Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
(...) Le réalisateur signe ici un exercice de style aussi radical qu'expérimental dont la photographie léchée, métallique et brillante (...) est rythmée à la perfection par une bande son anxiogène (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le propos de Brandon Cronenberg est moral et cinématographique. (...) Il pousse son projet vers l'abstraction, et vers une mise en scène étrange et envoûtante (...), où le but affiché semble être purement graphique : filmer du rouge (le sang) sur du blanc (de laboratoire).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Glacial, clinique, macabre, "Antiviral" (...) oublie parfois de respirer par lui-même. Brandon Cronenberg n'en déploie pas moins une virtuosité aussi gore qu'inquiétante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Jakuta Alikavazovic
Avec son premier long, Brandon Cronenberg se fait un prénom. (...) Un passionnant cauchemar.
Télérama
par Jacques Morice
Une idée de scénario démente. (...) Même si le film, un peu filandreux, perd parfois de son intensité, il reste très dérangeant. (...) Caleb Landry Jones, dont la peau laiteuse et rousse semble déteindre sur tout le film, y est impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Camille Lugan
Brandon Cronenberg signe un premier film étrange et austère, à mi-chemin entre cinéma et art contemporain, porté par la puissance géniale de son pitch. Un "fils de" à suivre !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Pas parfait mais intriguant, le film de Brandon Cronenberg est une chrysalide. Le fils doit encore tuer le père pour devenir grand.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un thriller d'anticipation au traitement intimiste, pas exempt de maladresses et de baisses de régime, mais qui a le mérite d'aller jusqu'au bout de son parti pris.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Lucciani
Très, peut être trop, semblable aux rêveries techno-morbides de son père (David Cronenberg (...)), "Antiviral" est un tableau très policé des dérives du star-system, qu'il observe et illustre avec un désintérêt glaçant pour les questions de morale qu'elles devraient soulever.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Cronenberg fils aborde une thématique, la contamination, et un genre, le gore clinique, déjà explorés par son père : il livre un film honorable qui plie fortement sous le poids de ses influences.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
David [Cronenberg] lui a transmis (...) la maladie du cinéma, (...) mais [Brandon] Cronenberg, (...) finissant par verser dans un mimétisme médiocre, ne parvient qu'à épuiser son propos, et du même coup son auditoire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Bien que très soigné visuellement, ce film de genre à charge perdra probablement les spectateurs qui rejetteront son atmosphère méphitique ou qui ne pourront s'empêcher de comparer le travail du père et du fils.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Vincent Thabourey
(...) trop blanc, trop évident, trop cruel, "Antiviral" peine à dépasser le cadre de la série B.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Frédéric Foubert
(...) Brandon Cronenberg a construit son long métrage inaugural comme une vaste déclinaison des poncifs du cinéma de papa.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio CinéLive.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
"Antiviral" contient les défauts et les excès typiques des premiers films : une ambition sans limites et la conviction qu'il vaut mieux en faire trop que pas assez. (...) C'est du divertissement plus substantiel que les productions du genre mais encore trop fragile.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Estelle Bayon
Le symptôme majeur d'"Antiviral" est qu'il repose un peu trop béatement sur son pitch, que la narration se contente de déplier sagement, avec une certaine vanité, celle qui le rend tellement sûr de son ambiance qu'il pense ne pas avoir besoin d'épaissir son scénario.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Mad Movies
par Alexandre Poncet
N'essayant jamais d'émouvoir et peinant tragiquement à choquer, (...) le réalisateur (...) nous assène un récit faussement intelligent et vraiment pénible. Insupportable, et le mot est faible.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
L'Ecran Fantastique
(...) Le réalisateur signe ici un exercice de style aussi radical qu'expérimental dont la photographie léchée, métallique et brillante (...) est rythmée à la perfection par une bande son anxiogène (...).
Les Inrockuptibles
Le propos de Brandon Cronenberg est moral et cinématographique. (...) Il pousse son projet vers l'abstraction, et vers une mise en scène étrange et envoûtante (...), où le but affiché semble être purement graphique : filmer du rouge (le sang) sur du blanc (de laboratoire).
Paris Match
Glacial, clinique, macabre, "Antiviral" (...) oublie parfois de respirer par lui-même. Brandon Cronenberg n'en déploie pas moins une virtuosité aussi gore qu'inquiétante.
Transfuge
Avec son premier long, Brandon Cronenberg se fait un prénom. (...) Un passionnant cauchemar.
Télérama
Une idée de scénario démente. (...) Même si le film, un peu filandreux, perd parfois de son intensité, il reste très dérangeant. (...) Caleb Landry Jones, dont la peau laiteuse et rousse semble déteindre sur tout le film, y est impressionnant.
aVoir-aLire.com
Brandon Cronenberg signe un premier film étrange et austère, à mi-chemin entre cinéma et art contemporain, porté par la puissance géniale de son pitch. Un "fils de" à suivre !
Ecran Large
Pas parfait mais intriguant, le film de Brandon Cronenberg est une chrysalide. Le fils doit encore tuer le père pour devenir grand.
Le Journal du Dimanche
Un thriller d'anticipation au traitement intimiste, pas exempt de maladresses et de baisses de régime, mais qui a le mérite d'aller jusqu'au bout de son parti pris.
Le Monde
Très, peut être trop, semblable aux rêveries techno-morbides de son père (David Cronenberg (...)), "Antiviral" est un tableau très policé des dérives du star-system, qu'il observe et illustre avec un désintérêt glaçant pour les questions de morale qu'elles devraient soulever.
Les Fiches du Cinéma
Cronenberg fils aborde une thématique, la contamination, et un genre, le gore clinique, déjà explorés par son père : il livre un film honorable qui plie fortement sous le poids de ses influences.
Libération
David [Cronenberg] lui a transmis (...) la maladie du cinéma, (...) mais [Brandon] Cronenberg, (...) finissant par verser dans un mimétisme médiocre, ne parvient qu'à épuiser son propos, et du même coup son auditoire.
Metro
Bien que très soigné visuellement, ce film de genre à charge perdra probablement les spectateurs qui rejetteront son atmosphère méphitique ou qui ne pourront s'empêcher de comparer le travail du père et du fils.
Positif
(...) trop blanc, trop évident, trop cruel, "Antiviral" peine à dépasser le cadre de la série B.
Première
(...) Brandon Cronenberg a construit son long métrage inaugural comme une vaste déclinaison des poncifs du cinéma de papa.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio CinéLive.
TF1 News
"Antiviral" contient les défauts et les excès typiques des premiers films : une ambition sans limites et la conviction qu'il vaut mieux en faire trop que pas assez. (...) C'est du divertissement plus substantiel que les productions du genre mais encore trop fragile.
Critikat.com
Le symptôme majeur d'"Antiviral" est qu'il repose un peu trop béatement sur son pitch, que la narration se contente de déplier sagement, avec une certaine vanité, celle qui le rend tellement sûr de son ambiance qu'il pense ne pas avoir besoin d'épaissir son scénario.
Mad Movies
N'essayant jamais d'émouvoir et peinant tragiquement à choquer, (...) le réalisateur (...) nous assène un récit faussement intelligent et vraiment pénible. Insupportable, et le mot est faible.