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    Enemy
    Note moyenne
    3,0
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    653 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 septembre 2014
    Dernier film de Denis Villeneuve, réalisateur du captivant PRISONERS (2013), ENEMY aura été secoué par les critiques. Trop compliqué pour certains, ENEMY est pourtant un véritable labyrinthe psychologique ! Un film qui , sans aucun doute, fera travaillé vos méninges car derrière chaque scène se cache un indice subliminal permettant de découvrir le mystère des deux Jake. ENEMY est un film à suspence saisissant, à ne pas manquer.

    Adapté du roman du portugais José Saramago, L’autre comme moi, ENEMY réserve un scénario tortueux mettant en scène un double maléfique. Tout à fait captivant, ENEMY fera tourner en bourrique plusieurs fois le spectateur. En effet, le scénario est un scénario à la fois tiroir et iceberg, on ne peut anticiper ce qu’il va se passer tant le suspence est palpable. Une histoire croustillante donc qui n’est pas toujours compréhensible et qui nécessite une deuxième lecture du film tant les indices y sont cachés.

    Et, la parfaite mise en scène de Denis Villeneuve vient donner à ENEMY toute son essence. D’abord, Denis Villeneuve choisit de montrer Toronto sous un angle oppressant avec ces couleurs à la fois chaude et terne. Mais surtout ENEMY est un réel jeu de piste pour découvrir qui est le Jake Acteur ou qui est le Jake professeur d’histoire. Les images sublimales cachées offrent un élement de réponse. ENEMY est , par sa mise en scène, profondément mystérieux. Et, les araignées, fil conducteur du film en est le parfait exemple. Cependant, le mystère tend à occuper vastement le film et finir par perdre le spectateur.

    Côté casting, Jake Gyllenhaal retrouve encore une fois Denis Villeneuve dans ce thriller épique et nous confirme encore une fois tout son talent d’acteur. Une interprétation de deux personnages opposés parfaitement juste! Face à Jake Gyllenhaal on retrouve un duo de femme : la fragile Sarah Gadon (aperçue dans COSMOPOLIS de Cronenberg , 2012) et l’incendiaire Mélanie Laurent. Ce duo détonnant offre également une très juste interprétation.

    Pour conclure, Denis Villeneuve nous prouve tout son talent pour les thriller mystérieux et imprévisible. La fin si abrupte d’ENEMY se vera qualifié de "fin la plus horrible". ENEMY est un film puissant qui réserve une mise en scène parfaite.
    Kapp Pacino B.
    Kapp Pacino B.

    10 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 septembre 2014
    Du gros n'importe quoi!
    Un mec gentil s'aperçoit qu'il a une sorte de jumaux plutôt méchant.
    Ok on a compris.
    Sauf qu les épouses respectives des deux mecs s'en appercoivent et ne posent aucune question concrète. Le terme jumaux n'est jamais énoncé. La mère des deux mec évite le sujet. Bref au final le film dure et dure avec une musique caïd inexistante tout le film et la dernière minute on ressent la même chose qu'au début: mais pk l'acteur principal ne pose pas les questions évidentes et basiques????!!!!
    J'ai destesté la premiere scène et tout le film dans son intégralité.
    Pourtant j'aimais Bcp le trio du casting mais alors là QUELLE DÉCEPTION !!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 septembre 2014
    N'est pas David Lynch qui veut s'y essayer. Ce film est lent, laid (tons jaunâtres à gerber), inutilement compliqué et sans grand intérêt. On regrette le réalisateur du lumineux "Incendies" et du sombre "Prisoners" qui étaient d'un tout autre niveau. Un petit point positif pour Jake Gyllenhaal dont l'interprétation est toujours impeccable.
    Fabio Secchi
    Fabio Secchi

    13 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2014
    Film construit comme une chasse au tresor,et celui se cache bien dans les premiers sequences du film.
    Le caos, l'ordre et l'enemy se cache dans chacun de nous et les symboles sont là pour nous faire peur et pour devenir une farse à la fin.
    Conseil: regarder le film une deuxieme fois nous devoile plein d'indices qui nous echappent souvent au debut.
    Soyez D.
    Soyez D.

    10 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2021
    Perdre 1h30 de ma vie pour regarder un film sans queue ni tête super !!! On a juste envie de demander pourquoi ? Pourquoi réaliser un film sans intérêt, histoire farfelue à souhait. Et le clou du spectacle la fin débile...
    Ditcinema
    Ditcinema

    3 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 septembre 2014
    Film laissant à désirez j'ai déjà vue pire bon faut aimer es effet spéciaux dans le film on rien à y faire les atteignent géante même si les mec assis à citer de moi saut dans leur fauteuil le que bec t'il pour allez voir sa
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 août 2014
    S'extasier, se méprendre, se questionner sans cesse, être sans voix, tenter le rationnel, vouloir savoir, être impressionné... Un mélange d'émotions, un changement d'état incessant pendant 1h30, tel est ce que propose Enemy.

