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    Fight Club
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    4,5
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    2 876 critiques spectateurs

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    Scorcm83
    Scorcm83

    88 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    Ecrire une critique sur ce film est compliqué tant le film est vieux et sa réputation n'est plus à faire. Néanmoins, il faut que j'écrive noir sur blanc le fait que lorsque j'ai vu ce film pour la première fois, je me le suis repassé plusieurs fois tant j'ai été ébloui par la maîtrise technique de Fincher. C'est un film que je pourrai presque qualifier de parfait. La bande son est extra, les acteurs sont géniaux, du duo principal au moindre petit figurant, la mise en scène est chirurgicale, le scénario tiré de ce taré de Chuck Palahniuk (désolé pour l'orthographe) est un chef d'oeuvre. Bref, tant de poncifs pour critiquer un film d'une ampleur folle, au twist également devenu culte. C'est un très très grand film, qui est loin d'être ce qu'il critique comme certains le pensent. Il faut rappeler qu'à l'époque ni Fincher, ni Pitt, ni Norton n'étaient aussi connus qu'aujourd'hui. Bref, on est pas loin du chef d'oeuvre, à voir absolument !
    Caine78
    Caine78

    6 005 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2018
    Vu il y a une petite vingtaine d'années, « Fight Club » m'avait laissé un assez bon souvenir sans être la claque décrite par beaucoup. Le revoir au cinéma en tant qu'adulte m'a laissé un peu la même impression. Pas évident de faire la critique d'un tel film. Je trouve qu'en définitive, si ce n'est au-delà de certains thèmes et réflexions, il ne ressemble pas beaucoup à David Fincher. Effets, images mentales, caméra baladeuse... Même si cela donne un certain punch à une œuvre assez incisive, ce n'est pas forcément comme ça que je préfère le cinéaste. Après, il est évident qu'on ne peut pas seulement limiter l'œuvre à ça. C'est manifestement un titre qui ne laisse pas indifférent, avec beaucoup d'idées, d'audace, assez culotté dans sa narration et sa manière d'aller à contre-courant de l'habituel discours conservateur hollywoodien. Le héros est insaisissable, complexe, à l'image de la relation qu'il entretient avec son «vrai-faux » alter ego Tyler Durden, l'occasion de quelques scènes franchement marquantes, d'autant que si Edward Norton est très bon, Brad Pitt l'est tout autant, livrant sans doute l'une des meilleures prestations de sa riche carrière. Quand à ce « trip » anarchiste semblant vouloir s'attaquer à la société de consommation et à l'abrutissement généralisé de cette dernière, j'avoue être dubitatif : il arrive un peu comme ça dans le récit (même si le terrain avait, quand même, été un minimum préparé), a une certaine gueule sans qu'on sache vraiment où Fincher veut en venir. Enfin, il y a évidemment ce dénouement, sur lequel on ne peut pas vraiment avoir un point de vue objectif lorsqu'on le connaît déjà : disons qu'il est bien foutu et amené assez habilement, même si certains aspects restaient troublants et permettaient de le deviner (du moins c'est ce qu'on se dit après!!). Je n'ai pas lu le roman de Chuck Palahniuk et il est donc difficile pour moi de faire des comparaisons. Disons que c'est un vrai bon film, dont je peux comprendre le statut si particulier aujourd'hui spoiler: (franchement, ce plan final sur le splendide « Where is my Mind » des Pixies: difficile de faire plus iconique)
    , sans y être totalement sensible ou partager l'enthousiasme démesuré de la majorité : voilà qui est écrit.
    Shawn777
    Shawn777

