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    Spring Breakers
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    2,2
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    1 640 critiques spectateurs

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    ptitarya
    ptitarya

    40 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2014
    Dur de noter un film comme ça, il y a des choses qui m'ont plu et d'autres moins. Il plane comme un air poétique sur ce film, ça m'a fait pensé à certains moments à l'ambiance de "drive". Mais bon ce qui m'a gêné c'est le fait qu'on reste un peu sur notre fin, car il ne se passe pas grand chose, c'est vite fini (contrairement à "drive" qui arrivait a avoir un scénario assez solide tout en ayant cet de légèreté poétique). A peine le spring break fini, selena gomez disparaît du film...du coup j'ai été déçu car on peut résumer ce film avec qqs événements: spoiler: spring break, période ou elles st jugées, rencontre avec Alien, début de la vie avec Alien, et attaque du clan rival et fin.

    Les 4 filles jouent bien leur rôle chacune dans leur propre émotions , quant a James franco qui campe le rôle Alien, il est méconnaissable et joue bien son rôle de rappeur/dealeur. Enfin c'est un film assez original, beaucoup n'aimeront pas c'est sur mais c'est assez intrigant et nous dépeins bien la folie que peut provoquer le "rêve américain" et cette jeunesse américaine qui est prêt a tout.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 janvier 2014
    Film idéal pour les jeunes adolescents en rue!!!!!
    Benjub
    Benjub

    40 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    Un film ennuyeux qui lasse très rapidement par des acteurs qui surjouent et une histoire banale. Spring breakers n'est pas la réussite attendue.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juillet 2013
    Contrairement à beaucoup de personnes j'ai adoré ce film, son ambiance. Qu'on se le dise, il ne s'agit pas d'un film type project X, c'est même son opposé : il se rapproche bien plus d'un gus van sant que d'un american pie. Le scenario tient sur une ligne, l'intrigue n'a rien de réaliste mais là n'est pas l'important. La réalisation est franchement géniale, les plans sont très esthétiques. La musique en totale adéquation avec le film. Cela donne une atmosphère spéciale, volontairement irréelle, malsaine et sexy. Le spring break n'est presque qu'un prétexte pour parler d'une génération. Le réalisateur a plus cherché à capter l'image fantasmagorique de cet évènement plutôt qu'à le filmer de façon réelle et d'ailleurs, on s'en éloigne au final assez vite.

    Comme le disait une personne dans sa critique, le film a des allures de conte des temps modernes avec un certain nombre de messages qui transparaissent de façon suggestives. Il faut bien entendu passer la vision que beaucoup de gens ont eu du film à savoir quelque chose de "mou, stupide qui ne raconte rien" pour vraiment essayer d'analyser ce que le réalisateur a voulu exprimer dans son œ transparait une critique de la pop culture actuelle, de ses valeurs, l'absurdité qui en découle, la recherche absolue de jouissance, l'abyssal manque de réflexion d'une certaine jeunesse,.

    Certaines scènes sont exceptionnelles. Mention spécial à celle ridicule spoiler: dans laquelle James Franco joue du britney spears au piano pendant que les filles dansent armes à la main.
    C'est tout un symbole de l'absurdité et de la stupidité de certaines valeurs véhiculées par la pop culture et c'est en même temps filmé de manière magistralement stylisé avec de très beaux plans au ralenti. Le choix de britney spears n'est pas anodin : elle fait figure d’icône de la pop culture et son parcours personnel destructeur est complètement en adéquation avec le destin de ces quatre héroïnes. La fin complètement irréelle du film est elle aussi marquante.

    Niveau acteurs James Franco est impressionnant dans son rôle de gangsta. Les 4 actrices jouent très bien leur rôle de filles pommés, sexy et stupides. Le choix de filles venant de teen movies disney est très pertinent.

    Au final, allez voir ce film mais ne vous bornez pas à suivre l'histoire de façon littérale. Contrairement à ce que beaucoup de gens ont pensé, il vaut vraiment la peine mais il faut faire l'effort de voir ce qu'il y a derrière les images pour vraiment le comprendre : c'est un film d'auteur avant tout.
    J.Dredd59
    J.Dredd59

