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    My Beautiful Boy
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    4,0
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    167 critiques spectateurs

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    Aulanius
    Aulanius

    173 abonnés 1 682 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2019
    J'ai eu l'occasion de voir ce film en avant-première et je dois dire qu'il est assez bouleversant. On pouvait s'en douter vu le sujet et c'est quelque chose de tabou, encore de nos jours. Dans l'ensemble, les acteurs sont vraiment convaincants et arrivent à nous faire passer tout un lot d'émotions mais je reproche également le fait que c'est trop répétitif. Pendant deux heures, on a le droit à des copies de copies de copies et encore de copies de scènes. Je veux bien que l'on démontre à quel point il est important de se soucier des problèmes de drogue de son enfant mais je pense qu'en deux heures, il aurait été préférable d'aborder d'autres aspect de cet environnement. Gros point fort, la bande originale, très variée et super efficace. On peut y ajouter une très jolie photographie qui apporte un vrai plus à "My Beautiful Boy". J'ai aussi apprécié la relation que l'on suit au fil des années pour voir quel lien uni un père et son fils. Cependant, pour le reste comme je l'ai déjà dis plus haut, on fini par tourner en rond et on fini par s'ennuyer clairement. C'est aussi dommage que tout soit téléphoné et assez grossi pour certaines parties. Même pour quelqu'un comme moi qui n'a rien à voir avec tout, je peux quand même remarquer que parfois ce n'est pas réaliste. Et puis, je suis assez partagé sur le message, franchement des fois c'est limite. En fait, c'est un drame qui porte bien son nom mais j'ai été un peu déçu de la tournure qu'à prit le long métrage. Ça commence bien et ça s’essouffle. Pour résumer, correct sans être révolutionnaire. 11/20.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    588 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2019
    Répétitif et rébarbatif, My Beautiful Boy tombe trop de le pathos pour totalement convaincre. Les ressorts émotionnels fonctionnent mais demeure un peu lourds, le film est un peu long, et cet aspect sermonneur parfois agaçant. Reste un Steve Carrel renversant.

    http://www.lavisqteam.fr/?p=40716
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    117 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2019
    Je m'attendais à mieux de la part de Groeningen, même si ça reste un beau film à défaut d'un bon film.
    On n'oubliera pas de sitôt la scène de Timothée dans les toilettes, couché et mourant, avec en fond sonore la sublime Symphonie n° 3 de Gorecki.
    Groeningen filmant la mort d'un jeune homme (même si, heureusement, il ne mourra finalement pas) : voici ce qu'il faut retenir de "Beautiful Boy".
    Brigitte H.
    Brigitte H.

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 février 2019
    Ils s'aiment profondément mais la drogue les sépare. A travers cette histoire, on ressent la sensibilité d'un père et l'amour fou pour son fils.
    Un excellent film plein de pudeur....
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    16 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Timothée Chalamet est la nouvelle idole du cinéma américain. Le problème est qu'on dirait le fils d'Eric Zemmour. Dans certains plans c'est flagrant. Cette étonnante ressemblance fait qu'on ne voit que ça et que cela dessert le film, tant on est troublé. Alors il faut aller au delà de ça, passer cette étape, et faire avec. Mais le scénario du film est assez glauque. Cela aurait mérité un autre film car cela ne fonctionne pas ou mal en tout cas. Avec Timothée Chalamet on se croirait revenu dans le cinéma américain des années 40 et 50 avec ces insupportables enfants stars d'Hollywood qui en faisaient des tonnes. Sa façon de jouer me fait penser aussi à celle de Chloë Grace Moretz. Ils sont surdoués. Ça se voit, mais cette manière de jouer devient une marque de fabrique, c'est exaspérant. Ils exagèrent, et ils nous assomment avec leur show ! On n'en peut plus de leur numéro. Ils devraient la mettre en veilleuse. Steve Carell est lui dans un registre tout en retenue, mais on a le sentiment que cet effacement est trop calculé. C'est juste pour donner le change à Timothée Chalamet. C'est le clown blanc en quelque sorte. Quel dommage qu'il se prête à ce jeu. Perdue dans cette exhibition des sentiments, Amy Ryan et Maura Tierney sont irréprochables, et on regrette que leur rôle respectif n'est pas été plus important, tant les producteurs semblent ne jurer que par Timothée Chalamet, et ne comprennent pas qu'on se lasse vite des excès du jeune "prodige". Alors à qui est destiné ce film ? Les producteurs se perdent dans une logique commerciale. On a l'impression que ce film est un produit fait pour nous vendre Timothée Chalamet, alors que pour être honnête son public est surtout constitué de jeunes filles qui se pâment à chaque apparition du jeune acteur. Il faudrait que Timothée Chalamet passe à autre chose. Pourquoi tout baser sur le jeune acteur qui exagère toutes ses scènes et nous saoule ? Il joue au poète maudit ? Je suis persuadé que le public de Timothée Chalamet le préférerait dans des films d'aventure et de super-héros. Qu'on nous laisse tranquille avec lui.
    zorro50
    zorro50