    457 abonnés 3 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2015
    Cette adaptation cinématographique du roman du même nom est un petit bijoux car il est très inattendu. Le scénario, même s'il est adapté d'un roman que je n'est d'ailleurs pas lu et que je ne peux donc pas vraiment comparer, est original, le rythme est bon et même si le début parait un peu long, il est en fait très important pour la suite du film et donc très intéressant et le coté psychologique qui est quand même extrêmement important dans ce film est très bien rendu. Le point fort de ce film c'est évidement la fin qui est, enfin personnellement, très inattendue et originale et elle est surtout grandiose. Après, il y a pas mal d’incohérences et surtout pleins de choses qui nous paraissent inexplicable et impossible en sachant que les deux personnages principaux étaient les mêmes depuis le début et c'est assez dommage mais sans ça, le scénario est très réfléchis. Il y a aussi les personnages qui sont très bien travaillés, on voit très clairement que ce n'est pas fait à la va-vite mais que l'équipe du film à surement du y passer du temps pour rendre un aussi bon rendu. Au niveau des acteurs, ils jouent tous exceptionnellement bien, ils sont tous à fond dans leur rôle et ils sont surtout très crédible. En résumé "Fight Club" est un très bon film qui est évidement absolument à voir surtout pour ceux qui ne l'on pas encore vu !
    Cronenberg
    Cronenberg

