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    Les Indestructibles 2
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    benoitG80
    benoitG80

    3 312 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 septembre 2018
    « Les Indestructibles 2 » est tout à fait dans la même veine que le premier, c’est à dire vraiment un Pixar parfaitement au point, avec une dimension familiale encore plus développée et très réjouissante dans l’idée, ce qui fait réellement plaisir à voir !
    Ce film d’animation de Brad Bird possède une grande force car il est truffé d’excellentes idées, toutes simples, qui par leur évidence vont droit au but...
    Ici, ce qui est totalement amusant et bien vu, repose sur la situation contrainte et forcée de ce père au foyer que vit Bob allias Mr Indestructible, tandis que la mère Hélène, la fameuse Elastic Girl, est elle prise par son boulot à plein temps !
    Et quel boulot que celui de Super Héroïne, prête à défendre toutes griffes sorties la moindre victime qu’elle pourra croiser sur son chemin...
    Pour Bob, pourtant aguerri à des épreuves hors du commun, la tâche va être plus rude que prévue et c’est bien là que le film séduit et nous fait fondre littéralement !
    Alors oui, on suit la mission compliquée d’Elastic Girl qui se démène comme pas deux, mais la vie à la maison révèle aussi de sacrés moments très drôles et fort pertinents dans l’esprit de ce qu’est la gestion du quotidien avec ces trois enfants dont un Jack-Jack imprévisible, même si cette descendance réserve des surprises de taille quant à ses ressources inestimables.
    Ce qui interpelle également, c’est la qualité des images et de la lumière, qui amènent un rendu typique de la Californie des années 60-70, avec des éclairages sublimes et dorés d’un soleil au crépuscule...
    Un plaisir de l’œil qui ne fait que mettre en valeur tout ce monde d’architecture et d’automobiles, avec des carrosseries vintages et rutilantes d’une autre époque !
    On se trouve parfois à la frontière d’un film d’animation et d’un film classique, tant le réalisme fait de l’effet, et l’impact de tout ce monde superbement imaginé, n’en est ainsi que décuplé.
    Si on ajoute un rythme endiablé, des personnages secondaires terribles au caractère trempé (Tata Edna, sorte de Iris Apfel relookée) avec en prime toute la panoplie des Super Héros venue plus ou moins en renfort, on ne peut qu’être comblé !
    Décidément ces Indestructibles ont de quoi décoiffer dans tous les sens du terme, tout en nous attendrissant pour nous laisser un véritable et indestructible plaisir jusqu’au bout !
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    145 abonnés 2 209 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juillet 2018
    Dessin animé vu en avant-première le week-end dernier, « Indestructibles 2 » dépasse en termes de rythme et d’humour le premier volet. Cela faisait très longtemps que je n’avais pas vu un deuxième volet supérieur au premier. Et comme m’a dit mon fils de 10 ans : « cela fait 14 ans que j’attendais cette suite ! ». Cherchez l’erreur… Une très belle façon de représenter le papa moderne, dépassé par son rôle de parent, chronophage, éprouvant et complexe. A noter que le court-métrage qui précède le film met déjà la barre très haut pour le scénario et l’animation et il y a une certaine cohérence à suivre ces deux aventures familiales l’une à la suite de l’autre.
    x-worley
    x-worley

    132 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juillet 2018
    A la base je ne comptais pas le voir au ciné, mais le fait d'avoir revu le précédent la semaine dernière m'a fait changer d'avis. Résultat 2h00 de bonheurs! Visuellement c'est toujours aussi génial en plus j'adore le côté sixties a la vieux James Bond comme ça. Et la mise en scène est encore plus dingue que sur le premier et c'est porté par une excellente bo en plus. Le scénario m'a plus(limite je le préfère au 1) et quelle bonne idée d'avoir centré cette histoire sur le personnage d'Elastigirl! Et mention spécial a Jack-Jack! Enfin bref cette suite m'a vraiment emballé.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    69 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2018
    Quatorze ans que l’on attend cette suite, quatorze années d’attente amplement justifiées vu la nouvelle merveille que nous offre Pixar. Le génie de cette suite tient au fait que Brad Bird s’est inscris dans la droite lignée du précédent film, reprenant là où ce dernier s’arrêtait tout en conservant son esthétique. Contrairement à la trilogie « Toy story », le design des personnages est resté le même bien que, dans le même temps, la qualité de l’animation a grandement progressé pour atteindre un niveau de précision époustouflant. Brad Bird prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des meilleurs metteurs en scène de films d’action à Hollywood en proposant des scènes spectaculaires, très bien rythmées et ultra-jouissives. De plus, le long-métrage est remarquablement bien écrit, la trame ne comportant aucune longueur et chaque personnage étant développé de manière très intéressante. En plus de prolonger le propos sur la famille introduis dans le premier volet, Brad Bird modernise les enjeux de son film en lui conférant un sous-texte intéressant sur notre rapport à l’image. Même si l’émotion n’est pas présente (un comble pour un Pixar), le film est si drôle et fun à voir que ce n’est absolument pas gênant. Brad Bird a réussi son pari de redonner vie à cette famille désormais culte en créant une suite à la hauteur de toutes les espérances, un film d’animation grandiose à ranger aux côtés des tous meilleurs Pixar.
    romano31
    romano31

