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nokidoki
65 abonnés
549 critiques
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3,5
Publiée le 1 juin 2015
Film très intéressant où l'on retrouve Clive Owen dans un film en costume. spoiler: A certains points de vue, ce film me rappelle "47 Ronin".
Bonne histoire, intrigue qui se tient, acteurs crédibles et attachants. Et bien sûr, l'inoxydable Morgan Freeman, le François Berléand Américain. Je pense qu'il est impossible de faire un film sans lui. ;)
Honneur, vengeance, trahison, fidélité, tous les ingrédients du roman de chevalerie sont au rendez vous. par chance le réalisateur n'est pas tombé dans le sanguinolent ce qu'on pouvait redouter. La bonne surprise ce sont les décors et des comédiens très justes. mais pas certain que ce film reste dans les mémoires...
Film low-cost de commande pour faire une recette facile. Du film fast-food en somme. Probablement tourné en europe de l'est pour rogner sur les coûts de production. Vraiment c'est un mystère que Clive Owen ce soit embarqué là-dedans, peut-être par curiosité, il n'avait jamais participé à ce genre de production (le tournage n'ayant pas duré longtemps peut-être).
Cinématographiquement parlant je ne vois toujours pas où classer ce film, ce n'est pas un film historique il me semble. On ne sait ni où, ni quand se déroule l'action et si c'est un monde fictif / fantastique, le spectateur est laissé dans l'ignorance. Scénario, personnages d'une banalité affligeante. À aucun moment on s'attache aux protagonistes, en grande partie par l'absence d'explications sur le monde dans lequel ils évoluent et on ne sait finalement pas qui ils sont ! L'histoire ressemble plus à un prétexte pour faire un film.
Acteurs en pilotage automatique qui livrent des performances avec professionnalisme mais sans une once de conviction.
Le seul intérêt de ce film sont les décors et les costumes. Morgan Freeman n'est brillant que comme "guest star" de ce film (qui a incité pas mal de gens à le voir... Par sa seule présence) et par la dernière tirade qu'il balance à son ennemi lors de son "jugement"... Le seul fait intéressant est la question que pose ce film, en creux : est-ce qu'une personne bourrée de principes ne peut l'être que dans l'opulence d'une vie bien rangée ? Le reste est un plat totalement insipide fait d'un moyen-âge de carton pâte, où le VRAI code de chevalerie n'autoriserait jamais les actes des pseudo chevaliers digne des pires des mercenaires relatées dans ce film.
Franchement, regarder ce film, c'est piétiner au pied toute la tradition de la chevalerie et s'exposer à des invraisemblances totales...
last knight est presque à considerer comme un beau nanar des temps modernes .Il illustre parfaitement le fait que ce n'est pas par la presence d'acteurs de renom qu'un film sera réussi. Ici, ils font le minimum, dans une histoire baclée aux suspense cousu de fil blanc.L'ennui et le deja vu est présent des les premieres scènes du film. un film à éviter.
Last Knights (ce film existe aussi sous le titre français de L'Honneur des guerriers) débute assez bien par une scène de combat puis se termine aussi par une bataille pas trop mal malgré tout c'est un film raté qui se perd dans une histoire de complot, de lutte de pouvoir, de vengeance, d'honneur, etc... donnant lieu à un résultat lourd et indigeste sombrant dans des passages bavards inutiles. Dommage pour les acteurs qui semblent s'investir dans leurs personnages, la mise en scène n'est pas vilaine mais il est difficile d'aller jusqu'au bout du film sans jamais s'ennuyer.
Rien de transcendant, mais rien de honteux non plus dans ce récit de vengeance, plutôt prévisible mais bien construit avec un méchant antipathique à souhait. La mise en scène, très inégale et poseuse, de Kazuaki Kiriya (réalisateur de l’ambitieux "Casshern") plombe certaines séquences de batailles.