    211 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2018
    Un film qui dépasse tout simplement l'entendement : Fight club. Le plus grand film, (mais pas mon préféré) de David Fincher, mon réalisateur favori. Il apparaît en premier résultat lorsque l’on tape sur Google « les films les plus cultes ».
    Les couleurs du film sont à tomber, des teintes désaturées visibles en permanence. Un bleu très dégradé, qui marque l'oeil.
    Les scènes crues sont magnifiques, avec le maquillage fait à merveille. Un dénouement incroyable et particulier, qui intrigue dés le début, avec une scène se déroulant juste avant une soi disant attaque. Oeuvre culte très influente par son dénouement et sa vision apocalyptique de la société de consommation. David Fincher a réalisé le film anticapitaliste par excellence, le film est selon moi, fait tout simplement pour dénoncer notre système et notre mode de vie, les troubles pathologiques et mentaux en découlent, mais ne se caractérise pas comme étant un axe majeur du film.
    Beaucoup de grandes scènes, toutes sont excellemment travaillées, chacune marquent les esprits et dénoncent ou montrent des maux : La scène de l'étudiant menacé montre à quel point le système nous empêche d'effectuer nos propres choix.
    La scène de la maison Ikea nous montre à quel point la société de consommation, et l'avoir nous obnubile.
    L'hilarante scène du cinéma montre à combien de simples films et représentations audiovisuelles peuvent perturber et paniquer tout le monde, tant chez les petits enfants de 5 ans qui regardaient un film d'animation, que le couple qui se faisait une petite soirée tranquille.
    La scène du culte monologue de Tyler sur les règles du Fight club montre la rigueur nécessaire pour préserver des liens sociaux à travers la violence.
    Interprétations de dingues entre le fatigué neuronale, Edward Norton et l'hyperactif Brad Pitt dans le rôle du narrateur et de Tyler Durden.
    Meilleur film de 99. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 5/5
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2014
    Film culte des années 1990, Fight Club est aussi dérangeant que violent, sombre et efficace. Optant pour une narration en partie gérée par la voix off du personnage principal, il nous met dans la peau d'un type sans identité précise qui vit seul et subit tout le négatif de la société actuelle. Alors qu'il rencontre Tyler dans un avion, qu'il qualifie lui-même d'ami à usage unique plutôt pas mal, il va devenir membre de son club de combat clandestin, club où de plus en plus d'hommes peuvent se défouler et retrouver leur virilité la plus primitive lors de combats qui les renforcent afin d'aller contrer la société de consommation (l'appartement du perso principal et tous ses meubles Ikéa avaient explosé et donc exclu de tout foyer). Edward Norton n'a aucun nom précis pour bien montrer le manque d'identité que peuvent avoir certains individus de la société actuelle, complètement aseptisés par la télévision, la politique et le capitalisme. La fille avec qui il a des relations instables est jouée par Helena Bonham Carter, habituée des Harry Potter et des films de Tim Burton, qui retranscrit parfaitement le personnage du type à la fois glauque et blasé de tout. Brad Pitt, quant à lui, joue le meneur baraqué, sûr de lui, bon baiseur et fort cogneur qui semble tout diriger sans que les gens extérieurs au club ne se doutent de quelque chose. spoiler: Et pour cause, l'intérêt du film en prend un coup quand on apprend que Tyler ne fait qu'un avec le perso principal, qu'il représente en fait la personne qu'il veut devenir pour s'extérioriser et dire merde à la société qui le consomme.
    Le film a peut-être quelques longueurs et des passages étranges, il reste cependant très réussi dans le message qu'il fait passer.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 septembre 2012
    Que dire de Fight Club ? Déjà, c'est un des films favoris. Je l'ai vu quand il est sorti en DVD. C'est un pote qui m'a dit ça :
    - tiens, matt, tu devrais le regarder, Fight Club, c'est un très bon film même s'il n'y a que des mauvaises critiques.
    - t'es sur ? Ca pas l'air génial, ton film...
    Je l'ai visionné, une fois, et quel choc ! Depuis je l'ai vu des milliers de fois, j'en suis accro, toujours ce même choc intemporel, incomparable à aucun autre film ! Fight Club, ce n'est pas qu'un film noir et unique, explosif et controversé, non, ça va beaucoup plus loin dans la reflexion... Fight Club, c'est un film qui ne laisse personne indiferrent : c'est la REVOLUTION psychologique !!
    Bon, je me suis peut- être emballé, mais j'ai de sérieux arguments pour dire que c'est sans doute LE film culte de toute une génération, le premier grand film à l'aube du XXIe siècle, un film unique en son genre : Fight Club est adapté du roman du même nom par David Fincher, un des plus réalisateur de sa génération. Fight Club doit sa réussite à son intrigue et son histoire sublime, l'histoire d'un type sans histoires qui essaye de trouver un sens à sa vie et qui est amené à faire les mauvais choix. Il rencontre le charismatique Tyler Durden qui prone une philosophie bizarre de la vie : s'améliorer soi-même étant de la masturbation et trouver le confort est le propre des faibles, seul l'autodestruction donne un sens à ce qu'on est. "Hypnotisé" par Tyler, notre héros, nommé Jack, s'enfonce dans le monde noir de Tyler au fur et à mesure du film, se liant d'amitié avec lui, leur amitié débouche sur la création d'un divertissement ultra violent : le Fight Club, un club de boxe clandestin où les gens s'affrontent à mains nues dans des combats ultra violents. Peu à peu, le fight club devient vite populaire, Tyler devient une icône contre la société de consommation et le héros se rend compte qu'il créé une armée contre notre société. Alors qu'il se remet en cause lorsque Tyler disparait, Jack le rattrape et découvre la dure vérité...