    Réflexion tout d'abord, la quête du combat intérieur, chercher à atteindre le modèle de l'homme parfait, peut-être trop superficiel, mais parfait, avoir une famille intacte, normale, et être un père digne de ce nom, qui ne s'égare pas dans l'adultère. Vaincre ses démons s'avère difficile quand l'on est un homme troublé, proie à une bipolarité instable, à la tentation d'aller prendre du plaisir dans un sexe-club aux allures néfastes, même quand on est un simple prof d'histoire vivant paisiblement.

    Raisonnement, la solution au problème, l'extinction de sa mauvaise personnalité, pour vivre une vie calme, presque ennuyeuse, un cycle qui se répète. Chercher à devenir un être normal sera semé d'embûches, car la tentation guette, les araignées sont partout, et ne cherchent qu'une chose : Rompre ce lien.

    Dans Enemy, les personnages se révèlent être une seule et même personnalité, un être absolument torturé, cherchant à tout prix une vie utopique qu'il n'atteindra jamais. Perdu dans un onirisme inquiétant, voire troublant, Jake Gyllenhaal se méprend et désire casser ce cycle, cette "vie" qu'il mène, et ne plus souffrir, pour ne plus être son propre ennemi.

    Un puzzle, qui déroutera les moins passionnés, mais qui attisera la curiosité des demandeurs, une multitude d'indices dissimulés, éparpillés, de façon à cacher la vérité, pour proposer ainsi deux histoires qui se rejoignent.

    "Le chaos est un ordre qui n'aurait pas encore été déchiffré."

    C'est un vide intérieur, un personnage qui se prend pour son double, qui est étudié selon deux hommes totalement différents, et pourtant pareils, l'un complétant l'autre. Si Anthony est en proie à ses pulsions sexuelles, Adam n'ose pas s'engager et préfère coucher tous les soirs avec une femme qu'il n'aime peut-être pas réellement. Les femmes sont leur problème, leur tyran. Si Anthony est l'acteur raté, Adam est le prof d'histoire normal. Un paradoxe, et pourtant, pour obtenir la récompense d'être un homme sans histoire, un des deux protagonistes devra être terrassé.

    Enemy est une étude du subconscient, de ses paradoxes et ses failles. Un film mystique qui met en avant la femme, la pose sur un piédestal et la sublime, c'est elle qui dirige les hommes, les convainc à adopter un style de vie sans trouble, mais les attire vers leurs propres démons également, les soustrait d'eux-mêmes. Une fabuleuse quête de paix, un cycle qui ne s'interrompt pas, car la présence de conscience nous l'interdit.

    C'est une histoire peut-être sombre mais réaliste, située dans un endroit flou, une ville immense mais laide, superposée d'une photographie jaunâtre splendide. Une guerre intérieure analysée de fond en comble à merveille. Un chef-d'oeuvre analysable et visionnable indéfiniment.
    jeff78800
    jeff78800

    7 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2014
    Envoutant, étonnant, déconcertant. Belle mise en scène, intrigue.....intrigante ! Film sur l'infidélité, la culpabilité, très bien mené. Je ne suis pas certaine d'avoir compris la symbolique des araignées, et il me semble qu'il y avait peut être des moyens moins imagés pour montrer l'étouffement du personnage.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 144 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2016
    Après les excellentissimes "Incendies" et "Prisoners", Denis Villeneuve nous prouve une fois de plus qu'il sait mettre en scène des thrillers originaux! Confirmation d'un metteur en scène hyper talentueux sur qui Hollywood peut compter aujourd'hui même si "Enemy" est une oeuvre ultra-alambiquèe! Cette fois, Villeneuve nous oblige à chercher le vrai sens du film et à l'analyser pour en donner notre propre interprètation! Au coeur de ce long fascinant, le doute! Côtè distribution, Jake Gyllenhaal est ètonnant d'un bout à l'autre et sa prèsence dans "Enemy" a plus d'importance que son talent! Les araignèes confèrent à chacun une complexitè supplèmentaire : toutes flottent dans une sorte de rèalitè triste et glaciale, que la mise en scène èpouse dans une sorte de gèomètrie mouvante telles les deux tours dans la banlieue de Toronto! Notre conscience en prend un coup, elle est comme prise au piège dans la saisissante rèflexion du double personnage de Gyllenhaal! Sur le papier, ce nouveau long-mètrage de Villeneuve a de quoi sèduire les amateurs de Lynch! Un second visionnage s'avèrant nècessaire pour essayer d'en tirer toute la beautè et la complexitè! Un Villeneuve à revoir...
    FaRem
    FaRem

