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    Wadjda
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    357 critiques spectateurs

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    missfanfan
    missfanfan

    76 abonnés 831 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2013
    Voilà un film sympa et sans prétention à voir , et contente qu'il ai pu se faire surtout dans ce pays , la petit joue bien et l'histoire est joliment racontée ça nous change de tout ces nanars ultra-violents
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 avril 2013
    Le premier long métrage saoudien réalisé par une femme est évidemment un événement qui va attirer la curiosité et disons le nettement - aussi la complaisance inévitable de la presse. Mais au final, le film semble plutôt réussi. "Wadjda" montre d'une façon intéressante la pression sociale d'un pays entièrement orienté vers l'homme et la religion, et dans lequel les femmes sont évidemment rejetées. Le film par son propos échappe donc inévitablement à une critique objective, même si d'un point de vue strictement cinématographique, il faut admettre malgré tout que ce premier long métrage reste moyen.
    Myene
    Myene

    17 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juin 2013
    D'abord une oeuvre juste sur la pré adolescence ( au même titre que "tom boy" pour moi) ensuite la problématique familiale, sociale et religieuse ancre le film dans la réalité de ce vit et refuse de subir cette petite : Lumineux et porteur d'espoir .
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    95 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mars 2013
    Le premier long métrage saoudien est réalisé par une femme, et on mesure le courage et la volonté qu'il faut pour y parvenir. C'est un film tout en finesse, qu'on peut trouver un peu trop sage (mais vu le contexte, dur de faire un film punk), avec une jeune actrice très spontanée. "Wadjda" montre avec subtilité la pression sociale d'un pays entièrement tourné vers l'homme et la religion, dans lequel les femmes sont absentes de l'arbre généalogique, comme le montre une belle séquence.
    Il est difficile pour les enfants de s'épanouir dans un tel contexte, et la petite Wadjda s'inscrit à un cours de récitation coranique pour toucher la prime qui lui permettra de s'acheter l'objet d'émancipation qu'elle convoite: un vélo. La religion n'est pour elle qu'un passage obligé, mais ses rêves sont ailleurs, et son vélo la porte vers l'horizon, loin des carcans rigides.
    Jack K.
    Jack K.

    12 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2015
    Magnifique moment de cinéma. Les comédiennes sont attachantes, l'histoire instructive et éclairante sur le quotidien des saoudiennes, et la réalisatrice a le don de raconter. Bravo et merci. C'est exactement cela que je cherche au cinéma.
    Napoléon
    Napoléon

    119 abonnés 1 541 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2015
    Un bel hymne à la liberté et au renouveau mais qui n'oublie jamais les réalités de la société.
    shimizu
    shimizu

    7 abonnés 228 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2013
    Premier film tourné en Arabie Saoudite, et en plus c'est une femme qui l'a fait. Et en plus, c'est bon! Une belle petite histoire avec une actrice de douze ans formidable. Ca nous parle de l'enfance, mais ça nous parle d'amour aussi, et d'éducation. Sinon ce pays, c'est l'enfer, pire que la prison. Comment les gens peuvent-ils supporter ça?
    Akamaru
    Akamaru

    2 831 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2014
    Haifaa Al-Mansour réussit un double exploit. Celui d'être la première femme arabe à tourner un film,et la première tout court à pouvoir filmer en Arabie Saoudite. "Wadjda" est un conte rafraîchissant et éloquent sur l'émancipation extrêmement compliquée des femmes du Golfe Persique. On y découvre une manière de vivre qui nous ramène en arrière,même s'il n'est pas question de juger étant donné les différences religieuses et culturelles de chaque pays. L'idée suprême,c'est de suivre l'histoire à travers les yeux d'une gamine de 12 ans,qui n'a aucune intention de rentrer dans le rang,voulant obtenir une bicyclette et échapper au port du voile. La banlieue de Riyad,vaste,désertique et faussement apathique est un cadre étonnant pour comprendre les rouages sociaux et les codes rigides de ce pays. Si la mise en scène est appliquée sans être transcendante,le discours atteint une puissance émotionnelle et réflexive peu commune dans le cinéma actuel. À découvrir impérativement.
    Hastur64
    Hastur64

