Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
S’il met d’abord mal à l’aise, il se révèle audacieux, parfaitement réalisé et dénué de provocation gratuite. Une œuvre singulière, sensuelle et sincère.
Télérama
par Jérémie Couston
A la frontière entre fiction, documentaire et arts visuels, ce Sexe, mensonge et vidéo roumain dérange aussi, dans le bon sens du terme, par sa mise en scène élaborée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Malaisant et par moment scabreux, "Touch Me Not" est un film d’une rare singularité puisqu’il envisage le cinéma comme l’outil d’une thérapie de la réalisatrice, des acteurs-personnages et des spectateurs visant l’affirmation de soi et l’apaisement du rapport à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
On ne dira pas que l’expérience est agréable ou sympathique, mais il faut reconnaître que ça n’est pas rien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Le ton du film détonne et dérange sans provocation facile par le talent de la réalisatrice à mêler ces témoignages autour de la notion d’empêchement et la crudité des corps exposés sur des fonds le plus souvent d’un blanc immaculé. Mais la fascination que ce Touch me not provoque tend à s’estomper au fil de ses deux longues heures trop riches en digressions (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une plongée courageuse et sensorielle au cœurs de corps et d’âmes abîmés, mais qui ne parvient pas à convaincre complètement tant le résultat expérimental est lent et confus. Dommage car Adina Pintilie, au sens de l’esthétique certain, tenait là un sujet en or.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Éric Derobert
Ayant posé une problématique de la libération des corps, le film ne va pourtant cesser, ensuite, de s’enferrer dans une esthétique clinique à l’opposé de ce projet.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
L’escroquerie cinématographique de l’année. (…) Un concentré de radical chic bidon.
Le Figaro
par La Rédaction
Vous saurez tout sur la sexualité, contrariée ou non, d'un handicapé, d'une femme frigide et d'un chauve. Les différents personnages sont filmés comme des rats de laboratoire sous des lumières blafardes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Ce qui se dit par ailleurs durant plus de deux heures n’échappe pas à une grande banalité. Touch Me Not a néanmoins obtenu l’Ours d’or au Festival de Berlin cette année.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Sous couvert d’exploration, Adina Pintilie perpétue une vision standardisée de la sexualité par incompréhension de son sujet et excès de voyeurisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Journal du Dimanche
S’il met d’abord mal à l’aise, il se révèle audacieux, parfaitement réalisé et dénué de provocation gratuite. Une œuvre singulière, sensuelle et sincère.
Télérama
A la frontière entre fiction, documentaire et arts visuels, ce Sexe, mensonge et vidéo roumain dérange aussi, dans le bon sens du terme, par sa mise en scène élaborée.
Les Inrockuptibles
Malaisant et par moment scabreux, "Touch Me Not" est un film d’une rare singularité puisqu’il envisage le cinéma comme l’outil d’une thérapie de la réalisatrice, des acteurs-personnages et des spectateurs visant l’affirmation de soi et l’apaisement du rapport à l’autre.
Libération
On ne dira pas que l’expérience est agréable ou sympathique, mais il faut reconnaître que ça n’est pas rien.
Première
Le ton du film détonne et dérange sans provocation facile par le talent de la réalisatrice à mêler ces témoignages autour de la notion d’empêchement et la crudité des corps exposés sur des fonds le plus souvent d’un blanc immaculé. Mais la fascination que ce Touch me not provoque tend à s’estomper au fil de ses deux longues heures trop riches en digressions (...).
aVoir-aLire.com
Une plongée courageuse et sensorielle au cœurs de corps et d’âmes abîmés, mais qui ne parvient pas à convaincre complètement tant le résultat expérimental est lent et confus. Dommage car Adina Pintilie, au sens de l’esthétique certain, tenait là un sujet en or.
Positif
Ayant posé une problématique de la libération des corps, le film ne va pourtant cesser, ensuite, de s’enferrer dans une esthétique clinique à l’opposé de ce projet.
Cahiers du Cinéma
L’escroquerie cinématographique de l’année. (…) Un concentré de radical chic bidon.
Le Figaro
Vous saurez tout sur la sexualité, contrariée ou non, d'un handicapé, d'une femme frigide et d'un chauve. Les différents personnages sont filmés comme des rats de laboratoire sous des lumières blafardes.
Le Monde
Ce qui se dit par ailleurs durant plus de deux heures n’échappe pas à une grande banalité. Touch Me Not a néanmoins obtenu l’Ours d’or au Festival de Berlin cette année.
Les Fiches du Cinéma
Sous couvert d’exploration, Adina Pintilie perpétue une vision standardisée de la sexualité par incompréhension de son sujet et excès de voyeurisme.