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    Zero Theorem
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    207 critiques spectateurs

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    Anna_
    Anna_

    14 abonnés 701 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2020
    Je n'ai pas vu les deux premiers films de Terry (qui forment avec celui-là un triptyque). On est ici dans un univers de dystopie dont la réalisation est assez....tirée par les cheveux ! Il faut s'accrocher pour bien rentrer dans l'univers mais au final c'est assez plaisant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 juin 2014
    He is back! Mister Gilliam nous emporte une nouvelle fois dans une expérience d'anticipation qui nous rappelle Brazil. L'époque a changé mais la problématique reste la même...
    Certes mois réussi mais tout aussi intriguant avec la présence de Christopher Waltz et de sa bimbo virtuelle mélanie Thierry.
    A ne pas manquer de toute façon.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 octobre 2021
    Dans The Zero Theorem Gilliam tente une fois de plus de reproduire les succès qu'il a connus dans le genre de la science-fiction avec des films comme Brazil et L'Armée des douze singes. Pourtant comme dans beaucoup de ses films de ces dernières décennies Gilliam semble manifestement perdu dans ses propres mondes ses créations qui semblent si mûres pour les idées mais si difficiles à regarder ensemble ce qui donne une impression de vide total. Le film ressemble à une sorte de cousin éloigné de Brazil il y a la sensation totalitaire du monde futur il y a la mode étrange et les éclairs de couleur dans une terre autrement grise et il y a le protagoniste en difficulté tout comme Sam Lowry dans Brazil ici joué par le malheureux Christoph Waltz. Gilliam ne parvient pas à reproduire ce qu'il a fait auparavant car il y a une surabondance de tics et d'astuces visuels qui semblent essayer de masquer les échecs de Gilliam en tant que conteur. Le maître de cérémonie est totalement perdu dans sa propre création ce qui ne peut que signifier que le film était condamné quels que soient les efforts de ceux qui le composent...
    Nico591
    Nico591

    39 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2014
    Après "Brazil" en 1985, Terry Gilliam décrit à nouveau une société futuriste qui est dans ce film ultra connectée et déshumanisée.
    Avec son imagination habituelle, Terry Gilliam nous offre un univers visuel et un style reconnaissable de suite, dommage que le manque de moyens évidents le bride dans sa démarche, réduisant le nombre de décors au minimum.
    Le scenario mystico-scientifique quant à lui n'est pas à la hauteur de son illustre ainé, se perdant dans différentes directions notamment durant la deuxième partie.
    Christoph Waltz est génial dans le rôle de ce personnage fou et déjanté typique de l'univers de Gilliam qui réussit encore aujourd'hui à nous proposer son style iconique fourmillant d'idées, même si ce film ne figurera pas parmi ses plus réussis.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 juillet 2014
    Après quelques films plutôt décevants, Gilliam revient à un genre qui lui tient à coeur : la SF satirique. Très attiré par le pitch accrocheur de ce nouveau film, proche d'un Brazil 2.0, j'ai fait la sourde oreille vis à vis des critiques peu réceptives, et je pense avoir bien fait !

    Même si l’idée de critiquer la place de plus en plus vaste des technologies dans la société semble un peu démodée, les arguments avancés dans ce film sont plutôt louables, je pense notamment aux fêtes durant lesquelles les invités dansent seuls avec leurs propres écouteurs et smartphones. Le film montre aussi une société qui se cherche et qui a besoin de croire en quelque chose...

    Retrouvez la suite de la critique sur mon blog
    Raphaël O
    Raphaël O

    121 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2014
    En dépit d'une astucieuse idée de départ, de décors au style futuriste et d'un casting de premier choix, ce film de science-fiction de Terry Gilliam ne révèle qu'un scénario confus, bavard, manquant d'inspiration, donnant un sentiment de frustration et d'ennui.
    Dommage...
    S M.
    S M.

    30 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juillet 2014
    "Zero Theorem", sorte de version du "Brazil du pauvre" est plutôt sympathique au final. On retrouve l'univers du grand Terry Gilliam. Un univers complexe et très chargé qui demande la plus grande attention pour bien tout déceler. Mais voilà, tout cela fait beaucoup de choses pour... Pas grand chose finalement! Car ce coup-ci, Mr Gilliam n'a pas grand chose à nous raconter malheureusement. L'histoire ne tient pas vraiment la route. LE point négatif du film et c'est dommage. Oui dommage car nos acteurs principaux, Christoph Waltz et Mélanie Thierry, sont convaincants. Esthétiquement, le film est très beau et plutôt bien foutu malgré le petit budget. Et puis, il regorge de petites situations cocasses. Les fans de Terry Gilliam (dont je fais partie) devraient s'y retrouver. Les autres? Détracteurs ou personnes hermétiques à l'univers du membre des Monty Python, passez votre chemin.
    Spe64
    Spe64

