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    Nameless Gangster
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    17 critiques spectateurs

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    Nicolas V
    Nicolas V

    62 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2014
    un bon film de gangster a la sauce asiatique avec l'excellent acteur de old boy.plus accès sur les personnages que sur l'action, nameless gangster est violent , original mais a la fois réaliste.
    cocolapinfr
    cocolapinfr

    55 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2014
    Encore un film de gangster coréen, cette fois-ci on a une vision un peu plus profonde sur la vie d'un grossier gangster magistralement interprété par le désormais celebre Choi Min Sik.
    The Claw
    The Claw

    57 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    Peut-être que le film est bien, ou peut-être qu'il est nul. Je serai bien incapable de vous dire car je n'y ai strictement rien compris. On dirait que le film fait des aller-retours constamment entre passé et présent, mais sans nous avertir, en faisant en plus que la partie "passé" avance de plusieurs années. Les scènes s'enchaînent sans qu'il y ait de liens apparents entre elles. Certaines sont quand même bien faites, avec des situations marrantes ou alors violentes. Mais bon, moi j'ai surtout l'impression qu'on ne fait pas un film de gangsters simplement en mettant des costumes, en ayant pour seuls dialogues "fils de pute" ou "connard d'enculé", et en battant des gens à coups de battes de baseball. Je comprends pas pourquoi sur la jaquette il y avait un autocollant sur lequel était écrit que c'était le film de gangsters que Martin Scorsese aurait voulu réalisé : il en a fait des tellement mieux! Mention spéciale à la bande originale du film qui remporte la palme... du ridicule! Ce film est un vrai remède contre les insomnies...
    Truman.
    Truman.

    201 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2013
    Le cinéma Coréen aime les films de gangster et avec ce Nameless Gangster nous en pond un de plus, classique et peu original dans le fond mais prenant et maitrisé sur les bords, un film sur le milieu du crime organisé Coréen violent et muni d'interprétation sans la moindre faille .
    L'histoire nous plonge dans les années 80, un douanier qui va perdre son job trouve 10kg de cristal dans un conteneur et suite a ça fera son entrée dans le "milieu" .

    Très simpliste mais ce récit ou l'on suivra l'évolution de ce personnage dans ce milieu hostile qu'il ne connait pas est pourtant très captivante, pas vraiment sombre comme beaucoup de films du genre il ne laisse pas pour autant la violence de coté .

    Les interprétations sont juste parfaite, Choi Min-sik l'un des plus grands acteur Coréens montre un talent fou tout en nous faisant rire par moment, car oui la dose d'humour est présente au niveau de la première partie du scénario mais elle est vraiment agréable, cet humour va peu a peu s'essouffler sur la seconde partie.
    Les autres acteurs sont tous aussi bon, Ha Jung-Woo ( The Chaser ) en l’occurrence dans un rôle de mafieux qui lui va comme un gant .

