Avis : Malavita - Page 3

Je n'ai pas vu un film de Luc Besson depuis Arthur et les minimerde 2 qui était sans doute un des pires films que j'ai vu de ma vie, un truc con, très con, destiné pour les morveux et les abrutir. Mais là, le joli casting m'a donné envie de renouer avec Besson. Bon après je n'ai pas moult film de lui, le 5° élément, Léon et Arthur 2, c'est tout je crois (si je ne compte pas une partie du grand bleu étant petit).

Mais ce mec est con, c'est possible d'être aussi con. Le mec il nous fait quoi là ? Il fait la pute auprès des USA ? Les Français du film sont tous des gros cons, mais tous… ils mangent de la merde… ils sont moches… bref, la totale.

Le film est sans subtilité, pour preuve, à un moment on invite De Niro à parler d'un film américain… là je le sens venir gros comme une maison, tu le sens venir gros comme une maison… et là non… ils vont passer Comme un torrent (que je n'ai pas vu), mais tu le sens venir gros comme une maison ?

Aucune subtilité, c'est gras. C'est que du gras. C'est très américain.
Mais le film fait pire, on a De Niro et Tommy Lee Jones dans le même plan et ça n'évoque rien, c'est juste platement nul ! Bordel ! Je veux bien que De Niro ne soit pas au meilleur de sa forme ces derniers temps, mais Tommy Lee Jones, ce mec transpire la classe même encore aujourd'hui ! Et non, il ne se passe rien !

Je ne parle même pas du scénario et de comment fait la mafia pour les retrouver, mais QUI peut y croire ? QUI ? c'est juste pas possible ! Je me suis demandé si c'était une blague ! Si c'était un cauchemar ? NAAAAn c'est bel et bien dans le film ! Quelle médiocrité !

Le gun fight final est d'une mollesse…, mais c'est pas pensé ce truc, c'est pas possible !

Le film avait pourtant des trucs rigolos à montrer, genre Pfeiffer (bien conservée, merci le botox) ou les gosses dans leur vie de tous les jours, ou bien la quête pour l'eau marron. C'était des petits trucs comme ça qu'il fallait mettre, sans le mépris pour les français, le filtre jaune immonde et cette absence de mise en scène constante.

Voir un gamin qui débarque à l'école et qui a pour projet de monter une sorte de mafia ça m'intéresse. Sauf que non, c'est juste là pour le gag. C'est pas drôle ! C'est juste nul !

Mais je dois dire que malgré tous ses défauts, le film n'est pas chiant… ouf, manquait plus que ça.

Parodie très efficace et merveilleusement réussi des films de gangsters américains. Evidemment c'est une parodie et il convient de conserver son regard de spectateur au second degré. Al Pacino se sort merveilleusement de cet exercice, Michelle Pfeiffer est étonnante, les gosses abominablement pervers. Bref, 90 minutes e pur bonheur jubilatoire.

Je n'ai jamais adhéré au "Besson bashing" ou à toute forme de dézingage en règle de ce réalisateur dont le seul tort est d'avoir fait autrefois de grands films à succès. J'attendais même Malavita avec impatience du fait de son casting prestigieux et pour les promesses de ce film. Quelle déception ! Ce film est hélas mauvais au sens où il laisse ses spectateurs au bord de la route, quasi indifférents à l'histoire de cette famille américaine cherchant à se soustraire des griffes de la mafia. Tout dans ce film est excessif et outrancier : la vision ploucissime de la France profonde; l'utilisation aberrante de l'anglais comme langue locale; le scénario qui laisse la porte ouverte à des excès de comportement qui ne sont même pas drôles... Mais ce qui dérange le plus est la violence qui surgit à tout moment, y compris dans les actes de la vie quotidienne, comme si Besson voulait faire du Taken dans toutes les scènes d'un scénario a priori plus intimiste. La violence pure comme constituant de la vie, voilà bien un racolage minable dont ce grand réalisateur ne sort pas grandi. Il y avait pourtant un casting de rêve ! Quel plaisir de revoir la toujours très belle Michelle Pfeiffer ! Et Robert de Niro, Tommy Lee Jone... Quel gâchis !... J'espère juste que Besson va se réveiller et retrouver son niveau d'exigence d'antan, quand il ne cherchait pas à faire du cinéma planétaire standardisé. Allez Jean Luc, un effort, redonnez-nous de l'authentique !

