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    Madame Solario
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    1,6
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    26 critiques spectateurs

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    Anonyme M
    Anonyme M

    45 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 juin 2022
    ECHEC TOTAL. le film évoque des soirées chez des riches de haut rang en 1900 mais il ne se passe absolument rien.....vide complet, les dialogues sont a peine écoutables tellement les acteurs parlent tous a voix basse et les conversation n'ont rien d'intéressant, des vagues mélodies de violon de temps en temps.....vide intersidérale PIRE qu'un enterrement.....
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 mai 2014
    A voir pour Cyril Descours. Je n'ai pas compris grand chose à l'histoire.
    selenie
    selenie

    5 429 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 août 2013
    Un film dont l'esthétique première (décors et costumes) frappent d'entrée, l'élégance de la reconstitution et la beauté du lac de Côme souligne le soin apporté au cadre. On pense évidemment à de grands classiques, comme "Le Guépard" (1963) de Luchino Visconti mais aussi à "Chez les heureux du monde" (2001) de Terrence Davies où, plus proche dans le style recherché "Chambre avec vue" (1986) de James Ivory... Malheureusement ce film familial (René Féret s'autoproduit et fait travaillé sa famille) n'arrive jamais à créer le malaise ou la passion, de romanesque on ne constate que l'écrin. La mise en scène classique mais aussi et surtout l'interprétation sont engoncés comme dans un corset ; rien ne respire rien n'effleure l'émotion et surtout le romantisme passionnel pourtant évident et nécessaire à une telle histoire. On a soigné les décors/costumes à tel point qu'on en a oublié le plus importent, le force des sentiments à retranscrire. Si certains acteurs manquent cruellement de présence et d'incarnation (une bonne moitié) il est aussi question de la direction d'acteur. Un gros potentiel mais lorsque l'amour comme la chair sont faibles le film comme son histoire en deviennent tout fades.
    Aspro
    Aspro

    13 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juillet 2013
    Une période étouffante dont les décors superbes sont beaucoup plus intriguants que les personnages qui les habitent, madame Solario est décevant ,du scénariste-réalisateur-producteur René Féret,
    Une fois de plus, avec sa fille dans le rôle principal, offrant une magnifique toile de fond pour des portraits de riches décadents.

    Le livre en 1956 a provoqué une petite sensation quand il a été publié , d'une part parce que l'auteur était anonyme (Huntington ne se révéla une fois le succès arrivé), et d'autre part parce que ses représentations de l'inceste, le viol et le suicide parmi un groupe de vacanciers dans la croûte supérieure C'était quelque chose d'une rareté à l'époque. Cependant, les tabous ont été brisés.

    Situé dans le magnifique lac de come vers 1907, l'intrigue se passe du point de vue d un jeune aristo britannique, Bernard (Harry Lister Smith) pour la soi-disante enchanteresse Natalia Solario (Marie Féret), dont il tombe rapidement sous le charme, seulement il finit par apprendre que la madame discrete recèle des secrets très sombres.

    Si les protagonistes ressemblent à une liste de blanchisserie pleine de clichés , ils sont à peine élevés par un style laconique qui tend à garder les émotions à bout de bras, avec les acteurs récitant leurs dialogues comme s'ils lisaient le code de la route. Certes, de telles techniques de distanciation ont été souvent utilisée par l Bresson ou Rohmer, mais le film n'a ni la grâce cinématographique de l'ancienne ni la moralité légère de ce dernier, et ses représentations de convoitise, malgré l'angle de l'inceste, m' a à peine lever un sourcil.

    Quant à l'héroïne éponyme, elle est appelé à jouer des moments «beau» et «magnifique», mais en réalité, a à peu près autant de charisme qu' une boîte de carton. C'est sans doute le résultat d'un choix de Féret, qui, comme tout le reste dans ce one-man-band production aux côtés de sa fille, la femme du directeur est crédité à la fois comme rédacteur en chef et co-producteur, tandis que le film a été auto-produit par leur propre distribution , certainement limités.