    243 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juillet 2018
    14 ans après le premier volet, Les Indestructibles reviennent plus en forme que jamais et pour notre plus grand plaisir. J’ai tout simplement adoré ce deuxième film. Le premier était déjà excellent et ce deuxième opus l’est tout autant. On retrouve notre famille de super-héros préférée, quelques mois après la fin du premier film, au prise avec l’Hypnotiseur qui pourrait bien leur donner du fil à retordre. Tout est génial dans ce film. La réalisation de Brad Bird est aux petits oignons, les scènes d’action décoiffent, la musique est excellente, l’animation est à tomber et l’humour fait mouche à chaque fois. Enfin, Jack-Jack est vraiment le gros point fort de ce film, absolument adorable et hilarant au possible. Bref, vous l’aurez compris, Les Indestructibles 2 est une réussite totale, parfaite pour toute la famille et j’espère vraiment qu’un troisième opus verra le jour mais pas dans 14 ans si possible.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    382 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juillet 2018
    Une ou deux petites fausses notes sans importance, voilà bien tout ce qu’on pourrait reprocher à un long-métrage d’une richesse folle. Les Indestructibles 2 parle du super-héros, de l’être humain, de la famille, des responsabilités et bien d’autres choses encore. Au travers ses héros, mais aussi son méchant, le réalisateur aborde de nombreux thèmes, dont certains qui lui sont très chers comme son rapport à la technologie, sans que jamais on ne ressente un déséquilibre de traitement. Sans compter que la présence d’Elastigirl sur le devant de la scène apporte une touche de modernité en évitant les clichés.
    dominique P.
    dominique P.

    784 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2018
    Cette suite est très bien, je l'ai même préféré au premier volet.
    C'est foisonnant, vraiment sympathique et divertissant.
    Les trois enfants sont géniaux, chacun dans leur genre.
    virnoni
    virnoni

    93 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juillet 2018
    Déception. L'histoire, sous couvert d'utiliser l'évolution des rôles femmes/homme, nous sert de la soupe. De gros clichés sur le papa qui ne saurait pas gérer ses 3 marmots dont une adolescente en pleine crise, un petit morveux touche à touche et un bb monstre hilarant en revanche. C'est le ressort comique de ce dessin animé qui ne révolutionne pas grand chose. Même le visuel est léger. La femme/elasticgirl se découvre plus forte qu'elle ne pensait : girl power et family values. Assez américain au final!
    Les héros sont bien fatigués! Next.
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2022
    La famille Indestructibles est l’une des plus soudées chez le géant Pixar et sa filmographie globalement satisfaisante. 14 ans de patience méritent une introspection rigoureuse, sachant que ce second volet se veut être complémentaire au premier. Brad Bird pose ainsi une continuité sans faiblesse, remâchant toutefois quelques pistes narratives déjà explorées auparavant. Or, cette toute nouvelle matière revient avec une aisance technique qui rend justice aux protagonistes.

    Pas d’ellipse, le film axe son introduction dans un méli-mélo transitoire, en s’appuyant que le dénouement du précédent volet. On nous remet dans le bain épique, souffle que l’on n’espérait pas retrouver aussi tôt. Après quoi, l’identité du récit se précise et le réalisateur s’amuse à détourner des clichés du quotidien pour mieux nous divertir. Il prend notamment exemple des tâches domestiques au foyer, véhiculant par la même occasion des valeurs à la fois féministes et progressistes. On pourrait penser à une redite, dans une certainement mesure, mais le développement de l’intrigue file vers une menace fantôme. L’ennemi des héros est invisible, patient puis rapidement, il devient prévisible. C’est donc dommage d’avoir pris des raccourcis sur un dénouement qui aurait pu apporter plus de frissons. Mais toute la préface suffit à convaincre lorsque l’on met en avant Elasticgirl, le porte-étendard de cette suite.