    La seul chose que j'ai trouvé moyenne était ces sorte de flashback, le film commence par la fin, on vient ensuite au début du récit pour revenir a plusieurs moment sur la fin ce qui ne m'a pas vraiment emballé, mais ce n'est pas trop présent au point d’être gênant .
    Nameless Gangster ne renouvelle pas le genre et ne démontre peu être pas grand chose d'original mais le tout est maitrisé de bout en bout et font de ce film une vraie réussite .
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    293 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2014
    Décidément, la Corée du Sud aime les polars/thrillers/films de mafieux en ce moment…un peu comme la Chine et Hong Kong dans les années 90. Mais après tout, si la qualité est toujours au rendez-vous, pourquoi se priver ?! "Nameless Gangster" nous conte l’ascension de Choi Ik-hyun dans le monde de la pègre de Busan : douanier corrompu menacé d’être licencié, il découvre un jour un sac rempli de drogue. Afin revendre cette dernière au Japon, il s’associe à Choi Hyung-bae, un gangster local. Les deux hommes s’apprécient et décident de poursuivre leur collaboration. L’argent coule à flot et l’ancien douanier devient peu à peu un malfrat respecté riche d’un réseau étendu dans le monde politique, policier et judiciaire... Un des atouts de ce film est son contexte historique : prenant comme toile de fond la Corée du Sud des années 80 et 90, il restaure assez fidèlement une époque effrayante durant laquelle on vit une montée des gangs et de la corruption gouvernementale devenue tellement importante qu’il n’est même plus nécessaire de la dissimuler (il sera même question des magouilles mises en place lors des Jeux Olympiques de Séoul en 1988 !) ; tout cela en pleine période de dictature militaire jusqu’à l’arrivée d’une république démocratique. Cette dernière va essayer d’imposer un ménage féroce pour donner un autre visage au pays, même si cela oblige les forces de l’ordre à se comporter comme ceux qu’ils pourchassent (voir ces policiers qui interviennent avec des barres de fer ou encore ce procureur tellement acharné qu’il nous apparaît cent fois plus violent que le gangster qu’il cuisine !) Mais pour illustrer son propos, le réalisateur choisit une structure assez étrange : le récit alterne les allers-retours entre le présent et le passé. Certes, cela n’est pas une mauvaise idée en soi puisque cela permet notamment de nous présenter les personnages, les enjeux et l’histoire de façon chronologique ; cependant les transitions entre les deux périodes ne sont pas clairement définies et, si vous n’êtes pas totalement concentré sur le film, vous risquez de louper quelque chose et de vous retrouver assez vite dans la confusion la plus totale. C’est dommage car ce manque de fluidité narrative empêche "Nameless Ganster" d’être au panthéon des fresques mafieuses, alors qu’on retrouvait à l’image tout ce qui fait l’essence de ces grands films (en le regardant, vous ne pourrez pas vous empêcher à un moment ou un autre de penser à Martin Scorsese, Kinji Fukasaku, Ringo Lam, Francis Ford Coppola, Takashi Miike, Johnnie To, Brian De Palma, Takeshi Kitano ou Alan Mak et Andrew Lau !) comme ces fameux paradoxes où l’humour gras et décalé laisse soudainement place à une explosion de violence brute ou encore ce dernier plan, si nihilliste qu’il ferait passer la fin du director’s cut de "Blade Runner" pour un giga happy end !! Mais la colonne vertébrale de "Nameless Ganster", le ciment indestructible du film c’est son duo d’acteurs principaux : aussi convaincant l’un que l’autre, nous avons d’un côté le grandissisme Choi Min-Sik (le fabuleux héros de "Oldboy", qu’on a aussi pu voir dans "Shiri", "Frères de Sang", "Lady Vengeance", "Crying Fist" et "J’ai Rencontré le Diable") joue le rôle de l’ex-douanier devenu criminel ; gars à la fois arrogant, opportuniste, lâche et maladroit vu qu’il se prend pour un véritable caïd alors qu’il vient tout juste d’entrer dans le « business » ; et nous avons de l’autre le non moins talentueux Ha Jung-woo ("She's On Duty", "Shi Gan", "The Chaser", "The Murderer") qui incarne le froid et posé Hyung-bae qui se révèle être un véritable chien furieux quand l’occasion se présente, représentation tout à fait classique du mafieux craint et respecté. Même si sa construction narrative n’est pas la plus efficace, "Nameless Ganster" est un bon film dans la plus pure tradition des films mafieux et séduira sans aucun doute les fans du genre.
    Julien D
    Julien D

    1 087 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2014
    Loin d'être aussi innovant qu'ont pu l'être les films de Johnnie To, la référence en matière de films de gangsters asiatiques, ni d'être aussi violent que ses comparses coréens tels que Kim Jee-woon ou Hong-jin Na, cette première incursion de Jong-bin Yoon dans le domaine de la reconstitution cinématographique de l'univers mafieux a tout de même connu, dans son pays natal, un franc succès. Avec son point de départ scénaristique, celui d'un quidam qui va se faire sa place dans le milieu du trafic de drogue, qui n'est pas sans rappeler Breaking Bad, et son système narratif qui alterne les flashbacks illustrant sa montée en puissance et les moments au présents qui rendent sa décadence plus impressionnante, qui est directement inspirée du Parrain 2, on ne peut nier que le réalisateur a énormément puisé dans le cinéma de genre occidental (l'influence de Scorcese est elle-aussi omniprésente dans la mise en scène), tout en faisant appel à des acteurs reconnus du cinéma de genre coréen. Même si le scénario souvent très bavard et sa déconstruction narrative ont de quoi décevoir les spectateurs en attente de sensations fortes, ce qu'il y a de plus intéressant à en tirer est la découverte qu'il permet de faire des us et coutumes des organisations criminelles coréennes où le poids des traditions et des systèmes de hiérarchies familiales se rapprochent énormément de celui que Takeshi Kitano nous avait révélé à propos des yakuzas japonanais. L'ensemble est donc bien trop peu original et parfois même difficile à suivre mais propose des scènes mémorables et une peinture effrayante de la dérive capitaliste à Séoul.
    Eselce
    Eselce