    93 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 juillet 2015
    Un déballage de corps dénudés, de bikinis, de mauvaises actions déclenchées par une débilité profonde, de faux caïds mal faits et de marketing bien sur. Un bon film américain en somme.
    On reprend juste un poncif de la culture US : le spring break, on y rajoute de quoi faire une histoire qui dénote un peu des habituelles beuveries débouchant sur des coucheries, on met quelques stars bankables pour attirer le gogo et voilà comment on fait un film.
    A aucun moment on ne parle de performances d'acteur, de musique, de scénario, d'histoire, de dénonciation d'un fait de société, de critique (quoique celle de la presse se met au diapason du succès espéré pour argumenter, en gros puisque ça va marcher le film est bon pour eux), de texte bien écrit... Non c'est juste de la bouse bien emballée, dégustez chaud.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 mars 2013
    Un chef d'oeuvre incompris de la part du public. Ce film montre une jeunesse ne sachant plus faire entre fiction et réalité. D’ailleurs la fameuse phrase " on a qu'a faire comme si c’était un jeux vidéo" prend tous son sens. Une descente aux enfers pour ces filles. La fin plonge le spectateur dans une exagération digne d'un jeux vidéo à la GTA, Qui montre encore une fois de plus la faible frontière entre réalité et fiction.
    Un film magnifique comme on aimerait en voir plus souvent.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 avril 2013
    Cela ressemble à un film expérimental, mais le réalisateur n'a pas l'air d'avoir l'expérience de ce genre. Les répétitions, le surcadrage, le jeu de lumière ne font que déstabiliser le spectateur, et le séparer du film. Une violence, une monstration de la décadence de l'adolescence trop forte pour être vraie, et malgré le jeu de Franco exceptionnel, le long-métrage ressemble à un clip qui se perpétue et se répète, et se répète de nouveau. Ca ne doit pas être simplement déconseillé aux enfants, mais à tout le monde.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    114 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 août 2013
    Quelle purge ! Je crois utile avant toute chose de voir ou revoir Another day in paradise (Larry Clark) La balade sauvage (Terence Mallick), The honeymoon killers (Leonard Kastle) - qui abordèrent en leurs temps la thématique d'une jeunesse à la dérive, en mal d'idéaux et de modèles échouant fatalement dans une violence gratuite, aveuglée par de l'amour factice. C'est en les revoyant qu'on réalisera à quel point Spring Breakers est aussi creux et crétin que ses personnages, et qu'on vienne pas me rétorquer que si c'est vide, si les dialogues sont pauvres, si l'ensemble est incurablement nulissime, c'est que c'est "fait exprès"... Quand on colle de trop près à son sujet (l'absolue bêtise d'une certaine jeunesse US), le risque c'est d'en choper les symptômes. Quand un réalisateur aime si peu ses personnages, qu'il les raconte avec autant de prétention et si peu d'humour, faut pas qu'il s'étonne d'accoucher d'une bouse.
    Chris L.
    Chris L.

    27 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mars 2013
    Tout simplement le plus gros navet du XXIème siècle. Comment James Franco a pu accepter une telle merde...?!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 janvier 2014
    J'ai juste entendu dire qu'il était bien, j'ai lu le résumé et je me suis dit un film avec des fille en bikini qui font des braquages, pourquoi pas cela peut être marrant, sauf que ce film est l'un des plus gros navets que j'ai vu de toute ma vie, aucune cohérence dans le scénario, on crois toujours qu'un moment sa va partir en cacahuète et en réalité y ce passe rien. Exemple quand l'une des filles est complètement bourré et qu'elle provoque pendant 15 min les mecs dans le même état qu'elle en leur disant que " t’aura pas ma chatte, t'aura pas ma chatte " je me suis dit c'est sur elle est cuite ben non même pas c'est comme si la scène ne c'était pas passé ou encore l'autre blaireau d'Alien qui fait son beau " je suis le plus riche, je baise tous le monde etc etc " et qui crève comme une pauvre merde alors que le mec qui la descendu courrait vers lui sur un pont rose Barbie. En gros le pauvre gars n'a même pas tilté qu'il allait ce faire buter et franchement ce film faut le voir juste pour ce rendre compte du nombre d’Incohérence, de vulgarité de connerie et à quel point c'est malsain. Je m’énerve en écrivant tellement j'ai été dépité de voir ce film qui paradoxalement ma beaucoup fait rire par l'absurdité de son scénario, de la manière dont c'est tournée et j'en passe. C'est pas évident de dire à quel point il est mauvais parce que à la base il aurait eu tous ce qu'il faut pour être un bon film, certes pas un chef d'oeuvre mais un bon film. Bref Nul nul et encore nul !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 mars 2013
    Vraiment inintéressant comme film, je me fais rarement chier au cinéma, mais la c'était très clairement le cas !
    L'affiche en dit long, on te vent des nana à moitié a poil, et même de ce coté la, ça ne vaut même pas le déplacement ! Ce n'est même pas digne d'un téléfilm a passé en semaine aux heures creuses !
    Psydered
    Psydered