    Le jeu de pouvoir n’est plus à l’appel et on préfère contourner l’aspect qui fait des super-héros, des êtres incontrôlables. Ici encore, cela vaut la peine de se concentrer sur chaque personnage, qui tient son lot d’engagement. L’émotion est au rendez-vous, notamment l’humour. On ne boudera pas notre plaisir de voir les voir piétiner pour mieux rebondir et c’est un schéma très classique. Jack Jack, le cadet de la famille, est un trésor de possibilité. Il dégage ici une bonne ambiance, avec ce qu’il faut en justesse pour qu’on l’adore, tout en gardant un œil sur l’objectif de la mission. Assimilable à Groot, dans le Marvel Cinematic Universe, la position du bébé permet tout de même plus de fluidité dans les transitions. Mais tout ne se résume pas à lui et la modernité de la famille rattrape le coup. Entre Violette qui vit sa crise d’adolescence et Flèche qui tente de mieux réguler son hyperactivité, nous sommes régalés par des interactions de qualité. Ne reste plus que l’homme de la famille, Mr. Indestructibles qui redécouvre en quoi il doit être exceptionnel pour les citoyens qu’il sauve et pour les enfants qu’il éduque. Sa mise à pied au foyer est d’un renouveau plaisant, car cela laisse une marge de manœuvre intéressante pour sa femme, et même tonton Frozone afin de justifier ce retrait anticipé.

    Et de nouveau, Michael Giacchino excelle pour meubler l’ambiance très accentuée espionnage, dans un premier acte riche. Toujours empreint d’une pointe de nostalgie, les frissons s’accumulent et l’humour triomphe de tout. L’excès n’est pas le mot d’ordre, mais lorsqu’il s’agit de développer deux sous-intrigues qui s’opposent, il y a bien des choix et des règles à respecter. La plus importante demeure intacte et pour notre bien-être, car la déception est peu accessible. « Les Indestructibles 2 » (Incredibles 2) résonne comme une grande réussite. Sa créativité y est pour quelque chose, car l’on ne s’abaisse pas non plus à décortiquer l’animation comme un vulgaire cahier des charges. On y trouve une autonomie rassurante et motivante pour des personnages toujours aussi attachants. Il est essentiel d’en profiter, avec toute la tendresse que l’œuvre s’est efforcé de partager, avec sincérité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 juillet 2018
    J’étais plein d’espoir pour cette suite, mais malheureusement c’est le gros fourre-tout. L’idée de reprendre exactement où on s’était arrêté est plutôt contre-productive et impose dès le début un rythme effréné, alors que les longues phases d’exposition sont d’habitude l’une des qualités de Pixar. Le rythme ne ralentit d’ailleurs jamais et donne l’impression qu’on a voulu faire rentrer trois scénarios dans le même film, avec des pistes sur le féminisme ou les dangers de la technologie qui n’aboutissent jamais. La styliste Edna réussit encore à nous arracher quelques rires, mais c’est globalement très en dessous du premier et il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent, à part une belle scène de course-poursuite au crépuscule.
    CDRIX C.
    CDRIX C.

    36 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2018
    Bon point pour Brad Bird qui ne joue pas la surenchère sur cette suite qui s'enchaîne parfaitement avec son prédécesseur d'il y a 13 ans déjà ! Notre famille de super-héros hors-la-loi n'a pas pris une ride. L'animation est encore impeccable et leurs fantastiques aventures sont sensationnelles avec, en jackpot, l'incroyable prodige et fabuleux Jack-Jack ! On notera la réflexion très intéressante qu'a le personnage de l'Hypnotiseur sur l'utilisation des médias et le contrôle de l'information, qui mérite d'être méditée (et qui n'est pas sans rappeler la façon dont a été traité un certain Thanos il y a peu aussi). Indiscutablement réussi.
    tony-76
    tony-76

    1 009 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 juillet 2018
    Une nostalgie indéniable et un véritable bonheur de retrouver la famille Parr sur le grand écran !!! Les fans de Pixar ont attendu bel et bien 14 ans afin de découvrir ce second épisode ! Après son échec commercial qu'était Tomorrowland, Brad Bird vient renouer ici, le film d'animation. The Incredibles 2 commence à partir des derniers moments du film précédent, à savoir spoiler: sur les actes terroristes du Démolisseur !
    Une entrée dynamique qui ne déçoit guère les parents comme les enfants, puisque les enfants du premier devenu parents du deuxième et ont amené leurs enfants devant cette suite. The Incredibles 2 rassura tout le monde parce que l'oeuvre est respectée de A à Z à son prédécesseur ! Il est entièrement fidèle et comme l'histoire spoiler: reprend là où on l'a laissée,
    les protagonistes n'ont pas vieilli d'une ride. On retrouve la préadolescente Violet, le jeune casse-cou Flèche, l’adorable bébé Jack-Jack, les parents Bob et Helen ainsi que le sympathique Frozone, sous la même forme qu'avant. Sous ses allures de film pour enfants, le long métrage exploite des thématiques matures, dont spoiler: l'éducation (nourrir et prendre soin de nos progénitures) et la parité homme-femme (c'est l'homme qui reste à la maison et c'est la femme qui travaille).
    Ces thèmes plus adultes nous amène à des situations remplies d'action, d'humour et d'émotion. On trouve quelques scènes vraiment impressionnantes au point de vue visuel spoiler: - cette bagarre stroboscopique entre Helen et l'Hypnotiseur dans une cage -
    merveilleusement travaillée ! Le public voit un réel progrès technologique comparé à son aîné (presque 15 ans). Une musique magistrale de Michael Giacchino, digne de l'orignal ! Pareillement pour son générique fin. Le personnage qui vole la vedette dans ce nouveau chapitre s'avère le bébé Jack-Jack !! Mieux mise en avant que l'ancien, l'enfant n'a pas de contrôle sur ses nouveaux super-pouvoirs ce qui génère des situations burlesques savoureuses, spoiler: (on retiendra la séquence entre Jack-Jack et le raton laveur)
    qui sera certainement culte. La styliste Edna Mode est aussi de retour dans ce deuxième volet mais spoiler: malheureusement, elle n'est pas aussi présente à l'écran qu'on l'aurait espéré...
    Autre point, le méchant de l'histoire spoiler: n'est pas à la hauteur de Syndrôme !
    Ce dernier procurait pas mal de frisson et d'émotion, après on a grandi... Bird a mis en place de spoiler: nouveaux super-héros
    dans son film, et ne sont pas très attachants en soi... Malgré quelques légères déceptions, The Incredibles 2 est un film d'animation drôle, inventif, rythmé et bourrées d'idées intelligentes de Pixar. A voir impérativement en famille ! Assurément l'un des meilleurs films de l'été !
    L'Otaku Sensei
    L'Otaku Sensei

