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    Bons baisers de Russie
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    303 critiques spectateurs

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    Rorechar
    Rorechar

    3 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 janvier 2020
    James Bond est de retour. Dans cet opus, en contexte de pleine guerre froide, Bond est obligé de faire passer à l'Ouest une jeune femme Russe, qui est détentrice du lecteur, une machine à déchiffrement. Toutefois la terrible organisation SPECTRE, veut ce lecteur et se venger de Bond pour la mort du Dr No. Les gadgets sont bien plus présents dans celui-ci que dans le premier, Desmond Llewelin y fat son entrée dans le rôle de Q. Bond se rends ici à Istanbul. Côté action pour l'époque le film en contient des scène absolument jouissives , notamment la scène du train. Toutefois le film souffre de quelque lenteur et d'un scénario quelque peu complexe. Mais il reste un bon film avec Sean Connery qui rentre un peu plus dans son personnage.
    youtube champions
    youtube champions

    45 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    Bons baisers de Russie, James Bond 2ème du nom, ce distingue surtout par son scénario bien ficelé. Cette adaptation du roman du même nom, respecte en gros sa trame à 2 3 détails près, comme que c’est SPECTRE et non SMERSH qui le recherche. Sinon on peut apprécier la justesse des scénaristes car certaines phrases sont repris au mot près. La ou Dr No traînait un peu, on a ici une belle histoire amour entre Tatiana Romanova et James Bond et les cascades sont plus présentes et impressionnantes ! L’acting c’est amélioré déjà du côté de Sean Connery encore plus charmeur et gentleman et aussi Robert Shaw en méchant brutal et omniprésent pendant tout le film. On notera que c’est la première apparition de Ernst Blofeld, le chef de SPECTRE, et de Q. La BO de John Barry est bien et la musique thème entraînante est très romantique. Un très bon James Bond !
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    Devant le très bon accueil commercial de "James Bond 007 contre Dr. No" malgré son budget minimaliste (et c’est un euphémisme), on n’a pas tardé à reprendre les mêmes pour rempiler. Il faut battre le fer tant qu’il est chaud, comme on dit… Pour l’adaptation du cinquième roman de Ian Fleming mettant en scène l’espion le plus séducteur de la Royauté britannique, on retrouve Sean Connery dans la peau de… « Bond, James Bond », comme il s’était amusé à se présenter un an et demi plus tôt. Nous retrouvons également Bernard Lee sous les traits de « M », Lois Maxwell dans le rôle de Miss Moneypenny, ainsi que Anthony Dawson sauf que lui... ce n’est pas pour le même rôle ! En effet, après avoir incarné le Pr Dent, le voici en Ernst Blofeld, ennemi juré de James Bond et à la tête de l’organisation criminelle Le Spectre. Et pour la seconde fois en ce qui concerne les aventures de 007, tout ce joli petit monde est dirigé par Terence Young à qui on doit, en dépit d’une réalisation imparfaite et d’un montage par moments foireux, la naissance d’une saga qui ne cessera de prendre de l’importance au fil des épisodes. Le succès pour ainsi dire inespéré du premier film donna des ailes aux producteurs qui doublèrent la mise en matière de budget. C’est donc avec deux millions de dollars que "Bons baisers de Russie" doit se faire. Concrètement, ça se voit à l’écran, ne serait-ce que par les petits gadgets en plus fournis par l’intarissable « Q » ou par les changements de décors, eux aussi plus nombreux. Mais ça se voit surtout par la scène de l’hélicoptère ! Plus de moyens donc, et l’effet s’est fait sentir avec un casting plus conséquent, notamment dans les seconds rôles, et même ceux d’arrière-plan, comme cette danseuse du ventre. Ainsi, Desmond Llewelyn fait son entrée en scène en lieu et place de Peter Burton dans le rôle de « Q », de même que le regretté Robert Shaw en Red Grant malheureusement décédé seulement trois ans après son rôle mémorable dans "Les dents de la mer" à l’âge de 51 ans. Mais nous avons aussi de nouvelles James Bond girls. Après tout, ce cher James n’a pas volé sa réputation ! Dans les faits, c’est plutôt une nouvelle James Bond girl, en la personne de Tatiana