Pour le fond, que le fan de Benacquista se rassure : hormis l'âge des parents et un ridicule épisode prof-élève, l'adaptation est, en gros, fidèle au roman. Pour la forme...les ados ont autant de charisme qu'un flan au tofu, toutes leurs scènes sonnent faux et si les adultes, en parfaits mercenaires, font le job, c'est sans génie. Même le gunfight final semble bâclé quand on se souvient de ceux de Nikita ou de Léon. Au final, ce film bancal, pas désagréable mais oubliable dès le générique pose la question : Besson a--t-il encore envie ? Mais " si c'est Godounov pour lui "...

Qu'on se le dise, il y a l'avant et l'après Luc Besson. L'avant se situe dans les années 80 et 90 avec des films poignants, mémorables, soignés, quasi-intemporels. L'après a démarré la décennie lorsqu'il a commencé à écrire et produire des nanars par bouquets sans vraiment se soucier d'une quelconque qualité. Cette attitude a dépeint sur ses autres films, des longs-métrages mineurs qui, malgré le plutôt engagé The Lady, n'ont jamais fait l'effet d'une bombe comme autrefois et, pire encore, sont des produits d'ores et déjà oubliés. Malavita aurait pu changer légèrement la donne mais les habitudes ont la vie dure... Quand un réalisateur comme Luc Besson réalise une comédie sur des gangsters censément repentis qui n'arrivent pas à échapper à leur passé, c'est intéressant bien que peu ambitieux. En plus, il choisit Robert De Niro pour incarner le père de cette famille mafieuse mise en sous la protection des témoins. L'hommage est indéniable, d'autant plus renforcé par des passages explicites sur Les Affranchis (rappelons que Scorsese est ici producteur exécutif). Mais quand il mélange le tout avec une socialisation ratée franco-américaine, Besson se prend les pieds dans le plat et nous livre son plus mauvais film. Aucun style, aucun dialogue mémorable, aucune séquence mémorable, des extraits de Gorillaz en guise de B.O. et une mise en scène incroyablement ringarde : Malavita lorgne vers plus vers le supplice que vers le tour de force. Placer le film dans les années 90 est une bonne idée. À condition de ne pas faire demander aux enfants du film des portables. Confronter une famille américaine à la simplicité de la Normandie est rigolo. Faire du petit village un endroit bilingue l'est nettement moins (c'est aux seconds rôles de faire l'effort de parler en anglais, quelle blague). Pour le reste, c'est de la mauvaise parodie façon Besson : les Français sont hautains, sûrs d'eux et un peu cons, les Américains aiment la malbouffe mais sont toujours au top. On subit donc un choc des cultures niais et facile pendant la première heure et on écarquille un peu plus les mirettes durant la dernière demie-heure pour un affrontement final plus dynamique mais dans l'ensemble, Malavita est un produit américain bâclé et sans saveur, porteur d'un message douteux qui n'arrive tout simplement pas à exister.