    7 508 abonnés 8 869 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2014
    Apres le bon "Prisoners" on retrouve une fois de plus Jake Gyllenhaal sous la direction de Denis Villeneuve. Le film démarre timidement les 20 premières minutes sont là pour mettre en place certains détails qui peuvent servir (ou pas..) à la compréhension de l'histoire puis petit a petit l'histoire se dévoile et ça devient très intéressant et intriguant.
    Le scénario est bien ficelé, l'ambiance est excellente tout au long du film ce qui renforce encore plus le coté intriguant. Jack Gyllenhaal livre un très bonne performance on voit bien la différence entre les 2 personnages on retrouve aussi Mélanie Laurent mais dans un rôle pas très important on admire plus son corps que son talent d'actrice.
    Comme pour le reste du film la fin laisse sa part de mystère et nous laisse nous faire notre propre avis sur tout ça. Un film qui mérite une deuxième visionnage pour s’intéresser encore plus aux détails.
    selenie
    selenie

    5 501 abonnés 6 029 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2014
    Villeneuve prouve pourtant qu'il est un réalisateur de grand talent, il signe un film envoûtant, d'une certaine lenteur mais jamais ennuyeux et impose toujours ce côté malsain et troublant. Sans ce choix de cette dernière scène ainsi faite la note aurait été bien supérieure.
    Ricco92
    Ricco92

    181 abonnés 2 092 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2020
    Suite à la grande réussite de Prisoners, Denis Villeneuve retrouve Jake Gyllenhaal pour un film encore plus complexe. En effet, alors qu’Enemy semble raconter une histoire étrange mais assez plausible, le dernier plan fait comprendre au spectateur que le film est beaucoup moins limpide qu’il ne le paraissait et qu’il faut le revoir au minimum une seconde fois pour pouvoir le comprendre réellement. Il n’est d’ailleurs pas anodin de pouvoir trouver de nombreux articles et vidéos donnant un éclairage sur le réel sens du film.
    Pourtant, dès la première vision, Enemy est une œuvre passionnante par la mise en scène très esthétisée de Villeneuve, son rythme lent, son intrigue étrange et prenante, son impeccable direction d’acteurs chevronnés (Jake Gyllenhaal, Mélanie Laurent, Sarah Gordon ou encore Isabella Rosselini) et la froideur de son ton.
    Avec Enemy, Denis Villeneuve signe donc une nouvelle fois un long-métrage passionnant et plein de mystère. Une belle réussite !
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    75 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2014
    Bien qu’il ait attiré les regards les plus pointilleux de la critique cinématographique avec Incendies (2010), le réalisateur canadien Denis Villeneuve devra attendre Prisoners (2013) pour connaître la consécration auprès du public international (plus de 113 millions de recettes mondiales pour un budget de 46 millions de dollars). Pour sa nouvelle réalisation, Villeneuve refait appel à Jake Gyllenhaal (déjà en tête d’affiche de Prisoners, avec Hugh Jackman), pour un tournage quasi en parallèle à son précédent succès. Un projet qui s’est donc fait « sur le tas », et qui a fait sa vie dans les salles américaines en janvier (bien qu’il ait déjà été présenté à divers festivals en septembre 2013). Nouveau grand film pour Villeneuve, donc ?

    Adam Bell (Jake Gyllenhaal) est un professeur d’histoire plutôt discret, qui mène sa vie avec ennui auprès de sa compagne Mary (Mélanie Laurent). Mais tout va basculer pour lui le jour où, en regardant un film, il découvre son sosie parfait, Anthony St. Claire, un acteur fantasque. Pris par un trouble profond, il décide d’en savoir plus sur ce double, au point de vouloir l’observer dans son quotidien et de prendre contact avec lui.

