Avis : Swim Little Fish Swim - Page 2

Vu en avant-première! un concentré de charme et de douceur. Film indépendant new-yorkais comme je les aime. Atypique et frais! Drôle, colorée et décalée... les affres du passage de l’adolescence à la maturité

Si Lilas n'a pas réussi à s'affirmer dans le monde concurrentiel de l'art contemporain, Lola Bessis et Ruben Amar, les deux jeunes réalisateurs, le pourront en tant que ciné ce 1er film, où il est question de reconnaissance, d'errance à la recherche de soi, il règne une réelle atmosphère tendre, fraîche, profonde et porteuse d'espoir. Les personnages sont authentiques, attachants, crédibles.
On kiffe le message, voire le mantra du film: "donne à ton prochain",et le "tous ensemble, nous ensemble", que l'on peut décliner à tous les personnages.
Je souhaite à ces 2 jeunes cinéastes, un peu prophètes et porteurs d'espoir de continuer à oeuvrer et approfondir leur talent prometteur!

Un très joli premier film, frais et acidulé comme un bonbon.
Le film idéal des journées ensoleillées qui s'annoncent.

New-York, une jolie française, des artistes, du rêve et une enfant. Que faut-il de plus pour faire un beau film aux nuances oniriques, dans lequel plonge le spectateur dès les premiers plans (...)

Ma plus belle découverte du Festival du Film Européen de Mamers...
Ruben Amar & Lola Bessis signent une fable new-yorkaise pleine de vie et de liberté, bercée par un rythme musical tout simplement jouissif ! Le film, qui nous rappelle indéniablement le superbe "Frances Ha" de Noah Baumbach sorti l'an passé, nous embarque dans un univers pétillant et profondément humain dès les premières séquences, notamment grâce à un casting au top, avec une mention spéciale à Dustin Guy Defa ainsi qu'à la toute jeune mais magique interprete de "Rainbow", Olivia Costello.
bref, une grande bouffée de poésie et de fraicheur qui vous donnera le smile en sortant du ciné :-)

Un ovni sur la difficulté de créer et sur la liberté de l'artiste. C'est frais, drôle et l'intrigue est haletante.

Attention voici le sous-genre piège par excellence : le film indépendant tendance arty. Celui qui ravit par sa fraicheur, son minimalisme lumineux, sa joie communicative et la sincérité débordante de son propos. Au fil des années et du succès de festivals déclinés de Sundance, leader de cette division, ce type de long-métrages a eu le mauvais goût de se multiplier à l’excès, les copies de copies de copies ne devenant souvent qu’un gentillet exercice bien appliqué. Ôtons d’emblée le moindre doute, nous avons affaire ici au haut du panier, à une histoire simple magnifiée par ses interrogations universelles et ses thèmes sous-jacents. Loin d’être réservés aux artistes cherchant le compromis entre leur vocation et la nécessité financière, les questions soulevées s’attaquent à ce qui fait corps et sens dans une vie : Doit-on tuer le père/la mère pour pouvoir voler de ses propres ailes ? Peut-on s’accomplir sans être porté par des regards extérieurs bienveillants ? Dans quelle mesure notre créativité peut exister sans avoir été concrétisée au sein de la société ? Quelle part de nous-mêmes abandonne-t-on si nous empruntons une voie à l’encontre de nos principes pour atteindre nos buts ? L’efficacité ne tient pas tant à ces divers sujets, mais à la forme avec laquelle ils sont posés, tout en délicatesse et suggestion non appuyée. La caméra suit les personnages sans verser dans l’idéalisation, ni le manichéisme consensuel en leur faveur. Tout aussi bien intentionné qu’il soit, Leeward est aussi menteur et un peu voleur sur les bords. Quant à la locataire Lilas, elle fuit le réel et l’ambition sous prétexte de s’émanciper du modèle maternel. Leur début de reconnaissance passera par une prise de risques, plus ou moins relative, un coup d’accélérateur auquel contribue la petite Rainbow, véritable rayon de soleil de cet alliage de rêveurs névrosés. Le film jouit en sus d’une photographie en corrélation avec son univers, d’idées de mises en scènes novatrices (ah ces transitions floutées avec chacun des protagonistes à l’honneur !) et d’un cadre pas loin d’être l’acteur principal : New-York. En ces temps pessimistes, le fait que deux réalisateurs français décident d’ancrer le récit de leur premier film dans une ville associée à la liberté et au « tout est possible » ne doit rien au hasard. Remarque tout aussi valable pour la réussite de leur projet.

un vrai bonheur, une tranche de vie à new york, atypique, de la tendresse, un film d'une grande fraicheur et spontanéité, des acteurs naturel, d'une grande simplicité qui s'apparente à de l'humilité ; j'ai passé un doux moment, une histoire qui coule, un autre aspect de la ville, des gens sensibles, joyeux sans excès, une nonchalance bon enfant, des vrais gens. çà fait du bien, merci.