    Ce que Féret parvient à capturer sont les plus magnifiques paysages du lac de Côme et ses nombreuses villas qui sont baignés dans une lumière naturelle or qui est amplifié par l'utilisation d'une pellicule 16mm. Ceci, remplis d'antiquités, des intérieurs mauve-taillées,un escalier en marbre magnifique .

    Finalement un film plutot terne 1.5/5
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    165 abonnés 1 855 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 juillet 2013
    Adaptation académique et poussive d'un "grand roman" censé avoir été sulfureux... dans les années cinquante. Ca se laisse voir, mais ça manque totalement de charme, de subtilité et de perversité. On a du mal à croire à l'amour fou du prince russe pour cette héroïne un peu fade, bien que maquilleu(se)rs et costumier(e)s aient réussi à lui donner l'apparence d'un médaillon 1900. La psychologie des personnages n'est pas limpide et la vie oisive de ces riches parasites manque d'autant plus d'intérêt que le réalisateur ne porte pas sur cette société un regard bien subversif. Comparer ce travail de tâcheron aux films flamboyants d'un Visconti, comme certains critiques l'ont fait, c'est vraiment faire injure au grand réalisateur italien...
    conrad7893
    conrad7893

    258 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 juillet 2013
    film d'époque très très ennuyeux soporiphique
    les acteurs ne sont pas justes
    histoire d'inceste, de tromperies, de scandales au début du XIX
    à fuir
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 juin 2013
    Adaptant un roman culte des années 50, René Féret raconte avec une belle économie de moyens la confession ultime d’une vieille dame rongée par sa jeunesse volé film tire son charme suranné du décalage entre l'élégance des manières et la violence des enjeux affectifs. L'héroïne, en effet, a un passé mouvementé et son frère, un jeune homme farouche (Cyril Descours, magnétique), vient soudain semer le désordre. Entre eux, contre le reste du monde, un amour interdit ,incestueux se révèle, se raconte par petites touches ferventes et discrètes... C'est ce couple « d'aventuriers », étrangers à la société et à la morale, qui rend le film étrangement attachant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 septembre 2012
    Ce film est magnifique. Quelle vulgarité dans les propos des autres critiques ! Ca se voit tout de suite qu'ils ne sont pas assez délicats pour apprécier ce genre de cinéma. Qu'ils aillent revoir batman ! Ca m'énerve de lire autant d'inepties, de gens qui ne savent rien faire à part baver partout leur ressentiment.

    Et puis, quelle méchanceté envers l'actrice principale. Je l'ai trouvé formidable, au contraire, toute en retenue et hypnotisante. Elle est très belle. Bon courage au réalisateur et à toute son équipe. J'attends le prochain film avec impatience.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2012
    Souvent récitatif, statique dans son mode narration, ce « Madame Solario » n’est pourtant pas déplaisant. Il faut aimer ce type de film hors des modes et des codes imposés pour lequel René Féret a su bien rendre l’atmosphère insouciante vécue par les représentants d’une classe sociale fortunée en villégiature sur les bords du lac de Côme en cette aube du vingtième siècle, aux dépens des passions et des drames qui se nouent parmi ses personnages principaux. En jeune premier au physique charmeur, Cyril Descours assure et demeure l’atout gagnant d’un large casting où il faut également souligner le beau rôle tenu par Salomé Stévenin. Il faudrait néanmoins que René Féret se rende compte une fois pour toutes que l’amour paternel peut rendre aveugle : en effet, ni Lise, fort heureusement peu présente à l'écran, ni surtout Marie, incarnant (ou du moins tentant de l’incarner) l’héroïne principale ne convainquent (et je reste poli). Le maillon faible vous avez dit ?
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    Moi , j' ai trouver cela sympas , on ne s'ennuit pas et c'est passionant. Seul la fin laisse a desire.
    philoutam
    philoutam

