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    Paradis : Espoir
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    3,1
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    14 critiques spectateurs

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    guifed
    guifed

    54 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juin 2013
    Si le but était de transmettre au spectateur l'atmosphère monotone et aseptisée des centres d'amaigrissement, le film est réussi. S'il était de dénoncer l'absurdité du concept, il est complètement raté, pour les mêmes raisons.
    traversay1
    traversay1

    3 076 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2013
    Troisième et dernière partie de la série « paradisiaque » d’Ulrich Seidl. Après l’amour et la foi, place à l’espoir. Avec toute l’ironie que cela dissimule. Le cinéaste autrichien, qui s’y entend comme personne pour insuffler un malaise persistant dans ces films, surprend, cette fois-ci. Non que ce sentiment soit absent de Paradis : Espoir mais son côté sulfureux n’est qu’esquissé et le voici devenu presque tendre, en tous cas compassionnel, vis-à-vis de ses personnages. Il y avait pourtant la peur que Seidl ne dérape avec cette histoire d’adolescentes en cure d’amaigrissement dont l’une a jeté son dévolu sur un médecin. Le réalisateur joue un moment avec le spectateur, comme il aime à le faire, avant de faire montre d’une douceur chaste bienvenue. Ceci dit, le film est assez répétitif et monotone, et globalement peu aimable et généreux. Mais son cynisme est un peu dilué dans l’empathie, ce dont on lui sait gré.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 161 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2015
    Troisième et dernier volet de Paradis d’Ulrich Seidl, Paradis : Espoir traite d’une gamine obèse qui passe ses vacances dans un camp d’amaigrissement. La mise en scène est toujours froide et réaliste. Le réalisateur filme les formes sans pudeur et même avec beaucoup d’humour. Malheureusement certaines situations dérangent. On se demande si les premières expériences amoureuses de la jeune protagoniste devaient être présentées ainsi. Amour était trop vulgaire. Foi, le meilleur des trois, avait trouvé le ton juste. Espoir est très inégal. L’obésité et les discussions d’adolescentes sont montrées à la perfection, mais l’histoire avec le médecin fait poser beaucoup de questions sur son utilité.
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mai 2013
    Clôturant une véritable trilogie, nommée ainsi pas juste parce qu'il y a 3 films, mais où les opus se répondent avec une cohérence ambitieuse et particulièrement efficace, "Paradis : Espoir" se veut, pour une fois chez le réalisateur, dépourvu de scène choc, laissant à nu (car sans nus) son propos: dès ses 13 ans, comme sa mère et sa tante, la société lui courbe l'échine et faute d'alternative, elle suit le mouvement, imperceptible, cultivant une originalité personnelle factice, car la simple espérance juvénile en la vie est condamnée en elle par manque d'intimité réelle, de développement individuel autonome qui permet de construire une communauté viable s'il est partagé par tous ces membres. Dans l'immobilité d'une campagne semi-bourgeoise autrichienne le réalisateur flingue notre futur, sur les bases desquels il se construit. Imparable, exagéré, les questionnements qu'il nous provoque ont la pertinence d'un grand artisan du cinéma, infiniment plus que tous les intellos à deux balles que le germanopratisme, avec nos impôts, semble vouloir nous faire gober, depuis si longtemps déjà.
    Yves G.
    Yves G.

    1 272 abonnés 3 280 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2013
    Les films d'Ulrich Seidl n'ont rien de paradisiaque. Bien au contraire. "L'enfer c'est les autres" semble-t-il proclamer.
    Et si leur titre est porteur d'espoir, la réalité est autrement plus sombre
    L'espoir, c'est celui que légitimement pourrait nourrir la jeune héroïne du troisième volet du triptyque "paradisiaque" de Ulrich Seidl. L'espoir d'une vie heureuse et épanouie.
    Pendant que sa mère est partie au Kenya chercher l'Amour (volet 1) et que sa tante se replie de plus en plus dans une Foi intolérante (volet 2) Mélanie est envoyée dans un institut pour y combattre les kilos superflus qui arrondissent sa silhouette. Elle y rencontre des congénères en surpoids. Ils partagent quelques kilos en trop. Ils partagent surtout ce malaise à grandir dans un corps adolescent, malaise d'autant plus grand que ce corps trop gros nourrit les quolibets des autres et la honte de soi.
    Comme toutes les adolescentes, Mélanie s'entiche d'un adulte. Ce sera le médecin de l'institution parce qu'il ne la repousse pas. C'aurait pu être n'importe qui.
    Ainsi nouée, l'intrigue fait un peu du surplace. Elle se dénoue joliment, sans coup de théâtre ni dramatisation inutile.
    ffred
    ffred

    1 489 abonnés 3 961 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2013
    Après Amour et Foi voici donc Espoir, le dernier volet de la trilogie Paradis de Ulrich Seidl. Plus court, moins dérangeant, ce dernier opus clôt la série avec beaucoup plus de légèreté. Le propos y est beaucoup moins malsain que dans les deux autres films. Même si la relation entre Mélanie (fille de Teresa de Amour et nièce de Anna Maria de Foi) et le médecin du centre est quelque peu...
    Christoblog
    Christoblog

    738 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Après les claques des deux premiers opus Amour et Foi, le troisième volet de la trilogie d'Ulrich Seidl s'avère presque être une bleuette romantique. Enfin, presque.

    Nous sommes cette fois-ci dans un camp pour enfants obèses, et nous suivons le sentiment amoureux naître chez la jeune Mélanie (13 ans), avec pour cible le médecin du camp, qui a plus de 50 ans.

