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27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Par-delà l’histoire du grand champion, c’est un message de tolérance bienvenu que délivre ce biopic sportif.
Elle
par Laura Boudoux
Un biopic intelligent sur un des plus grands athlètes de tous les temps.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Passionnant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un biopic efficace sinon très original dans sa réalisation, sur un sujet en tout point passionnant, tant sportivement qu’historiquement.
Metro
par Mehdi Omaïs
(Une) épopée humaniste qui, en filigrane de sa peinture historique fort soignée, redonne à l’esprit olympique toute sa pureté et sa noblesse.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Philippe Rouyer
Avec beaucoup de sensibilité, Lesage nous fait partager le quotidien de son protagoniste (...). Le jeune Édouard Tremblay-Grenier, déniché dans un casting de huit cents enfants, est une révélation.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Biopic hagiographique d'une figure emblématique de l'histoire américaine, "La Couleur de la victoire" est aussi, en creux, une ode à la compétition sportive (...).
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Le film est de très bonne volonté et parvient à raconter son histoire avec une grande élégance formelle et de solides acteurs. Mais son point de vue fluctuant l’empêche d’être plus que ça.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le film tient par son sujet, son écriture précise, son interprétation dans les rôles principaux, et une mise en scène des plus classiques qui colle au récit. Sans mériter le haut du podium, "La Couleur de la victoire" réalise une belle course.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Stephen Hopkins, réalisateur de la série "24", évoque tous les points forts, mais dérive un poil dans le conte de fées. (...) À part ces détails, cependant, le film a une grande qualité : il remet en lumière un héros qui a humilié l'Allemagne nazie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On apprend deux, trois petites choses au milieu de cette reconstitution honnête, à la limite du laborieux, souvent plombée par des images de synthèse.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si la mise en scène manque d’ampleur, Stephen Hopkins réussit à nous plonger dans l’ambiance très particulière d’une compétition aux enjeux tout aussi politiques que sportifs (...) et à nous faire vibrer aux exploits d’un athlète passionné qui fut pendant quinze jours la bête noire de Hitler et de Goebbels.
Le Parisien
par Alain Grasset
Une page d'histoire passionnante malgré une mise en scène classique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Guillaume Orignac
Un biopic trop lisse et scolaire sur Jesse Owens, quadruple médaillé aux JO de Berlin en 1936.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Derrière le portrait sage du sprinter se cache une belle réflexion sur le sport.
Télérama
par Pierre Murat
Le réalisateur, bon faiseur pro, se tire à peu près de la mièvrerie qu'imposent les scènes sentimentales (Jesse et sa femme). Et il réussit parfaitement, en revanche, les moments spectaculaires : l'arrivée du champion noir dans un stade hostile donne vraiment le frisson...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
La détermination passionnée de Jesse Owens, jeune athlète afro-américain, à participer aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936, dans le contexte politico-historique du nazisme et du racisme.
aVoir-aLire.com
par La Rédaction
Le film est fluide et ne manque pas d’humour, pour palier efficacement à la gravité des faits historiques.
Gala
par Camille Choteau
Au fond, on n’est pas vraiment emporté par le héros et son destin, malgré la jolie prestation de Stephan James, élu star montante de l’année 2015 à Toronto. On en attendait davantage du premier film consacré à l’un des plus grands sportifs américains.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Thierry Cheze
Qui trop embrasse mal étreint. L'adage résume bien ce film qui tente à la fois de raconter la vie de Jesse Owens et les coulisses de ces fameux JO censés célébrer la gloire de l'Allemagne nazie.
La Croix
par Marie Soyeux
Au final, le portrait de Jesse Owens reste bien superficiel et ce récit politique bien simpliste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Si “La Couleur de la victoire” n'est pas exempt de bonnes intentions, il déforme hélas l'Histoire pour mieux en restituer et idéaliser les enjeux dramaturgiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un sujet captivant, mal connu, qui aurait toutefois mérité d'être traité plus en profondeur.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Son histoire est passionnante (...) mais ce film n'a, hélas, pas le souffle attendu pour ma mettre pleinement en lumière.
Critikat.com
par Nicolas Journet
Pas sûr que cette ode enamourée et digne des années Reagan à l’imaginaire américain soit des plus à propos ni d’une grande originalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Construire un récit édifiant à partir d’une histoire qui patauge dans les zones grises, la compromission morale et l’absence de courage politique, tel est le projet absurde de ce biopic de l’athlète afro-américain Jesse Owens, quadruple médaillé d’or aux Jeux olympiques de Berlin en 1936, dont l’absence de point de vue finit par créer un malaise.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Solidement écrit, même pas desservi par sa réalisation proprette, "La couleur de la victoire" a le charme ludique d'une BD historique bien charpentée.
