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    Blade Runner 2049
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    Votre avis sur Blade Runner 2049 ?

    1 449 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 octobre 2017
    Une chose que l'on ne peut pas enlever à BR 2049 : sa volonté de se démarquer d'un strict blockbuster, aussi bien par les thèmes abordés, le rythme lent, l'absence de grandes scènes d'actions. Une fois dit cela, que conserver de cette suite plus que tardive (le premier, signé Ridley Scott, date de 1982) ? Si peu hélas. À la lecture du pitch exhaustif, on suppose une œuvre palpitante aux enjeux riches de sens, un futur renvoyant un message d'alerte à notre présent. Si certains fans voudront y voir cela, le film passe objectivement à côté de ses intentions. En admettant la forme employée, d'autant que certains plans superbes font avaler la pilule de la longueur (environ 2h45), rien ne permet au spectateur de s'immerger dans l'univers, par ailleurs si centré sur le personnage de K qu'il semble une coquille vide. Aussi on ne ressent aucunement l'importance de la recherche effectuée par le héros, le fil du récit confirmant d'ailleurs le côté nombriliste de la chose : son espoir d'être une sorte d'élu, ce bébé étant le fruit de la relation entre humain et droïde. Une seule scène retient l'attention : la halte de K dans le repère des clones rebelles, rassemblés en vue d'une future bataille pour affirmer leurs droits. Et puis rien ne viendra. Ce sujet essentiel semble repoussé à un éventuel opus suivant pour mieux retrouver Harrison Ford en Blade Runner reclus. La sensation de passer du coq à l'âne est constante, tantôt une scène de sexe gratuite, puis une simulation de bagarre et quelques attitudes inexpliquées voire incohérentes. Le clou du spectacle, si l'on peut dire, est la révélation à laquelle K est tout aussi étranger que le spectateur. Jusqu'à un plan final censé faire la jonction avec le premier volet alors qu'il relève de l'anecdote. Les moyens étaient là, la mythologie intacte, le potentiel de déclinaison aussi, et pourtant on a opté pour le bout de la lorgnette : de l'eau de rose sur fond futuriste.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 octobre 2017
    le somnifère de l'année. entre dialogue insignifiant, images très laides, décors très aléatoires, mise en scène bâclée des scènes longues d'une lenteur interminables . Denis villeneuve vient de gâcher son immense talent . quelle déception . on n'y comprend rien on a qu'une seule envie : que ça finisse, mais non ça dure et ça dure. film raté a fuir d'urgence.
    La CinéToile
    La CinéToile

    9 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2017
    Prenez le temps de savourer ce Blade Runner

    Le contexte : 

    En 2049, la société est fragilisée par les nombreuses tensions entre les humains et leurs esclaves (les réplicants) créés par bioingénierie. L’officier K est un Blade Runner : il fait partie d’une force d’intervention d’élite chargée de trouver et d’éliminer ceux qui n’obéissent pas aux ordres des humains. Lors d'une mission, il découvre un secret enfoui depuis longtemps, capable de changer le monde.

    Les personnages : 

    K (interprété par Ryan Gosling) est un réplicant nouvelle génération. En début de film, sa vie se résume à obéir aux ordres et à vivre une illusion du bonheur avec Joi, sa petite amie virtuelle. Sa vie linéaire va ensuite être perturbé par spoiler: un souvenir qui va rejaillir dans son esprit.
    Ryan Gosling oscille avec perfection entre le manque d'émotion du réplicant et l'envie d'en avoir une. (le blocage

    Joi (Ana de Armas) est un personnage plus important qu'il n'y paraît. Elle fait partie de la vie illusoire que K c'est inventé. Elle représente un amour impossible. spoiler: La scène où Joi tente de frapper sur la vitre de la voiture pour réveiller K, alors qu'elle ne peut pas. Sa tentative de se matérialiser pour offrir à K un semblant d'amour charnel, via Mariette, la prostituée. L'ironie, c'est que Joi a permis à K de devenir Jo et de s'émanciper de sa condition de réplicant pour se rapprocher de son humanité.


    Niander Wallace (Jared Leto) est le créateur des réplicants. il se compare à une sorte de Dieu fasciné par la création. Il est très perturbé et s'exprime de façon mystique. Il est peu présent à l'écran mais énigmatique.

    Les personnages secondaires :

    Rick Deckard (Harrison Ford) est convoité dans le film pour répondre aux mystères qui entourent spoiler: la nature même des réplicants.

