Mon compte
    La Planète des singes : l'affrontement
    Note moyenne
    3,9
    31706 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Planète des singes : l'affrontement ?

    1 753 critiques spectateurs

    5
    240 critiques
    4
    726 critiques
    3
    435 critiques
    2
    228 critiques
    1
    90 critiques
    0
    34 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Sildenafil
    Sildenafil

    63 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 février 2016
    Encore un blockbuster qui souffre du formatage grand public sacrifiant la profondeur de l'intrigue et des personnages sur l'autel du manichéisme. Dès le début, les personnages sont mis dans une case : les gentils singes, les méchants singes, les gentils humains, les méchants humains. Ne reste plus qu'à pondre la "bouse de dernière minute", scénario artificiel vu, revu et sans surprise, ouf.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 août 2014
    La planète des singes l’affrontement n’est qu’une farce comparé au premier volet. Le scénario est quasi inexistant et le peu est soit des clins d’œil soit des clichés. Le tout pour un scénario qui traîne en longueur du début à la fin. Le film n’est qu’une énorme publicité pour le studio chargé des effets spéciaux qui sont d’excellentes qualités. La 3D ??? De la profondeur dans certaines scènes et rien de plus, sans oublier que la 3D ne sert à rien et n’apporte rien au film. Le casting n’est pas non plus à la hauteur des espérances, le seul qui s’en sort réellement c’est Andy Serkis qui apporte un réel travail et un réel plus au personnage de César.
    aberdeen76
    aberdeen76

    38 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2014
    Un nouvel opus visuellement époustouflant, à la hauteur des attentes engendrées par le reboot de cette saga mythique. Le scénario est un peu simpliste mais tient néanmoins la route, il est juste dommage que les humains manquent un peu trop de profondeur. Les singes sont extrêmement convaincants avec une nouvelle fois, un Andy Serkis étonnant de justesse. La réalisation est parfaite, avec des scènes à la fois dantesques et réalistes et une photographie somptueuse. Un blockbuster d’excellente facture, du pur divertissement.
    Thomas G
    Thomas G

    17 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    au top vraiment différent du premier.les singes sont enormeeeeee. l humour est la et l action aussi.je suis pas decu hate de voir la suite
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    472 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2020
    Petit miracle industriel, le reboot de La Planète des Singes sorti en 2011 effaçait le vilain souvenir laissé par la tentative de T. Burton dix ans plus tôt. Retournant la table pour donner la part belle aux primates, Les Origines fut une réussite qui trouva sa force dans une approche humaniste qui cohabitait parfaitement avec les effets spéciaux de pointe. Le numérique n'était plus seulement un prétexte pour épater, mais un outil pour raconter. Ce film marqua une nouvelle percée pour la motion-capture, et son glorieux représentant Andy Serkis (incarnant le singe César en motion capture).
    La 20th Century Fox tente la confirmation ce retour en grâce avec L'Affrontement.
    Situé dix ans après les évènements du premier, la suite conte la difficile coexistence entre les singes et l'homme dans un monde dévasté par le virus simiesque. Si l'espoir n'a pas disparu, il est largement compromis par les rancœurs qui empoisonnent les deux côtés.
    De retour à la manœuvre, Rick Jaffa et Amanda Silver, appuyés par Mark Bomback, utilisent pleinement le potentiel shakespearien d'une telle base de travail. Par conséquent, ils se refusent à céder au manichéisme. L'intrigue place les espèces face à un tournant où les visions convergentes sont menacées par leurs angles morts...et la guerre. Vaste programme dont se saisit Matt Reeves (après l'excellent Cloverfield). Le réalisateur succède à Rupert Wyatt, et il ne met pas longtemps à trouver ses marques. Avec patience, L'Affrontement pose ses marques dans la droite lignée de son prédécesseur. Le sel de cette franchise se trouve dans une humilité si peu courante dans les grosses productions. La surenchère ne prendra pas racine, les explosions de fureur sont bien plus impressionnantes quand on est émotionnellement investis dans les enjeux. Ce qui est le cas ici, malgré quelques petits manquements (la relation Alexander/Maurice peu développée, le personnage de Dreyfus trop en arrière-plan).
    Reeves emballe pourtant un spectacle chargé d'images iconiques (le refuge des singes, les batailles de nuit), mais qui ne prend jamais le pas sur les interactions entre les personnages. En trois ans, le chemin parcouru en motion capture saute aux yeux. Les singes vivent, respirent et jamais on ne doute de leur adéquation avec le monde "réel". L'animation de leurs faciès, leurs mouvements et le comportement de leur poils est une pépite. Bien entendu, cela est principalement à mettre au crédit des comédiens : Andy Serkis (monumental, encore), Karin Konoval, Toby Kebbell,... Si vous pensiez encore que les effets visuels ne peuvent pas vous arracher quelques larmes, attendez de voir L'Affrontement. Ce qui ne signifie en rien que les protagonistes humains sont laissés de côté. Jason Clarke apporte son charisme à Malcolm, Gary Oldman l'ambigüité nécessaire à Dreyfus, et Kirk Acevedo la répulsion. Chaque personnage trouve un reflet dans le camp adverse, à tel point que le miroir finit par renvoyer l'image d'une humanité aux contours contondants, notamment dans ses réminiscences historiques (les premiers temps du Nouveau-Monde).
    Le défi est largement relevé, imposant La Planète des Singes comme l'un des reboots les plus passionnants à regarder. Une belle performance narrative, une grande prouesse technique, et une superbe réinterprétation du classique de Pierre Boulle.
    sword-man
    sword-man

