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    Nikô M
    Nikô M

    9 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 avril 2013
    Aucun suspens , aucune ambiance, aucune émotion, c'est au même niveau qu'un encéphalogramme plat...
    Julien D
    Julien D

    1 104 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 mai 2013
    Philipe Godeau retrouve François Cluzet après le succès public d’Un dernier pour la route pour reconstituer un fait divers qui fit la une des journaux en 2009, celui du vol par un convoyeur de fonds de 11 600 000€. Pourquoi cette histoire méritait-elle d’être portée à l’écran ? Sans doute pas pour l’aspect spectaculaire du casse, mais plutôt pour les motifs sociaux de l’acte et l’empathie populaire pour Toni Musulin qui s’en suivit. Donc à défaut du film de cambriolage auquel s’attendait grand nombre de spectateurs, c’est bien d’un pamphlet social qu’il s’agit là, mais le film fait justement l’erreur de rendre son personnage particulièrement nonchalant et antipathique, voir même détestable, et bien trop fermé pour saisir ses véritables intentions. Le réalisme de la mise en scène est peut-être justement un palliatif au peu de message qu’a à raconter le réalisateur.
    tixou0
    tixou0

    632 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 mars 2014
    Le "mystère" Musulin réduit à sa plus simple expression par un Philippe Godeau fort peu inspiré. Par ailleurs, si Cluzet avait le "profil" de l'alcoolique du "Dernier pour la route" du même Godeau, en 2009 (n'ayant, il est vrai, qu'à puiser dans ses propres souvenirs d'addict), il ne peut convaincre dans le rôle de l'auteur du "casse du siècle" (perpétré en novembre 2009). Il ne ressemble en rien physiquement au Serbe (il a déjà 15 ans de plus que lui !), et ne réussit à esquisser du personnage que le plus facile, le caractère "taiseux".
    On ne sait pas ce que Musulin a fait avant de se rendre - le réalisateur pratique donc l'ellipse. On sait en revanche combien sa vie carcérale a été difficile - la pression constante visant à lui faire dire où se trouvaient les 2,5 millions d'euros manquant à l'appel (sur les "11.6" d'origine). Là le réalisateur choisit encore l'ellipse, faisant l'économie des procès et de la détention, matériaux pourtant cinématographiquement intéressants. Paresseusement donc, et sans à-propos. Le portrait du convoyeur de fonds fait l'essentiel du film, avec de longs développements sur sa vie de couple (qu'il rompt plusieurs mois avant les faits - doté d'une compagne façon virago - rôle allant comme un gant à la grande cavale vulgaire Masiero) et sur son amitié avec un collègue simplet, amateur de prostituées et ami des animaux ("Arnaud", alias Bouli Lanners - le seul rôle attachant). On s'y ennuie vite, et on ne décèle pas grand chose de la complexité de Musulin - le seul moment rythmé (10 min environ) étant celui du détournement des fonds.
    En résumé : un sujet peu (ou maladroitement) traité (pourquoi un homme "ordinaire" se lance dans l'illégalité) - le "comment" étant, lui, mieux venu.
    Eponaa
    Eponaa

    178 abonnés 1 088 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 avril 2013
    Je n'ai rien à dire sur François Cluzet qui n'a plus a démontrer son talent d'acteur mais j'ai trouvé que le film trainait en longueur. Le "casse" ne prend que 10mn a peine dans le film et c'est bien dommage. La fin aussi est un peu decevante mais on comprend pourquoi.... Bref moyen
    cylon86
    cylon86

    2 258 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2013
    Philippe Godeau s'intéresse à un fait divers datant de 2009 : le convoyeur de fond Toni Musulin décide de dérober les 11 millions 6 qu'il transporte dans son fourgon blindé. Se rendant rapidement à la police, Musulin ne révèlera jamais où se trouvent les 2 millions d'euros 5 qui n'ont jamais été retrouvés contrairement au reste de l'argent. Le fait divers est intéressant mais le personnage principal est bien trop fermé pour qu'on puisse le comprendre et s'y identifier. François Cluzet a beau être convaincant, Musulin n'est jamais accessible à personne, ni à ses proches ni au spectateur et à force, on finit par s'en détacher. D'autant que la mise en scène froide et le scénario plutôt lent n'aident pas non plus à attirer notre attention. Et finalement le plus intéressant dans le film est la première partie où l'on voit peu à peu le basculement du personnage qui prend sa décision.
    lionelb30
    lionelb30