    Ne trainons pas que sur le contenu de l'histoire tellement elle est parfaite, l'esthétique de l'oeuvre est splendide, l'ambiance malsaine, sombre, anarchiste et violente est accentué tout au long du film avec le mal-être du héros qui se sens mal dans sa peau est superbe, le jeu des acteurs est excellent (surtout brad pitt en tyler durden), la réalisation est, que dire, fait partie de l'histoire, elle la décrit tellement bien, la réalisation est géniale, à tous points de vues : Fincher nous a montré quelque chose de poignant, de dur, d'un véritable coup de poing et a exploité parfaitement l'ambiance du film avec une rare maitrise, il a aussi poussé un peu plus loin les limites explosives de sa réalisation et a réussi à imposer son style noir avec brio. Rien que pour cela, le film mérite un tonnerre d'applaudissements.
    La B.O envoutante et electrique des dust brothers esy juste à tomber par terre, Fight Club regorge tellement d'idés explosives avec un humour féroce que les gardiens de la morale ont crié "danger!" et l'ont assassiné, certains disant que c'est une propagande nazie, d'autres disant que c'est une célébration de la violence. Certes, le film est violent, mais une seule personne meurt dans le film et malgré les scènes de bagarre, le film est justement ici pour donner une impression de plongée implacable dans la violence, le sexe, qui distille une peur typiquement masculine : perdre le pouvoir, et le contrôle de soi. Le film soulève une question interessante : est-ce que quelqu'un peut détruire une société entière et essayer d'imposer sa vision du monde par la violence ?
    Cela se pourrait, et donc le film est anti- violent car il dénonce les actes de brutalité de Tyler. Fight Club,
    c'est aussi des dialogues et des scènes cultes, des scènes que l'on peut difficilement oublier. Le film vous oblige à avoir des pensées dangereuses, et donc à avoir peur. Vous devez avoir peur car vous pensez que cela peut arriver en vrai ! C'est l'objectif du film, à faire une reflexion sur un sens à notre monde, à la vie.
    Bref, Fight Club, c'est un film "défouloir" qui libère les frustrations de type d'une génération, notre génération X, contre notre propre société que nos pères nous a transmis avec tant de suffisance. Quand on a regardé ce film, on a maintenant une autre vision du monde et de la vie et tant mieux ! Un pur chef d'oeuvre noir et sombre de Fincher. Je pourrais écrire un roman sur ce film mais je vais m'arrêter là...
    A voir ABSOLUMENT !
    "Règle n°1 du fight club : il est interdit de parler du fight club."
    "Les choses que nous possédons finissent par nous posséder."
    "S'améliorer soi- même, c'est de la masturbation."
    "Vous n'êtes pas votre job."
    "Est-ce que je dormais ? Est-ce que j'avais dormi ?"
    "Tu es dr Jekyll et mister Connard"
    "On a frôlé la vie !"
    "Dans la mort, un membre du projet K.O a un nom. Oui, Il s'appelle Robert Polson."
    "C'est le point G, le point 0. Là, ça devient excitant."
    "Tu m'as rencontré à un moment étrange de mon existence."
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2011
    Une fresque déconcertante. Des répliques mémorables, une esthétique austère, une narration étrange. Ce film critique la société de manière expéditive, sans aucun ménagement. Tout en prend plus ou moins pour son grade. La société de consommation, la dictature de l'apparence physique, la famille, le Capital, le patron, la propriété privée et même l'ordre public .... tout est remis en cause dans ce film. Des commentaires ironiques de la part du narrateur sur les activités menées dans le film. Une apologie du désordre et de l'anarchie. Bizarrement, Tyler et Jack gardent une certaine élégance malgré la condamnation des marques, des modèles de magazine et du conformisme, condamnation qu'exerce Tyler. spoiler: Leur activité pour "se détendre", c'est la baston gratuite. Et s'ils se retrouvent à l'hosto, ils inventent une histoire de chute dans les escaliers... la maison de Tyler est toute pourrie mais il s'en fout complètement, c'est un personnage astreint de toute considération matérielle. Aucun scrupule à voler une Ferrari puisqu'il considère la propriété privée comme néfaste. Les Fight Clubs se développent à travers les USA comme une force insidieuse révolutionnaire.
    Fight Club est un film qui critique la société dans ses aspects les plus élémentaires. Le personnage de Tyler veut que les choses les plus importantes soient ce que l'être humain ressent en extase directement. spoiler: Il aime se battre, s'envoyer en l'air avec Marla, fabriquer des savons avec des graisses humaines...
    Tyler est fascinant. Ce personnage déteste que l'on tourne autour du pot et que l'on aille point au bout des choses. Il ne sait pas s'arrêter. Devenant le meilleur ami de Jack -son alter ego ?? Et si Jack et Tyler étaient deux personnes avec des âmes emboîtables ??- spoiler: il est capable de balancer de l'acide sur la main de son ami qui hurle et il se justifie en disant : "C'est le meilleur moment de ta vie et t'es en train de tout gâcher."
    Fight Club critique la planification des choses et promeut la vie sur le vif. On introduit le film sur une scène dont on ne sait même pas s'il faut en rire ou en pleurer : spoiler: l'homme obèse atteint du cancer en phase terminale qui rencontre Jack .... et pour finir il entrera au Fight Club lui aussi, arguant le meilleur de cette activité.

