Avis : Spring Breakers - Page 8

Bah écouter on aime ou on aime pas c'est un film de sexe,drogue,fête et action sois on aime ou on aime pas moi j'ai adorer et je regrette pas 8,40 pour voir ce film sa vaut le coup !! =)

Honteux, nul inimaginable de tourner une daube pareil... Certain acteurs sont tombés bien bas en Amérique

Vous avez vu la bande annonce : vous avez vu le film !! Scénario pourri, aucune surprise, ni rebondissement, ni rien du tout, du cul, du cul et ENCORE du cul, avec en prime INSULTES ET VIOLENCE sans raisons !!! Ennui GARANTI, une sorte de "projet X" réétudié en springbreak !!! Si vous êtes cinéphile, n'allez pas voir ça.

Si c'est ça le cinéma d'auteur aujourd'hui, hé bien nous atteignons les abysses de la connerie. En quoi ce film est un film d'auteur, non mais c'est du délire !
Un sujet qui aurait du être traiter d'une manière beaucoup moins superficielle. Le réal est tombé les deux pieds dedans sur le cliché teen-movie à la sauce fesses, nichons, drogue sans aucun traitement de fond. Bref, le scénario est léger de chez léger, et les jolis minois en bikinis sont tentés nous faire oublier la platitude d'une histoire inexistante et d'un sujet très mal traité . Je mets deux étoiles uniquement pour la réalisation qui propose quelques plans bien réussis et de bons effets sur les lumières et le montage. De la provoc', rien que de la provoc' gratuite traité façon MTV : il est bien beau le cinéma d'auteur...

Le film le plus ennuyeux de ma vie ! C'est la PREMIÈRE fois que je quitte la salle avant la fin du film !

Une grosse blague ce film ! Une histoire incompréhensible voir totalement absente, un mélange de plusieurs scènes entrecoupées qui donne un rythme agaçant et soporifique. Même les réalisateurs connaissait l'ennuie provoqué par leur film et ont été obligé de rajouter des scènes de cul totalement gratuites et sans intérêts pour tenter de garder l'attention de son auditoire. Et la fin.. Je n'en parlerai pas pour ne pas spoiler mais une fin qui manque cruellement de crédibilité et de sens.. Je pense que c'est réellement le plus mauvais film que je n'ai vu ! A éviter sérieusement !

"Spring break bitches !"
Candy, Faith, Cotty et Brit sont quatre étudiantes qui rêvent de partir faire un spring break en Floride. Seul souci : elles n'ont pas un rond. Qu'à cela ne tienne, allons braquer un fast-food, les filles ! Ce qu'elles font avec succès pour ensuite partir, comme prévu, passer des vacances de rêve sur la plage, comme prévu, se retrouver en taule... ah, c'était pas prévu, ça. Ni la rencontre avec Alien, un rappeur-dealer-gangster à la fois sympathique et inquiétant qui les sort de cabane et les entraîne avec lui, aussi bien dans sa carrière criminelle que dans sa vie privée...
Sans connaître le réalisateur, au vu du casting, de la bande-annonce et du pitch, on était en droit de s'attendre à un teen movie grand public, peut-être pas mauvais mais en tout cas un peu bête et tout à fait inconséquent. Finalement, on nous offre un film d'auteur expérimental et déconcertant, aussi je ne peux m'empêcher de sourire en imaginant, face à cet OVNI, la réaction des pré-ados fans de Selena Gomez et de Vanessa Hudgens, impatient(e)s à l'idée de découvrir un "Projet X like". Non mes petits, vous avez pris la mauvaise route ! Ah la la, ils vont tomber de haut, les pauvres.
Mesdames et messieurs, voici l'équivalent cinématographique du LSD ! Qu'on se le dise immédiatement, le scénario de "Spring Breakers" tient sur un fragment de papier-cul. Certes il y a un message derrière cette débauche de sexe et de drogue : ce n'est pas en se livrant à tous les excès qu'on trouve un sens à la vie, et si l'on croit en trouver un, ça n'est qu'une illusion. Un message, oui, pour sûr, mais pas d'histoire consistante, celle-ci se résumant à une succession d'images de fête, de cul et de violence pour mieux illustrer le propos. Il y a bien une banale rivalité entre gangsters, ainsi qu'une espèce d'amourette glauque entre Alien et trois des filles, mais c'est tout. Rien d'autre. Et pourtant, c'est magnifique. Il se dégage de cette tragi-comédie trash une force incroyable, à la fois fascinante et repoussante, remplie d'émotions étranges, contradictoires, insaisissables et profondément dérangeantes. Comment expliquer un tel ressenti ? C'est simple : la mise en scène, ultra-stylisée, est l'oeuvre d'un génie. Harmony Korine manie sa caméra comme un poète manie sa plume ; à cela s'ajoutent une musique électro étourdissante, des plans hypnotiques, des filtres pop de toutes les couleurs, des ralentis psychédéliques, et bien sûr la voix-off de James Franco, traînante et répétitive ("Spring break... Spring break...")... autant d'éléments génialement conçus de manière à faire vivre au spectateur un trip sans équivalent dans ce qu'on a pu voir jusqu'alors au cinéma. On peut éventuellement citer "Enter the void" ainsi que certains films de Nicolas Winding Refn, mais c'est encore différent. Pourquoi ? Impossible à expliquer, il faut le voir pour comprendre. Côté distribution, on ne pouvait rêver mieux : les actrices, opérant toutes un virage plus ou moins radical dans leur carrière, sont crédibles à 100% et James Franco se voit affublé d'un rôle à la fois sombre et déjanté qui lui va à merveille.
Fun et drôle par moments, mais surtout tragique et désenchanté, ce conte moderne hors du temps, en dépit de quelques imperfections (longueurs, dialogues inégaux), enchantera les cinéphiles réceptifs à ce genre d'expériences sensorielles déroutantes... et donnera aux autres une profonde envie de dégueuler, ce qui est tout à fait compréhensible. A vous de juger !