    73 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 septembre 2014
    Un peu comme "Les origines", cette suite est une surprise mais en bien plus grand et pourtant ce n'était forcément gagné. On pouvait craindre la suite facile pensé par des méchants costards cravate, surtout que le choix de Matt Reeves pour réaliser cette suite avait de quoi faire peur quand on connait l'affreux "Cloverfield". Mais finalement le miracle s'est accompli: "Dawn of the planet of the apes" est un blockbuster intelligent (oui, apparement ça existe encore ) et semble totalement anachronique dans le paysage actuel. Le premier choc vient de la mise en scène purement cinématographique car symbolique. Matt Reeves manie avec intelligence la symbolique que représente ses personnages pour nous tendre un miroir déformant, exactement comme le premier film avec Charlton Heston. En parlant de personnages, on a là une écriture aux petits oignons, très subtile, ou l'on comprend chaque point de vue sans que l'on ne juge bêtement un tel ou un tel comme gentil ou méchant. une telle caractérisation mais surtout une telle maîtrise de tous ces enjeux est assez rare pour un blockbuster et mérite le respect le plus absolu. Mais la vedette c'est bien entendu César, incarné par un Andy Serkis habité, qui possède certes un arc narraif à la "Batman" version Nolan mais s'intègre de manière naturelle et cohérente au thèmes du film. D'une manière générale toutes les obligations que possède un blockbuster actuel, "Dawn of the planet of the apes" se les approprient intelligement sans que cela paraisse à côté de la plaque. Un dernier point sur les effets spéciaux tout simplement bluffants. Jamais une fausse note, les singes sont d'un photo réalisme hallucinant et la précision de la performance capture poussé à ses extrêmes limites. Le meilleur film "Planètes des singes depuis le tout premier et l'un des meilleurs films de science fiction de ses dernières années.
    Bastou75
    Bastou75

    25 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 août 2014
    Le film américain par excellence : un pitch de 2 lignes, des effets visuels et sonores tape à l'œil et bien fait. Voilà. On passe....
    Ludovic S.
    Ludovic S.