    Grand chef d'œuvre. La société y est critiquée avec la même intensité que dans Orange Mécanique.
    Guillaume182
    Guillaume182

    120 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2010
    A déplorer le Lynchage gratuit de la presse se donnant un semblant d'intellectualisme pour casser ce Chef d'oeuvre parcequ'il n'arrive pas à suivre l'évolution du cinéma.
    C'est ce film qui m'a vraiment donner envie de m'interesser au cinéma.
    Tout simplement exceptionnel, un véritable Chef d'oeuvre, et un des meilleures films que j'ai vu.
    On est totalement passionner par ce film et à aucun moment nous vien l'idée de décrocher.
    Au tout début ont est un peux perdu, car le film n'est pas facile d'accés mais au fur et à mesure que le temps avance ont est totalement absorber par l'histoire, et la fin est véritablement bluffante.
    Un film qui à un véritable méssage et qui dénonce les travers de notre société de consommation.
    Des personnes qui se font volontiers passer pour malades pour être écouté, la preuve que le monde n'a aucun s'avoir vivre.
    Le scénario et les acteurs, ainsi que la réalisation sont Grandiose!!!
    Réplique cultes, film culte.
    Brad Pitt et Edward Norton sont Exceptionnels.
    DenbroughX
    DenbroughX

    53 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 décembre 2009
    Tout simplement excellent!!!!Un tandem de feu mené par Ed' Norton et Brad Pitt au sommet de leur art !La realisation de David Fincher est très maitrisé et assez fidéle au livre de Palahniuk!!Ce film est surtout une satire de la société plutot qu'une succession de combat et de violence inutile. Cela montre par la maladie du narrateur(scizophrénie)qu'il est impossbile de ne pas devenir fou quand on observe le monde qui nous entourre!A voir et a revoir!!!!!!
    Shephard69
    Shephard69

    280 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2013
    Un film phénoménal à bien des égards : une nouvelle réalisation quasi parfaite de David Fincher, un scénario impeccable, une chute incroyable, un duo d'acteurs centraux ( les exceptionnels Edward Norton et Brad Pitt) géniaux dans leurs rôles schizophrènes et un fort message intellectuel envers la société de consommation. Cultissime et terriblement jouissif. Peut-être bien dans mon top 5.
    cine94200
    cine94200

    47 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 février 2011
    Je vais me faire des ennemis mais j'ai trouvé ce film vraiment insipide et sans grand intérêt.D'accord on essaye de traité un phénomène de société etc mais la mise en scène est totalement dénué d'âme voir de sens de temps en temps.Pour certain c'est un film culte(chacun ces gouts)mais pour moi c'est un mauvais film et je suis déçu par david fincher que j'ai connu beaucoup plus créatif que sa.Reste des points positifs comme la belle interprétation de brad pitt et edward norton ou encore un peu d'humour mais vraiment très déçu.
    Pascal I
    Pascal I