Swim little fish swim...de Ruben Amar et Lola Bessis. J’attendais beaucoup de ce film. La bande annonce était charmante et dévoilait des ingrédients qui me plaisent dans l’absolu : New York, des jeunes, des jeunes artistes, des jeunes comédiens, la lumière d’été, etc...Malheureusement on slalome entre tous les clichés possibles : la jeune artiste contemporaine qui se trimballe avec sa caméra et filme tout ce qui bouge, le jeune père de famille qui fait de la musique avec des jouets d’enfants (cf Pascal Comelade), la chabbat chez la famille-caricature par excellence, la copine barmaid, et la mère indigne, artiste contemporaine reconnue (elle), LA scène dans le bureau de l’immigration...je continue ?
Ce film n’est que successions d’invraissemblances, de ratés, ça ne raconte rien, ça ne pose aucune question, c’est un film qui ne sert à rien ! Et le comédien qui endosse le rôle du musicien est franchement in-sup-por-table.

SWIM LITTLE FISH SWIM : ‎Bouffée d'air arty déjantée aux sonorités folk nous offrant un cocktail de bonne humeur! Le film Lo-fi par excellence symbole d'une génération d'artistes boboifiés tournant avec 3 bouts de ficelle et adepte du "film it yourself". Une sorte d'héritage Julie Delpy-esque en somme, la modestie en plus.
2 petits bémols : le premier, réalisatrice ne rime pas toujours avec actrice, on regrettera peut être le choix de Lola Blessis, herself, pour interpréter la petite frenchy apprentie artiste en quête de sens. En effet ses minauderies sont à la limite du supportable.
Le second, est sans doute d'avoir axer l'arc narratif sur cette "pauvre petite fille riche" et son caprice de reconnaissance et d'indépendance! En bref : un feel good movie Drole & Rafraîchissant! A voir! #movie #review

Un film différent de ce qu'on l'on a l'habitude de voir en ce moment. Frais, rythmé, audacieux. Des personnages attachants, et une histoire résolument moderne. 5 étoiles pour encourager et récompenser une Lola Bessis rayonnante qui montre là toute l'étendue de son talent et de ses idées. Bravo, Bravo, et puis Bravo.

Je ne m'attendais pas à une aussi bonne surprise. C'est très original et frais, des acteurs plus vrais que nature, c'est charmant, je le conseille à tous ceux qui veulent passer un moment génial dans les rues de New York!

Un film magnifique vu au festival à Rousset!
ça change beaucoup des films que l'on a l'habitud de voir (à la fois les gros blokbusters et les films d'auteurs francais) car c'est à la fois profond et divertissant, on ne s'ennuie jamais même s'il y a quelques moments plus lents, de contemplation, mais qui sont voulus et apportent une vraie respiration au film.

Les acteurs sont tous excellents surtout Dustin Guy Defa, que je ne connaissais pas auparavant et Lola Bessis, la co-réalisatrice qui joue le role proncipal et qui, je pense, va aller très loin.

Les réalisateurs (Lola Bessis et Ruben Amar) étaient présent pour présenter le film et participer à un débat après la projection qui etait extremenment riche et passionnant.
On attend la sortie avec impatience! J'espère qu'il sortira dans la region de Aix/Marseille...

BRAVO!!!

Poétique, acidulé, quelques morceaux de bravoure sur la relation mère-fils et la relation mère-fille, charmant, un New York décalé, une superbe photo. Craquant.

superbe film qui montre la vie new yorkaise des artistes et des gens qui cherchent des des reponses a leur vie , ca me rapelle les années 80 où l'on allait voir un film et on en ressortait changé par le message qu'il renvoie . Beaucoup de films ont marqué des generations dans les années 80-90 a la woody allen , pas besoin d'effets speciaux pour marquer les memoires :)
c'est tourné comme si l"on etait avec les personnages , dans des situations que l'on peut tous vivre un jour et cest ca qui touche et parle en premier , on espere une suite dans une autre ville ou un autre pays en amerique du sud par exemple :)