    281 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juillet 2018
    Les mots ne suffiront pas à exprimer ô combien j’attendais « Les indestructibles 2 ». C’est bien simple, je n’irais pas par quatre chemins ni n’exagérerais en affirmant que « Les Indestructibles 2 » était tout simplement le film que j’attendais le plus de tous les temps ! Qualifier mon attente envers ce film d’ « impatience » relèverait du doux euphémisme, il n’existe pas de mot assez fort pour expliquer/qualifier mon attente démesurée !! 7 ans, c’est l’âge que j’avais lorsque « Les Indestructibles » premier du nom est sorti en novembre 2004 et que mon père nous avait emmené le voir moi et ma grande sœur ! A cet âge où je n’avais absolument aucune idée de l’étendue infinie de ce cosmos qu’est le 7ème Art, l’âge ou mes petits yeux de bambin rêveur découvraient encore le pouvoir fascinant du grand écran dans les salles obscures, « Les Indestructibles », 6ème film des studios Pixar mettant en scène les aventures d’une famille de Super Héros m’avait littéralement scotché, hypnotisé (^^) comme jamais à mon fauteuil rouge !! « Les Indestructibles » fait parti de ces films qui resteront gravés dans le marbre de mon esprit, un souvenir et un bonheur nostalgique indéboulonnable de mon âme d’enfant ! Comptant parmi mes premières séances de cinéma avec d’autres comme « Monstres & Cie » (2001), « Lilo & Stich » (2002), « Némo » (2003) et « Shrek 2 » (2004), « Les Indestructibles » avec du recul est clairement ma première claque cinématographique , autant esthétique qu’émotionnelle, aujourd’hui encore il occupe une place de choix dans mon cœur, fragment incontestablement fondateur de ma passion pour le Cinéma d’Animation avec les deux premiers « Toy Story » et même quelque part….ma passion pour le cinéma tout court ^^. Aujourd’hui encore, même si Pixar a multiplié les claques visuelles et donner naissance à bons nombres de pépites bourrées d’originalités, devenues des classiques phares comme « Ratatouille » (2007), « Wall-E » (2008), « La-Haut » (2009), « Toy Story 3 » (2010), « Vice Versa » (2015) et la dernière merveille mexicaine en date « Coco » (2017), « Les Indestructibles » (2004) reste à mes yeux sans hésitation l’un de leurs plus grands chef d’œuvre ! Aujourd’hui le film joui d’un statut culte, d’une des plus grandes fan-base de Pixar, parmi les meilleurs films d’animation de l’Histoire et même…pour moi le meilleur film de Super Héros jamais crée !!!
    « Les Indestructibles » de Brad Bird (2004), un film d’animation, qui est pourtant bel et bien à juste titre un film de SH culte et un des pionniers du film de Super-Héros qu’il a contribué à faire renaître/populariser sur grand écran et dans la pop culture au début du siècle, aux côtés des « X-Men » de Bryan Singer (2000), « Spider-Man » de Sam Raimi (2002) ou encore « Incassable » de M.Night Shyamalan (2000) dans lequel Bruce Willis et Samuel L.Jackson ont redonnés leurs lettres de noblesses légitimes aux comics. Hommage succulent aux bons vieux James Bond, nourrit aux influences de Mission Impossible, entre « Les 4 Fantastiques » des comics book de Jack Kirby et Stan Lee (1961), l’animé « Batman » de 1992 et « Les Simpson » de Matt Groening (1989-), « Les Indestructibles » eu l’effet d’une révolution en 2004, aussi bien dans les avancés d’esthétique visuelle avec la modélisation de personnages humains en images de synthèse par ordinateur, mais aussi dans l’ambition et dans la manière visionnaire de concevoir, de traiter du Justicier masqué en collant. Avec « Les Indestructibles », grâce à Brad Bird, le film de Super Héros prenait une toute autre dimension, sociale et d’une profondeur insoupçonnée pour un tel registre !! Rien à voir avec des films kitsch à la testostérone avec des montagnes de muscles en costumes moulants défonçant de gros aliens à la force de leurs poings NON, « Les Indestructibles » fut une œuvre visionnaire au début des années 2000 tout simplement car au-delà de la forme et des traits standards de son genre de film d’action (en plus d’y exceller !!), le film était un véritable film sur la famille et nous présentait des super héros plein de failles, dont l’invincibilité était totalement démystifiée, où ils étaient contraints à l’anonymat par les lois, la politique et l’économie de la société dans laquelle ils devaient se fondre malgré leurs supers pouvoirs. Jamais des super héros n’avaient étés animés d’autant d’humanité et de psychologie, jamais on avait eu autant l’impression que l’animation 3D était un miroir de la vie, jamais un film d’animation n’avait abordé des thématiques universelles de l’âme humaine (crise de la quarantaine, adolescence, vie privée, vie de famille, boulot, chômage….et même une allusion implicite à l’adultère…quand même ^^) et n’avait été doté d’une profondeur de réflexion au-delà du divertissement au même niveau qu’un « Voyage de Chihiro » !