Autant vous le dire, je ne m'attendais pas a ça en voyant la bande annonce ! Je pensais à un Projet X plus sexy et fluo, mais le résultat dépasse juste l'imagination. Je suis convaincu que ce n'est pas un film a prendre au premier degrés, car il y a bien quelque chose derrière ces images détraquées de filles prêtes a tout. Par des plans magnifiques qui laissent sans voix, filmés d'une façon spéciale, rythmés par une musique pop/electro d'enfer qui met direct le ton, on sent quelque chose d'autre derrières des images parfois perturbantes, si tordues quelles en deviennent incroyables. On reste bouche bée et pantelant devant ces filles qui se droguent, se dénudent et se donnent à la criminalité ; en comprenant que ce n'est la qu'un moyen de chercher ce qu'elles sont. Un film étrange donc, qui laisse un goût légèrement amer, acidulé, en sortant de la salle, comme si on n'avait pas bien compris tout ce qu'on avait vu. Aveuglés, assourdis ? Sans doute, par tant de poésie cachée par des plans sexys et fluorescents, éclairés de néons et martelés de "Spring Break" chuchotés et lancinants, comme une mauvaise musique qui se répète mais qu'on ne peut s'empêcher de fredonner. Une surprise, et, une fois pris le temps du réfléchir, un coup de cœur. À voir au cinéma pour la musique et les couleurs délirantes. Car, passé les premières impressions de d'être trompé de salle, on découvre un univers tordu et renversant, plastique, sexy, légèrement poétique, aux jeux d'acteurs étranges et perturbants, martelés des "putain" de James Franco, tout simplement bluffant et impressionnant au début. D'une scène de dialogue avec Selena Gomez, en passant par un passage sur fond de Britney Spears, ponctué de moments drogués et sexy, on découvre là un film qui marque, unique en son genre, et dépassant tout ce que mon pouvait imaginer en matière d'osé. À ne pas conseiller pour n'importe qui ;
un coup de cœur donc, qui se laisse réfléchir et apprécier passé le goût dérangeant de la première vue.