Romanova, incarnée par la délicieuse italienne Daniela Bianchi. Parce qu’à côté, Miss Moneypenny est toujours prête à fondre pour l’agent 007, tellement prête que ses moindres faits et gestes se sentent à des kilomètres. N’est-ce pas, « M » ? Et parce qu’on retrouve également Eunice Gayson, vous savez la Sylvia Trench, désormais considérée comme étant un vieux dossier… trop drôle soit dit en passant. Bon, ce n’est pas tout ça, mais que vaut ce "Bons baisers de Russie" ? Outre le fait que nous sommes heureux de retrouver le générique de début et le thème musical principal qui font la marque de fabrique des James Bond au cinéma, nous avons affaire à un scénario plus ambitieux. En tout cas plus étoffé. Mais contrairement à la tendance générale, je garde tout de même une petite préférence pour le James Bond premier du nom. La raison ? Il y en a plusieurs en fait. Je vais commencer par l’effet de surprise : il n’y est plus. Ensuite, j’ai senti Sean Connery un peu moins à son avantage. Je ne sais pas, j’ai le sentiment qu’il s’est un peu moins amusé. Et je finirai par le fait que, d’une façon générale, j’ai été un peu moins pris par l’intrigue. Attention, je ne dis pas que j’ai trouvé "Bons baisers de Russie" mauvais, non, loin de là. J’apprécie le fait que les scénaristes aient réussi à s’inscrire dans la continuité du premier film, en partant du principe que les membres du Spectre veulent faire d’une pierre deux coups, sans compter que les nouveaux adversaires de 007 semblent d’une toute autre carrure, que ce soit chez Robert Shaw, Vladev Sheybal (Tov Kronsteen, le champion d’échec) ou encore Lotte Lenya (la colonel Rosa Klebb, véritable furie en dormance). Et comme je l’ai dit plus haut, on voyage davantage. Alors autant ne pas bouder son plaisir et profiter comme il se doit d’un bon divertissement des années 60, et dont le titre est on ne peut plus approprié.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Après le succès de Dr No, il fallait battre le fer pendant qu’il était chaud et assoir le personnage de James Bond sur la scène commerciale cinématographique. Et c’est le 5ème roman de Ian Flemming qui fût choisi ; le plus abouti apparemment. L’histoire est beaucoup plus complexe que sur Dr No. Terence Young, à nouveau aux manettes, prend son temps pour la mise en place ; et c’est bien dans cette première partie que réside quelques longueurs. Le budget fût plus important que sur Dr No ; ce qui n’en fait pas malgré tout un film beaucoup plus spectaculaire. Les gadgets font leur apparition tout comme le pré générique qui ici est malin et captivant. Les courses poursuites ont aussi plus d’allure que sur le premier opus. La franchise prend son envol et nous prenons du plaisir.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Sébastien T.
    Sébastien T.

    1 abonné 101 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2020
    Je revois les Bond dans l'ordre : celui-ci continue parfaitement l'intrigue autour du Spectre ! On en sait désormais un peu plus. Introduction de bcp de marques de fabrique dans cet épisode (générique, gadgets...). Pour moi il manque tout de même de classe (l'histoire "d'amour" avec la russe est énervante et Bond est gnangnan), et il manque une grande scène d'action. Donc bien mais pas du tout le meilleur pour moi meme si Sean Connery est mon Bond préféré
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 août 2019
    L'acteur est correct et le scénario convenable afin de passer d'Est en Ouest, pas des plus palpitants chef-d'œuvre, quelques situations assez ridicules, une dose pure de série B d'espionnage so British, ça se regarde sans émerveillement. Un générique préfabriqué qui est la marque de l'agent double 07, une espionne russe coincée en Turquie qui fait défection en traversant le rideau de fer à travers cet orient express. Un train aux wagons lits de luxe pour perdre son temps, l'alternative de l'avion compagnie première classe, tombe dans les bras du samaritain MI6. Ce n'est une lettre d'amour à la Russie, puisqu'ils sont ennemis, mais une carte postale envoyée depuis là-bas dans le but de s'espionner mutuellement, avec amour. L'influence du spectre plane sans l'ombre d'un doute, une intrigue de guerre tellement froide diplomatiquement.
    zinjero
    zinjero

