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    Rocketman
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    15 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2020
    Dexter Fletcher prend sa revanche et livre avec ROCKETMAN un divertissement musical plaisant et de bonne facture.
    HawkMan
    HawkMan

    150 abonnés 1 118 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juillet 2020
    A l'instar du film biopic sur le groupe Queen, on a ici un biopic sur la vie incroyable d'Elton John. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que la vie de cet immense artiste fut singulière !
    Que dire, Elton John n'est pas à présenter, il est simplement à écouter !
    Et ce biopic est très efficacement construit avec une performance Taron Egerton qui lui ferait également mérité un oscar tellement son jeu est brillant.
    Bref : un film magnifique pour un artiste tout aussi magnifique.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    578 abonnés 2 743 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juin 2019
    Rocketman, c’est l’homme-fusée, l’artiste qui connaît une ascension fulgurante telle qu’il risque, à chaque instant, d’exploser en plein vol. Le film est à l’image de cette démesure destinale : le feu d’artifice allumé manque d’incendier l’écran de cinéma où tout s’enchaîne avec talent, où tout chante et danse de manière adéquate, avec – et là réside la grande force du métrage – ce souci constant de regarder derrière soi, d’arpenter les coulisses pour espérer y retrouver le petit garçon (Dwight en l’occurrence) qui hante le chanteur à la manière du spectre d’un passé qui ne passe pas. Car le film thématise une construction identitaire et ne cesse de rappeler au personnage ou son incapacité à devenir, ou le reniement de ce qu'il était. Cette tension s'incarne par des images en constant mouvement, car il y a ce quelque chose de très spectaculaire, une certaine idée du show qui se traduit dans le film par une énergie tant dans le mouvement – à l’instar de ce sublime plan circulaire qui tourne autour d’Elton alors au piano – que dans le travail de composition des plans ; nul hasard si l’on retrouve au générique le nom de Matthew Vaughn, crédité ici en tant que producteur et qui, déjà, réunissait Taron Egerton et Elton John dans le second volet de Kingsman. Pourtant, malgré sa thématique identitaire omniprésente, le film peine à ancrer sa star dans les différentes époques traversées. De l’Angleterre à l’Amérique, il n’y a qu’un pas, et ce pas n’est jamais traité : qu’en est-il des différences culturelles, que nous dit Elton John de la difficulté (ou au contraire de la facilité) que rencontre un jeune Anglais à chanter pour les États-Unis. Parce qu’il se focalise exclusivement sur l’artiste, le métrage fait preuve d’une courte vue qui vient déformer le traitement historique qu’une telle histoire exigeait. L’entièreté de Rocketman alterne grand spectacle et ruptures dramatiques aussi brutales que trop à charge ; une œuvre de cinéma n’a pas vocation à régler des comptes d’un individu avec sa famille. Ce grand écart tend à autonomiser les séquences chantées et dansées, les rendant par la même occasion souvent gratuites, et alourdit la fluidité du récit. N’oublions pas que le vrai (ou prétendu vrai) diffère du vraisemblable ; en tant que fiction, Rocketman essaie d’injecter l’âpreté d’une existence mais souffre de l’instabilité de son postulat même : proposer une comédie musicale à la fois fantasmatique et réaliste. Cette valse constante entre la scène publique et la violence intime échoue en partie à dépasser le biographique pour clarifier une ligne directrice, une vision de l’artiste autant que de l’homme : l’absence de point de vue artistique creuse dans le film des sillons proches de l’hagiographie, où Elton se voit érigé en alter ego de Mozart au point de composer ses chansons sans la moindre hésitation. Comme si le génie restait une donnée innée, naturelle, immuable. Or, nous constatons bien, entre les lignes, que la consommation de drogues ainsi que les divers excès non seulement offrent au personnage les conditions matérielles et créatrices de sa renaissance, mais occasionnent une souffrance qui aussitôt ranime les plaies jamais bandées, souffrance qui enfante l’art et donne lieu au chef-d’œuvre. En réduisant les travers de la vie de star à un discours tenu dans le cadre d’une cure de désintoxication, Rocketman détourne la plus-value (aussi pénible soit-elle) de l’exubérance et des paradis artificiels dans le processus de création artistique, supprime le contexte historique et musical dans lequel Elton non seulement a fait ses marques, mais a puisé son énergie de la différence. Demeure néanmoins un film de qualité aux interprètes remarquables – mention spéciale à Taron Egerton, tout simplement immense – et qui a le mérite de s’écarter des sentiers battus par le traditionnel biopic pour proposer une immersion dans la profondeur déjantée et sensibles des mots si magnifiquement chantés d’Elton John.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 mai 2019
    Je vis au Royaume Uni et le film est deja sorti ici...
    Que dire...
    J'ai trouve le film incroyablement pretentieux, les scenes qui s'enchainent n'ont de maniere generale ni queue ni tete et on apprend finalement pas grand chose sur sa carriere. Le tout enrobe d'effets speciaux que je trouve ridiculement utilise, a croire que le realisateur etait sous coke quand il a fait son film. Ca se veut sophistique, ca en devient pretentieux.
    C'est le premier biopic qui me ferait presque pas aime un artiste que j'aime pourtant a la base :D
    Livecommeuncoq R.
    Livecommeuncoq R.