    Mariette (Mackenzie Davis) est une prostituée de la rue, qui joue un double jeu. spoiler: Elle est avec ces réplicants de l'ombre qui souhaitent mettre en place une future révolution.


    Luv (Sylvia Hoeks) est la création la plus aboutie d'après Wallace. En plus de se prendre pour la meilleure de sa catégorie, elle est pro-réplicant.

    Lieutenant Joshi (Robin Wright) fait son travail et semble n'y voir aucun inconvénient. Elle est pro-humaine.

    La CGI :

    On a déjà vu de la CGI dans pleins d'autres films comme Rogue One (pour rajeunir la princesse Leia ou encore ressusciter le commandant de l'étoile noire). L'effet était cependant visible. Mais spoiler: Rachel
    (dans le Blade Runner de 1982) a le droit, dans le Blade Runner de 2017, a un visage aussi jeune et identique, au trait près. Et quand elle s'exprime, on y voit absolument rien qui supposerait une effet spécial. Bluffant !

    Le Fil Rouge et les Coups de Théâtre :

    Le fil rouge du film c'est spoiler: le souvenir perturbant de K
    , qui l’emmènera à se poser d’innombrables questions et à vouloir retracer la disparition de Rick Deckard. Le coup de théâtre le plus impressionnant, c'est lorsque K découvre spoiler: qu'il n'est pas le fils de Reckard et qu'il est depuis le début guidé par un faux espoir. C'est à ce moment là que Jo (sa personnalité et ses choix) va naître pour de bon.


    A noter aussi que les scènes d'actions et de violences sont traités différemment qu'un blockbuster classique. spoiler: La mort du lieutenant que le spectateur découvre à travers la vitre,
    nous montre un autre choix de mise en scène. Le côté glaçant a été privilégié plutôt que le trash habituel de notre époque.

    Le décor et les costumes :

    Ce qui est admirable dans ce film, c'est qu'on prend le temps d'apprécier les décors. Les scènes où Jo rentre dans les limites de l'autre monde. On a aussi plaisir à retrouver la veste du Blade Runner et les vêtements au design futuriste.

    La B.O :

    Elle n'a pas sa place dans ce genre de film. Elle est limite hors sujet. Hans Zimmer en fait trop. Heureusement que la musique n'est pas omniprésente.

    Ma scène préférée :

    1) spoiler: Lorsque K devient Jo, et qu'il se rend compte qu'il n'est qu'une illusion face à la publicité sous forme holographique de Joy .
    2) La métaphore sur la naissance spoiler: de Jo : c'est cette scène où le véhicule a échoué près d'une cascade et que Jo blessé tente de rejoindre Reckard à la nage. C'est alors qu'Harrison Ford, qui symbolise un père de substitution à ce moment là, hurle le prénom de Jo. Jo sort de l'eau, un peu comme à la suite d'un accouchement, et il a besoin de Reckard pour se relever.
    3) le coup de colère qui échappe au contrôle de K lorsqu’il apprend spoiler: La scène où Joi tente de frapper sur la vitre de la voiture pour réveiller K, alors qu'elle ne peut pas. Sa tentative de se matérialiser pour offrir à K un semblant d'amour charnel, via Mariette, la prostituée. L'ironie, c'est que Joi a permis à K de devenir Jo et de s'émanciper de sa condition de réplicant pour se rapprocher de son humanité. 0
    4) Lorsque K marche dans le monde abandonnée, qu'il traverse le monde "orange". 5) La double révélation que Deckart a spoiler: La scène où Joi tente de frapper sur la vitre de la voiture pour réveiller K, alors qu'elle ne peut pas. Sa tentative de se matérialiser pour offrir à K un semblant d'amour charnel, via Mariette, la prostituée. L'ironie, c'est que Joi a permis à K de devenir Jo et de s'émanciper de sa condition de réplicant pour se rapprocher de son humanité. 1


    Mes plans préférées :

    Les plans larges sur les différents paysages.

    Les petit plus :

    L'esthétique de l'image. La couleur orange du monde abandonné. Les décors. Le rythme plutôt lent. Le monde virtuel. L'appareil qui se détache de la voiture de Jo.

    Les petit moins :

    La bande originale de Hans Zimmer, inadapté. Harrison Ford qui joue Harrison Ford et pas forcément Rick Deckard.

    Conclusion :

    Il y a énormément de choses à dires dans ce film. On passe un bon moment. Un bel hommage est rendu au Blade Runner de Ridley Scott et ce second volet est bien plus vivant et moins sombre que le premier. Et l'envie d'une suite se fait sentir en fin de film... :)
    Yves G.
    Yves G.