20 Minutes
Par-delà l’histoire du grand champion, c’est un message de tolérance bienvenu que délivre ce biopic sportif.
Elle
Un biopic intelligent sur un des plus grands athlètes de tous les temps.
Femme Actuelle
Passionnant.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic efficace sinon très original dans sa réalisation, sur un sujet en tout point passionnant, tant sportivement qu’historiquement.
Metro
(Une) épopée humaniste qui, en filigrane de sa peinture historique fort soignée, redonne à l’esprit olympique toute sa pureté et sa noblesse.
Positif
Avec beaucoup de sensibilité, Lesage nous fait partager le quotidien de son protagoniste (...). Le jeune Édouard Tremblay-Grenier, déniché dans un casting de huit cents enfants, est une révélation.
Première
Biopic hagiographique d'une figure emblématique de l'histoire américaine, "La Couleur de la victoire" est aussi, en creux, une ode à la compétition sportive (...).
CinemaTeaser
Le film est de très bonne volonté et parvient à raconter son histoire avec une grande élégance formelle et de solides acteurs. Mais son point de vue fluctuant l’empêche d’être plus que ça.
Franceinfo Culture
Le film tient par son sujet, son écriture précise, son interprétation dans les rôles principaux, et une mise en scène des plus classiques qui colle au récit. Sans mériter le haut du podium, "La Couleur de la victoire" réalise une belle course.
L'Obs
Stephen Hopkins, réalisateur de la série "24", évoque tous les points forts, mais dérive un poil dans le conte de fées. (...) À part ces détails, cependant, le film a une grande qualité : il remet en lumière un héros qui a humilié l'Allemagne nazie.
Le Figaro
On apprend deux, trois petites choses au milieu de cette reconstitution honnête, à la limite du laborieux, souvent plombée par des images de synthèse.
Le Journal du Dimanche
Si la mise en scène manque d’ampleur, Stephen Hopkins réussit à nous plonger dans l’ambiance très particulière d’une compétition aux enjeux tout aussi politiques que sportifs (...) et à nous faire vibrer aux exploits d’un athlète passionné qui fut pendant quinze jours la bête noire de Hitler et de Goebbels.
Le Parisien
Une page d'histoire passionnante malgré une mise en scène classique.
Libération
Un biopic trop lisse et scolaire sur Jesse Owens, quadruple médaillé aux JO de Berlin en 1936.
Ouest France
Derrière le portrait sage du sprinter se cache une belle réflexion sur le sport.
Télérama
Le réalisateur, bon faiseur pro, se tire à peu près de la mièvrerie qu'imposent les scènes sentimentales (Jesse et sa femme). Et il réussit parfaitement, en revanche, les moments spectaculaires : l'arrivée du champion noir dans un stade hostile donne vraiment le frisson...
Voici
La détermination passionnée de Jesse Owens, jeune athlète afro-américain, à participer aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936, dans le contexte politico-historique du nazisme et du racisme.
aVoir-aLire.com
Le film est fluide et ne manque pas d’humour, pour palier efficacement à la gravité des faits historiques.
Gala
Au fond, on n’est pas vraiment emporté par le héros et son destin, malgré la jolie prestation de Stephan James, élu star montante de l’année 2015 à Toronto. On en attendait davantage du premier film consacré à l’un des plus grands sportifs américains.
L'Express
Qui trop embrasse mal étreint. L'adage résume bien ce film qui tente à la fois de raconter la vie de Jesse Owens et les coulisses de ces fameux JO censés célébrer la gloire de l'Allemagne nazie.
La Croix
Au final, le portrait de Jesse Owens reste bien superficiel et ce récit politique bien simpliste.
Les Fiches du Cinéma
Si “La Couleur de la victoire” n'est pas exempt de bonnes intentions, il déforme hélas l'Histoire pour mieux en restituer et idéaliser les enjeux dramaturgiques.
Studio Ciné Live
Un sujet captivant, mal connu, qui aurait toutefois mérité d'être traité plus en profondeur.
Télé 7 Jours
Son histoire est passionnante (...) mais ce film n'a, hélas, pas le souffle attendu pour ma mettre pleinement en lumière.
Critikat.com
Pas sûr que cette ode enamourée et digne des années Reagan à l’imaginaire américain soit des plus à propos ni d’une grande originalité.
Le Monde
Construire un récit édifiant à partir d’une histoire qui patauge dans les zones grises, la compromission morale et l’absence de courage politique, tel est le projet absurde de ce biopic de l’athlète afro-américain Jesse Owens, quadruple médaillé d’or aux Jeux olympiques de Berlin en 1936, dont l’absence de point de vue finit par créer un malaise.
Les Inrockuptibles
Solidement écrit, même pas desservi par sa réalisation proprette, "La couleur de la victoire" a le charme ludique d'une BD historique bien charpentée.