    19 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    La deception de l'année !! Encore javais adoré celui avec james franco mais la... c'est tres long a démarrer , les singes parlent pendant 1h et enfin le film bouge... une fin prévisible, acteurs mauvais en vf c'est moche !!! Ce film est raté et manque de fond ... en revanche de beaux effets speciaux sauvent le film du naufrage!! Rupert Wyatt reviens sil te plait et james franco aussi....
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 novembre 2014
    Au sein d'un contexte post-apocalyptique prenant place dix ans après les événements du premier volet, beaucoup de choses ont évidemment changé, à commencer par la physionomie des lieux, les modes de vie, ou encore les relations entre espèces. Cela permet d'éviter toute répétition et de poursuivre le travail et la réflexion engagés sans pour autant renier les acquis : un personnage fort (César), sa complicité avec un humain, la technique parfaite...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 août 2014
    Bon, pour ma critique du nouvel opus de La Planète des Singes, on ne va pas trop s'attarder sur la forme et plus particulièrement sur la motion capture, les chaînes de télévisions et bons nombres de critiques s'en étant déjà chargées. Et si vous me lisez après avoir jeter un œil à quelques avis au préalable, vous savez de quoi il en retourne, pour les autres, on va faire rapide : la motion capture est magnifiquement utilisée.
    Voilà ceci étant dit on va pouvoir passer à autre chose, la mise en scène.
    Car si le battage médiatique autour de ce film s'est surtout fait autour de cette fameuse technologie, on a assez peu entendu parler de la mise en scène en tant que telle alors que p*tain, elle claque quand même méchamment !
    Il est rare de voir tant d'audace formelle dans un blockbuster estival, en plus tentpole (mot appris grâce au Fossoyeur de Films, merci à toi) de la Fox de cette année 2014 qui a coûté au studio la modique somme de 170 000 000 $. Matt Reeves, également réalisateur de Cloverfield (sûrement le meilleur Found Footage à ce jour) et Laisse-Moi Entrer (très bon remake du film scandinave Morse) nous étonne à refuser à plusieurs reprises l'emploi d'un classique champ / contre-champ pour filmer une conversation au profit d'un long plan prit avec un certain recul de sorte que le spectateur puisse voir un peu ce qui l'entoure. Ces longs plans, le metteur en scène américain les aime puisqu'il nous en ressert plusieurs dont deux assez jouissifs et ingénieux. Un où la caméra est posée à côté d'un canon de char permettant de découvrir, à mesure que ce canon pivote, le chaos de la scène de siège et un autre, un plan séquence incroyablement tendu et dynamique où Malcolm se trouve dans une maison pour aller y chercher des médocs pendant que les primates foutent la zone.
    Malheureusement, et c'est la seule chose que l'on pourrait reprocher à cet "Affrontement" (enlever le suffixe à ce sous-titre et vous avez le meilleur qualificatif pour cette traduction française) le scénario est en partie assez décevant par son classicisme, comme si les trois scénaristes du film s'étaient dit "vu que ce sont des singes, on peut se permettre de faire dans le cliché, les spectateurs seront trop c*ns pour s'en rendre compte". On a donc droit au vieux sage (Maurice) qui fait aussi maître d'école à temps partiel quand il n'est pas occupé à conseiller César, le petit furieux qui veut tuer tout les humains (Koba) et le fils rebelle qui rejette l'autorité de son père (Yeux Bleus). Et à trop vouloir multiplier les personnages (autant du côté primate que humain) pour donner de la diversité au propos, on finit par n'avoir que des coquilles vides aux intentions prévisibles. Ainsi Dreyfuss (joué par le très bon Gary Oldman), protagoniste pourtant intéressant se fait torcher son passé en 30 secondes dans une scène certes émouvante mais bien trop courte et mal amenée. Ce point noir plombant ainsi de la même manière le fait que Les Origines crachait un peu trop facilement à la tronche des humains. Element qui a totalement disparu ici au profit d'une plus grande neutralité et objectivité du conflit (avec son lot de « bonnes personnes » et de salauds), nécessaire pour montrer ce que le film tenait à montrer : que les singes, inéluctablement, reproduisent les mêmes erreurs que les Hommes. Comme si l'apport d'un certain lot de connaissances et d'aptitudes intellectuelles poussaient une espèce à redoubler d'ingéniosité pour se foutre sur la gue*le, rappelant un certain 2001 L'Odyssée de l'Espace où le premier stade d'évolution montré se caractérisait par une branche, utilisée comme une arme par un singe, pour battre à mort un membre d'un clan rival (d'ailleurs les 10 premières minutes de cet opus sont aussi causantes que les 30 premières du film de Kubrick, preuve encore de l'audace du long-métrage).
    Mais le film ne s'arrête là pour renforcer cet impression d'indifférenciation entre les primates et l'Homme, au-delà du fait que les relations tendues entre les deux clans ne soient pas sans rappeler celle entre Israël et la Palestine (plus que jamais d'actualité), dont le moindre incident isolé peut déclencher un nouvel affrontement, c'est dans la manière dont va débuter la guerre que l'on comprend que le singe peut utiliser les mêmes stratagèmes de s*lopes que nous pour parvenir à ses fins. En-effet (et là ça va un peu spoiler) l'attentat commit par Koba contre son propre camp pour ensuite faire accuser les humains fait penser à l'incendie, en 1933, du Reichstag (parlement allemand) qu'avait perpétré Hitler pour faire accuser les cocos (fin du spoil). Certains aspects du nazismes se retrouvant également dans le discours des singes avec le délire « famille, patrie en priorité quitte à être un peu raciste » tant certains haïssent les humains au plus haut point.
    Loin d'être un blockbuster estival décérébré, Dawn of the Planet of the Apes, malgré ses bons gros clichés, s'avère être une réflexion intéressante sur les difficultés de créer une société tout en évitant les erreurs que l'Homme a autrefois commises ainsi que sur la cohabitation fragile entre deux peuples qui vivent dans un climat d' « équilibre de la terreur ».
    Il s'agit, qui plus est, d'une très belle réussite formelle.
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 896 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2014
    J'étais sceptique avant de regarder le film, les suites étant très souvent décevantes à comparer à l'original, "La planète des singes: l'affrontement" est égal en terme de qualité que son prédécesseur sortit 3 ans plus tot !! Confier la réalisation d'un film de commande au metteur en scène Matt Reeves, auquel on doit le surestimé "Cloverfield" mais qui s'est amélioré ici, est une bonne idée parce qu'il a su créer un univers et une vision des singes qui parlent et puis les effets spéciaux, les mouvements des animaux, sont très bien travaillés. L'histoire est intéressante pour savoir comment tout a était déclencher, peut ètre qu'on sait d'avance comment cela va se terminer quand on a vu le chef d'œuvre de Franklin J. Schaffner de 1968. Les acteurs de ce long métrage méconnus (à part Gary Oldman) sont impeccables. Un bon moment de divertissement et de vérité sur les origines à voir.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    138 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 janvier 2015
    Fan des premiers planète des singes, ce film bizarrement en est assez éloigné. Tout d'abord les singes sont d'un réalisme surprenant. La gestuelle, les mimiques, les attitudes sont bluffants. Le réalisateur réalise une prouesse en alternant action, moment d'humanité, haine, amour ... L'histoire se construit doucement tout en nous faisant comprendre que l'affrontement final est inévitable. Un grand moment du cinéma. A voir, A Revoir et A analyser. vivement le 3 !
    Timothé Poulain
    Timothé Poulain

