Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ciné Live
par Olivier Rajchman
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par G.D.
Tourné caméra à l'épaule, à nu dans un Paris à vif, souvent cru, souvent beau, son Lovers apparaît comme un bain de générosité au milieu de la morosité ambiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Cette différence, entre les comédiens comme entre les caractères, concourt, avec une manière de filmer d'une simplicité revendiquée, à créer une instabilité qui fait la force et le plaisir du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Eric Libiot
Barr, dont la philanthropie est sincère, choisit la chronique (peu ou pas de références politiques au problème des sans-papiers) pour clamer son amour des personnages et des acteurs (...) mais en oublie parfois la substance scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cplanet.com
par Jean-Luc Brunet
Le résultat est un film qui ne manque pas de charme et d'émotion. Malgré un scénario "léger" qui aurait mérité d'être étoffé(ou resserré !), Lovers est un film que l'on sent porté par l'urgence (...)
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Evénement
par O.N.
Au final, ce que le numérique fait perdre au film en séduction, il le lui fait gagner en réalisme.
Lenouveaucinema.com
par
La réussite du film repose pour beaucoup sur le talent d'Elodie Bouchez et de Sergueï Trifunovic, qui donnent une consistance inattendue à l'histoire. Les deux amants ne dialoguent qu'en anglais. Ce qui ajoute au charme de Lovers.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Libération
par Didier Peron
(...) l'objet le moins cynique que l'on puisse imaginer, une chanson de variétés (Toi et moi contre le monde entier, en gros) muée en fiction chic et glamour avec casting européen (...) et estampillage «Dogme».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Tout à ses bons sentiments, Jean-Marc Barr semble simplement avoir oublié que le corollaire immédiat de la spontanéité est la banalité.
Chronic'art.com
par Grégoire Benabent
Faute d'un vrai regard, la mise en scène est le plus souvent à côté de la plaque : le gros plan n'est pas nécessairement un gage d'émotion, pas plus que le mouvement n'apporte a priori un surcroît d'expressivité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Jonathan Lecarpentier
A force de se réfugier derrière le Dogme pour légitimer la mise en scène lourde de sa ridicule histoire d'amour, le comédien français n'aura contribué qu'a développer l'effet de mode qui gangrenait déjà la charte jadis intéressante.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Gilles Médioni
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) l'ensemble ne produit pas grand-chose, les contraintes du Dogme, loin de se révéler fécondes (« Festen » et, à un degré moindre, « Mifune »), ne pouvant combler le vide de l'entreprise.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Philippe Rouyer
(...) Jean-Marc Barr (qui signe également le cadre) ne semble avoir retenu de la charte édictée par Lars von Trier qu'un bon prétexte pour filmer en équipe réduite sans se soucier des raccords lumière.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Tourné caméra à l'épaule, à nu dans un Paris à vif, souvent cru, souvent beau, son Lovers apparaît comme un bain de générosité au milieu de la morosité ambiante.
Le Monde
Cette différence, entre les comédiens comme entre les caractères, concourt, avec une manière de filmer d'une simplicité revendiquée, à créer une instabilité qui fait la force et le plaisir du film.
Première
Barr, dont la philanthropie est sincère, choisit la chronique (peu ou pas de références politiques au problème des sans-papiers) pour clamer son amour des personnages et des acteurs (...) mais en oublie parfois la substance scénaristique.
Cplanet.com
Le résultat est un film qui ne manque pas de charme et d'émotion. Malgré un scénario "léger" qui aurait mérité d'être étoffé(ou resserré !), Lovers est un film que l'on sent porté par l'urgence (...)
L'Evénement
Au final, ce que le numérique fait perdre au film en séduction, il le lui fait gagner en réalisme.
Lenouveaucinema.com
La réussite du film repose pour beaucoup sur le talent d'Elodie Bouchez et de Sergueï Trifunovic, qui donnent une consistance inattendue à l'histoire. Les deux amants ne dialoguent qu'en anglais. Ce qui ajoute au charme de Lovers.
Libération
(...) l'objet le moins cynique que l'on puisse imaginer, une chanson de variétés (Toi et moi contre le monde entier, en gros) muée en fiction chic et glamour avec casting européen (...) et estampillage «Dogme».
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Tout à ses bons sentiments, Jean-Marc Barr semble simplement avoir oublié que le corollaire immédiat de la spontanéité est la banalité.
Chronic'art.com
Faute d'un vrai regard, la mise en scène est le plus souvent à côté de la plaque : le gros plan n'est pas nécessairement un gage d'émotion, pas plus que le mouvement n'apporte a priori un surcroît d'expressivité.
Fluctuat.net
A force de se réfugier derrière le Dogme pour légitimer la mise en scène lourde de sa ridicule histoire d'amour, le comédien français n'aura contribué qu'a développer l'effet de mode qui gangrenait déjà la charte jadis intéressante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) l'ensemble ne produit pas grand-chose, les contraintes du Dogme, loin de se révéler fécondes (« Festen » et, à un degré moindre, « Mifune »), ne pouvant combler le vide de l'entreprise.
Positif
(...) Jean-Marc Barr (qui signe également le cadre) ne semble avoir retenu de la charte édictée par Lars von Trier qu'un bon prétexte pour filmer en équipe réduite sans se soucier des raccords lumière.