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    Cinquante Nuances plus sombres
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    Patrick K.
    Patrick K.

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 août 2017
    Quelle torture! Aussi ennuyeux que le livre, un vrai supplice! On est pas prêt de trouver une scène mythique et excitante comme 9 semaines et demi avec la jeune Kim Basinger. Lol
    Alexis D.
    Alexis D.

    94 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mars 2018
    La suite de la saga sado-masochiste présente un Christian Grey hanté par son passé et une Anastasia Steele torturée entre leur amour et sa carrière. Christian Grey ne fait plus mal. Jamie Dornan et Dakota Johnson reprennent du service dans ce deuxième volet aux nombreuses incohérences et raccourcis. Ce qui avait commencé comme une relation d'ordre purement sexuel devient une romance assez mièvre, avec une héroïne désespérée de correspondre aux attentes de son beau, tandis que ce dernier se bat avec son passé. Que les fans se rassurent : ce deuxième volet comporte plusieurs scènes olé-olé, bien que la Chambre Rouge ne soit pas, cette fois, cruciale à l'intrigue. Jamie Dornan reste parfait pour ce rôle ambivalent, tandis que Dakota Johnson convainc plus dans ses moments de colère que de séduction. À la fin du premier film, spoiler: Anastasia quittait Christian après lui avoir demandé d'aller aussi loin qu'il le voulait. Lui montrant son côté obscur (une séance de fouet assez violente), la jeune femme prend la fuite. Ils se retrouvent bien sûr dans les premières minutes de cette suite. Toujours aussi harceleur dans l'âme, Christian Grey lui envoie des fleurs à son domicile, achète tous les portraits d'elle à une exposition, commande à sa place au restaurant. Il lui assure vouloir la retrouver coûte que coûte, même s'il doit renoncer à sa "chambre de jeu". Bien sûr, Anastasia cède. Dans le film, le couple a des pratiques osées sans être exceptionnelles : lingerie fine, fessées, boules de geisha ou bandeau sur les yeux. Le milliardaire s'enquiert en permanence des limites de sa partenaire, ce qui est à saluer
    . Il faut aussi reconnaître que Jamie Dornan et Dakota Johnson ont une belle alchimie durant les scènes de sexe, plus "réalistes" que celles du premier film. Cette suite ressemble finalement aux histoires d'amour maintes fois vues à l'écran. Si Anastasia, heureusement, est beaucoup moins "nunuche" que dans le premier volet, elle reste sous l'emprise de son amant, elle reste un personnage vide, sans personnalité, mièvre, totalement insipide. Elle se sent menacée par spoiler: certaines femmes qui gravitent autour de Grey, dont Elena Lincoln (Kim Basinger), celle qui l'a "initié" au SM quand il était à peine un ado, et qui a abusé de lui. Cette dernière promet la mort prochaine de leur couple, et Anastasia s'angoisse de ne pas "suffire" à Christian. "Il finira par se lasser de moi", se dit-elle, sans jamais réfléchir à ce que cette relation lui apporte à elle. Bien qu'elle l'envoie balader ou le charrie de temps en temps, Anastasia est terrifiée à l'idée d'être abandonnée par Christian, de ne pas être à la hauteur
    . Peut-être faut-il alors se rappeler qu'il s'agit de sa première expérience sentimentale et sexuelle pour comprendre son acharnement face à cet homme se disant lui-même "très compliqué" et "tordu". Le businessman spoiler: doit montrer sa bonne foi en faisant preuve d'une volonté de fer. "Plus de règles, plus de punitions, plus de secrets", se jurent-ils. Quelle est la chose la plus difficile pour Grey ? Se confier. En ouvrant son cœur à Anastasia, il lui prouve qu'il l'aime sincèrement, et qu'elle n'est "pas comme les autres". Une dynamique qui sent le réchauffé. Et on a un raccourci terrible et malheureux entre "enfance difficile" et "pratiques sexuelles sadiques une fois dans l'âge adulte". Si Christian court après Anastasia pour la reconquérir, le rapport de force n'est pas totalement inversé
    . Cette suite entretient donc cette légende pesante de la pop culture où une femme parvient à sauver un homme taciturne de lui-même en le transformant en usine à sentiments. Comble du conformisme : Grey va spoiler: jusqu'à demander Anastasia en mariage
    . Pourtant, on ne peut pas dire que ce film est une comédie romantique puisque l'humour est peu présent. L'atmosphère de "Cinquante nuances plus sombres" est globalement pesante. Anastasia est spoiler: malmenée de toutes parts, d'abord par Elena Lincoln (Kim Basinger), puis par Leila (Bella Heathcote), ancienne soumise de Christian. Jalouse de cette idylle, elle espionne Anastasia jusque chez elle et la menace avec une arme. Enfin, elle est malmenée par son boss (Eric Johnson), qui la harcèle du jour au lendemain, dans une scène d'agression effroyable. La situation est encore une fois réglée par "les hommes" de Christian Grey, et son influence sur la ville de Seattle. Le milliardaire semble vivre comme un mafieux indépendant des lois et de la police. Son virage à 180 degrés pour reconquérir Anastasia est d'autant plus surprenant, lui qui a été sans pitié et plutôt irrespectueux envers elle dans le premier volet. Son extrême richesse le rend presque ridicule, tout comme son accident d'hélicoptère, qui n'apporte rien à l'histoire et en fournit l'une des plus grosses incohérences. Le milliardaire rentre seul, on ne sait par quel moyen, avec à peine quelques égratignures, et dans la même tenue que lors du crash. Improbable. Que dire de la "carrière" d'Anastasia Steele ? À peine diplômée en littérature anglaise, la voici embauchée comme assistante du directeur d'une des plus grosses maisons d'édition de la côte Ouest. Elle dit être passionnée par son travail, mais refuse de se rendre à New York avec lui pour un salon d'éditeurs, face la jalousie de Christian. Lorsque son boss est viré, Anastasia prend la suite, et impressionne ses collègues dès la première réunion. Vraiment trop gros pour être réaliste. Arrêtons-nous, enfin, sur les SMS échangés par le couple. S'il a été jugé opportun de les traduire directement à l'écran, c'est une initiative maladroite, puisqu'on voit les doigts tapoter sur le clavier anglophone. Un "bébé" ne sera jamais aussi sexy et doux qu'un "baby"
    . Ce deuxième volet possède cependant un point légèrement positif. Les deux acteurs ont pris conscience que les films seraient mauvais du coup ils essayent de s'amuser, on sent que la gêne commence à passer mais c'est pas encore ça surtout pour Jamie Dornan qui se demande toujours ce qu'il fout sur un tel projet et nous aussi on se demande ! Clairement, le film est plus soft que son aîné qui était déjà très soft, là on retrouve une relation amoureuse calme, avec toujours un rapport de domination entre les deux, Ana restant bien évidemment la soumise de Grey (et en demandant à l'être, affligeant). La pire scène du film est pour moi spoiler: celle où Anastasia retire sa culotte dans le restaurant à la demande de Grey
    (???!!!) Sinon les dialogues sont profondément affligeants, la bande-son est insipide, les décors sont vides, les seconds rôles stéréotypés à outrance sont sans intérêt, et le couple central véhicule une profonde antipathie à leur égard. Bref, une suite pire encore que le premier volet. Un navet exécrable à éviter
    etoile2503
    etoile2503