    24 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2014
    Dans un futur "néo-rétro-loufoque" (qui m'a fait penser au futur imaginé dans "Retour vers le futur"), nous assistons ici à une critique de notre douce société au travers de divers thèmes: la déshumanisation, le coté "big brother", le travail aliénant au possible jusqu’à travailler sur la plus absurde des questions..la question du destin, du sens de la vie est également abordée.
    Un film à réflexion laissant le soin au spectateur de l’interpréter à son bon gré..entre virtuel, réel, rêves, cauchemars et fantasmes..
    Pour finir sur un coté chauvin (c'est de nouveau en vogue en ce moment ^^) Mélanie Thierry est de la partie et s'en sort magnifiquement bien.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 décembre 2014
    Theorem zero apparaît à première vue comme un ratage total, même si l’esthétique proche de Brazil vient pimenter quelque peu le décor, quoique finalement assez décevant puisque cantonné à des intérieurs sombres. Cependant, à la réflexion, Gilliam traite le néant avec une certaine virtuosité. Qohen (Waltz), un employer introverti et solitaire, s’imagine deux en parlant de lui à la première personne du pluriel et attend vainement un coup de fil qui lui révèlerait le sens de sa vie. Qohen n’a semble-t-il pas compris que la vie est un immense vide, ce fameux « theorem zero » (le néant est suggéré par le « zéro »), alors même qu’il a fait de sa vie un vide total en se coupant du monde dans l’attente de ce même coup de fil. Son employeur -qui l’exploite- lui envoie une aide en la personne de Bainsley, la charmante Mélanie Thierry, qui illumine la vie de Qohen, mais aussi et surtout le film, alors qu’il travaille chez lui sur un nouveau programme. La présence de ce personnage à la sensualité hyper développée jette Qohen dans le trouble mais ne l’attendrit pas pour autant. Pire, il finit par refuser un amour légitime et véritable sans le médium numérique. Le personnage de Bainsley n’est en fait pas le principal adjuvant de l’histoire, et c’est un ado, Bob (prénom impersonnel s’il en est) qui lui donne les clés de la réussite. Sortit de sa bipolarité, Qohen s’enquiert du sort de l’adolescent et parle à nouveau de lui à la première personne du singulier alors qu’il découvre le néant.
    Le film, profondément nihiliste, amène également –était-ce le but premier de Gilliam ?- une critique sociale de l’asservissement et de son échappatoire, rendu possible par le paradis artificiel, dans un monde défiguré par la publicité et le travail. Le porno, la surveillance par caméra, les réflexions sur l’absence de vie privée (« je n’ai rien à cacher ») amènent progressivement le héro à détruire le monde numérique. Enfin, si Theorem Zero est loin d’être l’œuvre majeure de Gilliam, elle mérite le détour, serait-ce uniquement pour la prestation de Mélanie Thierry, étincelante…
    TheGP
    TheGP

    4 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juillet 2014
    La critique s'est abattue sur le pauvre Gilliam, immédiatement mis en concurrence avec lui-même, et notamment avec "Brazil", en raison de la proximité génétique de "Zero Theorem" avec son illustre frère aîné. Pourtant, malgré les caractères communs (univers déjanté, société folle, personnages burlesques, décors criards), "Zero Theorem" n'a pas le même objectif que Brazil. "Zero Theorem" n'est pas une obsession (celle de la lutte contre une société policière implacable), mais un pot pourri, un pudding dont la pâte serait faite de nombreux ingrédients hétérogènes qu'on aurait pu croire incompatibles, mais que le style Gilliam transforme en une pâte singulière et digeste. "Zero Theorem" aborde une myriade de sujets, sans forcément les approfondir (mais est-ce un mal ?) : Il présente une société de consommation infantilisante, où le travail est un jeu ennuyeux et où les rapports humains sont creux et superficiels. Les instances économiques (très bon Matt Damon en Management tout puissant, mais humain) maintiennent sous surveillance la population grâce à la réalité virtuelle, lénifiante, et à une surveillance constante. Mais le véritable objet du film n'est pas là : C'est surtout l'histoire d'une recherche, d'une quête impossible, d'une question permanente, à laquelle sont soumis tous les protagonistes, celle du sens de la vie. Cette préoccupation fébrile occulte toutes les autres inquiétudes et nous maintient aux côté de Qohen Leth jusqu'à la fin. Une chose est sûre : On ne s'ennuie pas en regardant "Zero Theorem".
    Chris Art
    Chris Art