    1 178 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 septembre 2018
    Une sorte de flic corrompu se retrouve chez les gangsters. Un peu de tabassage dans les règles, des attitudes de caïds avec des répliques amusantes et des jurons de l'époque (années 90) que l'on trouvait dans les cours de récré. Je me suis à la fois amusé des jurons et ennuyé du tabassage et des menaces sans originalité.
    Acidus
    Acidus

    599 abonnés 3 636 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2014
    Petite déception pour ce film de gangsters qui ne s'avère pas à la hauteur de mes attentes. La structure narrative, composée de flashbacks, complexifie inutilement cette histoire de mafia coréenne. De plus, les nombreuses facilités scénaristiques ne sont pas rattrappé par la réalisation tout à fait banal. Heureusement, Choi Min-Sik, lui, ne nous déçoit pas et fait encore montre de son talent. "Nameless Gangster" n'est certes pas ce qui se fait de mieux dans le genre mais demeure des plus honorable.
    pfloyd1
    pfloyd1

    96 abonnés 2 013 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2014
    J'adore le cinéma Coréen , ils sont généralement trés fort dans ce domaine mais je dois avouer que Nameless Gangster m'a déçu par son ambition démesurée.
    On retrouve, deçi delà, certains acteurs coréens qui ont joués dans des films à succés (the chaser ou j'ai rencontré le diable par exemple) , bien dirigés et encore une fois crédible à l'ecran , seulement les films de gangsters façons Le Parrain ou Les Affranchis , ne fonctionnent pas pour nos amis coréens.
    La musique italienne en toile de fond façon film de Mafieux , ne prend pas et fait (malheureusement) presque sourire, c'est un style qui ne leur va pas , c'est tout.
    La famille de mafieux et ses codes sentent la copie à plein nez des grands films du genre. L'histoire est pourtant bien avec quelques rebondissements, c'est juste le style à mon gout , qui ne colle pas.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    103 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2014
    Un film de gangsters pas vraiment mémorable mais dont l'intérêt réside surtout dans la toile de fond montrant l'histoire de la Corée du sud dans les années 80-90, depuis la dictature jusqu'à l'avènement de la démocratie et de ses dérives. Cet aspect politique et social avec les mentalités en découlant, sauve de l'ennui qui guette le spectateur s'attendant à un film d'action pur et dur. Cependant, n'est ce pas là l'essence même d'un bon polar noir dans ce que l'on en attend? En l'occurrence un bon polar jaune quoique la perception psychophysique de cette bichromie tirant parfois sur le marronnasse il faut l'avouer, puisse sembler à certains passablement déroutante...
    l'homme qui murmurait à l'oreille des chameaux
    l'homme qui murmurait à l'oreille des chameaux

    19 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2014
    Un film qui a du mal à nous captiver. Il se laisse toutefois regarder, mais sans plus. Le scénario manque de relief et tombe assez facilement dans la banalité. Le cinéma coréen nous a habitué à mieux en matière de film noir, on est donc en droit d'avoir une certaine exigence.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 janvier 2014
    Un mélange des Affranchis et du Parrain version coréenne! Un film qui vous embarque dans la mafia sud coréenne des années 80 à travers une réalisation sobre mais efficace et des acteurs plus vrais que nature.
    Le film qui ne manque pas d'humour réussit le paris d'un scénario original plus vrai que nature. A ne pas manquer pour ceux qui aime les films de Scorsese, de mafieux, ou venu de Corée.
    Plastok-Man alatak
    Plastok-Man alatak

    10 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2014
    Un film relatant l'histoire d'un 'criminel' avec une réalité frappante. Mais malgré le bon jeu du duo d'acteur, l'histoire manque d'intérêt et on a du mal à s'intéresser au scénario tout le long du film sans décrocher.
    Didier M
    Didier M