    45 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2015
    La première fois que je vois un film de ce genre plus acclamé par la presse que par le bon gros lot de spectateurs teenage. Le scénario n'est pas très rechercher, on est d'ailleurs pas la pour ça. Hormis James Franco, spoiler: (qui se fait abattre comme la pire des mer*es à la fin du film, étant le personnage principal ça m'a vraiment surpris)
    le reste des coqueluches de Walt Disney essaye de se débrouiller tant bien que mal devant la caméra, bon ça va le résultat aurait pu être pire. A la fois un côté novateur et un côté de déjà vu Spring Breakers vaut son pesant de cacahuètes !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 mai 2014
    Certains notent mal ce film car ils ne comprennent pas la poésie qui s'en dégage le sous texte sociétal et pour une fois une vraie vision de la jeunesse occidentale, paumée, dure qui s'ennuie..un vrai bon film à condition d'avoir un vécu et ne pas avoir arrêté l'école en 6e comme certains utilisateurs. La photographie est magnifique.
    Piwi47
    Piwi47

    29 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2013
    La comparaison avec Malick avait de quoi surprendre, « Spring Breakers », présenté en compétition officielle à la Mostra de Venise 2012, est pourtant THE surprise de ce début d’année. Le film fait actuellement jaser le web pour trois raisons : le casting tout d'abord, composé essentiellement de jeunes princesses Disney (Selena Gomez, Vanessa Hudgens, Rachel Korine, Ashley Benson) qui effectuent ici un virage à 180° en incarnant des adolescentes faussement sages, dévergondées comme jamais et complètement défoncées au crack ; le deuxième motif probable de l'hystérie collective émerge de la bande-annonce du long métrage, jugée niaise par certains, laissant présager un ersatz de « Projet X » ; enfin, le nom du metteur en scène, Harmony Korine, petit protégé de Larry Clark – il a écrit pour lui le scénario de « Kids » et de « Ken Park » – issu d'un milieu plutôt indépendant et assez barré si l'on se réfère à son « Gummo ». Pas étonnant non plus de retrouver le bonhomme crédité au générique de quelques films de Gus Van Sant, cette fois en tant qu'acteur : « Will Hunting » et « Last Days ».

    Ça commence comme un bon vieux clip MTV – plans serrés sur des donzelles en bikini et messieurs huilés se trémoussant sur une plage de Floride pendant la fête printanière orgiaque de « Spring Break », le tout filmé à vitesse grand V et à grands renforts de son pop – et pourtant, quelque chose cloche. Quoi donc ? Peut être cet espoir naïf d’être plus emballé par la suite par un tout autre spectacle, plus propice au doute et à la réflexion. Puis voilà, le fantasme se transforme rapidement en réalité avec l’arrivée en scène, lors d’une séquence nocturne brillamment filmée, des personnages féminins. Candy, Faith, Brit et Cotty sont amies depuis le primaire. Qui sont-elles ? D’où viennent-elles ? Peu importe. Vides et lasses d’une vie monotone sans affect, nos quatre borderline, véritables égéries de la jeunesse américaine décadente sans limite, désirent plus que tout au monde connaître l’environnement inconnu et libertin du Spring Break. Le rêve américain vendu dans les médias d’aujourd’hui (pubs, réseaux sociaux) en quelque sorte. Le sentiment d’abandon et l’errance pathologique conduisent nos protagonistes vers une rencontre improbable : « Alien », gourou, amant, dealer, psychothérapeute, oui tout ça à la fois. Soudain, tout bascule, et la descente aux enfers peut commencer.

    Loin d’un cliché sexiste ou misogyne, « Spring Breakers », sur ses (faux) airs de teenage movie us, est un voyage initiatique et satirique de l’Amérique puritaine, une parfaite vitrine d'un American Dream en pleine déconstruction en somme. Point de controverses ou d'incitations à la débauche et à la violence ici, bien au contraire. Personnages peu enviables, situations peu complaisantes, goût amer de la liberté, expédition envoûtante mais pernicieuse, tout est bon pour provoquer la nausée du spectateur qui sort de l’aventure plus mûr qu’un abricot. Avec « Spring Breakers », Korine propose une œuvre unique, lente et contemplative, riche d’excès en tout genre qui, jamais approuvés, sont plutôt moralement interrogés dans l’enfoncement inéluctable dans lequel sombrent les quatre nénettes. « On s'est enfin trouvées » lâche Candy (Vanessa Hudgens) en fin de course au téléphone à sa mère. Parole résonnant comme l’apogée de l’expédition transgressive. Ces coups de fil aux parents, parlons-en. Tentatives fructueuses (ou pas!) de ramener nos quatre adolescentes à la réalité d’une vie mortifère.