    La situation est donc, comme toujours chez Seidl, franchement tordue au départ, mais alors que dans les deux premières versions de la recherche du... la suite ici :
    cyclo86
    cyclo86

    14 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 février 2014
    Le réalisateur met en scène des jeunes gens, filles et garçons de 13-14 ans à la limite de l'obésité, réunis dans un camp de diète destinée à leur faire perdre des kilos superflus. Exercices physiques sous la conduite d'un moniteur adepte d'une stricte discipline, natation, promenades en forêt, apprentissage de la diététique, sont au menu. On apprend incidemment par une conversation entre filles que toutes sont issues de familles désunies, s'entendent mal avec le parent avec qui elles vivent (la mère) et ne voient guère le géniteur, qu'elles détestent cordialement. Les jeunes filles – frustrées de nourriture – se lèvent en cachette la nuit pour aller dévaliser la cuisine, font la fête et boivent de l'alcool dans leur chambre de quatre lits, et deux d'entre elles font le mur une nuit, pour aller dans la boîte de nuit voisine, où la plus fragile, très imbibée, se fait draguer par un adolescent ; ce dernier tente de la violer sous l’œil du téléphone portable de son copain qui filme la scène : comble de l'abjection, heureusement arrêtée par le gérant de la boîte qui appelle les responsables du camp. Cette pauvre fille s'était amourachée du médecin du camp, homme célibataire et bizarre. Bref, on est dans un univers adolescent où le manque de repères (autres que le téléphone portable, les fringues, la publicité, l'alcool et le sexe sans amour), les séparations sources d'insécurité, l'absence de tendresse autant que d'autorité, créent une souffrance qui, dans le film, se porte vers l'excès de nourriture et l'obésité.
    Assez terrifaint, mais fort bien vu !
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    69 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 février 2016
    Avec ce dernier opus, Ulrich Seild clôt sa trilogie (qui franchement n'a rien d'indispensable) sur une note nettement moins sombre que dans Amour et Foi. Il décrit ici le séjour estival de la fille de Teresa, personnage principal du premier opus, dans un établissement pour jeunes obèses. Et, s'il flirte à deux ou trois reprises avec des scènes qui pourraient mettre mal à l'aise, il y apporte avant tout un regard empreint d'une certaine tendresse sur l'adolescence, ses chimères, ses logiques propres et ses premiers excès.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 346 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juillet 2021
    A mon goût c'est le pire de la trilogie et c'est déjà difficile voire impossible a faire. Dans les autres il y avait une petite histoire mais c'est que dans celui-ci il n'y a même pas ça. Je ne sais toujours pas d'où vient le titre d'espoir quel espoir. Les séquences sont éternelles et elles ne finissent jamais. Mais elles ne comptent pas car elles sont répétitives. Elles racontent la même chose encore et encore. Dirions-nous que les acteurs sont bons en comptant qu'il ne sont pas connu qu'il n'ont pas compté et que nombre d'entre eux n'ont aucun dialogue on ne peux donc rien dire. La photographie comme le reste ne compte pas non plus mais c'est normal comme n'y a pas d'histoire il n'a donc rien à raconter. La mise en scène en disant que le réalisateur ne dirige rien qu'il ne sait pas ce qui compte qu'il sait seulement rouler en plan général et ne bouge jamais l'appareil ni ne change jamais le plan bien que ce soit nécessaire a l'histoire vous avez compris. Quelqu'un a mis la caméra au fond de chaque scènes et elle est restée là parce qu'elle devait être là. Si avec les autres de la série nous semblions avoir perdu notre temps avec ce celui-ci c'est plus que certain...
    Flore A.
    Flore A.

    33 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Ce dernier opus de la trilogie est plus court et beaucoup moins dérangeant que les précédents. Il y a toujours des scènes assez troubles mais le réalisateur montre plus d'empathie envers ses personnages (pour la première fois, les personnages ne sont pas tous antipathiques, l'héroïne notamment) et il filme là avec une tendresse qui ne lui est pas coutumière les émois de cette jeune ado qui ne voit aucun de ses espoirs se réaliser ... Il y a néanmoins une continuité avec les précédents volets : l'omniprésence de la détresse amoureuse et sexuelle, les longues scénettes filmées en plan fixe et le côté documentaire ; on retrouve également ici l'importance de l'apparence, et notamment du poids, et le rapport aux corps nus que Ulrich Seidl filme là encore de près.
    Si le film nous offre de très belles scènes, des moments forts et riches (le passage de l'héroïne dans le bar notamment) et une intéressante vision douce-amère de ces ados un peu paumés, j'ai néanmoins trouvé ce film moins percutant que les 2 autres.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mai 2013
    Aussi réussi que les 2 autres, une dose d'humour en plus. La qualité du cinéma de Seidl tient aussi au jeu de ses acteurs/actrices. Les plans fixes, les silences , les symétries donnent un résultat excellent .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 mai 2013
    Ulrich Seidl à travers la narration des péripéties de la jeune Mélanie. Nous décris d'une merveilleuse manière ce que c'est que l'espoir. La simplicité de la mise en scène contribue a rendre le film particulièrement touchant,on devient le confident de la jeune Mélanie, l’étonnement laisse place à la compassion et fait de ce Paradis: espoir un film réaliste et plein de candeur à la fois, à voir !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 mai 2013
    Dans ce centre de cure pour adolescents en surpoids, garçons et filles prennent des libertés avec la "stricte discipline" annoncée au début du film. Les jeunes sont très naturels devant la caméra. Par contre, le malheureux Joseph Lorenz, dans le rôle du docteur, paraît désorienté. Ulrich Seidl ne lui facilite pas la tâche en le plaçant dans des situations improbables, parfois à la limite du ridicule. Le meilleur du fim se situe à mon avis dans les conversations des adolescentes sur la sexualité, qui rappellent le cinéma-vérité cher à Jean Rouch.
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