    Enorme succès critique à sa sortie en 2004 ainsi que commercialement parlant avec un franc succès de 633 millions de dollars engrangés pour un budget de 90 millions de $ (serte ce genre de score est vite dépassé aujourd’hui mais à l’époque c’était encore considéré comme un Box-office élevé, surtout en terme d’animation ou les plus gros succès, à part « Le Roi Lion », « Némo » et « Shrek 2» aux scores stratosphériques de 968, 936 et 920 millions de dollars respectivement, dépassaient rarement les 500 millions de dollars) et pourtant…c’est avec amertume que tous les enfants comme moi ayant vu le film au cinéma en 2004 le constatait… « Les Indestructibles 2 » n’arrivait pas alors que tous pensions que cette fameuse fin ouverte ou la famille Parr remettait le masque fasse à cette taupe surgissant de sous terre sur sa gigantesque perceuse allait donner lieu à une suite dans les plus brefs délais. Soyons srx, qui à l’époque n’a pas harcelé ses parents de la même question tous les jours ou à chaque fois qu’il regardait le premier film : « Dis maman, quand est ce qu’il sort Les Indestructibles 2 ??? » xd. C’est une génération entière de tout jeunes fans qui voyaient désespérement les mois, les années s’écoulées sans aucune annonce de suite, à tel point que « Les Indestructibles 2 » était devenue l’une des suites les plus espérée, les plus attendue, les plus souhaitée/désirée par les spectateurs qui prenaient de l’âge parallèlement. J’en ai usé mon dvd du film, j’en ai usé mon jeux vidéo et même celui de « La Terrible attaque du Démolisseur » sur pc à partir duquel j’avais même commencé à imaginer écrire des bribes d’idées sur papier. Cette suite je l’ai rêvé, je l’ai fantasmé, j’avais pourtant presque perdu espoir au fond de moi jusqu’à ce fameux jour du 19 Mars 2014 ou Bob Iger, PDG de Disney-Pixar….officialisa après 10 années de silence le projet de mise en chantier de la suite des Indestructibles…une suite qui arriva enfin cet année après 14 années d’attentes !!!
    spoiler: Face aux Démolisseur, Bob, Hélène, Violette et Flèche n’ont d’autre choix que de ressortir le masque. Mais alors que les Indestructibles font tout leur possible pour empêcher la taupe et sa foreuse géante de dévaster la ville, les dégâts n’en sont que multipliés, ce qui vaut à la famille un nouveau passage à tabac au commissariat tandis que Rick Dicker, l’avocat tente de les sortir de ce mauvais pas. Contrainte au silence par les lois dans un motel puisque leur ancienne maison a brulée, la famille Bob et Hélène s’interrogent sur l’avenir de la famille alors qu’une fois de plus, les super héros sont pointés du doigt. C’est alors que leur ami Lucius/Frozone leur apprend qu’un certain Winston Deavor, millionnaire à la tête d’une entreprise de télécommunication a pour projet de relancer les supers héros en faisant tout pour changer l’opinion publique à leur sujet. Ce dernier requiert alors l’aide d’Elastigirl. D’abord hésitante, Hélène accepte finalement et décide de laisser à Bob le soin de s’occuper de leurs trois enfants. Mais pendant que Mr Indestructible tente tant bien que mal de gérer les tâches du quotidien (surtout les nouveaux pouvoirs incontrôlables de Jack-Jack), la mission d’Elastigirl est soudainement compromise lorsque la mère élastique se retrouve face à un nouveau bad guy, « L’Hypnotiseur ». Ce dernier semble pour d’obscures raisons en vouloir aux super héros… . Mais qui est réellement cet Hypnotiser et quelles sombres ambitions se cachent derrière son plan machiavélique ? Pourquoi semble-t-il nourrir une haine envers les supers ? Les indestructibles et Frozone réussiront-ils à sauver une nouvelle fois la planète de la menace ? Et surtout, qu’adviendra-t-il des Super Héros ??
    Voilà pour le pitch global sans trop en spoiler.
    Verdict : Mon objectif avec « Les Indestructibles 2 » était des plus simples…et pourtant des plus difficiles ; j’espérais de tout cœur revivre cette même expérience, ce même frisson de plaisir, cet émerveillement procuré par le premier volet en 2004…j’espérais de tous cœur que le 2 me ramènerait en enfance, j’espérais au plus profond de mon être, arriver à retrouver mon « Moi » âgé de 7 ans en 2004. Est-ce que « Les Indestructibles 2 » a rempli cet objectif ? Totalement !!! Bon Dieu que je suis ravi de chez ravi ! C’est fait, Pixar l’a fait, Brad Bird l’a fait, ils ont réussi : faire une suite parfaite à un premier film parfait ! Oui les miracles ça existe et indéniablement cette suite en est un ! A des milliers de kilomètres de ce « sympathique réchauffé » qu’était « Le Monde de Dory » en 2016, « Les Indestructibles 2 » est la meilleure suite qu’on ait eu par Pixar avec Toy Story 2 & 3 ; une suite de la trempe du génial « Dragons 2 » de Dreamworks en 2014. Et pourtant le défi était de taille, 14 ans d’attente et une hype d’une ampleur telle que Pixar n’avait absolument pas le droit au moindre faux pas sur cette suite de l’un de leur film d’animation les plus apprécié des fans ! Qui plus est les choses ont bien bougées en 14 ans et aujourd’hui, les films de Super Héros sont devenus le fer de lance de l’industrie Hollywoodienne, entre le Marvel Cinématographique Universe et le DCU, battant des records au box-office mondial. C’était donc un véritable défi que devait relever « Les Indestructibles 2 » à savoir s’imposer de nouveau dans un genre qu’il a lui-même contribué à façonner une décennie et demi avant ! Une tâche ardu que de reconquérir son titre et de plaire à un même public, grandit et qui plus est nettement habitué à ce genre de « choc » depuis le temps ^^. Et pourtant….Marvel et DC peuvent trembler car le roi du film de Super Héros, Brad Bird est de retour plus en forme que jamais dans une suite miraculeuse, marchant de très près dans les traces de son aîné ! Ainsi donc, « Les Indestructibles 2 » vient remettre les pendules à l’heure et nous redonner une leçon, nous rappeler ce qu’est un vrai bon film de Super Héros dans toute sa splendeur !!! Quel plaisir, Quel immense plaisir de retrouver la famille Indestructibles après tout ce temps !