    109 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 février 2019
    Un film chiant au possible qui dure 2 heures mais qui compte tellement de scènes dénuées d'intérêt, de flash-back intempestifs de pur remplissage pour accentuer le pathos, de moments hyper-mollassons et de temps morts inutiles et incompréhensifs, qu'il n'aurait légitimement dû durer au maximum que 20 minutes. Un vrai record en la matière ! De plus, Steve Carrell joue très mal, il en faisait trop quand il tentait d’être drôle et il en fait trop quand il essaie d’être dramatique, c’est un vrai boulet.
    FaRem
    FaRem

    7 387 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2019
    Pour son nouveau film, Felix van Groeningen s'intéresse à la famille Sheff et plus particulièrement au combat de David qui tente d'aider son fils Nic dans sa lutte contre son addiction à la drogue. Il s'agit d'une histoire vraie qui est adaptée des livres "Beautiful Boy" et "Tweak" écrits respectivement par le père et le fils. Des drames de ce genre, il en existe énormément et ce film ne propose rien d'original, mais il fonctionne bien grâce à une mise en scène soignée, un traitement sobre et jamais larmoyant et des acteurs qui sont très bons. Si l'on ne peut plus parler de contre-emploi pour Steve Carell, ce dernier prouve encore une fois qu'il est fait pour ce genre de rôle. Ce que j'ai aimé dans le film, c'est que le réalisateur montre les choses telles qu'elles sont. C'est une histoire vraie donc ce n'est pas non plus un accomplissement, mais il ne cherche pas à travestir la réalité ou à arrondir les angles pour servir son histoire ou encore donner plus d'épaisseur aux personnages. Par exemple, on ne sait réellement jamais pourquoi Nic devient accro. Le réalisateur insiste sur les voyages que le petit doit faire pour aller rejoindre sa mère donc on peut supposer que le divorce de ses parents est une cause, mais on ne peut en être sûr. Si Timothée Chalamet est convaincant, son personnage n'est pas du tout attachant notamment pour ce que je viens de dire. J'ai aimé "détester" ce jeune homme qui a tout pour être heureux et réussir et qui pourtant s'emploie à gâcher sa vie et celles des membres de sa famille, car bien entendu, tout ce qu'il fait à de lourdes conséquences sur les siens. Si le film ne dégage pas beaucoup d'émotion, j'ai beaucoup aimé la scène où spoiler: David lâche prise et accepte si l'on peut dire le fait d'avoir perdu son fils et le fait qu'il puisse mourir.
    C'est assez marquant, mais ce n'est qu'une suite logique à tout ce qui s'est passé auparavant. En somme, un bon film qui n'a pas besoin d'artifice pour être convaincant et efficace, et qui est plus réussi que "Belgica", le précédent film du réalisateur que je n'avais pas aimé.
    Caine78
    Caine78