    197 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2014
    Un film saoudien réalisé par une réalisatrice saoudienne avec des acteurs tous saoudiens sur le territoire même de l'Arabie Saoudite, c'est en tout point un film historique ! Il est au-delà de cet aspect une plongée dans une société saoudienne qui reste globalement très méconnue dans les pays occidentaux et qui bénéficie en plus de la vision de ceux et celles qui vivent cette réalité et non d'un point de vue étranger. La réalisatrice met en scène une jeune fille : Wadjda, 12ans, qui rebelle se met en tête de s'acheter un vélo pour faire la course avec son ami Abdallah ; or au pays du Prophète les filles ne font pas de vélo... Par le biais de ce personnage très attachant et de son aventure, Haifaa Al Mansour tresse le portrait de son pays où le conservatisme de la société, muselée par une religion omniprésente, enserre les individus dans un carcan qui les étouffe. La réalisatrice bien qu'elle use du point de vue des femmes n'est pas pour autant tendre avec elles, elle n'hésite pas à montrer qu'elles peuvent être tout aussi réactionnaires que les hommes (en témoigne la réaction outrée de la mère de Wadjda quand elle voit son amie Leïla travailler à visage découvert au milieu d'hommes) et elle montre également le poids des traditions qui pèse sur les hommes qui se retrouvent obliger à prendre, par exemple, une nouvelle épouse si la première se retrouve incapable de leur donner un fils, quand bien même ils n'auraient ni les moyens ni l'envie de prendre en charge une nouvelle famille. À la fois conte charmant sur une petite fille qui veut un vélo et radiographie de la société saoudienne "Wadjda" est un long-métrage rare qui mérite amplement que l'on s'y intéresse, ne serait-ce que pour encourager une réalisatrice très courageuse et d'autre vocation du même type au pays des lieux saints de l'islam.
    elriad
    elriad

    387 abonnés 1 791 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2013
    Quand on est amateur de films d'ailleurs, la tentation de découvrir le cinéma saoudien est tentante car assez rare. J'adore le cinéma iranien, israélien... Wadjda, joliment porté par sa jeune héroïne dénonce assez bien la société patriarcale du pays, sans appui, et délivre tout au long du film ses messages, polygamie, rôle négligeable des femmes, absurdité et manque total de liberté des femmes... La force est de l'avoir fait passer à travers le prisme d'une jeune fille émancipée dont les baskets très présents dans le film symbolisent une société en mutation, et qui ne rêve que d'un simple vélo, réservé aux garçons.... Mais l'ensemble reste un peu lisse à mon goût.
    Septième Sens
    Septième Sens

    77 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juin 2013
    À la fin des années 1940, un nouveau mouvement cinématographique voit le jour en Italie. Il a pour but d'être aux plus proches des hommes et de la vie réelle. Il se nomme le néoréalisme, et Wadjda, le premier film saoudien réalisée par une femme, s'en inspire clairement. On suit dans cette oeuvre historique une petite fille rebelle voulant un vélo à tout prix (rappelant de loin l'excellent Voleur de bicyclette de De Sica, réalisé en 1948).

    Dans la banlieue de Riyad, capitale de l'Arabie Saoudite, le désert semble dominer le paysage. La vie de Wadjda ressemble à celles de beaucoup de filles de son pays, partagée entre l'école et la maison. La réalisatrice a choisit de filmer le quotidien de cette enfant par de nombreux aspects documentaires (décors réels, scènes du quotidien, personnages véridiques). Ce sont sûrement ces partis pris qui rendront le récit creux au départ, auquel il faudra s'habituer.

    Wadjda n'est pas juste une gamine qui veut une bicyclette. Elle représente la liberté que toutes les femmes veulent, avec cette innocence caractérisant si bien l'enfance. Elle se servira de la religion à ses propres fins en renvoyant l'islam à ses propres paradoxes. Elle et son copain symbolisent la nouvelle génération, et l'on voit en eux la métaphore d'un nouvel espoir, libéré du poids des traditions et de la religion.

    Wadjda est un film purement féministe, qui dénonce les inégalités de son pays comme l'a fait récemment Les femmes du bus 678. L'image du professeur notamment, évoque sûrement l'hypocrisie générale qui s'est installée dans ce pays, où le proverbe « fais ce que je dis, pas ce que je fais » n'a jamais pris aussi bien son sens.

