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    La Forêt d'émeraude
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    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    231 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2013
    Voici un bon classique, avec comme cadre la forêt amazonienne. Cette quête d'un fils enlevé par une tribu se révèle pleine d'aventures et de rebondissements. La réalisation est parfaite, avec des paysages magnifiquement bien filmés, un rythme alternant temps forts et temps faibles, et un scénario des plus solides. Tout ceci sur fond de plaidoyer écologique contre la déforestation. Immanquable.
    dahbou
    dahbou

    175 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 décembre 2008
    Quand on cite les meilleurs films de John Boorman on oublie souvent l'excellent "La forêt d'émeraude" qu'il faudrait réhabiliter. Porté par un message écolo assez fort un brin naïf pour les plus cyniques d'entre nous, le film est surtout un vrai western amazonien tirant le meilleur partie de son cadre à savoir ses splendides décors naturels ( l'Amazonie quoi !!) et son folklore ( Indien, Spiritisme, Chamanisme...) surligné par le talent visuel de Boorman toujours aussi bluffant. Le film repose aussi sur ses acteurs plus vrai que nature avec en tête d'affiche l'excellent Powers Booth habitué de Walter Hill. Bref un petit chef d'oeuvre à voir !!
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 novembre 2015
    Il y a 30ans, John Boorman nous envoyé déjà un message fort. Un cri d'alerte, un désespoir. Derrière le film carte postale, Robinson Crusoë très vintage et très hype de l'époque, se cache la vérité sur laquelle des milliers d'humains sont condamnables. Moi compris, certainement. Mais si on omet le message qui paraît aujourd'hui de nécessité absolue, le film n'a cinématographiquement pas plus d'intérêt que çà.
    Alain Z
    Alain Z

    68 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2008
    1er film vu au cinéma et qui reste gravé dans ma mémoire comme l'un des plus beau et dépaysant film d'aventure jamais vu. Boorman est à son apogée et nous livre une histoire d'aventure exceptionnel tiré d'une histoire vrai.
    Redzing
    Redzing

    919 abonnés 4 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2008
    Evocation de la déforestation destructrice en Amazonie mais également de l'incompréhension inévitable entre les différentes cultures, "The Emerald Forest" est un Boorman certes un peu caricatural et naïf par moment, cependant il demeure attachant de par sa touche poétique indéniable. Superbe sur le plan visuel et musicalement efficace, ce film est donc une petite réussite à voir dans la filmographie du réalisateur britannique, et dont le fond assez cruel défend bien sa cause.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juin 2014
    L’histoire de "La Forêt d’Émeraude" est classique, celle de l’enfant enlevé à ses parents et élevé dans une autre culture, mais John Boorman l’adapte d’une façon un peu inhabituelle puisqu’il parvient à faire en sorte que le point de vue qui nous semble le plus naturel soit celui des ravisseurs. En effet, comme souvent, le père tente de retrouver son fils et, quand il y arrive, c’est lui qui paraît étranger et anormal, comme si le père de substitution était plus légitime que le géniteur. Quand les Indiens expliquent que la forêt est le centre de l’univers, que le monde industrialisé est un monde mort ou qu’un chant entonné par des grenouilles peut détruire un barrage, on les croit sans problème et eux ne paraissent en rien candides. Bill le comprend très bien puisqu’il se résigne rapidement à la perte de son fils. Ainsi, les constructions modernes sont soumises à un nouveau regard ; elles paraissent inconnues et on s’étonne avec les Indiens que des lianes soient capables d’électrocuter un homme. La mise en scène est en outre remarquable, n’hésitant pas à s’intéresser aux animaux de passage, leur donnant presque un point de vue et développant le côté animiste du film. Il y a une grande beauté dans les actes des hommes et femmes vivant dans ce cadre, un amour de la nature qui provoque l’émotion en même temps qu’il conquiert un sentiment de vérité.
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 911 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le scénariste Rospo Pallenberg fit part à John Boorman de l'histoire d'un ingénieur péruvien dont le fils avait été kidnappé par les indiens qu'il avait lui même lue dans le LA Times. Partant de là, The Emerald Forest est sans doute un des plus beaux films sur le choc des civilisations et un des plus profond, aux antipodes du film de jungle traditionnel. Cette œuvre ambitieuse est servie par une pellicule d'une beauté à couper le souffle, soutenant une mise en scène élégante. Comme un grand cru, ce film réussit l'alchimie étonnante entre la finesse et la grandeur, entre la beauté et la construction rigoureuse, entre l'inspiration et la persuasion (tout en évitant l'écueil de la démonstration). Certainement, avec Délivrance, un film indispensable.
    BURIDAN
    BURIDAN

    19 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 septembre 2013
    « La forêt d’émeraude » est un conte réaliste de John Boorman…
    C’EST UN CRI !