Luc Besson's Way

Presque 10 ans après le chef-d'œuvre "Léon" avec Jean Reno et Natalie Portman, Luc Besson est de retour aujourd'hui au cinéma dans l'univers de la mafia new-yorkaise avec son jouissif "Malavita", film de gangsters qui sent bon la violence, l'humour noir... et la Famille, au sens propre comme au sens figuré.
Le réalisateur du futur film de science-fiction "Lucy" a ainsi fait bien plus qu'adapter le roman éponyme publié en 2004 par l'écrivain Tonino Benacquista. Il a en effet dirigé un véritable culte aux films de gangsters, en mettant en scène un charismatique Robert De Niro mafieux new-yorkais à la retraite... en Normandie, rattrapé par son passé, comme Al Pacino dans "L'Impasse - Carlito's Way" ou Gérard Lanvin dans "Les Lyonnais", et une toujours aussi élégante Michelle Pfeiffer de nouveau mariée à un gangster 30 ans après "Scarface", sans oublier la bad ass mais amoureuse Diana Agron boxeuse de lycéens et tueuses de mafieux.
Certes le film est lent à démarrer car son rythme met du temps à naître, mais une fois l'histoire mise en place, il devient passionnant ! Le casting est parfait - les acteurs qui interprètent les mafieux new-yorkais ont la gueule de l'emploi - et la bande originale très bonne.
Entre flashbacks en noir et blanc sur l'Histoire des parrains de la mafia sicilienne aux États-Unis, qui rappellent une certaine trilogie dirigée par le réalisateur Francis Ford Coppola, et souvenirs dans les années 1970, Luc Besson offre aux amoureux de la famille Corleone bien plus qu'un film de gangsters, mais une véritable comédie noire qui se veut être une rétrospective du 7ème art.
"Malavita" est donc un pastiche très sympathique qui sonne comme un cadeau de Noël avant l'heure pour les grands amateurs de films de mafia.
Enfin merci Monsieur Besson pour m'avoir offert ma plus belle mise en abyme qui rend hommage au producteur de "Malavita" : Martin Scorsese. Ma séquence favorite du film devant laquelle je souriais comme un enfant. Mais chut... l'omertà est de mise.

Comme à son habitude Luc Besson calibre sa réalisation au niveau d’un petit divertissement de samedi soir, mais la grande différence entre Malavita et ses précédents films vient du fait qu’au lieu de destiner son film à un public français en voulant lui faire croire qu’il sait filmer comme un américain, il destine son film directement à un public américain en donnant un image méprisante de la France et de ses habitants (qui, comme par hasard, sont ici tous parfaitement anglophone). Est-ce pour cela que le film n’a pas été apprécié par les critiques ? Si seulement… Tout sonne creux dans cette tentative ratée de rendre hommage aux films de gangsters des années 80, aussi bien les clichés faits sur la mafia que ceux sur la Normandie, et donc les gags relevant du prétexte du choc des cultures ne peuvent être que des niaiseries grossières et téléphonées. Le gag qui semble avoir fait le plus rire le public est la référence directe aux Affranchis, un clin d’œil que l’on voit gros comme la pluie et qui elle non plus n’a rien de drôle, alors que d’autres références peuvent se percevoir dans les interprétations de Robert De Niro et Michelle Pfeiffer dont l’auto-parodie relève plus souvent du grotesque has-been que du réel hommage cinématographique.

Le film nous présente une famille américaine très particulière dont les membres ont la manie de régler leurs difficultés par la violence. Le propos est délirant, très second -millième- degré. De Niro et Pfeiffer s'amusent mais sans cabotiner, toujours avec talent et beaucoup d'autodérision, Diana Agron s'émancipe de Glee avec charme, John D'Leo est attachant et Jones nous ressert l'habituel mais efficace flic un peu ronchon. Le film est bourré d'humour noir et méchant, ponctué d'action et de références au cinéma américain. C'est une parodie assumée du film de mafieux en transposant le pauvre mafieux et toute sa famile dans un bled normand. Dommage, quelques -petites- longueurs apparaissent dans le 2ème tiers et Besson n'évite pas les clichés sur les relations franco-américaines, ainsi que quelques incohérences. Malgré ces défauts et si l'on regrette que le choc culturel ne soit pas mieux exploité, le film ne se prend pas au sérieux, fait rire et a ce petit côté absurde très jouissif.