    1 283 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 octobre 2017
    Comme Deckhart (Harrisson Ford) trente ans plus tôt, K (Ryan Gosling) est un "blade runner". Sa tâche : retrouver les "replicants", des robots humanoïdes , et éliminer ceux qui sont entrer en rébellion contre les humains. À l'occasion d'une de ses missions, K fait une découverte bouleversante qui remet en cause la ligne de démarcation entre l'humain et la machine.

    Depuis que la rumeur avait grossi qu'une suite à Blade Runner, était en préparation, j'attendais avec impatience cette échéance. Je me suis rué dans les salles le jour même de sa sortie - en compagnie de quelques milliers d’aficionados aussi masculins, solitaires et quadragénaires que moi, me réjouissant par avance de ce que j'escomptais être le second meilleur film de l'année 2017 après La La Land bien entendu.

    Je suis tombé de haut. De l'armoire. Que dis-je ? du gratte-ciel !

    Certes, il y avait de quoi être intimidé par l'un des plus films les plus iconique de l'histoire du cinéma. Au point de se demander quel sens il y avait à lui donner une suite. Je ne sache pas qu'on ait jamais tourné "2002 Odyssée de l'espace" ou "Rencontres du quatrième type". Alors à quoi bon tourner "Blade Runner 2" - sinon pour décevoir les irréductibles fans de mon espèce. Car de deux choses l'une : soit la suite est infidèle à l'original et nous crierons à la trahison, soit elle la recopie et on l'accusera de bégayer.

    C'est dans ce second travers que tombe "Blade Runner 2049". À force de se frotter à son modèle indépassable, "Blade Runner 2049" s'écroule sur lui-même. Comme un trou noir qui implose.
    Prenons par exemple les décors. On se souvient tous de la Los Angeles polluée, pluvieuse, polyglotte qui servait de cadre au film de 1982. Denis Villeneuve le recopie à l'identique. Pire : il l'enlaidit - là où on aurait pu escompter que les progrès des techniques en trente ans auraient permis des effets autrement saisissants.

    Les personnages ? Ryan Gosling fait du Harrison Ford Canada Dry. Je ne dirai jamais de mal du héros de La La Land. Mais s'il continue à afficher un masque mutique totalement dénué d'expression (parce qu'il joue le rôle d'un robot ?), je risque de réviser mon jugement. Et ce n'est pas l'apparition du grand Harrison - qui, dans un Marcel informe affiche désormais un bidon de septuagénaire - qui donnera à "Blade Runner 2049" un peu de piment. Heureusement qu'il y a les femmes : Robin Wright (qui ressemble énormément à Claire Underwood), Ana de Armas, belle comme un cœur, et Sylvia Hoeks qui suscitera les mêmes fantasmes fétichistes que ceux qu'avaient déjà provoqués les héroïnes androïdes et latexées de "Terminator 3" ou "Catwoman".

    Quant à l'intrigue, qu'en dire sinon qu'elle se traîne interminablement durant près de trois heures (oui TROIS heures !!!!!). Heureusement, le générique dure dix bonnes minutes, réduisant d'autant cet exténuant pensum. L'absence de rythme est effarante, à une époque où la production cinématographique et télévisuelle a atteint une telle sophistication, une telle énergie. Comme si Denis Villeneuve s'était fait un devoir de ralentir le tempo pour plonger les spectateurs dans une apathie maussade dont ils sont périodiquement réveillés par une musique aussi assourdissante qu'irritante. Et la philosophie qui l'inspire - "les robots, eux aussi, ont un cœur" - nous surprend autant qu'une laitue défraichie en solde chez "Carrefour Market".
    COUCOU C.
    COUCOU C.

    1 critique Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 octobre 2017
    Le but était peut être de réduire à néant un chef d'oeuvre cinématographique ? Le film est visuellement irréprochable , la bande son détonne totalement . Trop long et ennuyeux . Rien , ça respire le vide existentielle contemporain . Une vision du futur honnête et sans complaisance , un miroir dans lequel on ne veut pas se reconnaître .
    Laurentfromnice
    Laurentfromnice

    9 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2017
    Quel ennui !! 2h44 pour ca, heuuuuu, mauvaise copie, un film fade sans action hormis une pseudo "baston" en fin de film, dans la flotte. Et puis, question comprendre le fil conducteur, il faut se lever de très bonne heure.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 octobre 2017
    Ce film est une aubaine pour les insomniaques et les médecins. Désormais contre les troubles du sommeil on ne vous prescrira plus Zopiclone ou Zolpiden mais Blide Runner ! Effets garantis et en plus sans effet secondaire. Un joli pied de nez à la médecine !