    3 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2019
    En avant première ce soir.... une merveille !! Quel artiste ! Quelle joie ! Un film qui passe a une vitesse incroyable The RoketMan c’est de la bombe....
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 138 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Bon alors…
    Faisons la liste (sélective)…
    Ray Charles en 2004,
    Johnny Cash et Kurt Cobain (plus ou moins) en 2005,
    Edith Piaf, Joy Division et Bob Dylan en 2007,
    John Lennon en 2009,
    Serge Gainsbourg en 2010,
    Jeff Buckley en 2011,
    Claude François en 2012,
    Jimi Hendrix en 2013,
    James Brown en 2014,
    Kurt Cobain (encore) en 2015,
    Chet Baker, Miles Davis et Elvis Presley en 2016,
    Nina Simone, Dalida, Barbara et Toni Braxton en 2017,
    Victor Tsoi et Freddy Mercury en 2018,
    Et enfin Mötley Crüe et les Beatles (indirectement) en 2019, soit l’année de sortie de ce « Rocket Man ».
    Autant donc l'affirmer tout de suite : c’est peu dire si ce film sort sur un sentier plus que balisé. Au-delà même du balisage, c’est carrément sur une ligne de Maglev que sort cet énième biopic dédié à une énième rockstar afin d'accompagner la réédition d'un énième album collector.
    ...Et ça, moi – histoire d’être honnête dès le départ – c’est clair que ce n'est pas ce qui me stimule le plus.
    Alors si en plus de ça je précise que je ne suis pas un inconditionnel d’Elton John, je pense que vous comprendrez aisément pourquoi ce film, quand il est sorti en salle, j’ai plutôt cherché à l’éviter…

    Seulement voilà, un an et deux confinements plus tard, mon rapport au cinéma à quelque peu changé.
    Maintenant chaque film vu me rappelle avec nostalgie ce temps béni où je les voyais en salle ; de même que, désormais, chaque film comportant des gens buvant des bières dans un pub ou s’adonnant à de grandes embrassades me rend aussi nostalgique de toutes ces pratiques là…
    Bref, vous l’aurez compris : janvier 2020 c’était clairement la période idéale pour découvrir ce « Rocket Man »...
    …Donc pourquoi pas.

    Résultat ?
    Bah… Le résultat c’est qu’au final ma crainte du départ s’est quand-même avérée fondée.
    « Rocket Man » c’est un peu pareil que « Ray »…
    …Tout en étant un peu pareil que « Tina »…
    …Tout en ressemblant quand même beaucoup à « La Môme »…
    …Et le tout en donnant vachement l’impression de revoir « Bohemian Rhapsody » avec un autre répertoire musical quoi !

    En même temps voilà : pas de surprise quand on voit que c’est Dexter Fletcher derrière la caméra.
    L’année juste avant le gars était aux côtés de Bryan Singer pour réaliser « Bohemian Rhapsody ». Un hasard diront certains… Ou bien la preuve, diront d’autres, que tous ces projets sont tellement duplicables à l’infini qu’on peut au final se permettre de carrément prendre le même gars pour les mettre en boîte..
    (…Je vous laisserais deviner dans lequel des deux camps je me trouve.^^)

    Parce qu’en effet, le vrai problème de « Rocket Man » selon moi c’est qu’il est prévisible et standardisé de bout en bout.
    D’abord l’enfance tourmentée, puis la recherche de soi, la réussite et la gloire… Jusqu’à ce moment de perdition et de doute qui va permettre d’enfin trouver un point d’équilibre… Une sagesse.
    Le schéma est connu et éculé.
    Il n’y a d’ailleurs rien dans ce film (à part le répertoire) qu’on n’ait pas déjà vu ailleurs.
    Même les quelques touches d’audaces comme la volonté de glisser des chansons et des danses au sein même de la narration comme une comédie musicale n’est pas sans rappeler, dans l’esthétique comme dans la mise en scène, une sorte de « La La Land » plus modeste…

    Alors malgré tout, j’arrive quand-même à lui attribuer un 6/10 à ce « Rocket Man », ce qui constitue pour moi une note honorable...
    6/10 c’est la preuve que, bon-an-mal-an, j’ai tout de même passé un moment plutôt sympa.
    Taron Egerton a beau en faire parfois des caisses, il apporte néanmoins l’énergie nécessaire pour emporter le tout.
    De même Fletcher a beau ne tenter des choses qu’à la marge (en frôlant parfois même le ridicule, notamment dans ces passages chantés à plusieurs), il n’empêche qu’il sait parfois offrir quelques moments plutôt bien sentis…


    spoiler: …comme par exemple celui au fond de la piscine que j’ai trouvé particulièrement suggestif.



    Mais à bien tout prendre – et on ne va pas se mentir non plus – ce qui a vraiment permis de faire passer la pilule avec ce film – comme d’habitude – c’est l’utilisation régulière du répertoire d’Elton John…


    spoiler: …Et la reproduction finale, plan par plan, du clip d’ « I’m Still Standing »contribue clairement à enfoncer le clou.