    7 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 juillet 2017
    bof bof... pas mieux que le 1er , c'est toujours aussi niais, heureusement la bande son est sympa et relève le niveau
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 juillet 2017
    Passé votre chemin.une histoire a dormir debout. Aucun interet. Comment réaliser un film aussi mauvais avec autant d'argent.
    Jérémie
    Jérémie

    129 abonnés 746 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2017
    Comme je le pressentais, le film est ultra plat et totalement dénué d'intérêt. Il n'y a même aucune réelle histoire...
    Comme au premier, le doublage français est nul, les dialogues pas inspirés et le film est lent. On insère à cela quelques scènes érotiques pas vraiment érotiques, et encore moins SM.
    Je me suis clairement emmerdé devant ce film. Mais tout n'est pas non plus à jeter. Dans tout cet amas de nullité, le teaser du troisième volet laisse présager quelque-chose de plus sympa et j'en suis curieux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 juin 2017
    Le premier ne m'avait pas plus déranger ou choqué que ça, c'était bizarre mais soit, pourquoi pas, ça changeait. Cette deuxième partie est véritablement un navet écœurant et nullissime! Je ne le conseille à personne, une réelle perte de temps. Tout le scénario dégrade la femme au point où ça en devient dure à regarder. Exhiber au plus au point le corps de la femme mais jusqu'à cacher les simples fesses d'un homme, d'un réel ridicule. La femme est réduite à une nymphomane psychorigide et l'homme a un pervers narcissique. Épargnez vous va ! Signalez le film pour que l'on est plus le droit de faire de tel horreur !
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    77 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 juin 2017
    "50 nuances plus sombres" est toujours aussi mal écrit que le 1er mais là, on franchit un nouveau palier : je ne sais pas pourquoi mais l'auteur a décidé de rajouter une intrigue en mode polar au milieu de cette "comédie romantique". Déjà qu'ils ont du mal avec la comédie romantique, si en plus ils vont sur le terrain du polar, c'est la catastrophe annoncée.