8/10 // jubilatoire //

Luc Besson s'approprie le roman de Tonino Benacquista, auteur, entres autres, de l'excellent Saga et du présent Malavita, scénariste également et ce, à plusieurs reprises pour Jacques Audiard.

Peine perdue. Le scénario cosigné par le réalisateur avec Michael Caleo est tout simplement insultant pour les français, tout autant que pour le cinéma de Scorsese, à n'importe quel degré, et consternant dans sa globalité. Je ne retiens rien.

Si ce n'est une longueur excessive, malgré la vitesse insupportable d'une prétendue mise en scène qui laisse le spectateur à côté de l'action.

Quant à la distribution, c'est à croire que Robert De Niro fait tout pour faire oublier qu'il a été un grand acteur. J'aurais aimé retrouver Michelle Pfeiffer dans un vrai grand et beau rôle. Et Tommy Lee Jones plus crédible.

Une grande déception.

Comédie US avec des pointures (DE NIRO TOMY LEE JONES, MICHEL PIEFFER) réalisée par LUC BESSON en Normandie avec comme fond de commerce un mafieux en exil en France.
Sans DE NIRO ce film aurait été moins regardable .
a prendre au second degré notamment les clichés Américains/français.
très moyen quand même

Luc Besson peut être considéré comme le plus "Hoolywoodien" des cinéastes français. C'est un atout majeur sur la scène cinématographique internationale quoique l'on puisse en dire. Mais on ne peut pas déclarer non plus que tous ses films soient des franches réussites. Malavita fait partie de plusieurs de ses oeuvres à qui ils manquent le petit quelque chose pour qu'on passe un bon moment. Même si l'effort est louable de revenir aux films qu'ils faisaient autrefois, cela ne vaut aucunement un "Léon" ou "Le cinquième élément".

En un mot le film peine à convaincre. L'intrigue est dépassé. Clairement. Elle ni originale ni vraiment passionnante. Tout se termine de manière assez prévisible ce qui ne laisse pas vraiment de place pour du suspens. Pour un Besson je trouve ça franchement mollasson du point de vue de l'action. Oui c'est bizarre. Personnellement quand je vais voir un film de ce "personnage" j'attend niveau action quelque chose qui décoiffe comme il nous en aurait servi par le passé. Mais pas ce film ou on laisse part à la drôlerie. Si encore il y en avait. Mise à part quelques clins d'oeil à la filmographie de Robert De Niro et à quelques scènes cocasses (Par exemple celle du plombier ...), je ne trouve pas Malavita si marrant que cela. Pour ceux qui ont vu la bande-annonce vous avez visionné l'intégralité du film en l'espace de deux minutes.

En ce qui concerne le casting cinq étoiles je le trouve plutôt décevant. Si De Niro et Tommy Lee Jones restent excellent et sont vraiment hilarant on se demande vraiment à quoi sert le reste de la petite famille tellement elle n'aide pas au déroulement de l'intrigue. Les moments passés avec Dianna Agron (Que j'aime beaucoup quand même) et John D'Leo n'apporte pas grand chose sinon quelques longueurs de plus à un film qui en est déjà bien chargé. Malavita est bourré de cliché et c'est bien dommage.
Du niveau de la mise en scène elle reste assez simpliste mais reste sympathique. De ce côté ça va. Par contre du côté du rythme c'est pas terrible du tout. Ça varie tout le long du long-métrage allant des moments très ennuyant (Surtout le début du film. J'ai eu beaucoup de mal à me mettre dedans ...) à des moments assez plaisant (La fin quand les ennemies arrivent ...)
Parlons d'ailleurs de cette fin. Elle est vraiment très raté car la fin est assez brusque. On se demande même si le cinéaste savait comment il voulait terminer son histoire. Une touche de facilité scénaristique.