    Donc bon, d’accord, pourquoi pas… C’est vrai que c’est pas mal « Rocket Man ». Soit...
    Je pourrais d’ailleurs m’arrêter là et me contentant simplement de ce constat : j’ai profité d’un film pas mal donc « cool : c’est toujours ça de pris… »
    D’un autre côté ce genre de film me fait peur.
    Parce que « Rocket Man » est aussi une pierre de plus qui se rajoute sur l’édifice déjà surchargé des biopics standardisés et interchangeables…
    C’est qu’en 2021 ils sont quelques-uns à remettre une pièce dans la machine !
    « Stardust », « Aline », « Respect »…
    On va s’en bouffer encore combien des concerts romancés pour vendre de l’album ?
    Encore combien d’histoires d’egos meurtris de pauvres stars en souffrance ?

    Parce qu’à bien tout prendre, la vie d’Elton John méritait-elle vraiment un film sur elle ?
    Le gars a-t-il accompli un tel parcours initiatique si extraordinaire que cela mériterait qu’on l’explore et qu’on le dissèque ?
    Franchement moi je trouve que non.
    Et ce bilan, malheureusement, je pourrais le faire pour un petit paquet de ces biopics qui n’existent que pour vendre des compils.

    Donc allez, cette fois – dans le contexte du moment – ça passe.
    …mais, franchement, me concernant, gare au prochain qui me refera le coup à l’identique.
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    32 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 juin 2019
    Un objet cinématographique qui provoque des émotions.
    Un biopic comédie musicale avec une histoire très triste d’enfant mal aimé, de rock star alcoolisée, cocaïnomane et sexe addict.
    Mais aussi une belle histoire d’amitié fraternelle et artistique et des numéros musicaux portés par la musique d’Elton John.
    Bref deux heures de plaisir à l’esthétique pop.
    Tiego L
    Tiego L

    9 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juin 2019
    Une vraie purge que ce biopic... insipide au possible malgré de bons acteurs, à se demander comment Elton, qui passe pour une vraie victime, a pu laisser faire ça
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 juin 2019
    Sympa, cependant, je n'ai pas ressenti les émotions de bohemian rapsody, dommage.

    Egerton est un trés bon acteur , je l'apprécie beaucoup depuis kingsman et il joue parfaitement le rôle dans ce film.
    pat T.
    pat T.

    13 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 août 2019
    ouais et bah on est très loin du biopic de Freddy mercury c 'est plat avec de long passage sans interet vraiment déçu je m attendais à bien mieux
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 mai 2019
    Chef d"oeuvre sans contestation possible !
    Il est bien , et cool. J'aime la musique de ce fil musicale. Même si ca ressemble un peu à du Elton John
    Sylvie B
    Sylvie B

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2019
    émouvant...réaliste..incroyable de détail..les costumes...et surtout la musique..les chanson qui collent toujours avec une situation réaliste
    a voir absolument
    Matching P.
    Matching P.

    11 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2019
    MATCHING POINTS
    http://www.matchingpoints.fr/2019/06/01/cinema-rocketman/
    "A la différence de "Bohemian Rhapsody", "Rocketman" prend la forme d'une comédie musicale.
    Ce biopic, réalisé par Dexter Fletcher, met en images, danses et chansons une partie seulement de la vie d'Elton John. La plus triste : son enfance malheureuse auprès de parents égoïstes et indifférents (seule sa grand-mère lui apporte de l'affection), des échecs amoureux, des addictions multiples sur fond de strass, paillettes et millions de dollars.
    Sad, so sad....
    Rien sur son anoblissement, ni sur ses relations avec certains membres de la famille royale comme la Reine mère ou Diana. Rien non plus sur une maturité heureuse avec mari et enfants, à peine évoqués sur des photos avant le générique de fin.
    Si tous les acteurs sont excellents, comme dans "Bohemian Rhapsody", on ne peut qu'être bluffés par la performance de Taron Egerton qui, en plus, interprète lui-même les chansons d'Elton. La séquence de ses débuts au "Troubadour" de Los Angeles est un des grands moments du film.
    Si tous les acteurs sont excellents, comme dans "Bohemian Rhapsody", on ne peut qu'être bluffés par la performance de Taron Egerton qui, en plus, interprète lui-même les chansons d'Elton. La séquence de ses débuts au "Troubadour" de Los Angeles est un des grands moments du film.
    bastien P.
    bastien P.

    20 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juin 2019
    Moi J'aime pas du tout les films biopic . Mais celui la m'avais énormément tenté . Donc C'est pour ca que je suis aller le voir . C'est vraiment moyen au début ca démarre bien . Mais après ca commence a devenir tres vite décevant. Mais au moins les chansons sont vraiment top dans le film . La fin est tres bonne . Je le recommande comme même , Même si J'ai pas aimé le film . Parce que les chansons sont vraiment superbe dans le film .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 juin 2019
    Vraiment déçue de ce film que j’avais très envie de voir, de belles images et le récit de sa vie ... bien trop répétitif à mon goût.
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