Avis : Enemy - Page 2

est il possible de filmer le subconscient au cinéma? voilà la question que je me pose ! il est très souvent difficile d'adapter des romans au cinéma mais pour le coup sans avoir lu le livre dont est tiré le film j'imagine que l'on est très loin de ce que décrit le roman.je n'ai pas du tout été envoutée comme la plupart le dise..... et ce qui aurait pu m'envoûter c'est la musique du film.Mais les images étant tellement lentes jaunes mais jaunes Pourquoi ce jaune tout du long??? et les immeubles de Toronto...encore et toujours....Jake ne m'a du tout envouté je pense du fait que ces interminables gros plans sur lui sans justement percer son subconscient m'ont profondément laissée de glace. Tout se passe dans sa tête et justement là rien ne se passe dans les plans!!!! dommage . Cronenberg est le maitre !

J'ai vu un film... et je suis resté dubitatif sur la fin... Il s'agit d'une série de scènes qui nous emmènent dans les méandres d'un esprit qu'on a du mal à suivre dans ses pérégrinations mentales... On se perd, on se laisse, on se lasse... Et malgré la qualité du jeu de Jake Gyllenhaal,et de la réalisation magistrale de Denis Villeneuve, je trouve ce film "mou du genou"... J'ai eu le sentiment de passer à côté. sans doute parce que j'ai trouvé que les attitudes du héros étaient artificielles et pas du tout "vraies".. Du coup, je me suis éloigné de l'intrigue, alors que les images sont fortes, la musique accentue le trouble, et on se demande bien "qui est qui", ett "qui fait quoi", pour finalement, ne plus rien se demander du tout... C'est d'autant plus dommage qu'on sent le potentiel fort de ce film, mais... bon, bof....

Pourquoi cherché à tout comprendre ? Enemy est il une narration ratée ou un chef d'oeuvre de manipulation ? Chacun son interprétation. Découvrez mon ressenti en cliquant sur le lien ci-dessous

C'est un film, avec un début qui ne trouve jamais d'explication, une intrigue ensuite, intéressante, palpitante même, qui nous pousse à mener l'enquête intérieurement pour savoir pourquoi A est = à B. On espère que le fil de l'histoire va nous mener vers cette réponse et finalement non. Le film s'arrête comme il a commencé, avec une image qui ne trouve pas son sens et une intrigue absolument pas résolue. Bref, on reste sur sa faim, un peu frustré.

Je n'ai pas encore vu "Prisoners" du même réalisateur mais en tout cas le moins que l'on puisse dire sur "Enemy" c'est que c'est un film étrange. Le rythme très lent, très expérimental du film en découragera certains, et il faut considérer que le film commence réellement passé la première heure de visionnage. C'est aussi une manière de mettre en place l'intrigue du film mais pour moi c'était quand même un peu trop long. Côté casting, Jake Gyllenhaal s'en tire bien, et donne un jeu suffisamment subtile pour qu'on sache lequel des sosies on regarde, ce qui n'est pas si facile vu que le film repose entièrement sur les acteurs. Mélanie Thierry et Sarah Gadon sont crédibles elles aussi, particulièrement Gadon qui tient des propos plus qu'ambigus à la fin du film. L'histoire en elle-même est intéressante et l'aspect limite fantastique m'a bien plu mais malheureusement Denis Villeneuve n'a pas assez exploité les possibilités de ce genre de scénario, et somme toutes on a un film plutôt plat. C'est fâcheux car il y avait de quoi faire un grand film. Pas mal.

Avec un scénario troublant et atypique, "Enemy" se dote d'une histoire complexe qui ne permet la compréhension qu'après-coup. De ce fait, la réalisation est juste mais mitigé puisqu'on est peu captivé dans l'ensemble. Quant aux acteurs, ils jouent correctement. Ainsi, le film est plutôt décevant malgré de bonnes idées et surtout à cause d'un grand manque de rythme.

Décevant. Le thème était pourtant bon, tout comme le casting et le réalisateur, dont on était en droit d’attendre beaucoup. Mais « Enemy » n’est malheureusement pas à la hauteur ; il traîne en longueur, se perd dans du tord-neurones aussi pompeux qu’inutile, et reste un film froid qui nous empêche de nous attacher aux personnages ou de nous émouvoir. Reste la très bonne performance de Jake Gyllenhal, et la curiosité qui, malgré tout, arrive à nous tenir (un peu) en haleine.

Film troublant, très lynchien. Bien joué, bonne mise en scène. Le film se veut troublant, libre à interprété. Mais le film reste moins bon que Prisoners.