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 avril 2019
    Mauvais avec un grand M (non, même lui est mauvais) ! Un scénario bidon, une action molle et humour au ras des pâquerettes. Les méchants s'y prennent comme des manches face à James Bond et de cette promenade touristique d'Istanbul à Venise, on ne retiendra que le charme de Miss Roma 1960 et l'allure de Sean Connery mais c'est bien maigre...
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    22 abonnés 759 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 décembre 2018
    Une organisation super puissante qui loupe tout ce qu’elle tente contre James Bond, c’est dommage quand même... de toute façon dès le début c’est ridicule avec une première scène où on assiste à un type déguisé en James Bond qui se fait étrangler par un blond qui s’entraîne donc à assassiner des faux James Bond. Comme si le masque de James Bond allait les rendre aussi coriace que le véritable... Voilà, on commence avec une scène bidon et ça continue un peu comme ça jusqu’à la fin. Le blond en question aura plusieurs possibilités de tuer James mais fera un peu trop durer le plaisir... comme trop souvent avec les méchants qui exposent tout leur plan plutôt que de l'appliquer froidement.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 novembre 2018
    le deuxième volet d'une saga hors norme. Un de mes preferes de tous la saga. Avec dans le rôle titre le plus Bond de tous les Bond : Sean Connery ! Bon film à tous
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2022
    Pour le deuxième volet de la saga, on retrouve un James Bond kitch et très Hitchcockien. Pas fou mais plein d'humour et de charme.
    Fabien S.
    Fabien S.