    64 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2014
    Très très light niveau scénario, cet opus est incontestablement le moins bon de la série ...en dépit des effets spéciaux à couper les souffles ! En attend rapidement le prochain ;)
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 août 2014
    Après un premier opus honnête et réussi, la franchise prend un tournant plus ambitieux avec "La Planète des Singes : L'Affrontement", blockbuster esthétiquement abouti et plus sombre que son prédécesseur. Cette fois-ci, on est plongé dans un monde post-apocalyptique dans lequel les humains s'éteignent et les singes prospèrent. La direction artistique est excellente tant les lieux de vie de chaque espèce sont magnifiquement décorés, notamment la ville dans la forêt. La physionomie des primates est de plus parfaitement dessinée, permettant de retranscrire sur leurs visages une infinité d'émotions humaines. Il est alors aisé d'entrer en empathie avec eux lorsqu'ils dialoguent par gestes : ils deviennent proches de nous dans le sens où ils maîtrisent nos outils de communication et nos préoccupations. Il y a en outre quelque chose d'assez fort dans la façon dont leur société est organisée, avec un respect tout particulier accordé à César, qu'on a connu bébé et qui est désormais un chef juste et charismatique. Le peu de références au premier opus ajoute encore à la fascination qu'on peut ressentir à le voir mener ses troupes ; il semble désormais complètement détaché de son passé, même si ce dernier se manifeste encore en lui."La Planète des Singes : L'Affrontement" réussit surtout à faire en sorte qu'on ne trouve ni gentil ni méchant : tout est question de survie et les humains comme les singes ont raison de se défendre ; on n'a donc au fond aucune préférence pour un camp ou l'autre. Même l'antagoniste principal, spoiler: le traître Koba
    , n'est pas détestable, en partie en raison du passé qu'on lui connaît.Quant à l'histoire, elle n'est en définitive pas particulièrement originale et ressasse un certain nombre de lieux communs, mais à l'écran, le charme opère tout de même, et ce grâce au talent de Matt Reeves pour créer une ambiance particulière, proche de la nature avec un côté contemplatif et un autre plus violent (cf. les pluies qui s'acharnent contre les humains). Il y a ainsi quelque chose de "Jurassic Park" qui se dégage de l’œuvre, un sens du divertissement à peu près équivalent et qui ne peut qu'être réjouissant. Les scènes de bataille finales sont de plus parfaitement mises en scène, avec de nombreux effets esthétiquement forts – par exemple, ce plan rotatif qui suit les mouvements de la tourelle d'un char d'assaut au beau milieu du combat, démontrant une grande maîtrise des techniques de profondeur de champ. Enfin, le duel au sommet de la tour est l'un des plus beaux du film. Intense et magnifiquement photographié, il constitue l'apothéose du long-métrage et donne pleinement son sens à la 3D. On regrettera néanmoins la fadeur de certains protagonistes humains : si Jason Clarke est irréprochable, le personnage de Gary Oldman, par exemple, manque de la profondeur nécessaire pour rendre le camp des humains aussi attachant que celui des singes.
    Berserk Gatsu
    Berserk Gatsu

    72 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2014
    c'est sure que là c'est pas du marvel..film assez lent mais très émouvant ,césar est incroyable de réalisme, ses expressions faciales, son comportement et sa perception du monde sont juste..waouh.. spoiler: kota lui est vraiment une belle ordure n’hésitant pas à tuer les siens pour ses propres intérêts..
    bref je suis conquis, c'est poignant les quelques scènes de combat son hallucinantes..très bon film ..
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top