Le résumé du film que j'ai trouvé autre part, puisqu'il n'a pas d'histoire selon Allociné : "Au Moyen Âge, dans une vaste contrée multiethnique, le seigneur Bartok est sommé de se rendre au château de l'empereur pour lui rendre hommage. Mais à son arrivée, il froisse l'influent ministre Gezza Mott en refusant de lui verser un pot de vin. S'ensuit un combat au cours duquel Bartok, bien qu'affaibli par une maladie incurable, passe près de tuer le ministre corrompu. Traduit en justice devant l'empereur, le vénérable seigneur est condamné à mort et, à la suggestion de Mott, exécuté par son propre commandant et héritier présomptif, le vaillant Raiden. De retour chez lui, ce dernier, rongé par la culpabilité, renoue avec les démons de l'alcool et repousse son épouse, qui ne le reconnaît plus. Le lieutenant de Raiden, ainsi que ses hommes, n'ont toutefois pas renoncé à se venger de l'infâme Gezza Mott. Lequel, en proie à la paranoïa, a réquisitionné des milliers de soldats pour le défendre". Ce résumé - pas si résumé que cela - vous permet de mieux cerner ce film de chevalerie, bien que se déroulant dans une inexistante "contrée multiethnique", chose n'ayant pas sa place au Moyen Âge. "L'honneur des guerriers" comme l'ont appelé nos amis québécois parle d'honneur, les combats sont bien faits, il y a un suspens intéressant à suivre malgré un scénario sans surprise (non pas qu'il soit mauvais, mais une fois qu'on a lu le résumé, on devine ce qui va se passer). C'est correctement joué et divertissant, mais ne vous attendez pas non plus à une merveille.
Cette version du moyen-âge new-age conviendra sûrement ceux qui n'ont jamais ouvert un livre sur l'époque...pour les autres, passez votre chemin. Techniquement, une photographie noirâtre, un jeu d'acteurs figé, des scènes d'action mollassonnes...un ratage où se perdent hélas de bons acteurs comme Morgan Freeman et Clive Owen.
Sur le thème de la vengeance et de l'honneur guerrier, ce film d'action est un divertissement correct. Situé en pays imaginaire, dans la période médiévale, il réunit des personnages européens et des asiatiques, ce qui est fantaisiste mais explicable par le fait que le réalisateur est japonais. Si les méchants et les gentils sont vite repérables, les gentils ont quelques défauts afin de rendre l'histoire moins manichéenne. Pour ma part, j'aurais préféré un appui sur des faits historiques pour éviter une trame cousue de fil blanc.
Les chevaliers de la table ronde ne sont pas loin. Décidément, Clive Owen a le don de s’investir dans des épopées modernes assez savoureuses, tel qu'il pu le faire en 2004. Mais Kazuaki Kiriya n'est pas Antoine Fuqua, et c'est tant mieux car chacun appréciera un style différent. En effet Last Knights rend hommage aux codes des Samuraï et au statut de Rōnin; on sourira devant une mise en place de l'intrigue assez décousue mais prendrons un plaisir certains, jusqu'au dernier plan exaltant. Une honnête production multinationale qui semble avoir laisser libre cours à toute inspiration.
Ce film n’est pas sans faiblesse (non!), mais il n’en reste pas moins un film chevaleresque assez divertissant. La plus grosse faiblesse, selon moi, c’est le contexte temporel de l’histoire. Nous voici plongés dans un monde moyenâgeux, utopique mais surtout multiethnique. J'écris "surtout" car cet aspect, multiethnique, n'est pas dérangeant en soit bien au contraire, mais il n'est pas cohérent avec l’époque dans laquelle l’histoire est supposée se dérouler. Je vous laisse regarder la distribution du film pour vous rendre compte de quoi je parle... On est dans ce qu’on appelle un bel anachronisme, non?! Afin de donner un peu de crédibilité à l’histoire, il aurait fallu respecter certains codes, propres à l’époque en question. Une fois cet aspect de l’histoire intégré et en faisant abstraction d'une réalisation assez prévisible, vous pourrez alors profiter du film. Heureusement les acteurs sont assez convaincants et même Clive Owen (que je n’attendais pas du tout dans ce type de rôle) est vraiment crédible.