    Empruntant aussi bien au corrosif de « Battle Royale » qu’au subversif Winding Refn (« Drive ») ou aux sensei Larry Clark / Gus Van Sant, Harmony Korine se détache néanmoins de ses maîtres par un style plus visuel et fictionnel grâce à une mise en scène intelligente et longuement ciselée.

    Plusieurs artifices à saluer : tout d’abord, l’esthétique MTV savamment détournée (la réalisation clipesque, les chansons rap, la pop culture, l’image de la génération Britney Spears) et intégrée à la façon de flashs délirants dans le montage, la pellicule sublime d’autre part (couleurs fluo tape-à-l’œil contrastant avec le ton sombre du long métrage), une pellicule qu’on aimerait pouvoir lécher, signée Benoît Debie, directeur de photographie attitré de Gaspard Noé et Fabrice Du Welz.

    Moment de grâce lors d’une séquence folle où le guide spirituel James Franco, entouré de ses muses encagoulées et armées jusqu’aux dents, pousse la chansonnette et reprend divinement en version piano le « Everytime » de Britney Spears.

    L’enfant chéri du cinéma pop underground emploie par ailleurs un casting parfait en écorchant l’image de ses stars Selena Gomez & Vanessa Hudgens. Le surnom « Disney girls gone wild » vu partout dans les médias reflète parfaitement le traitement dénaturant de ces jeunes filles BCBG.

    James Franco est, quant à lui, méconnaissable mais impérial en malfrat notoire. L’Oscar n’est pas loin bonhomme, courage !

    Un mot enfin sur la BO, signée Skrillex & Cliff Martinez, compositeur de « Drive » et « Contagion », ensorcelante comme toujours et transcendant le propos.

    Quelques bémols dont se nourriront probablement les détracteurs : et d’une, le marketing du film (trailer, affiches, interviews) un peu pervers, faut l’avouer, qui racole comme un énième « American Pie » et, interroge fortement sur la compréhension de l’enjeu par l’équipe derrière la caméra. Ensuite, le reproche d’être toujours un peu sur le fil et de ne pas assez se politiser, en somme, de manquer de l’audace attendue tant qu’à faire.

    Bilan : « Spring Breakers », ou le coup de massue dans la conscience collective indue, Harmony Korine frappe fort. Nettement plus profond qu'il n'y paraît, cet « anti-American Pie », sans format ou calibre, est une authentique bombe à retardement dont on pensera dans quelques années qu’elle était un signal d'alarme d'un monde en perdition.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 mars 2013
    Decline Trip Fluo
    De la première à la dernière seconde tout est fluo et pourtant ça ne sonne pas vraiment faux et rien n'est stabyloté. Excepté peut-être le personnage de James Franco qui offre une prestation spectaculaire.
    De cette surenchère de personnages haut-en-couleurs et du visuel fluorescent conjuguée à la musique de Skrillex (enfin proposée au cinéma) en résulte la création réussie d'une ambiance captivante. Le montage précisément désordonné nous fait vivre pleinement la décadence de l’intérieur comme le faisaient très bien Trainspotting ou Requiem for a Dream.
    Jolie paradoxe que cet incruste de couleurs flaschies dans un monde bien sombre. Les tigres sur les maillots sont roses, comme les cagoules, c'est chouette.
    Les quatre têtes d'affiche féminines donnent cher de leur peau, souvent très dévoilée, et prennent à grand contre-pied le jeune public qui a pu les suivre jusque là et surprennent probablement bien des réfractaires chargés de pré-avis sur ces noms bien plus évocateurs pour les ados.
    Enfin, un regard à la fois amusé et inquiétant sur la jeunesse américaine d'aujourd'hui et son déclin. Illustrée par des naïades qui font monter la folie autant que la température des salles et des gangsta-rappeurs pariodiés avec une dérision culottée.
    Facile de décrire cette première surprise de l'année (2013) en trois mots;
    Pink, Sex & Guns
    ou bien Sea, Skrillex & Fun.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
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