    664 abonnés 4 048 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juillet 2010
    Difficile de mettre une bonne note après avoir vu "Un homme d'exception". Bon scénario mais Fincher en fait trop, s'emmêle les pinceaun ne donne aucune épaisseur à tout cela. Pitt est en dedans. Dommage. Regarder plutôt : "Un homme d'exception", sur le même thème, on est sur un autre registre (mise en scène, scénario, jeu d'acteurs, rythme, intrigue, déroulement, explication ...).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2014
    Ce que j' adore dans fight club c' est son coté véridique du film , le réalisateur david fincher a eu raison et nous a montré ce qu' était le commerce , en fait le commerce nous vend souvent des choses inutiles . Comme par exemple je pense au iphone chaque année il nous en sorte un nouveau pas très différent de l' ancien , la seul modification par exemple est le fait de mettre plus de pixels et de rajouter plein de trucs inutiles et tout ça pour nous vendre un produit pareil que l' ancienne édition et de nous le faire payer , la peau du cul et moi c' est ce que j' appelle du foutage de gueule . Chaque année on nous en**** et nous comme des imbéciles on ouvre notre porte monnaie . Déja qu' on a du mal a gagner no vie , il faut pas nous prendre notre argent quand méme . Mais bon revenons au film , après l' excellent seven , david fincher nous offre fight club , une perle rare du cinéma et franchement david fincher ose dire la vérité . Comme on peut le voir dans le film , le personnage de tyler durdenn joué a merveille par brad pitt , a tout compris . Ce qui a compris c' est que nous somme que des consommateurs et qu' on a pas besoin de ces merde pour vivre . Comme on peut le voir dans le film tyler durdenn et le narrateur joué par edward norton vive dans un taudis , la maison est détruite , par exemple quand il pleut la pluie traverse le toit , les murs sont dégueulasse et leurs conditions de vie sont vraiment faible et pourtant il arrive a vivre sans leur télé , sans argent et surtout sans hygiène . ATTENTION GROS SPOILER . Si il y a un truc que je ne comprend pas dans le film c' est pourquoi tyler durdenn veut toucher le fond . Et méme la folie de tyler va l' obliger a créer un nouveau groupe , au début c' était le fight club . Endroit ou que les personnes venait pour devenir fort et devenir des hommes et ensuite la folie de tyler et sa haine envers les produits qui nous font perdre de l' argent l' oblige a créer le projet chaos . Le projet chaos est fais pour détruire des monuments , des magazins , des immeubles , tout ça pour tous recommencer a zéro . Car a la fin quand tyler veut faire exploser tous les batiments de la banque et de la bourse c' est pour que tous le monde recommence a zéro et sont au méme point de départ que tyler durdenn et le narrateur . Ensuite dans le film on a le problème de dédoublement de personnalité de tyler par ce que en faite , le narrateur joué par edward norton et tyler durdenn . Le narrateur en avait d' étre un consommateur et voulait le fond sauf que pour ça il fallait qu' il s' invente un ami imaginaire et c' est la que viens son hallucination . Et cela pose un problème par ce que tyler a une liaison envers marla synger . La nuit quand il fait l' amour avec marla , il se prend pour son ami imaginaire , et le matin il ne se souvient plus de rien et deviens désagréable avec marla synger et cela pose un véritable problème c' est que le personnage de tyler durdenn et de marla synger se perde un peu . Et a la fin les deux personnages devienne complétement abasourdi et ne comprenne plus rien a ce qui se passe , un peu comme le spectateur . Bon je crois que j' ai suffisament écrit donc je vous laisse , salut .
    BrakosleTyran
    BrakosleTyran