Un film lent, mystérieux, qui laisse place a beaucoup d'interprétations. Surement trop. Le scénario est prévisible mais quelques éléments perdent le spectateur et ne trouvent pas de réponses. Si vous aimer David Lynch regardez ce film.

Perdre 1h30 de ma vie pour regarder un film sans queue ni tête super !!! On a juste envie de demander pourquoi ? Pourquoi réaliser un film sans intérêt, histoire farfelue à souhait. Et le clou du spectacle la fin débile...

Film laissant à désirez j'ai déjà vue pire bon faut aimer es effet spéciaux dans le film on rien à y faire les atteignent géante même si les mec assis à citer de moi saut dans leur fauteuil le que bec t'il pour allez voir sa

Le début assez étrange, doit surement s'associer avec la fin, qui y est tout autant. Mon cerveau a du louper une étape, mais je n'ai pas tout compris. spoiler: Est-ce la femme enceinte, qui au bout du compte, est une mante religieuse?
Entre ce final de cette dernière image et aussi, l'accident dont on a l'impression qu'il coule de source??? Mystère et boule de gomme. Sortie de cela, le film manque un peu de punch, et le rythme n'est pas assez soutenue et pas assez glaçant pour nous subjuguer. La scène ou l'un des deux sosie, annonce a l'autre, qu'il va partir en week-end avec sa femme, et lui faire ce qui va bien avec, sans que l'autre ne bouge le moindre petit orteil est curieuse (ou pas crédible). Bref, autant "Prisoners" était magistral, autant "Ennemy" l'est nettement moins pour moi.

A pas de loup, patte de velours, discret comme l'araignée qui dans un coin épie ses proies, Jack/Adam/Anthony se tisse une destinée aux multiples détours. Du Langage naissent une poignée de personnages aux desseins complexes, obnubilés par une seule et même entité: la figure féminine. Femme fatale, fidèle ou castratrice, elles envahissent l'espace comme autant de mouches bourdonnantes , attirées par l’odeur douceâtre d'une charogne putréfiée. L’arachnide décide alors de se mouvoir d'une vie à l'autre, moto entre les cuisses, corps tremblants aux bout des doigts, cachant à peine son visage lorsqu'une femelle, du talon, menace de l'écraser.. Mais, à trop vouloir , l'insecte s'éparpille , le fil du récit se déforme - au grand dam des consciences - et l'araignée se retrouve prise à son propre piège : incapable de distinguer le vrai du faux, la voilà qui dévore ses propres fantasmes, annihilant ses chances de rédemption. A l'instar d'un film qui se rembobine ou se regarde en boucle, l'homme araignée désirait juste se créer un univers dont il serait le pilastre central qui jamais ne ploie sous la contrainte, ni le remords .

« Enemy » est avant tout un film très spécial et complexe, dont le décryptage reste compliqué. Après l’excellent « Prisoners » de 2013 qui m’avait tellement marqué par son intrigue et son suspense, j’ai accouru dans les salles pour voir ce nouveau petit chef d’œuvre, enfin, ce que je croyais être un nouveau chef d’œuvre avant d’être véritablement déçu et ennuyé. Les 1h30 semblent durer 2h30, c’est long, la scène d’introduction laisse présager un film chiant et incompréhensible, mais au final on est captivé à partir du moment où Adam (l’excellent Jack Gyllenhaal) découvre son sosie dans un film. Mélanie Laurent et Sarah Gadon jouent vraiment super bien, le scénario est solide, intelligent et efficace, mais je reviens sur le fait que c’est très dur à comprendre, il faut démêler le vrai du faux, ce n’est pas vraiment un film en fin de compte. Mais après réflexion, on peut supposer pleins de scénarios différents, en tout cas, malgré les quelques rebondissements, les scènes avec les mygales originales mais complexes, les excellents casting et scénario, la fabuleuse mise en scène et la magnifique bande son, malgré tout cela, on reste énormément sur notre fin et on se pose des tas de questions différents sur « Enemy » car le dénouement final ne répond, finalement pas, à la question principale que l’on se pose : Quel est le lien entre les deux Jake Gyllenhall ?

J'avais aimé " Incendies " raté " Prisoners" je me suis précipité sur "Enemy" quelle déception un art formel magnifique au service d'une panade cuistre qui flirte avec le double d' Edgard Poe et juste un chapelet de fantasmes arachnophiles lourds de refoulements Oedipiens stéréotypés Malgré l'esthétique j'ai trouvé le temps long (bien plus qu'a Winter Sleep !!! ) au service de ce qui aurait pu se limiter a un brillant épisode de la vieille série " la 4ème dimension" .. j'espère que ce n'est qu'un accident dans le parcours de Villeneuve...