    385 abonnés 2 496 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2013
    Ce type est une enigme et malheureusement ce film n'apporte pas de reponse.
    En lui meme , le film est quand meme long a ce mettre en place , moyennement joue et encore une fois plus de questions que de reponses.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2017
    Philippe Godeau est avant tout connu dans le monde du cinéma comme producteur de films dits "intellectuels" touchant un public relativement averti . Ainsi, Maurice Pialat, Christine Pascal, Jaco Vandormael et Jean-Pierre Améris ont pu travaillé avec lui pour des films aux débouchés commerciaux pas toujours évidents. Il est passé derrière la caméra en 2009 pour adapter le récit de sa longue période d'alcoolisme par le journaliste et animateur de télévision Hervé Chabalier, déjà avec François Cluzet. L'affaire Musulin qui avait défrayé la chronique en 2009 quand en plein mois de novembre, un convoyeur de fonds s'était fait la malle avec son fourgon rempli de 11,6 millions d'euros pour finir par se rendre après que le chargement a été retrouvé allégé de 2,5 millions d'euros, a justifié un deuxième film en qualité de réalisateur pour Philippe Godeau toujours avec François Cluzet dans le rôle principal. Ce coup d'éclat d'un sans grade avait attiré l'attention sur une profession à haut risque méconnue au sein de laquelle les méthodes de management ne sont pas des plus humaines, mais aussi provoqué un élan de sympathie pour celui qui fut un temps considéré comme un Robin des bois des temps modernes. Mais le garçon taiseux au contraire d'un Jérôme Kerviel cherchant à tout prix la lumière et la victimisation, ne s'est guère livré quant à ses motivations. Un mystère entoure donc ce curieux personnage dont la sortie de prison en 2013 est très attendue, notamment par la justice soucieuse de savoir ce qu'est devenu le reste du magot. Philippe Godeau a acheté les droits du livre écrit par Alice Géraud-Arfi à partir des seuls entretiens qu'à bien voulu accorder Toni Musulin. Avec sa scénariste Agnès de Sacy, Godeau a cherché à approfondir sa connaissance du personnage en recueillant sur place (dans la banlieue lyonnaise) les témoignages de ses proches et de ses collègues de travail. Plusieurs pistes se sont fait jour quant aux raisons qui ont amené ce garçon sans histoire jusqu'à ce geste plus qu'hasardeux étant donné les grandes chances de se faire prendre. Toutes sont exposées dans le film à travers quelques scènes plus ou moins suggestives. Une partie de la critique a pour le coup reproché à Godeau de s'être emparé du sujet sans en avoir extrait sa propre vision. En somme, la vision du film ne livrerait aucune vérité. On peut aussi penser que toutes ces pistes se rejoignent pour aboutir à ce geste qui apparait alors comme la réponse un peu folle d'un être profondément solitaire pour sortir d'un état dépressif. C'est sûrement moins exaltant et dans l'air du temps que le geste vengeur du petit employé maltraité ou encore l'envie irrépressible d'exister par l'argent. Philippe Godeau qui a choisi une voie moyenne montre ainsi une certaine forme d'humilité mais aussi de réalisme, un homme n'étant jamais univoque. Malgré tout, le mutisme de Musulin, sa difficulté à entrer en empathie, son côté calculateur, ses penchants monomaniaques et ses rêves de grandeur sont suffisamment exposés pour expliquer sa capacité à passer à l'acte contrairement à tous ceux de sa profession qui ont peut-être un jour ou l'autre rêvé de s'enfuir avec l'argent qu'ils côtoient tous les jours au risque de leur vie. François Cluzet dont quelques déclarations un peu décevantes avaient fait craindre une forme d'embourgeoisement après que le véritable succès lui soit enfin reconnu avec "Intouchables" en 2011, revient en force dans un registre qu'il est un des seuls a si bien servir. Celui des êtres introvertis rongés par une envie d'exister et de communiquer qu'il leur est impossible d'exprimer sereinement, les amenant souvent à la perte de contrôle. A ses côtés Corinne Masiero et Bouli Lanners apportant leur touchante humanité qui permet à Godeau de peaufiner en creux le portrait de Musulin. Sa mise en scène discrète s'appuie sur la photographie aux tonalités froides du chef opérateur Michel Amathieu pour renforcer l'impression de vide ressenti par Musulin face à son propre destin qu'il ne parvient pas à saisir. "11.6" est à voir comme un film noir du quotidien et non comme une biographie partisane d'un héros qui refuse d'en être un et qui visiblement n'a jamais voulu profiter de l'exposition médiatique positive de son affaire pour tenter d'amoindrir la portée de son geste. Philippe Godeau et François Cluzet ont visiblement bien compris cette dimension du personnage.
    reymi586
    reymi586

    402 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2013
    Ceux qui s'attendait à plus de violence n'étaient pas très bien informés et n'avait surtout rien compris au personnage. On a là à faire à un fait divers parfaitement adapté à l'écran. Avec une interprétation quasi parfaite du personnage de Toni Musulin. On ne comprends pas toujours ses actes mais au final c'est plutôt réaliste vu la complexité (et parfois l'étrangeté il faut dire) du personnage. Après que l'on s'ennuie et que l'on trouve peu d'intérêt à cette histoire, pourquoi pas. Personnellement, je ne me suis pas ennuyé et j'ai adoré l'ambiance parfaitement retranscrite du braquage.
    Thialad
    Thialad