    Armé d’une nouvelle histoire avec beaucoup de suite dans les idées, Brad réussi avec une aisance incroyable à écrire un scénario en béton dont la cohérence impressionne ! Le réalisateur parvient avec une efficacité redoutable à nous ramener instantanément 14 ans en arrière, par de simples raccords, en quelques secondes….à gommer 14 ans, quelques secondes qui auront ironiquement été les plus longues de toute notre vie. Dès l’apparition du château de Disney lors de l’ouverture du film, dès l’apparition de la lampe de bureau sautilleuse accompagné des notes de musiques familières de Michael Giacchino…instantanément on est remis dans le bain et on retrouve toute la famille comme si on ne les avait jamais quittés ! Le film commence dans le feu de l’action et nous hypnotise littéralement pour les 2h qui suivent. Le scénario est très ingénieux, recherché, tantôt épic, tantôt léger et comique, tantôt pouvant basculer dans le sombre presque stressant, Bird nous fait vivre de véritables expériences ou l’émotionnel et l’esthétique se rejoignent, en réussissant à user de tous l’éventail de l’émotion. Au-delà de la simple idée d’inverser les rôles et de mettre Elastigirl au premier plan, en aucun cas le film n’est un miroir inversé/plagiat du premier opus ; ni la forme ni le fond ne ressemble au premier film, jamais le réalisateur ne donne l’impression de se reposer sur ses acquis et cherche à aller encore plus loin dans les thématiques posées auparavant. Cette fois Brad Bird ose aller jusqu’à questionner, remettre en question le rôle du Super Héros face à la société et à la Justice, la perception médiatique du SH ! « Les Indestructibles 2 » arrive à nous toucher en plein cœur, à nous rappeler les « Spider-Man » de Sam Raimi (2002-2007) spoiler: (la scène ou Elastigirl tente d’arrêter le train dont le conducteur est contrôlé par l’Hypnotiseur rappel beaucoup Tobbey McGuire dans « Spider-Man 2 » (2004) essayant d’arrêter le train de toutes ses forces jusqu’à s’en déchirer le super costume)
    dont il se rapproche énormément de part ses scènes presque clins d’œil et sa façon de donner autant d’épaisseur psychologique aux supers héros et au super méchant ! Surtout que depuis le premier, Brad Bird a nettement renforcé sa mise en scène en terme de scènes d’action, notamment la surexcitante spoiler: séquence de la course poursuite ou Hélène-Elastigrl poursuit le train à moto extensible en sautant des toits en toits allant même jusqu’à rouler sur un grue ; et puis aussi la séquence d’abordage de l’hélicoptère…
    on reconnaît bien là la pâte du réalisateur de « Protocole Fantôme » (2011), soit dit en passant, le meilleur « Mission Impossible » qui soit !
    . Le film est encore une fois d’une intelligence jamais vue pour un film d’action super héroïque. Brad Bird est décidément l’un des seuls réalisateurs américains à avoir comprit que les films d’animation n’étaient pas réservés qu’au jeune public et pouvaient aussi délivrer une grande réflexivité. Parce que « Les Indestructibles 2 », ça te parle Sexisme, ça te parle de politique et des médias, le tout avec une très grande subtilité, sans jamais nous envoyer sa réflexion en coup de poing dans la poire et sans jamais tomber dans les clichés Marveliens du genre (je suis fan du MCU, pas taper). Je vais re-citer les dires de Brad Bird que j’ai trouvé à propos du film dans un magazine Première : « Si on avait envisagé Les indestructibles 2 comme un film de super héros, on se serait mis dans de beaux draps » ; à partir de là on comprend toute la démarche du réalisateur qui l’avait déjà expliqué à l’époque de la sortie du 1, dans « Les Indestructibles », le côté super héros n’est pas et n’a jamais été l’objectif premier du film, mais avant tout il s’agit de s’en servir pour illustrer, métaphoriser une histoire de Famille. C’est exactement la même ADN qu’avec le premier, je dirais même que celui-ci parle encore mieux de la famille que le premier sur ce point ! Il n’a jamais été question de facilité dans l’inversion des rôles mais d’une piste pour pousser la critique encore plus loin, pour montrer la difficulté d’être parent au quotidien.
    Les personnages sont toujours à tomber ! Dotés d’un super développement (hormis peut-être Flèche qui passe plus au second plan par rapport aux autres mais d’un autre côté il avait été plus développé dans le premier à contrario de Violette donc normal que Bird rééquilibre la balance), l’intrigue de la suite permet d’approfondir encore leur caractère à travers les défis du quotidien auxquels ils doivent faire face malgré leurs pouvoirs ; en particulier Violette (ma première waifu <3) spoiler: qui fait face à un Tony dont Ricker a effacé la mémoire après que celui-ci ait aperçu la fille Parr dans son costume sur le parking au tout début,
    Jack-Jack dont les supers pouvoirs imprévisibles donnent lieu à des gags géniaux, tout le monde retiendra la séquence déjà culte de spoiler: son combat contre le raton laveur (RIP Rocket des Gardiens de la Galaxie MDR ^^^)
    et Elastigirl qui devient ici un véritable homologue féminin de James Bond, Ethan Hunt et Spider-Man à la fois, à la flexibilité d’une badassitude digne de John McLane de « Die Hard » ! Le côté espionnage du film est vraiment stylée, spoiler: en plus des séquences d’action de la moto élasti-cycle et du sauvetage de l’hélico, une qui marque particulièrement est le premier affrontement entre Elastigirl et l’Hypnotiseur dans la cage à lumière stroboscopique (assez violente puisque Hélène se prend même carrément un coup de matraque électrique, pour des gosses c’est chaud !). Pour le coup j’ai beaucoup pensé à Bruce « David Dune » Willis dans « Incassable » (2000) à la fin.