    Ça n'a pas loupé : la partie polar est tout aussi mal maîtrisée et clichée que la partie comédie romantique. En fait, c'est simple : on a droit une nouvelle fois à des répliques d'un autre temps, qui même dans les années 70 auraient pu paraître kitschs. Aïe, aïe, aïe !

    Et puis le personnage d'Anastasia Steele n'a pas évolué intellectuellement. Il reste particulièrement naïf voire stupide. Du coup, on a d'autant plus de mal à croire ce qu'il se passe à l'écran. Rien n'est fait pour qu'on y croit, pour qu'on rentre dans l'histoire car tout est trop parfait, tout arrive au moment parfait. Cette histoire n'est rien d'autre qu'un fantasme où tout est possible et où rien ne peut arriver de grave aux personnages principaux.

    Je ne comprends toujours pas le succès de cette saga littéraire et cinématographique. Pourtant je continue à la regarder. Je dois sûrement avoir un petit côté masochiste qui s'ignore ...
    Subniko
    Subniko

    7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 juin 2017
    Ce film est d'un ridicule, si le fantasme féminin
    Est traduit dans ce film par la complexité de la relation entre les deux concerner, ce film traduit l'hypocrisie de la sexualité et le fantasme féminin dans toutes ca splendeur
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juin 2017
    malgré les nombreuses critiques négatives sur ce film je l'apprécie énormément il est très fidèle au livre
    elriad
    elriad

    380 abonnés 1 783 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2017
    difficile de tenir durant ces deux heures de poncifs qui s'enchainent dans une niaiserie confondante. Le billard, la douche bien sûr, l’ascenseur, les petits joujoux indispensables, la panoplie de luxe du yacht à l'hélicoptère pour montrer ne possède pas que madame mais aussi tout plein de sous, bref vous croyez qu'on ne peut réunir autant d'éléments navrants en un seul film, et bien celui-ci l'a fait. Une overdose grotesque de scènes prétendant explorer la coquinerie du SM et qui ne pourra faire rougir que les lectrices les plus courageuses de la collection "Harlequin". On a beau cherché, rien mais alors rien ne peut sauver cet immense gâchis cinématographique...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 juillet 2017
    Pas grand chose de sombre dans ce 2é volet, encore plus proche du roman harlequin que le précédent ... C'est d'une niaiserie affligeante, c'est soporifique, quelques claques sur les fesses de temps en temps pour se donner un côté SM bcbg... bref je n'ai même pas pu aller jusqu'au bout tellement ça manque de conviction et de rebondissements.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 16 juin 2017
    Une catastrophe, un jeu d'acteur médiocre, un navet... bref un film ridicule... heureusement que je n'ai pas dépenser 12€ pour voir cette bouse au ciné.
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)

    70 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juin 2017
    Aussi ennuyeux que le premier, les acteurs sont en roue libres, les dialogues sont faux et ridicules, La bande originale est moins bonne que dans le premier et il y a beaucoup BEAUCOUP trop de clipshows, c'est insupportable. L'écriture est horrible, c'est interminable il aurait fallu enlever 30 minutes, le montage est mauvais, ensuite niveau cul, on a droit on 2 fesses du missionnaire et levrette voilà C'est tout au revoir à dans deux ans pour la suite.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juin 2017
    le drame de la vie de cette jeune femme c'est si oui ou non elle veut une claque sur les fesses !! voilà ce qui résume le scénario entièrement ! on attend Kim Basinger en ce disant on va avoir un retour en arrière du père Grey se faisant écarteler ? ben non walou !! bref, la seule chose qui lui arrive de grave à cette jeune femme ce sont des boules de Geishas dans le minou !! ben oui c'est vachement nouveau les boules de Geishas !! bon c'est vraiment pour les no-life ! celles qui se sont mariées en sortant de chez papa maman, ou celles qui sont encore chez leurs parents ! sinon passez votre chemin, et revoyez plutôt "la secrétaire"
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 mai 2017
    D'habitude, j'aime regarder les films en VOSTFR pour apprécier le film à sa juste valeur, mais là c'était insoutenable tant le jeu d'acteurs était nul. Les acteurs sont vides, on ne croit absolument en l'amour qu'Anastasia porte pour Christian, quand à lui, d'ailleurs, il faut croire que les traumatismes liés à son enfance n'étaient pas si grave puisque spoiler: Anna peut le toucher sans problème !
    L'histoire n'est pas respectée (où est le psy de Christian dans cette histoire ?), et tout va trop vite, si bien que si je n'avais pas lu les livres, je n'aurais probablement rien compris ! Plusieurs incohérences (en plus du néant des personnages) donnent à se film autant d'importance qu'un film du dimanche, à voir à 14h entre Les Feux de l'Amour et La Roue de la Fortune.
    Si le but était d'attirer de nouveaux lecteurs ou de rendre "hommage" aux livres, vous vous êtes planté en beauté !
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