    4 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2014
    le cinema coréen est moins conventionnelle que le cinema us
    j'ai bien aimer ce film qui montres l'ascension d'un fonctionnaire qui vivotes de trafic pour grimper peu a peu dans le crime organisé avec l'aide de sa famille et de se servir de ses relations familiales (difficile a suivre je penses pour nous européens avec tous leur degré de parenté et leur hiérarchie) pour s'en sortir sans dommage
    un peu fouillis dans le montage et ses flash-back et certaines scènes un peu floues .
    mention spéciale a Jung-woo Ha qui as vraiment la classe dans ce film !!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 septembre 2014
    Certes un peu long, mais pas tant que cela, tant l'histoire présentée découvre une vraie richesse, et couvre une assez longue période de notre personnage central. L'histoire de ce fonctionnaire subalterne et modeste qui rejoint un milieu lucratif, milieu qu'il découvre comme étant aussi familial, un deuxième souffle à sa vie trop terne. Cette histoire devient savoureuse au travers des 2 protagonistes principaux, et pas si difficiles à suivre : un oncle, un neveu, une coalition improvisée et complémentaire entre eux, tendue, confiante en apparence. Sans être incontournable, l'immersion dans cette mafia qui tente de s'imposer ou survivre aux côtés d'autres groupes, présente un petit côté Eliot Ness dans ses actions imprévues, règlements de comptes soudains, parfois bien émoustillants. Le choix de la batte de baseball et des flingues (vides de balles), démontre déjà une volonté d'être différent et original dans son contenu. Moins de sang, mais plus de rapports de forces, et le recours obligé à des subtilités (ou grosses bourdes apparentes). Mais aussi, la présentation de ce tissu social, support même de l'essor de cette mafia. Tissu social moteur aussi dans son opposé, soit la simple mise en prison définitive (retrait case prison). Il y a effectivement un rapprochement sensible de ces imprévus que peut représenter une partie de Monopoly joué au tirage aux dés et jeu de société, à cette société de mafiosos qui tire une carte, puis une autre sans bien pouvoir tout gérer au mieux des jalousies, des bénéfices, des rapports de forces mêmes avec les plus hauts magistrats. Rien n'est jamais acquis ou définitif et chaque victoire procure instantanément l'immédiate crainte de ce qui va s'ensuivre. Très involontairement, ces opposés (justice et délinquants) se retrouvent de façon imprévue et forcée à la même table, au banquet de la même famille, se découvrent bizarrement proches cousins, puis doivent ensuite s'écrabouiller, juste après s'être prodigué les meilleures caresses et renvoyé les meilleurs honneurs, et cadeaux. Le cadre poli, feutré et structuré (hiérarchie) de cette société coréenne est le meilleur support qu'il soit pour nous autres européens très éloignés de cette façon de se comporter. On ne sait jamais à l'avance comment les claques vont tomber, ou parfois les honneurs. C'est alternance de l'un ou l'autre, et c'est sans doute aussi, notre plaisir à découvrir quelques tensions évacuées de la façon la plus drôle et assez cocasse parfois. Il arrive même que ce petit roi vaniteux puisse se retrouver dans la position à tenir un vélo, face couchée contre terre, et sans l'aide des mains. On l'aime donc autant qu'on le déteste à l'instar de ces dictateurs africains, fragiles et excessifs, prompt à donner ou subir des coups d'état, cabotins. Mais ce film ne laisse pas indifférent, et les renversements successifs en font une perle rare par le ton assez inhabituel ici proposé, des personnages appréciables, un jeu d'expressions, des transitions très très délicates à négocier dans ce récit. Un ton singulier qui alterne l'or à la boue, et ne laisse jamais prévoir à l'avance ce qui peut se produire. On suit avec ferveur cet esprit d'entreprise, puisque ici, ce sont les aléas d'une entreprise aussi surprenant que cela paraisse. Et pas des moindres, puisque entreprise familiale, basée sur le respect absolu, presque ancestrale. Enfin ancestrale si c'était physiquement possible car la pérennité est justement le point délicat et talon d'Achille à négocier dans ce type d'affaire. On s'en réjouit d'ailleurs. Les paradoxes sont ici très savoureux. Le film aussi.
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