    Avec de très bonnes actrices (autant la fille que la mère) et certaines scènes poignantes, Wadjda fait partie de ces oeuvres rares qui montrent le chemin et ouvrent les esprits. C'est un film nécessaire plus qu'artistique. Une oeuvre historique plus qu'esthétique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 septembre 2013
    13/20 : La réalisatrice Haifaa Al Mansour a eu le courage et le cran de réaliser ce film qui dénonce les pensées et les actes de l’Arabie Saoudite, un pays conservateur.

    La jeune actrice Waad Mohammed qui interprète Wadjda, est convaincante dans ce rôle auquel nous nous attachons puisque cette dernière, doté d’un fort caractère, n’accepte guère d’être soumise face à toutes ces règles injustes et de ne pas pouvoir faire ce que les hommes font. Wadjda est une jeune fille détachée des autres, qui a du répondant et qui n’hésite pas à surmonter des obstacles parfois difficiles afin de réaliser son rêve : avoir un vélo.

    Haifaa Al Mansour nous démontre ici ce que les femmes doivent subir au quotidien : d’innombrables injustices. En effet, il est donc lamentable de constater qu’ici, les femmes ne sont pas autoriser à parler, à rire ou à chanter en public, par risque que les hommes les entendent. Tout ceci est d’une telle absurdité qu’on en viendrait même à en rire, en se disant : « non, attends, c’est une blague ? Ce n’est pas possible ! ». Il est interdit aux femmes de pratiquer le vélo et parfois même, certaines petites filles (d’environ 10, 12 ans) sont contraintes de se marier avec des hommes bien mûres. Pour conclure, dans ce système pitoyable, les femmes ne servent qu’à préparer la cuisine pour leur mari, se faire belle à leurs yeux et à faire des enfants. Dès qu’elles sortent dehors, elles doivent s’infliger le voile, voire même la Burqa. Inadmissible !

    Il est dommage que le film soit bâclé par moments, l’enchainement de l’histoire étant trop rapide.

    WADJDA est un film intéressant qui nous permet de ne pas oublier que dans ce pays, les inégalités Hommes/femmes persistent de manière extrême.

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 janvier 2014
    À peu de choses près, c'est le même point de départ que le premier Tim Burton (Pee Wee), sauf qu'on est pas aux States! On est plutôt dans ce genre de pays (l'Arabie Saoudite pour ne pas le nommer) où la plupart des mariages sont arrangés, où les femmes (je met deux points parce que la liste est longue) : n'ont pas le droit de conduire - et c'est valable pour les vélos aussi - ni de sortir découvertes, ni de manger avec les hommes (à qui elles n'ont pas le droit de parler dans la rue) ni de mettre de trucs moulants spoiler: (Et merde! diront les optimistes déçu comme moi)
    . Et aussi con que ça puisse paraître la polygamie est autorisée...

    Même si le film se déroule dans cet environnement hyper réac', on étouffe pas une seconde. Sans avoir l'humour qui faisait le sel de Pee Wee (hésitez pas à demander si vous voulez que j'arrête de comparer des films qui ont rien à voir entre eux), c'est assez léger dans la façon de traiter le sujet, ce qui m'a pour le coup rappelé Persepolis. Vous me direz c'est normal, du point de vue d'une gamine.

    Évidemment le vélo, qui représente le Saint Graal, n'est qu'un prétexte pour dénoncer les incalculables injustices en Arabie Saoudite et particulièrement en ce qui concerne les femmes, les vrais héroïnes du film. Elles subissent sans arrêt le système, et on est gêné pour elles, comme lorsque la mère de Wadja doit se trouver un nouveau chauffeur, ou qu'une élève de genre 10 ans montre des photos de son mari deux fois plus vieux qu'elle.

    En bref, c'est un film court mais pas dépourvu d'ampleur, qui fait partie de cette catégorie rare des films "clandestins" qui ont réussi à passer la frontière (qui arrête une mouche en plein vol, vous comprenez, elle portait pas de voile). En lieu et place d'un plaidoyer chiant sur les droits des femmes (et c'est fondamental, rien de misogyne là-dedans je tiens à le dire) j'y ai vu un récit initiatique beau, porté un vent de liberté plus fort que toutes les lois conservatrices possibles. Peace.
    VOSTTL
    VOSTTL

    70 abonnés 1 802 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 décembre 2022
    Premier film de Haifaa al Manshour, premier film saoudien, premier film réalisé par une femme saoudienne.
    Au moment où elle tournait à l’arrache, son pays l’Arabie Saoudite ne comptait plus aucun cinéma depuis le début des années 80.