Une oeuvre étrange, à l’opposé des teen movies américains habituels qui pullulent sur le marché. Ce qui marque d'entrée c'est la mise en scène : originale, mélancolique, sale et surtout dénonciatrice. Dénonciatrice de la culture pop dans laquelle nous vivons, nous les jeunes. Ces quatre filles là sont complètement paumées, l'idée même du Spring Break pour elles correspond à la liberté, à l'unique façon de se connaitre soi même, de savoir qui elles sont. Le ton est donné, on aura droit à une descente aux enfers dès lors qu'elles rencontreront le personnage d'Alien, bien interprété par James Franco (même si c'est loin d’être un de ses meilleurs rôles). Niveau mise en scène c'est sublime, sur ce point c'est indéniable que ce soit les couleurs magistralement mises en place, les effets de flous ou même ce "gros bordel" au niveau du montage qui dénote de l’égarement de ces filles. Le plus dur vient lorsqu'à tour de rôle celles ci appellent leur mère, mais pas rupture parentale non c'est bien une relation mère/fille soudée et on se demande alors qu'est ce qui les mènent a ce point de rupture. Et la réponse vient d'une Selena Gomez bluffante (la révélation de ce film) : c'est la société, l'American dream plus précisément. On nous vend du rêve, la réalité est toute autre. La reprise de Britney Spears par au piano dénonce ce malaise, cette sensation de vertige, d’abandon qui en réalité ne concerne pas seulement les jeunes mais tout le monde. Cependant, la dernière partie du film sombre dans un grand n'importe quoi trash que je n'ai pas du tout compris. La faute sans doute au jeu de Vanessa Hudgens qui prend plus son rôle de "biatch" au sérieux qu'autre chose et finit par sombrer dans une semi caricature. Une chose qui m'a déplu particulièrement c'est le nombre incalculable de "fuck", "goddamn" et de "motherfucker" qui finissent par gonfler. Il n'en reste pas moins une expérience originale, lyrique et sale qui tend à affirmer que le malaise dont la société souffre actuellement n'est pas anodin.

4 pétasses juste agréable à regarder pour le reste c'est vide, les discours sont d'un niveau de 2 ans d'âge mentale. Le gars Alien qui recrute les ados est un vrai débile mentale qui croit séduire avec ses putains par ci putain par là, c'est pathétique, ça touche le fond et ça remonte pas.

Certains films marquent les esprits en représentant parfaitement l'époque dans laquelle ils sont ancré. Spring Breakers est de ceux là. Dès le début du film, le réalisateur indépendant Harmony Korine nous montre de quoi son petit bijou sera fait, visant à nous surprendre (pour ne pas dire choquer ?) dès la première séquence. Pourtant, cela ne sera que le début, car il nous entraîne avec ses quatre étudiantes dans les bas-fond d'un monde dépravé où tout semble possible. Avec seulement quelques tubes electro, des filles dénudée, des guns et de l'alcool, le réalisateur réussi à créer une ambiance lourde, oppressante, entre fascination et répulsion, le tout sous une réalisation clipiesque accentuant le côté irréel de la chose...

Malgré cela, Harmony Korine prend son temps dans la plupart des séquences, notamment lors de la scène finale, toute en néon, dans laquelle la violence et la beauté ce mélange dans une explosion de couleurs acidulé. Une scène parfaitement représentative de ce qu'est le film ; à savoir un mélange parfait entre l'innocence, représenté par le quatuor de fille sexy menant la danse et le monde violent, froid et cruel dont le personnage de Alien (James Franco) ce fait l'amalgame. L'acteur nous offre d'ailleurs un rôle fascinant et terrifiant, peux être (si ce n'est pas déjà ?) le meilleur rôle tenu à ce jour par le comédien. Alors qu'il met du temps à apparaître à l'écran, il électrise chacune des séquences dans lesquels il se montre ensuite. Impitoyable, n'ayant peur de rien, l'acteur fera de son rôle un être tragique, lui donnant même une humanité et une compassion qui aurait pu cruellement manquer au film. Créant un monde de faux semblant, le personnage d'Alien (qui as lui seul mérite le visionnage du film) offre une série de questionnement de la plus haute importance aux spectateurs. Où commence la violence ? Un être mauvais peut-il avoir une humanité ? Au final, ce qui semblait être un film de braquage en petite culotte se retrouve être un monstre du cinéma moderne. Une œuvre mystérieuse qui marquera à coups sur les esprits.