    Voici : le monde rétrécit ! C’est en tous cas ce que ressent le grand sage indien guide et mémoire des Hommes Invisibles…
    Un monde en rétrécissement dans toutes ses dimensions : la forêt, poumon de la terre qui s’étiole sous la charge puante et bruyante des gros engins de chantier, le cours des eaux enchaîné dans le béton des digues des barrages, la pollution morale par des avoirs factices (ici des armes), par la prostitution et par l’alcool… Et, plus profondément, par la perte de l’union homme/nature…

    Plus qu’un rétrécissement c’est plutôt d’entropie, d'ailleurs, qu’il est question dans ce film initiatique… De désorganisation irréversible…

    Car ce que nous désignons sous le terme de progrès, ou de civilisation aboutit, dans la réalité, à la déstru...cturation de relations, de liens établis sur des périodes multi-millénaires entre les composantes physiques et organiques gérant la partie superficielle de notre globe : atmosphère (destruction de la couche d’ozone, disparition des calottes glaciaires…), climat (gulf-stream en perte de vitesse d’où modification du cours des cyclones/anticyclones…), biodiversité (chaque année des dizaines d’espèces disparaissent…), déséquilibre des biotopes, pollution (effluents et déchets radioactifs ayant des périodes se comptant en milliers d’années…), appauvrissement génétique global du fait des manipulations…etc…

    Boorman prend l’exemple de l’Amazonie, d’un petit groupe d’hommes en Amazonie… Il ne cherche pas à faire œuvre ethnographique… Les acteurs ne sont pas des indiens vivant sur le mode traditionnel… Et, preuve de l’importance du thème abordé pour Boorman, c’est son fils qui joue l’un des rôles clés !
    La photographie, comme il se doit, est magnifique…
    Et la musique assez imbuvable !
    On insiste sur le fait que le film est inspiré d’une histoire vraie… Ce n’est à mon avis que très secondaire…

    Boorman à sa façon illustre le propos de Rousseau : l’homme fondamentalement bon est perverti par la société…
    Et c’est par là peut-être que le film montre quelques faiblesses…

    Les bons sauvages mènent une vie quasi-idyllique ! Et il leur arrive même de communier (buvez en tous car…)
    Et dès que vous aurez entrevus les jeunes filles de la tribu, des bombes sexuelles, vous n’aurez qu’un désir! De foutre le camp en Amazonie !
    (Boorman, gros cochon !)
    Autre faiblesse, un manichéisme effarant : Les féroces pervertis par les occidentaux (le Diable c’est l’Occidental) sont toujours sur le pied de guerre, n’ont de cesse que de se procurer des bâtons de feu, et comme par hasard, ils ont le teint bien plus foncé que celui des invisibles ! Eux sont beaux, doux, gentils, amoureux, pacifiques... Et ils ont le teint clair!

    Allons ne boudons pas notre plaisir.
    Le film est un splendide plaidoyer pour la sauvegarde de la forêt amazonienne…
    Si seulement le propos était suivi d’effets !

    FILM IMPORTANT, MESSAGE IMPORTANT !
    Oeil HORUS
    Oeil HORUS

    52 abonnés 670 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 septembre 2013
    Une histoire palpitante entre la Foret Invisible et le monde de la civilisation qui se rencontrent et qui nous donne une image réel de ce qui se passe lorsque la civilisation dépassé par son Evolution en oublie ses origines et les bases de la vie en communauté tout en etant en symbiose avec Mère nature. Un père qui cherche son fils et qui brave l'inconnue au coeur de la foret Amazonienne pour le retrouver et découvrir un monde oublié invisible et si fragile.. Un film de 1985 mais le revoir en 2013 c'est un régal.. L’ambiance est excellente, les acteurs sont bons dans leurs prestations, sa joue bien et proprement on s'intègre a la tribu des invisibles grâce a une caméra et une lumière qui pour l époque est plutôt sont bien travaillées.. La musique est douce sans êtres en excès.. l'histoire est belle et nous donne une belle humilité de vie ..La deuxième partie du film est moins accrocheuse que la toute première , et même si j’aurais aimais une fin différente, ce film est une grande qualité et n'a absolument pas vieilli. A voir et a revoir.

    • Actions: 8 / 10
    • Scénario : 7,5 /10
    • Crédibilité des Acteurs: 7/10
    • Bluraythèque: Oui
    Jean-françois Passé
    Jean-françois Passé

    106 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2013
    revu après plus d e vingt ans cette forêt ou survivent les derniers peuples magnifiés par Boorman et interprétés par des non indiens .... il es t vrai que c'est assez naïf et enfantin , manichéen même si la tribu des féroces est fort méchante , mais parce que chassée de son territoire par les hommes termites .... la forêt , les cours d'eau et les cascades me rappellent mes vacances estivales loin du monde e t donnent fort envie d e repartir , méditer un peu encore sur l'humanité complexe .
    T-Tiff
    T-Tiff