    La jeune réalisatrice Haifaa al Manshour a la chance d’avoir un père libéral qui l’a initiée au cinéma, un producteur progressiste et contre toute attente, avec une grande dose de courage, et d’infinies précautions puisqu’elle devait parfois se réfugier dans son van pour filmer afin de ne pas être vue en train de tourner avec des hommes, fussent-ils étrangers, Haifaa al Manshour nous pond un premier film saisissant. Ouf !
    Qui en dit long sur son pays, sur la mentalité de son pays, sur l’ignoble mentalité religieuse de son pays.

    Wadjda est une jeune fille de 10 ans, presqu’une ado tant elle paraît mature qui se démarque par ses chaussures, des Converse (?), son jean, son goût pour la musique occidentale, particulièrement le rock et pour son désir d’obtenir un vélo.
    Une rebelle au pays des interdits.
    Sa chambre elle-même est synonyme de transgression !

    A ce moment du film, le vélo est interdit pour les femmes ou fortement déconseillé (ce qui n’est pas la même chose, je le concède), pour les jeunes femmes. La selle pourrait endommager leur vertu !
    On n’est pas à une sonnerie près (je censure la première lettre, vous avez compris) au pays des Saoud !

    La petite Wadjda veut à tout prix un vélo pour jouer avec son copain Abdallah. Elle veut faire la course avec lui.
    Elle a jeté son dévolu sur un vélo vert, exposé dans une boutique à tout vendre.
    Comme sa maman ne veut pas le lui acheter : « Si tu en fais, tu ne pourras pas avoir d’enfant », Wadjda s’inscrit contre toute attente à un concours de récitation du Coran. Concours qui peut lui permettre d’acheter son vélo puisqu'une prime est annoncée.
    On ne la sent pas emballée à passer ce concours en soi, mais elle est déterminée à le gagner pour s’offrir le vélo.

    Ainsi, la réalisatrice nous invite au fil du récit à découvrir tous les interdits et autres restrictions auxquels les femmes se heurtent dans ce pays.
    Pour être honnête, le spectateur que je suis n’est pas très étonné des maints interdits qui musèlent la femme ; cependant, il reste des réflexions, qui, ici ou là, m’étouffe de sidération, comme ne pas laisser ouvrir le Coran après l’avoir lu au motif que Satan pourrait cracher dessus ; comme les filles qui doivent rester groupées et garder les jambes serrées au motif que Satan pourrait s’y glisser !

    Film instructif et surtout plaisant à suivre malgré les réflexions religieuses (si tant est c’est d’origine religieuse !), interprété avec sobriété par de bons acteurs à commencer par la petite Waad Mohammed dans le rôle de Wadjda, la petite rusée.

    Le cinéma ne peut pas changer le monde, mais « Wadjda » aura permis aux sexe féminin de monter ouvertement sur un vélo ! C’est déjà pas mal me direz-vous…
    Je cite : « La Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice d'Arabie Saoudite semble l'avoir entendue : elle a décrété que les femmes pouvaient désormais utiliser un vélo à des fins récréatives, mais sous plusieurs conditions : être vêtues avec pudeur, avoir un membre de sa famille de sexe masculin à proximité, ne pas utiliser le vélo pour aller faire les courses, et ne pas pédaler là où il peut y avoir "une forte affluence de passants hommes" ».

    En matière de souplesse, ça reste encore bien raide !
    J’aime bien la commission « de la prévention du vice » ! On se croirait dans une aventure de OSS 117 version Dujardin ! Seulement, là c’est sérieux et triste.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    48 abonnés 742 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2020
    Belle réussite pour un premier film. Le scénario n'est pas très dense, les moyens limités, mais la belle histoire de la jeune fille au vélo, permet de rentrer dans l'intime des classes moyennes d'une ville loin de Ryad. Il n'empêche que le caractère rétrograde de ce pays dégouline de tous les murs, mais encore plus redoutable avec des gens ordinaires. Le personnage de la directrice d'école spoiler: , castratrice et intraitable,
    permet d'éviter le cliché comme quoi tous les femmes sont maltraitées. Mérite le détour, mais on se sent impuissant devant tant d'obscurantisme. TV vo mars 2020
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