    6 000 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2019
    Les premières minutes n'étaient pas franchement pour me rassurer, mon inquiétude quant à connaître une nouvelle déception signée Felix van Groeningen après « Belgica » étant forte. Beaucoup de mal à trouver le ton juste, une certaine banalité du propos, personnages moyennement attachants... Je n'accrochais pas, voire m'ennuyais un peu. Il faut aussi avouer que moi, la drogue, ce n'est pas trop mon truc, et à de rares exceptions, son traitement au cinéma m'a rarement emballé. Cela a sans doute pesé sur mon ressenti, mais il faut croire que le problème était plus large puisqu'au bout d'un (bon) moment, j'ai fini par raccrocher les wagons. Je ne sais pas exactement ce qui a provoqué ce regain d'intérêt. Le film apparaît moins démonstratif, moins pesant : les situations deviennent plus complexes, les enjeux plus concrets. On est, certes, dans une logique mélodramatique, mais le réalisateur n'en fait pas trop : un peu édifiant, sans doute, mais l'accumulation d'épreuves pour les parents face à un mal semblant irréversible fait son effet, à l'image de quelques scènes assez marquantes. Original ? Pas vraiment. Disons que le talent du réalisateur, d'abord maladroit, finit par prendre le dessus, également par sa capacité à choisir les bons acteurs (si j'ai quelques réserves sur Timothée Chalamet, Steve Carell fait preuve d'une belle sobriété, sans oublier Maura Tierney, dont la délicatesse n'a d'égale que la douceur du rôle), auquel nous pouvons ajouter (surtout) une bande-originale toujours aussi étonnante et inspirée : du grand art. Bref, loin d'être mon coup de cœur de l'année comme avait pu l'être « Alabama Monroe » voire « La Merditude des choses », « My Beautiful Boy » reste un drame plutôt sensible, un peu hollywoodien mais pas trop, traitant plutôt correctement d'un sujet très (trop?) régulièrement abordé sur grand écran : honorable. PS : ne partez pas avant la fin du générique, vous aurez l'occasion de profiter du magnifique « Let If Enfold You » de Charles Bukowski.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    676 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Nous allons plonger ici dans le quotidien dramatique d'un père américain divorcé qui va tout tenter pour essayer de sortir son fils de 18 ans de la dépendance d'une drogue dure, la méthamphétamine.
    Le thème est bien sûr lourd et difficile, mais la réalisation soignée et les deux comédiens principaux très inspirés (Steve Carell et le jeune talentueux Thimotée Chalamet) rendent cette histoire touchante et terrible à la fois.
    Peut-on réellement aider quelqu'un contre son gré ?
    Toute la question est posée dans ce drame qui vaut vraiment le coup d'oeil malgré quelques longueurs.
    Tragique.
    --> Site CNEMADOURG <--
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    263 abonnés 2 793 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2019
    cette chronique familiale retrace l'histoire vraie de N. Sheff , sa terrible addiction aux drogues dont l'issue heureuse paraît presque impossible. tous les aspects psychologiques sont évoqués, du mal être aux cures, du désarroi de l'entourage etc. avec un "doux désespoir" d'impuissance. un drame réaliste, poignant (produit par B. Pitt), avec des scènes qui parfois s'éternisent et aussi une très belle relation père-fils portée par S. Carell et T. Chalamet.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    165 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2019
    Carell et Chalamet dans un duo père/fils tourmenté par l’addiction. Ce film est poignant de par l’histoire mais également l’interprétation sans fausse note. Je pense que Chalamet a de beaux jours devant lui. C’est un acteur qui offre des émotions brut.
    Fabien D
    Fabien D

    167 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2019
    Sur un sujet difficile, propice aux pires écueils, le réalisateur d'Alabama Monroe livre une œuvre d'une belle sobriété qui évite les pièges du larmoyant et du sordide. Pudique et tendre, le film, malgré certains arcs narratifs attendus, surtout sur la fin, traite son sujet intelligement. Thimothée Chalamet et Steve Carrell, tous deux excellents, participent à la réussite d'un film dont la structure en flash Back fonctionne plutôt bien. Mélancolique et dépouillé, my beautiful boy, malgré une mise en scène convenue pour ne pas dire académique, est un film touchant et sincère.
    aldanjah
    aldanjah

    54 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 janvier 2019
    Le thème du film est assez sombre. Il est question de désespoir, le désespoir d'un père devant le comportement auto-destructeur de son fils, devenu accro aux drogues dures (méthamphétamine, héroïne, médicaments, etc..).

    Le réalisateur Felix van Groeningen a déjà à son palmarès plusieurs très bon films dramatiques
    * La Merditude des choses (2009) où il était question d'alcoolisme.
    * Alabama Monroe (2012) une histoire d'amour puis un deuil, vraiment émouvant.
    * Belgica (2016) dans le monde de la nuit, avec ses tentations en tout genre.

    Pour ce film, on reste dans le registre du drame, de l'émotion bouleversante. Mais Felix est sorti de sa zone de confort. Il a traversé l'Atlantique, et s'est dôté de belles têtes d'affiche pour ses premiers rôles.