Spring Breakers..Quel dommage qu'il ne résulte d'une idée de départ si intéressante qu'un film où l'on regarde sa montre durant toute la projection.. Le scénario est riche de questions philosophiques et psychologiques: je trouve notamment que la problématique de l'immoralité que propose cette histoire est particulièrement intéressante, on ne cesse de se demander pendant le film si la perversité peut véritablement rendre heureux par exemple.. Aussi, la perversion est-elle quelque chose qui s'acquiert ou qui est déjà là avant, en nous, en puissance et qui peut se réaliser en acte à tout instant? spoiler: (le fait qu'une des quatre amies quitte rapidement le voyage donne peut être déjà un élément de réponse: il semble que la jeune fille ne soit pas capable de sombrer dans une telle perversité...)

Bref, le film part avec un thème très profond et riche de par les questionnements qu'il suscite.. Toutefois, je suis déçue car je trouve que le rendu final n'est pas à la hauteur du scénario, il n'en reste qu'un film contemplatif (je tiens à souligner d'ailleurs l'effort tout particulier pour l'originalité visuelle que propose ce film, j'ai particulièrement apprécié) où l'on s'ennuie car on voit pendant une heure trente 4 gamines immatures qui sombre dans la perversion spoiler: (du moins pour certaines d'entre elles)
, toujours les mêmes images (un peu trop facile à mon goût de filmer trente six fois les mêmes scènes avec juste le décor qui change un peu derrière... Au bout d'un moment on a presque envie de dire au réalisateur: oui c'est bon on a compris qu'elles fument, se droguent..etc), les mêmes dialogues (ceci dit même si cela génère un profond ennui au bout d'un certain temps, c'est ce qui fait aussi tout le "charme" du film, ces "spring breakers" "c'est merveilleux" qu'ils murmurent durant tout le film deviennent presque une bande son qui accompagne le film, c'est intéressant...), et puis voilà il ne se passe rien. On attend, et au final, non on comprend qu'il n'y aura rien. N'est-ce pas un peu trop facile de reposer tout son film sur une idée intéressante? J'ai l'impression que l'intérêt de cette production se trouve uniquement dans son sujet de départ et se perd énormément dans sa réalisation. Si vous vous renseignez sur le sujet de ce film avant de le voir, je ne suis pas sûre que sa visualisation par la suite vous apporte réellement quelque chose... Je vous invite toutefois à le découvrir, ne serait-ce que pour savoir si vous, vous trouvez que la réalisation de ce film est un réel plus au thème sur lequel il porte.. Personnellement, je crois que l'esthétique à la fois visuelle et musicale de ce film, est déjà une bonne raison d'aller le voir, je regrette simplement que Harmony Korine se soit contenté (enfin c'est ce que j'ai ressenti) d'un mode de réalisation presque exclusivement contemplatif.

Un film à voir absolument!
Ode à l'absolu vide d'une génération, sublimes images, bande son à mourir, Spring Breakers c'est un peu comme Drive, un gros trip visuel complètement dingue!!

Un film sur le springbreak avec des jeunes actrices bien connus cela semblait alléchant comme scénario et pourtant.... vraiment difficile de rester jusqu’à la fin du film tellement le film est un navet ,l'histoire part en "n'importe quoi" , on ne comprend plus rien et cela devient trash avec des scènes de sexe vraiment crus . Heureusement que c'était le printemps du cinéma et que la place était a 3,50 euros seulement .
Bref fuyez !

Défoncé à l'illusion d'un monde meilleur, hors limite, truffé de meufs canons et d'angelots au pénis dressé, le cadre s'ébroue, sortant sa langue fourchue à la moindre occasion, léchant avec avidité les gouttes de jeunesse diluées au plaisir, Snake Fellation sur ta croupe petite, l'alcool et la drogue sont "Maitres des lieux", majeur hissé en direction du Chef suprême, camé jusqu'à l'âme et for ever, les bikinis se frottent à la paroi du gouffre, léchant les cloisons embrumées d'un cul en transe, RESPIRE. L'immortalité est bien le sujet principal du film, planquée sous sa cagoule alcoolisée, glissant sur les corps foncedés, d'un mouvement de hanches putassier la voilà hors de portée( + ) ( + ) . A toi d'te démerder, esquive les ralentis à coups d'nibards, aspire les lignes néons sans sourciller et pour finir, allonge-toi doucement contre le flan malade d'une fille rêveuse, dont les songes débordent sur ses lèvres sucrées.