    71 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juin 2014
    (...) La réflexion de Zero Theorem ne se centre sur l’aspect effrayant de cette société totalitaire définie par ses caméras omniprésentes. Le film nous fait plutôt réfléchir sur cette recherche impossible d’un bonheur à atteindre. A attendant passivement cet appel qui consiste à donner un sens à sa vie, véritable clé du bonheur, Qohen est un exemple à ne pas suivre : il gâche sa propre existence et l’opportunité de vivre heureux avec celle qu’il aime. Une piste de réflexion très moderne et d’une grande acuité d’un Terry Gilliam devenu plus sage, mais qui garde une vision toujours aussi vive sur la société qui nous entoure (...)
    Jonathan M.
    Jonathan M.

    16 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juillet 2014
    Je suis allé voir ce film malgré les critiques que j'en ai vu et j'ai bien fait. Film époustouflant de par le jeu de tout les acteurs avec un Waltz magnifique et une Mélanie Thierry parfaite. C'est un film très profond mais en même temps décalé, par moments déroutant. Un rendu visuel coloré et des décors surprenants. Et en plus c'est un film Européen, what else ?
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 juillet 2014
    Belle déception !!! Terry Gilliam n'est plus que l'ombre de lui-même et ce film dont le début nous fait saliver tourne très rapidement en rond et sombre dans l'ennui et la caricature de son propre univers.
    A oublier !
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2014
    Les premières images de "Zero Theorem" laissent déjà présager un nouveau chef-d’œuvre de Terry Gilliam : on est plongé dans un monde dystopique, nouvel univers de science-fiction propre à une satire de la société de la part de l'auteur de "Brazil" et "L'Armée des 12 Singes". Les rues sont ainsi encombrées de publicités toutes plus stupides et aliénantes les unes que les autres, mais pas si éloignées de celles qu'on côtoie tous les jours. Malheureusement, voir Qohen au travail, dans une tâche absurde et inutile, installe le doute : et si ce film n'apportait rien de plus que les œuvres précédentes de Gilliam ? Ainsi, le thème du travail indigent avait déjà été traité dans "Brazil", tandis que les deux inspecteurs qui se rendent de temps en temps chez Qohen font penser aux plombiers de ce dernier film. "Zero Theorem" manque hélas d'enjeux, tant il est difficile de s'intéresser à la quête du personnage principal. De même, voir un théorème cherchant à déterminer le sens de la vie se résoudre par l'intermédiaire d'un semblant de jeu vidéo est amusant au début mais finalement lassant, à plus forte raison compte tenu du peu d'intérêt que soulève l'informaticien Bob. Tout cela est d'autant plus dommage que la minutie accordée aux décors rendent le film magnifique et parfaitement cohérent avec le monde du cinéaste. Heureusement, l'intérêt est suscité par un autre aspect du film : la relation que nouent Qohen et Bainsley est passionnante, naviguant entre drôlerie et émotion pure. Les soirées où ils se rencontrent sont ainsi assez jouissives, mais ce sont surtout leurs évasions virtuelles qui donnent de la liberté à un film un peu trop renfermé – les sorties sont en effet rares autrement. La plage kitsch où ils se donnent rendez-vous apparaît comme un monde artificiel mais où tout ce qu'il s'y passe est bien plus réel au niveau des sentiments. Ici, ils peuvent s'exprimer et s'épanouir. Cela ressemble aux paradis artificiels que dissimulait le miroir de "L'Imaginarium du Docteur Parnassus", à la différence desquels le monde informatique de "Zero Theorem" est bien plus enviable que la ville extérieure. Il faut d'ailleurs souligner la fraîcheur et le talent de Mélanie Thierry, dont le joli timbre de voix entraîne dans son sillage un Christoph Waltz un peu plus fade. Grâce au couple qu'ils forment, cette œuvre gagne une valeur véritable qui l'empêche de sombrer dans la seule attraction esthétique dépourvue de sens. Ce n'est pas la première fois chez Gilliam que l'amour se révèle le fondement d'une filmographie basée sur l'absurde et la fantaisie.
    peter W.
    peter W.

    39 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 mai 2017
    Hélas le scénario m'a plongé dans un abîme de perplexité insondable.Le bon jeu de Christoph Waltz et de Mélanie Thierry ne faisant que retarder le moment fatidique ou mon doigt commença à glisser vers la touche lecture accélérée de ma télécommande et arriver ainsi plus vite au 100% de film vu. Mais bien sûr je ne l'ai pas fait en bon entendeur salut.
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