    A défaut d'avoir un succès dans les salles de cinéma, le DVD risque de très bien se vendre dans toutes les pharmacies !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 octobre 2017
    3h de néant ! Je me suis retenu de partir avant la fin. Les scènes sont d'une lenteur exaspérante et je me suis endormi à plusieurs reprises. Surtout je vous le déconseille.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 octobre 2017
    Quelle claque ! Rien à dire, esthétiquement parfait, fidèle au premier. Un Ryan explosif, que du bonheur.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 octobre 2017
    Épouvantable ! Long , pas de dialogue... 2h45 pourquoi ? .... 3D inutile .... les gens soupirent dans la salle en attendant péniblement la fin !
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    61 abonnés 584 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 octobre 2017
    Donner une suite au cultissime "Blade Runner" ,35 ans après, était un pari totalement fou. Le pari est réussi. Cette suite est complètement dans l'esprit du chef d'oeuvre de Ridley Scott. On y retrouve tous les codes du premier opus, y compris la musique. Un film lent, posé, magnifique et magistralement interprété. Superbe.
    Prieur F.
    Prieur F.

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 octobre 2017
    Une grosse daube, que dis-je une prise d’otage de 2h44. Nul nul nul. A éviter et plutôt aller revoir le sens de la fête des nakach toledano. Non mais c’est quoi tout ce pognon jeté par les fenêtres? Et Sony a payé pour ça? Juste pour être en placement de produit! Ils n’avaient pas lu le scénario hahaha! Sans déconner des décors poussiéreux et humides, une image sombre et angoissante. Un Gossling inexistant et impassible. Vous voulez vraiment perdre votre temps? Un cinéma pour initiés sans doutes...
    er T.
    er T.

    7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 octobre 2017
    Très lent très flou scénario aux personnages mal définis Ennuyeux à mourir!
    j ' ai envié les spectateurs qui quittaient la salle .
    la beauté graphique du film ne peut pas compenser le ridicule de ce film
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2017
    Il y a quelques jours, comme je prévoyais d’aller en salle voir cette nouvelle mouture de « Blade Runner », j’ai revu l’ancienne, celle de Ridley Scott de 1982, et, je dois l’avouer, je n’ai pas été saisi d’enthousiasme. Certes, on ne peut qu’être impressionné par les décors futuristes, l’ambiance de bas-fond ainsi que par le jeu d’Harrison Ford, mais le scénario m’a paru très mince et la mise en scène assez peu inspirée au point que je me suis pas mal ennuyé.
    Le film de Denis Villeneuve comporte les mêmes qualités et les mêmes défauts. Rien de changé, si ce n’est que tout semble plus grandiose et plus étonnant que dans le film de 1982. Le meilleur de la version de 2017 apparaît dans les deux premiers tiers de l’œuvre. Les décors d’un Los Angeles futuriste sont véritablement stupéfiants, l’ambiance est tantôt aussi froide, tantôt aussi glauque que dans le film de Scott. Quant à Ryan Gosling, il n’a rien à envier à son prédécesseur. C’est aussi dans cette partie du film qu’apparaissent les scènes de loin les plus fascinantes ou les plus captivantes ou les plus perturbantes: ainsi toutes les séquences qui font surgir des personnages hologrammes, ou encore la séquence, malheureusement trop courte, montrant des enfants esclaves.
    Malencontreusement, le dernier tiers du film perd tout pouvoir de séduction. Curieusement, c’est dès le moment où apparaît Harrison Ford que tout devient ennuyeux et pesant. Les longues séquences explicatives se succèdent, n’apportant rien d’intéressant, provoquant un seul désir, celui que le film s’achève au plus vite. Même les quelques scènes d’action de la toute fin n’y changent rien : on se barbe ! En somme (c’est le cas de le dire !), comme dans le film de Ridley Scott, la forme est beaucoup plus séduisante que le fond. Dans l’un et l’autre cas, les scénarios sont si minces qu’il est nécessaire aux cinéastes de remplir les films avec de la pseudo-contemplation et des bavardages. Enfin, je trouve déplaisant l’espèce de plaisir sadique que semble avoir Denis Villeneuve chaque fois qu’il s’agit de filmer des visages tuméfiés, sanglants, marqués de coups et de blessures ! 6/10
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 25 octobre 2017
    La presse doit être aveugle pour mettre des éloges à ce film qui à part esthétique des images est bcp trop long et lent et terriblement soporifique
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