    L’antagoniste était le seul point noir à craindre (passer après Syndrome c’est quand même un sacré challenge, c’est comme Julianne Moore dans « Kingsman 2 » qui passe après Samuel L.Jackson dans le premier)…eh ben non ; le méchant est excellent !! Syndrome est inoubliable pour son côté bouffon (et sa coupe de cheveux) mais alors l’Hypnotiseur, lui il fait vraiment froid dans le dos ! Alfred Hitchock avait entièrement raison lorsqu’il disait : « Plus réussi est le méchant, plus réussi sera le film » ! Le réalisateur du « Géant de Fer » (1998) à appliquer les conseil du maître du suspens à la lettre en créant un antagoniste masqué, mystérieux, machiavélique, manipulateur, agissant dans l’ombre en contrôlant les gens via les écrans ! Brad l’a entièrement compris, intégré, pas besoin d’une menace extraterrestre ou quoi que ce soit d’une autre galaxie lointaine, très lointaine, la noirceur du monde se terre dans notre quotidien ! L’idée de génie qu’a eu le réalisateur à travers ce méchant est d’établir spoiler: une critique de notre société de consommation et des écrans. Dans notre société, tous les jours, nous sommes cernés par des écrans, accros aux écrans, ils sont omniprésents. C’est à travers une critique de cette omniprésence des écrans que s’inscrivent toutes les ambitions de l’antagoniste. Ici l’omniprésence des écrans devient une arme de propagande, une arme capable de contrôler, diriger la perception des gens, et c’est là-dessus, en poussant la thématiques des écrans et des médias à son paroxysme que Bird construit le personnage de L’Hypnotiseur. Et le fait qu’il s’agisse d’Evelyne Deavor est une autre excellente idée (là encore un engagement féministe, mais absolument pas barbant car les ambitions du personnage ne tourne absolument pas autour de ça), le personnage souhaitant utiliser les écrans pour contrôler les supers héros et les faire agir de sorte à ce qu’ils deviennent des criminels, pour que les gens ne soient plus faibles, dépendants et aliénés aux supers héros.