    454 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2020
    Un excellent James Bond. Une très bonne adaptation du roman d'Ian Fleming. Un bon film d'espionnage sur la guerre froide .
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 août 2018
    Bons baisers de Russie est une étape importante de la série James Bond. En effet, bien qu’étant le second film il introduit beaucoup de codes de la saga : 1er gunbarrel accompagné intégralement du James Bond Theme de Monty Norman, 1er pré-générique, 1er générique typiquement bondien (celui de Dr. No était essentiellement constitué de formes géométriques), 1ère apparition de Blofeld et plus généralement du Spectre (même si on découvre que le Dr. No en était en des memebres) qui remplace le SMERSH du roman (reléguant ainsi les services soviétiques également au rang de victimes, ce qui évite d’augmenter les tensions avec l’U.R.S.S.), première apparition de Desmond Llewelyn dans le rôle de Q qui est encore appelé au générique sous son vrai nom de Boothroyd (il était interprété par Peter Burton dans le premier film) et 1ère apparition du célèbre morceau intitulé 007 qui marque également la première composition de John Barry (il n’était qu’arrangeur sur Dr. No, la musique étant signée Monty Norman).
    Outre ces aspects fondateurs de la saga, Bons baisers de Russie fait partie des très bons épisodes de celle-ci. En effet, il a l’intelligence de ne pas trop abuser des scènes d’action et de les rendre réalistes (on est très loin des délires de la période Roger Moore). On est essentiellement devant un film d’espionnage assez traditionnel où l’intrigue est privilégiée, ce qui n’empêche pas le film d’être très bien rythmé.
    On retrouve également l’exotisme qui fait tout le charme de la saga puisque notre agent secret voyage à Istanbul et à Venise. Côté exotisme, on peut noter qu’il flirte avec la caricature sans que cela soit choquant dans le camp Tzigane spoiler: où on assiste à une danse du ventre puis au combat entre deux gitanes (parmi lesquelles se trouve Martine Beswick qui tiendra un autre rôle plus conséquent dans Opération Tonnerre)
    .
    Pour ce qui est des clichés, ils ne sont pas toujours évités spoiler: comme dans la séquences où Grant explique son plan à 007 alors qu’il aurait pu le tuer aussitôt (on pense désormais constamment à Last action hero quand on voit ce type de séquence)
    . Toutefois, on peut être surpris que les personnages féminins principaux ne sombrent pas dans la caricature de la James Bond girl écervelée et potiche (une fois encore, aspect qui sera surtout présent dans la période Roger Moore) spoiler: puisque Tatiana n’hésite pas à répondre à James Bond quand il adopte l’attitude machiste de lui taper sur les fesses et puisque parmi les grands méchants du film se trouve une femme, la machiavélique et charismatique Rosa Klebb (qui de plus n’a pas un physique de sex-symbol). Pour ce qui est des femmes, on peut également noter que la première séquence où apparaît véritablement James Bond (vu que ce n’était pas réellement lui dans la séquence pré-générique) marque le retour de Sylvia Trench qui était sensée être la petite amie régulièrement de Bond qui reviendrait au début de chaque film. Cependant, dès le film suivant (Goldfinger), l’idée sera abandonnée
    .
    Scénario travaillé et exotisme sont également servis par une mise en scène assez discrète mais très efficace. spoiler: On peut noter notamment, à propos de cela, que la séquence où Blofeld expose leur mission à Rosa Klebb et Kronsteen présente des astuces techniques permettant de rattraper des plans oubliés. Ainsi, Terence Young remontera à l’envers un plan où Rosa Klebb s’éloigne du bocal de poissons quelques secondes avant pour qu’elle s’en approche et lui fera réciter un dialogue en se superposant elle-même sur un autre plan.
    Enfin, il est difficile de ne pas citer les nombreuses références que le cinéaste fait à Alfred Hitchcock spoiler: dont on peut voir facilement planer l’ombre dans la séquence du train et dans celle où on hélicoptère tente de tuer un Bond essayant de lui échapper à pied (La Mort aux trousses avait été réalisée 4 ans plus tôt)
    .
    Bons baisers de Russie est donc un excellent épisode, servi par un Sean Connery toujours aussi à l’aise dans le rôle de l’agent britannique, qui permet de poursuivre une série qui n’en est qu’à ses débuts et qui verra encore un de ses fleurons avec le film suivant, Goldfinger.
    Ron Burgundy
    Ron Burgundy

    15 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2019
    Ah la la bah là c’est mieux que le précédent! Bon baiser de Russie réussit à corriger les problèmes de Dr No, en effet ici il n’y a pas de longueurs et le scénario est intéressant. Ce qui m’a marqué surtout dans ce film c’est le violent combat que réalisé James Bond avec un agent soviétique, Ce qui est culte de ce film c’est aussi la chaussure avec un far d’une agent du spectre
    Un bon James Bond je vous le conseille
    CH1218
    CH1218

    152 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mai 2018
    Première séquence de pré-générique, première des 17 apparitions de Desmond Llewelyn dans le rôle de Q et donc premier gadget pour un second volet qui introduit l'organisation criminelle du SPECTRE. Film d’espionage de son époque au scénario peu captivant et montrant des signes évidents de péromption, « Bons Baisers de Russie » se traîne péniblement en dépit de quelques sursauts, notamment lors des dernières scènes dans l’Orient Express et des séquences avec l’hélicoptère. Face à des ennemis stéréotypés, Sean Connery confirme sa notoriété montante en déployant son charme et son humour.
    alouet29
    alouet29

    66 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2018
    "Bons baisers de Russie" est l'un des premiers films de la saga, il date des années 60 et cela se sent , surtout par les images et les décors. Il manque le côté fantastique, et il manque aussi le charme de Roger Moore et de Timothy Dalton ou la classe de Pierce Brosnan et de Daniel Craig
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