    Dès les premières secondes, on sent d’emblée que nous avons affaire à un film signé par Denis Villeneuve. Rappelez-vous Prisoners et son ambiance lourde, pesante et un chouïa dérangeante qui jouait habillement avec les jeux de lumière et la musique. Ici, vous retrouverez le même style de mise en scène, en beaucoup plus abouti. Une fois le film commencé, on se retrouve gêné par l’ambiance : l’image est diablement sombre et arbore une teinte jaunâtre peu rassurante, les thèmes musicaux prennent leur temps à se faire entendre, le montage insiste lourdement sur des plans étranges et non sans charme visuel (femmes floutées, gros plan sur une femme en pleine action sexuelle, une grosse araignée velue, le regard du personnage principal qui semble perdu)… Cela fait à peine 2 minutes que nous sommes face au film et l’envie de sortir de la salle pour se sentir mieux nous titille aussitôt. Sans jamais nous lâcher, le long-métrage gardant son ambiance (l’appartement du héros, ces vues assez brumeuses de la ville…). C’est donc une certitude : Denis Villeneuve a su livrer un travail d’envergure pour rendre l’atmosphère du film aussi prenante et gênante. Une sensation de mal être bienvenue qui convient parfaitement à l’ensemble.

    Mais un mal-être qui s’explique également par la frustration qui se présente à nous une fois le générique de fin pointant le bout de son nez. Si Enemy construit son histoire autour du script de base pour le moins classique (un homme faisant face à son sosie), celui-ci se retrouve projeté au second plan, laissant la place à de la psychologie pointue au possible. En filmant son personnage de telle manière et usant d’une atmosphère aussi travaillée, Villeneuve veut nous montrer que la ressemblance entre les deux protagonistes ne va pas s’arrêter au physique, mais bien à l’esprit. Nous nous retrouvons donc avec un thriller tortueux qui demande réflexion et attention à chaque plan qu’il dévoile. Le problème provient du fait que le réalisateur se montre avare en explications et généreux en métaphores (symbolisées par une omniprésence arachnéenne tout le long du film). Cela a beau stimuler notre créativité vis-à-vis de la compréhension de l’histoire et du dénouement, nous ne pouvons que rester perplexes face à autant d’étrangetés (les plans de la ville, le découpage brutal de certaines séquences, la présence d’araignées géantes…). Ainsi, on ressort de la salle gêné de n’avoir rien compris sur le coup et de devoir passer par Internet pour avoir les explications qui nous manquaient. Les différentes interprétations possibles du film qui, si elles avaient été présentes directement dans le film, auraient permis de rendre ce dernier bien plus appréciable à suivre. Comme un certain Inception.

    Vraiment dommage de constater une telle chose, tant Enemy s’annonçait prometteur et proposait un casting aux petits oignons. Mettant surtout en avant un Jake Gyllenhaal en très grande forme, qui doit pour le coup jongler entre deux interprétations différentes (le discret professeur et le comédien un peu soupe au lait et égocentrique). Qui surpasse sans mal une Mélanie Laurent pourtant étonnante, une Sarah Gadon naturelle et juste, ainsi qu’une Isabella Rossellini qui se retrouve ici propulsée au rang de figurante. Mais la trop grande complexité d’Enemy (que ce soit du point de vue visuel ou bien scénaristique) nuit grandement au rendu final. Empêchant le nouveau-né de Denis Villeneuve d’atteindre les rangs du thriller psychologique d’exception. Une petite déception donc, de la part d’un cinéaste qui démontre pourtant qu’il a un talent indiscutable en ce qui concerne de mettre en image une histoire aussi tortueuse.
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    49 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Denis Villeneuve signe un thriller psychologique très bien ficelés avec l'excellent Jake Gyllenhaal. IL nous plonge dans cette histoire poignante à l'atmosphère glauque dans laquelle, la mise en scène est particulièrement impressionnante et le récit réussit à nous scotcher jusqu'à la conclusion. La distribution tiens la route et l'histoire fait une parabole au syndrome du Docteur Jeckyle et de Mr. Hyde.
    Phil H
    Phil H

    34 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2014
    Adapté du roman portugais "O homem duplicado" de José Saramago — également connu sous le titre "L'Autre comme moi" en France, Denis Villeneuve, loin de ses deux derniers films mais gardant tous aspects psychologiques, nous fait découvrir son film assez particulier, très mystérieux et très angoissant : comment un type ordinaire découvre, dans un film du DVD, son double qui lui ressemble trait pour trait et, par obsession, tente de le rencontrer... On entre dans une nouvelle dimension inattendue qui nous ferait froncer les sourcils, à savoir ce qu'il va se passer entre ces deux hommes dans un sinistre atmosphère du huis-clos. Pour l'analyser précisément, je laisse au réalisateur qui se l'est exprimée : "Parfois, On ressent des compulsions qu'on ne peut pas contrôler venant de l'inconscient... c'est le dictateur à intérieur de nous-mêmes". C'est, pour moi, le meilleur film traitant la schizophrénie aiguë avec Jake Gyllen­haal dans un double rôle époustouflant. L'ensemble est bon. Techniquement et artistiquement bon, à l'exception du temps qui m'a paru un long... dû à ma fatigue, sans aucun doute.
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