    Perso j’ai bien flashé sur Vortex, son pouvoir inter-dimensionnel est bien stylé aussi et permet des séquences d’action bien inventives.
    Côté casting, alors là honnêtement, j’avais peur ! On aura tout d’abord une pensée au regretté Marc Alfos parti trop tôt en 2012 (RIP Marco ^^), quand j’ai appris que Mr Indestructible allait être doublé par Gérard « Manny » Lanvin, j’ai été très inquiet ; j’imaginais vraiment pas la voix grave du mammouth de « L’Âge de Glace » mais au final très agréablement surpris, l’acteur, bien qu’il ait dit ne pas s’être inspiré du travail vocal d’Alfos, a bien réussi à ajuster sa voix, quand à Louane qui succède à Lorie au doublage de Violette…ben là aussi ça passe beaucoup mieux qu’attendu ; pour un troisième essai à l’exercice après Poppy dans « Les Trolls » de Dreamworks (2016) et « Sahara » en 2017, la jeune actrice de « La Famille Bélier » (2014) confirme ses très bonnes aptitude au doublage !
    Bon, je pense que je vais m’arrêter là, je pense en avoir dit bien assez. Pour conclure, « Les Indestructibles 2 » est un vrai coup de génie ! Une suite parfaite de ce qui était déjà un chef d’œuvre du film de super héros. Meilleur ou inférieur au premier ? Je ne saurais le dire, du moins j’aurais tendance à dire inférieur au premier mais juste parce que je n’ai pas encore autant investi affectivement le deuxième mais avec le temps, je pense qu’il occupera très vite une même place de choix dans mon cœur ! Après la merveille « Coco » en 2017, Pixar revient plus en forme que jamais avec la meilleure suite de leur catalogue avec celles de « Toy Story ». Définitivement « L’âge noir » Pixarien semble derrière, j’espère du moins que « Toy Story 4 » l’année prochaine ne me fera pas regretté d’avoir dit ça ; il y a de quoi avoir peur mais je préfère l’optimisme. Merci de tout cœur Brad Bird, merci Pixar, maintenant l’enfant que je suis va pouvoir pleinement devenir adulte !!!
    PS : le petit court métrage « Bao » était tout mignon, j’ai hâte de voir ce que Domee Shi nous proposera aux commandes d’un prochain long métrage Pixar prévu pour 2020 !!
    zaminou
    zaminou

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2018
    Vu en avant première à Annecy, Magnifique.
    Comment font ils pour qu'on ai l'impression de ressenti des matières ce soucis des détails jusque dans le carrelage du sol de la villa qui rappelle celui de nos grands parents quand nous étions enfants.
    Le personnage de Jack Jack est génial, le combat du héro contre son propre machisme tout est réussi et comme pour le premier une mention spéciale pour Edna sublime et la voix d'Amanda pure idée de génie pour ce personnage que l'on voudrait voir plus.
    Le film à fait l'humanité à la séance.
    Bravo Pixar
    PS le court métrage Bao est un petit chef d'oeuvre de tendresse
    Anna D.
    Anna D.

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2018
    14 ans après, la famille Indestructible revient pour une nouvelle aventure. Et quelle aventure ! Une histoire bien menée, des graphismes superbes à la hauteur des studios Pixar et Disney et un humour présent de la première à la dernière seconde du film. Bravo, mérite entièrement ces 5 étoiles.
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