    5 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mars 2014
    Recette de la semaine : Chef d’œuvre à la truffe noir.
    Cette luxueuse recette vous sera présenté par le chef étoilés David Fincher. Prenez trois brillants acteurs et ajoutez-les dans une grande casserole, versez une cuillère d’un puissant scénario, rajoutez au mélange une ambiance noir ainsi qu’une pincée de couleurs froides et ajoutez les truffes, Salez, poivrez, Laissez cuire le tout pendant 2h15min, vous aurez un magnifique chef d’œuvre à dégustez.
    Fight club a su étouffer mon appétit cinématographique à travers une quenelle introduite efficacement dans le fion serré de la société de consommation. "Je suis l’extase dans les veines de Jack".
    F.C est l’hymne national, la définition, le K.O parfait, contre la mondialisation. Edward Norton incarne l’évolution d’un personnage sans grande identité, un personnage aliéné souffrant d’insomnie, souffrant de manque effectif, un homme moderne sans grande conviction, un mouton, un produit vomit par la société. Brad pitt quant à lui incarne un anarchiste, sans doute fan de Trust. Il aime fabriquer du savon dans une cuisine qui empeste le carton mouillé positionné sous le coccyx accidenté d’un SDF. Sous ses aires de philosophe assoiffé de haine et de rancœur, Tyler reste une sorte de messie, un guide montrant le chemin pour détruire la sphère totalitaire marchande. Le fight club, un endroit où on touche le fond, un endroit où les os se fracassent sur le bitume, un endroit où l’accomplissement personnel prend une toute autre forme. La performance scénaristique symbolise la puissance d’un V12 lancé à pleine vitesse contre un mur ; une explosion stylistique dans une ambiance noir fidèle à Fincher. Un twist final qui marque au fer rouge. L’ironie omniprésente dans F.C offrira exaltation aux plus audacieux. L’image et le design, en parfaite harmonie avec ses films précédents, est solidement attaché à la pellicule et accouche une certaine peinture anxieuse qui renforce l’impact moral des différents dialogues entres Norton et Pitt.
    Lapidé par la presse, Fight club urine sur les critiques négatives engendrés par les médias. Chapeau bas l’ami Fincher. Allez vous faire foutre, bien à vous.
    Florian Malnoe
    Florian Malnoe

    103 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 avril 2014
    Un film déjanté, osé, et violent, qui dénonce les travers et la morosité ambiante de toute une société de consommation doublé d'une réflexion habile (bien que totalement folle) sur la perversité de la double personnalité. Perversité qui débouchera sur des actes radicaux : des attentats en bandes organisées de plus en plus graves pouvant s'apparentés à une sorte d'apologie cachée au terrorisme pour les plus négatifs. Alors que moi j'y vois personnellement plus une mise en garde de l'ami Fincher. Il nous montre jusqu'où peut tomber l'être-humain; et nous présente ici sa folie comme un précipice dans lequel il ne faut surtout pas tomber. De toute façon comment peut-on insinuer que Fincher ait voulut faire l'apologie du Terrorisme, comme j'ai pu le lire ? Ces gars là n'ont à mon sens pas compris le message du film, mais bon, passons. En tout les cas c'est avec cette skyzophrénie que le personnage d'Eward Norton, va, en s'inventant un mentor, sortir de cette morosité et de cette routine qui le rongeait. Tout cette société de consommation était tellement trop proprette, lisse, matérialiste, uniformisée et formatée pour lui (en apparence du moins), qu'il voulut s'affranchir de tout ça en entrant dans une vie (à l'ambiance bien poisseuse) pleine d'anti-conformisme libérateur : Le Fight Club. Son lui véritable dans cette organisation, c'est celui qui veut encore essayer de garder le contrôle, celui qui ne veut pas aller trop loin. Et son autre identité (campée ici par le frappé Brad Pitt), c'est son "double maléfique" qu'il voudrait et rêverait d'être. Mais il peine à assumer ces (et ses) actes donc il en réfute l'assumation en s'inventant inconsciemment ce perso' sur qui il pourrait s'appuyer tout en rejetant la faute sur lui quand ça va trop loin et quand la tournure des évènements le dépasse. Perso', je n'avais même pas vu venir ce rebondissement (alors c'est peut-être moi qui n'ait pas une grande faculté pour ce qui est d'anticiper les choses) et ça a été une bonne petite surprise. Bref, des personnages totalements frappés, de la castagne bien bourrine, et en plus c'est intelligent. Pas le meilleur Fincher pour moi, mais en demeurant un très bon film coup de poing (au sens propre comme au figuré) qui fit grand bruit lors de sa sortie, et ce légitimement.
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