien recherché. Mais le film tombe dans l'ennuie total est n'apporte aucun gags. De plus de ça une comédie qui dure 2 heures c'est vite ennuyeux. Dommage car le scénario était très original mais a mal été mis en place. Pour vous dire je ne l'ai même pas regardé jusqu'au bout.

Melissa Mcarthy a enfin un rôle principal , malheureusement le film ne se repose que sur son jeu. Un bon scénario et plus de bons dialogues n'aurait pas été de refus pour servir cette immense humoriste.

Ceux qui sont allés voir Very Bad Trip 3 ont certainement remarqué l'employé du mont de piété dont tombe amoureux le personnage incarné par Zach Galifianakis ou bien cette mère de famille qui se plaignait du comportement du couple dans 40 ans Mode D'emploi ? Cette actrice c'est Melissa McCarthy qui trouve avec Arnaque à la Carte l'occasion de faire son show en tête d'affiche.

Succès surprise de l'année 2011, Comment Tuer Son Boss a permi au réalisateur Seth Gordon de se faire un nom dans la comédie déjantée. C'est donc avec une certaine curiosité qu'on a envie de savoir si il serait capable de faire aussi bien avec son prochain long métrage. Pour Arnaque à la carte, le réalisateur à fait équipe avec Craig Mazin scénariste de Very Bad Trip 2 et de Super Hero Movie pour nous régaler à nouveau avec un road movie de pure folie dans la lignée du récent Date Limite.

Avouons le directement, l'histoire d'Arnaque à la Carte n'est pas franchement originale mais elle a le mérite de proposer de nombreux rebondissements inattendus qui donne du piment au récit. D'une simple comédie on passe au polar avec des cascades pour le moins impressionnantes. Le film n'hésite pas aussi à jouer sur une corde plus sensible par moment en donnant de la profondeur aux personnages. Craig Mazin est cette fois ci bien plus inspiré que pour ses précédents longs métrages.

Il faut dire qu'avec Melissa McCarthy et Jason Bateman, deux acteurs comiques très talentueux, il ne fallait que de bonnes situations pour être sur que les comédiens sauront en tirer le meilleur. Jason Bateman aime visiblement jouer les souffre douleurs car son personnage rappelle un peu celui qu'il tenait dans Comment Tuer Son Boss. Une sorte de clown blanc dont le sérieux et la rigidité font tout l'humour. Melissa McCarthy serait l'auguste auquel arrive le pire et qui en trois fois rien peut nous faire pleurer de rire.

La galerie de seconds rôles comporte son lot d'acteurs réputés du genre de ceux que l'on voit partout sans connaître pour leur noms. Il y a les sexy Amanda Peet qui joue la femme du héros et Genesis Rodriguez en gangster. La petite Maggie Elizabeth Jones craquante dans Nouveau Départ qui a un peu grandi. Jon Favreau joue un boss totalement détestable qui aura eu sa place dans le précédent film du réalisateur, l'ex-Terminator Robert Patrick est un redoutable chasseur de primes au look incroyable et John Cho d'Harold & Kumar n'est pas vraiment crédible en chef d'entreprise.

Dans la lignée d'un Very Bad Trip 3, Seth Gordon propose une nouvelle comédie tout aussi déjantée qui devrait plaire à tout ceux qui avait été emballé par Comment Tuer Son Boss. On rit beaucoup et on est touché par cette histoire certes peu originale mais qui fonctionne a 100%.

Le rythme est lent et les situations poussives. On pouvait espérer mieux de ce duo sur les routes, poursuivi de toute part, mais on y trouve rien d'extravagant à part son actrice qui trouve un rôle à sa mesure. Des arguments peu convaincants.