    2 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2013
    Si vous aimez François CLUZET, aller voir le film car son jeu est excellent. Sinon ne vous déplacez pas. L intrigue est longue à arriver et l angle pour évoquer ce fait divers est mal choisi. L ampleur de l événement et la popularité de la personne semble plus importante que la manière dont il a procédé pour réussir son coup. Surtout qu en procédant de la sorte, des questions restent sans réponse comme ce qu est devenu sa voiture ou pourquoi tout ces prêts avant le casse ?

    pour finir, il y a plusieurs problèmes avec les plaques d immatriculation des voitures. La majorité de l intrigue se passe en 2008 et on voit circuler des voitures avec les nouvelles plaques d immatriculation alors qu'elles n ont pas été mises en place avant le 15 avril 2009. C est un détail mais c'est quand même dommage.
    LeFilCine
    LeFilCine

    164 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2013
    Quel acteur ce François Cluzet ! On sent profondément qu'il a aimé interprété le personnage de Tony Musulin. Le film n'apporte pas de réponse, et c'est une grosse prise de risque. Mais c'est ce qu'il fallait faire, simplement décrire les faits. A chacun de comprendre ou non le personnage. Cluzet s'efface visuellement derrière Musulin, et Corinne Masiero lui donne une réplique magnifique. Il faut citer également Bouli Lanners, excellent en collègue simplet mais attachant de Musulin. La mise en scène est belle, subtile. L'image souvent grise, sombre, se marie parfaitement avec le personnage taiseux qu'interprète François Cluzet. Il ne se passe finalement pas grand chose, mais le talent du réalisateur est là, celui des acteurs aussi, l'histoire avait captivé la France entière. La question du pourquoi est permanente, sans réponse, fascinant !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 avril 2013
    Quand le générique se termine et que la lumière se rallume dans la salle, une question frappe l'esprit : pourquoi? En effet, pourquoi avoir fait "11.6"? Cette interrogation sur l'utilité du film est assez perturbante, car "11.6" n'est pas, en soi, un film malhonnête.
    C'est avec plaisir qu'on voit spoiler: suite sur Plog Magazine, les Critiques des Ours (lien ci-contre)
    Akamaru
    Akamaru

    2 803 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mars 2014
    Tout le monde se souvient qu'en 2009,en pleine crise financière,un fait-divers défraya la chronique par son côté insolite et l'opacité de celui qui commis le casse du siècle. Toni Musulin,donc,un convoyeur de fonds tout ce qu'il y a de plus rangé et méticuleux,décida un jour de voler 11,6 millions d'euros. Quelques jours plus tard,il se rendit à la police et 2,5 millions n'ont jamais été retrouvés. Un vrai personnage de cinéma dont Philippe Godeau se fait un devoir de ne jamais dévoiler les véritables motivations. Ainsi,et c'est aussi sa limite,on ne jamais s'il faut considérer Musulin comme un Robin des bois moderne,un homme au bout du rouleau qui dit stop,ou s'il a lui-même organiser tout ça par goût de l'échec et du masochiste. Ça aurait pu être fascinant,c'est seulement flou,le point de vue de Godeau étant absent. De même,certains dialogues ou sous-intrigues arrivent comme un cheveu sur la soupe. En dehors des impeccables seconds rôles que sont Bouli Lanners et Corinne Masiero,François Cluzet impose sa science du jeu minimaliste et physique,avec une personnalité impénétrable et assez antipathique en fin de compte.
    Romahnn
    Romahnn

    18 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 avril 2013
    J'avais un gros doute sur Cluzet dans ce rôle, il me semblait un peu léger, dans tous les sens du terme. Finalement, il le tient assez bien. Quand à l'histoire elle même, à moins d'avoir passé les années 2009 et 2010 à vivre dans une brouette, on l'a tous lu dans les journaux; celle d'un braquage honnête, auquel le film rend hommage avec justesse, sans grandiloquence héroïque, ni moralité mal placée.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 avril 2013
    Nul, nul, nul !!! Il ne se passe rien, si vous connaissait le synopsis du film, vous connaissez en réalité tout l'histoire du film. Vous sortez du film avec plus de questions que de réponses. Trop de scènes plates, sombres, inutiles. Natalya ( une femme guide de haute montagne que Cluzet "drague" en boîte ), que l'on pensait tous revoir à la fin du film, et bien finalement non. Le film n'a finalement aucune chute ( enfin on la connait dès le début du film, puis qu'on sait qu'il va se rendre à la police ). Bref, n'allez pas le vois même si vous aimez Cluzet.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 avril 2013
    Il ne se passe rien dans ce film, je le déconseille trop long. il est nul pourtant Francois Cluzet est un bon acteur !
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