    4 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 septembre 2012
    Quelle nullité (sauf costumes et lac de Côme, même mal filmés, ils resplendissent, eux, c'est la seule chose attachante de ce film) !
    Après 3 films ratés, il faudrait vraiment et définitivement supprimer toutes les aides pour un réalisateur...
    Le pire, les deux pires : "l'actrice" principale nullissime, laide, molle, inaudible, un dindon qui est censé pouvoir séduire des coqs ; l'incapacité totale du déréalisateur à pouvoir recréer le réel, les vraies passions dans ce film "d'époque". A quand une adaptation sérieuse d'un roman comme "Mademoiselle Else" de Schindler par un vrai metteur en scène ?
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 septembre 2012
    film ennuyeux tout comme la vie de ces arsitocrates qui n'avaient rien d'autre a faire que de lorgner la femme de leur voisin!
    nefastodelirio
    nefastodelirio

    8 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 septembre 2012
    Mal joué, mal filmé, ennuyeux, acteurs/actrices nuls/es (ou mal dirigés?), bref...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Une belle aux yeux de génisse, lente, amorphe, filmée amoureusement sous tous ses profils et qui évoque les vieilles cartes postales pour Poilus... Un freluquet à qui une moustache clairsemée tente de donner - sans succès - un air d'arrogance stendhalienne, une petite société (petit budget ?), quelques pièces surchargées et un lac. Petit milieu, petites intrigues ultra-banales, y compris le trop annoncé inceste. J'ai failli partir au bout de 20 minutes. Je suis restée en me disant qu'il m'arrivait de regarder des séries américaines à la télé. A éviter sans regret.
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Quelle mouche a donc piqué René Feret, que l'on connaît plutôt comme un cinéaste du quotidien et des petites gens, pour qu'il porte au cinéma le roman culte de Gladys Huntington, tout à la fois vieillot dans son environnement et sulfureux dans son sujet? A priori, il n'était pas du tout l'homme de la situation; et la seule explication que l'on trouve, c'est qu'il a voulu mettre en valeur la beauté intemporelle de sa fille, Marie Féret, qu'il filme en impressionniste. Marie Feret, sous ses canotiers aux ruchés de dentelle, semble peinte par Manet et, bien que ses prunelles soient plutôt bleu marine, elle a le regard noir de Berthe Morizot. Souriante, quand on la regarde, puis morne et toute plongée dans son désert intérieur dès lors qu'elle se retrouve seule, elle est magnifique. Dans l'extrême raffinement des costumes, dans la méticulosité des décors, c'est tout le début du siècle précédent, insouciant et charmant à la Renoir, et en même temps étouffant, que Feret restitue.

    Ça passe dans un hôtel élégant des rives du lac de Côme, où une société cosmopolite villégiature, fréquentant aussi les non moins distingués occupants des villas voisines. Entre deux tours de valse et trois tours de vélo, une visite de château et une partie de canotage, on flirte et on cancane. Ellen /Natalia pense qu'on ne sait rien d'elle? Mais si, on sait bien qu'elle a été surprise avec son beau père, et que son frère a tiré sur celui çi. Le beau père n'a pas porté plainte, mais Eugène (excellent Cyril Descours!) a été exilé au Chili. Et c'est bien lui qui revient, charmeur, manipulateur, maléfique. De quoi exciter l'imagination de ce microcosme désoeuvré....

    Il y a un couple désassorti dont la femme est toute prête à céder à Eugène, et le mari, à Natalia; il y a comte russe sanguin et follement amoureux; une petite chipie d'héritière belge (Salomé Stévenin) qui aimerait tellement retenir Eugène; et le narrateur, un jeune lord anglais, à peine sorti de l'adolescence, prêt à tout lui aussi pour sauver cette femme mystérieuse.... mais, victime et bourreau, elle disparaîtra avec Eugène. Ils emmèneront ailleurs leur couple passionnément incestueux et iront ailleurs faire d'autres victimes parmi les papillons mondains attirés par leur beauté.

    Fiulm démodé? Complètement! Raison de plus pour aller le voir? Car il faut du culot par se placer ainsi, délibéremment, en dehors du it cinéma.... Ne ratez pas ce film élégamment pervers
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