    71 abonnés 1 163 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2014
    "La Forêt d'émeraude" est un film de John Boorman traitant la question des indigènes et de leur adaptation à la société. La beauté du cadre, le côté nature à préserver et le scénario tiré d'une histoire vraie, rendent le film intéressant, cependant, la longueur du film anéantit rapidement ces atouts pour faire place à un ennuie profond devant ce film dit d'aventure alors qu'il se rapproche plus du documentaire. De plus, les acteurs sont des amateurs, ce qui empêche encore le film de s'élever. C'est vraiment dommage car l'originalité du scénario et le sujet étaient bien choisit. "La Forêt d'émeraude" aurait mérité quelques atouts en plus mais on apprécie tout de même la volonté du réalisateur de faire un film profond, se basant sur des véritables faits.
    Nangeuh
    Nangeuh

    14 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2013
    Un très bon film engagé contre la deforestation amazonienne. On immerge entièrement dans ses tribus indienne et on voit les ravages que peuvent causés les hommes sur les derniers peuples indigènes. A voir ca vaut le coup d'oeil
    The Claw
    The Claw

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2013
    Un bon film, réellement tourné en Amazonie, à mi-chemin entre documentaire et fable écologique. L'amorce du film est réussie mais laisse hélas place à quelques minutes ennuyeuses qui semblent interminables. Heureusement, lorsque le père et le fils se retrouve, le film devient beaucoup plus intéressant et arrive enfin à captiver notre attention jusqu'au bout. En plus, on apprend des choses, ce qui ne gâche rien... Une petite remarque tout de même : ce film s'inspire d'une histoire vraie, mais la question est : jusqu'où les faits relatés sont-ils vrais ? Parce que si la fin du film est "vraie", alors là, c'est vraiment fort!!!
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    224 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 décembre 2013
    C'est un peu l'antithèse de Délivrance (1972), du même Boorman. La Forêt d'émeraude est une variation gentille sur le thème nature/culture, où l'état de nature est célébré pour sa pureté, son innocence, face à une civilisation destructrice et corrompue. Délivrance offrait un point de vue beaucoup plus hard et pessimiste, associant les instincts naturels à des instincts violents, une sauvagerie barbare.
    Inspiré d'un fait divers survenu dans les années 1970, La Forêt d'émeraude prend la forme d'un conte écolo sur la protection de la nature. Un joli livre d'images, d'aventures exotiques, avant tout destiné à un jeune public. Si l'on accepte la naïveté de l'ensemble, le recours aux pouvoirs surnaturels et autres coïncidences improbables, si l'on passe aussi sur la vision un peu "folklorique" des Indiens d'Amazonie, on peut se laisser prendre par l'intrigue qui se suit avec curiosité. Autre intérêt du film (qui aurait pu être davantage développé) : le double récit initiatique, centré sur la relation père/fils. D'un côté, Tommy devient un homme aux côtés de son père indien, père de substitution qui lui transmet son savoir et son expérience ; il deviendra aussi un chef, avec l'aide de son père biologique, pour faire face aux événements. De l'autre côté, Bill (interprété par le très inexpressif Powers Boothe) s'ouvre à une autre vision du monde au contact de son fils et au gré de ses aventures amazoniennes. Tout cela n'est pas forcément transcendant, mais on peut éprouver pour cette oeuvre mineure de Boorman une certaine sympathie voire une certaine tendresse.
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    57 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2014
    Quatre ans après "Excalibur", John Boorman récidive avec "La Forêt d'émeraude", une aventure au sein de la forêt amazonienne à la sauce Tarzan. Lorsque Bill Markham, un ingénieur américain se rend en bordure de la forêt amazonienne afin de construire un barrage hydraulique, il ne se doute pas que son fils Tommy va se faire enlever par une tribu d'indiens. Pendant dix ans, son père le recherche en vain, tandis que Tommy est élevé par la tribu selon leur culture. Lors d'une quête où le jeune Tommy est censé trouver des pierres magiques, il retrouvera son père qui a été blessé par les Féroces, les ennemis jurés. Une fois guéri, Bill veut rejoindre le site du barrage en emmenant Tommy avec lui, mais celui-ci refuse et le laisse revenir seul. En retournant au camp, Tommy s'aperçoit que les Féroces ont capturé les femmes de son peuple... Boorman signe ici un chant d’amour à la nature où les images ne manquent pas de beauté. Fort d'une superbe photographie de Philippe Rousselot, Boorman, explore habilement les mythes et les mystères de l’Amazonie et des dernières tribus qui subsistent dans les forêts tropicales. Il nous transmet avec une ardeur fascinante les délires de la nature végétale et sauvage, il fouille les mystères de l’ombre, jongle avec la lumière. Cependant, le chamanisme et les rites qui sont au coeur du film occupent à mon goût une place trop importante, et c'est bien dommage que le film n'aborde pas plus la question de la déforestation. Les acteurs ne sont pas très convaincants et manquent de crédibilité, le fin traîne en longueur et sombre un peu trop dans la magie avec ces grenouilles ! Quoi qu'il en soit, "Le Forêt d'émeraude" est un bon petit film d'aventure avec des images et une musique magnifiques mais un peu trop naïf pour être mémorable.
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