Si le film est moyen, Malavita reste pour moi une preuve que Luc Besson veut revenir à ce qu'il faisait auparavant. On l'avait déjà vu avec "The Lady". Il y a de l'effort. C'est plus soigné que son "Adèle Blanc Sec" déjà. On commence petit à petit à le retrouver. Si cela n'est pas vraiment inspiré, le film est loin d'être très mauvais.

Allez on tente de remonter la note. Pour le plaisir de revoir le trio d'adultes (de Niro, Lee-Jones et Pfeiffer), même s'ils ne jouent pas au mieux, ça tape la relève à plates coutures. Ok de Niro en mafieux on l’a vu en long, en large et en travers, même produit par Scorcese, mais ça demeure efficace. L'histoire aurait pu donner s'ils s'en donnaient les moyens, un mafieux en reconversion, qui se cache en Normandie après avoir vécu aux States, évidemment le pitch peut donner et envoyer de l'humour. Bon là c'est un peu raté, et pas qu'à cause des gamins ultra prévisibles, plutôt le manque d’humour et Besson. D’ailleurs je me demande s’il n’y a pas un peu de bashing aussi contre lui, les notes/commentaires s’en ressentent. Dommage, le potentiel était là mais Luc fait du français avec de l’américain, un cocktail qui n’a jamais vraiment marché.

Pour moi, le meilleur Besson (avec le cinquième élément)....
Bravo pour les dialogues souvent à double sens et qui comme l'iceberg cachent sous le niveau de la mer un humour ironique et culturel.....
Bravo à Robert De Niro, qui retrouve sa gouaille de voyou sortie des affranchis.......
Je me suis régalé par ces trois histoires en une (celle des enfants à l'école, celle de De Niro écrivain, ai je reconnu Michelle Pfeiffer tout aussi talentueuse ?, Celle de la mafia new yorkaise débarquant en Normandie (humour) .....
Les 2 adolescents sont phénoménaux ( Le jeune garçon corrompt toute l'école , la jeune fille "dégomme" tout et tombe amoureuse de son prof.....
Le film est fin (la scène avec le ciné club, les fantasmes de De Niro au barbecue) et nous gratifie de références au cinéma américain de De Niro tout en utilisant l'acteur pour les signaler (subtil)...
C'est aussi un excellent film noir, avec un final plein d'action, et un scénario qui vous tient en éveil par ses jeux et ses va et vient......
Bravo Monsieur Besson, ce film est à marquer d'une pierre blanche dans votre œuvre....
Bref un film qu'on sous estime peut être à tord (est ce le titre ?)

Du pur Besson dans cette comédie familiale, drôle et sympathique qui tourne au thriller noir. Le scénario est solide et efficace, mêlant humour et action. Les dialogues sont désopilants et la mise en scène est précise, comme à l’habitude, abusant avec succès de gros plans formidables. Quant au casting, inutile de dire qu’il est parfait avec les talents confirmés du trio : Michelle Pfeiffer - Robert De Niro - Tommy Lee Jones. Même les jeunes Dianna Agron et John D'Leo, qui incarnent les enfants Blake, sont 100% crédibles.
Le pitch : La famille Blake débarque à Cholong. Elle vient de Brooklyn et leur intégration en Normandie ne se passe pas sans problème…

Juste génial ! Je l'ai vu en avant-première et j'ai adoré. On peut avoir un doute en voyant que c'est Luc Besson qui la réalisé mais finalement j'ai été agréablement surpris.
Robert de Niro reste gigantesque dans son rôle de père de famille mafieu ainsi que Michelle Pfeiffer dans son rôle de femme complément détraquée. Sinon, les deux enfants joués par Dianna Agron et John D'Leo sont des personnages vraiment attachant et même très drôle. Après Tommy Lee Jones joue juste un rôle secondaire, mais il lui va comme un gant.
En résumé, le casting a bien était choisi pour cette pure comédie mafieuse et c'est un très bon divertissement pour passer un bon moment en famille ou entre amis.