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Un visiteur
5,0
Publiée le 20 février 2014
Le crocodile du bostwanga a un vraiment la volonté de traiter de sujet tabou comme le passé coloniale ou encore la connivence des anciens pays colonisateur avec des dictateur en place en Afrique...chose que le politiquement correct ne traite presque jamais dans les film français...en tout cas pas avec cette dérision...et ça fait vraiment du bien...
Quant au deux acteurs principaux, ils sont tout deux excellents, Thomas NJIJOL est parfait dans le rôle du dictateur paranoïaque qu'il joue avec talent!
Un film à voir absolument, pour se dérider le visage en temps de crise!!
gentillet mais beaucoup moins bon que le precedent opus de fabrice eboue, on sourit mais aucun eclat franc... Eboue fera mieux on peut en etre certain.
Un grand délire! C'est du grand n'importe quoi mais c'est tellement assumé qu'on ne peut qu'adhérer Les vannes sont parfois limites et peuvent paraitre raciste mais quand on voit qui a fait ce film on sait que c'est du 14e degrès
Le film montre de manière légère les dictateurs africains dans leurr mégalomanie et leur absurdité Et le divertissement et l'humour sont au rendez vous pour notre plus grand plaisir
une comédie drôle qui réussit a nous tenir devant l'écran du début a la fin même si ça ressemble plus a un téléfilm sympa de tf1 plutôt qu'un bon film de cinéma ......les acteurs sont bons et les gags font mouche aux moments ou il faut .....conclusion un très bon moment de rigolade sans grande prétention.
très decu par ce duo que pourtant j'adore. Tres loin de case depart, on retrouve ici un humour plutot enfantin et ce n'est pas dutout ce a quoi je m'attendais.
Bandes-annonces, publicités à droite, à gauche, dessus, dessous et pire encore, devant ! Clic de 30 secondes... Toi aussi passe pour un crétin et fais le boulot d'allocine gratuitement pendant que ces grosses feignasses s'empiffrent en se foutant de ta gueule.
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2,5
Publiée le 1 mai 2019
Schizophrènie et corruption dans une parodie totale de la dictature et de l'impolitiquement correct! Dans "Le Crocodile du Botswanga", Fabrice Ebouè est prêt à tout pour convaincre ce jeune footballeur qui arrive dans son pays d'origine de jouer pour l'èquipe nationale du Botswanga! Ebouè s'est vraiment gâtè avec ce rôle d'imbècile fini, pouvant se permettre ici de tout dire avec des idèes très arrêtèes sur la vie! En dictateur paranoïaque, Thomas Ngijol est ètonnant! Son personnage est tellement fou qu'on se demande si tout ce qu'il dit est gratuit ou pas ? Et la grande force à tout ça, c'est qu'il y a une vèritè dans les faits historiques! C'est parfois limite (l'hymne nationale du Botswanga, le remède contre le VIH...) mais ça fonctionne! Ayez du courage et regarder "Le Crocodile du Botswanga" pour vous amuser avant tout même si ça part effectivement d'un constat gènèral sur certaines dictatures existantes ou ayant existèes! De plus, c'est une comèdie qui contre tous les clichès que l'on peut avoir sur la problèmatique des jeunes issus de l'immigration! Et puis comme dans "Case dèpart", on n'est content de retrouver au casting le regrettè Etienne Chicot...
Dans la seule séquence cinématographiquement réussie, Lionel Steketee filme le dictateur N'gijol (excellent malgré l'indigence du scénario) en Hitler haranguant la foule à la manière des propagandes réalisées par Léni Riefenstahl. L'espace de quelques instants, l'acteur émerveille (et terrifie) dans une mise en scène proche de l'expressionnisme allemand et qui met en avant le talent visuel de Thomas N'gijol. Mis à part ça, le film ennuie. Profondément.
"Le Crocodile du Botswanga", comédie française réalisée par Lionel Steketee et Fabrice Éboué, sortie en 2014. Une comédie sympathique et bien réalisée qui réuni le duo Éboué / Ngijol pour la seconde fois après "Case départ", sorti en 2011 également co-réalisé par Lionel Steketee. Avec aussi Franck de Lapersonne et Étienne Chico, des acteurs qui font également partie de la distribution de "case départ". Une comédie qui n'épargne pas les dictatures africaines et la France-Afrique.
Après leur excellent "Case départ", Fabrice Eboué et Thomas Ngijol récidivent avec cette histoire sur une certaine idée de la politique en Afrique et sur les magouilles dans le milieu du football. Le trait est volontairement caricatural pour notre plus grand plaisir. De nombreuses répliques font mouche.