    *** attention la suite contient des **spoilers** ***

    spoiler: Steve Carell interprête le père. Il est loin des rôles comiques qui l'ont fait connaitre, mais joue très bien un père empathique, tendre, qui alterne entre désespoir et rage de ne pas pouvoir changer son fils. C'est lui le personnage principal du film, et son fils incarné par Timothée Chalamet apparait comme une énigme, un être qui est pris dans une spirale hors de tout contrôle. Remontent à la surface les souvenirs de l'enfance de son fils, des séquences de nostalgie qui permettent au spectateur de mieux comprendre la construction psychologique de son fils. Des parents séparés, un père placé sur un piedestal, travaillant pour Rolling Stones Magazine, initiant son fils à Nirvana (Est-ce sérieux de faire écouter Territorial Pissings à son fils de 7 ans ?) ou à de la littérature alternative (Attention aux auteurs torturés). Egalement un échange dans lequel le père admet avec un sourire en coin avoir testé certaines drogues dans son enfance, ce que son fils prend non seulement pour un feu vert, mais la drogue devient une terre d'aventure dans laquelle il a l'opportunité de transcender, de dépasser son père, si parfait. Contrairement aux films de référence sur la consommation d'héroine comme "Requiem for a Dream", "Trainspotting" ou "Basketball Diaries", le film n'est pas centré sur le consommateur. Notre jeune junkie s'exprime peu, sauf lorsqu'il prend la parole durant une cure de désintoxication, et qu'il décrit un grand trou noir à l'intérieur de lui, un grand vide qu'il essaye vainement de combler en prenant toutes les substances à sa portée. La famille, elle ne sait pas comment réagir face à la lutte contre l'addiction de leur fils. Dans un premier temps, ils l'aident moralement et financièrement, mais au fil du temps, le fils s'éloigne et ils ont de moins en moins d'espoir de sauver leur fils, et réalisent qu'il s'agit de faire le deuil de l'enfant qu'ils ont connu. Face aux problème de la consomation de drogue dure, ce film a un impact, car il sensibilise le public. Il n'attenue en rien le pouvoir attractif de la drogue pour les adolescents qui découvrent leur corps, leurs sensations, leurs émotions, mais il est important de communiquer autour les risques de tomber dans une spirale addictive, et des souffrances que ça entraine. Bravo Felix pour ce film émouvant et réaliste. critique publiée sur https://critique-ouverte.blogspot.com
    Audrey L
    Audrey L

    546 abonnés 2 392 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mai 2020
    Un duo père-fils qui prend au cœur, tant par l'espoir que véhicule cette magnifique histoire vraie du père-courage qui porte à bout de bras son fils toxicomane, que par la sensibilité et l'amour inconditionnel que l'on sent poindre derrière les personnages, nous rappelant la vraie définition d'une famille. Tout autant aidé par sa belle-mère, sa mère et, à leur façon, par les deux adorables demi-frère et sœur, le jeune homme oscille entre bonheur pur avec ses proches, et crises emplies d'amertume et de honte lorsqu'il rechute. Dans leur binôme, Steve Carell et Timothée Chalamet sont excellents, le premier confirmant qu'il est tout aussi bon (meilleur ?) dramaturge que comique, et le second nous rappelant que la tendresse a un visage, celui devant lequel on fond lors des parties de jeux enfantines, mais aussi le dégoût de soi, qui nous fait viscéralement pitié dans les séquences de post-rechutes. Le film ayant été conseillé par les vrais Nic et David Sheff, on se lèverait presque de son fauteuil pour applaudir lorsqu'on les voit apparaître dans les bonus. La bande-originale du film est plaisante (certes, on préfère Blue Jean de David Bowie au hard-rock, mais question de goûts), et l'on n'a pas vu trace d'un temps-mort. Cette histoire vraie réchauffe les cœurs au plus profond, prouve que les parents-courage ont bien raison de s'accrocher, et méritent tous d'être applaudis.
    CH1218
    CH1218

    151 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2020
    Proposant deux visions opposées face à une addiction à la méthamphétamine - celle d’un père et celle de son fils -, « My Beautiful Boy » est un témoignage fort qui résonne avec encore plus de densité lorsque l’on est soi même un parent aimant et responsable. Ce drame, première réalisation américaine du belge Felix van Groeningen, souffre néanmoins d’une répétition de scènes trop similaires ainsi que d’intempestifs flash-backs apportant de la confusion à un récit qui n’en avait nullement besoin. Loin du genre qui l’a fait connaître, Steve Carrell est impeccable face au talent inné du bouleversant Timothée Chalamet.
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