Avis : Last Knights - Page 5

Pas du tt d'accord avec vous, vos commentaires sont grotesques et non fondés, ce film maintient l'envie de voir régner la justice et donne un souffle a l'héroïsme. Question paysages ils sont simples, épurés et à la fois crédibles, les acteurs très bien choisis. Justes d'accord pour les katanas mais à cette époque les Portugais naviguaient par tous les temps et toutes les mers donc pourquoi pas de plus cela donne un peu de vitesse à certaines pauses délicates à faire vivre. J'espère pourquoi pas une suite car l'histoire se finit sur une opportunité.

Le film est réalisé en 3 parties.
La première est un peu longue et pose les bases de l'intrigue. Les détracteurs du films vont sûrement critiqués le film en s'inspirant de la deuxième partie. C'est pour moi la partie la plus importante du film. C'est à ce moment que l'intrigue se met en place. La troisième partie laisse place à l'action. Très souvent quand on regarde un film de chevalier dans un temps médiéval on est déçu du manque d'action et c'est bien dommage parce que ce nest pas ce qu'il y a de plus important. Le film prend le contre pied de ce qu'on s'attend et ça en fait l'originalité.
Côté plus : les plans du palais sont magnifiques, les costumes somptueux et une distribution multiethnique qui colle à l'ambiance du film.
Côté moins : le méchant est caricatural (Mais à la limite je ne sais pas s'il y avait une autre façon de le jouer), la musique n'est pas magique et les acteurs n'y croient pas trop.
spoiler: La fin en happy end (sauf pour le heros principal) ne colle pas, j'aurais vu dans l'attaque du château une mission suicide.

Un remake du film "47 Ronin" réalisé 1 an avant. La fin n'est pas évidente, ouverte ? Problème de montage ? De bons acteurs.

Il n'y a pas de synopsis alors le voici : Au Moyen Âge, dans une vaste contrée multiethnique, le seigneur Bartok est sommé de se rendre au château de l'empereur pour lui rendre hommage. Mais à son arrivée, il froisse l'influent ministre Gezza Mott en refusant de lui verser un pot de vin. S'ensuit un combat au cours duquel Bartok, bien qu'affaibli par une maladie incurable, passe près de tuer le ministre corrompu. Traduit en justice devant l'empereur, le vénérable seigneur est condamné à mort et, à la suggestion de Mott, exécuté par son propre commandant et héritier présomptif, le vaillant Raiden. De retour chez lui, ce dernier, rongé par la culpabilité, renoue avec les démons de l'alcool et repousse son épouse, qui ne le reconnaît plus. Le lieutenant de Raiden, ainsi que ses hommes, n'ont toutefois pas renoncé à se venger de l'infâme Gezza Mott. Lequel, en proie à la paranoïa, a réquisitionné des milliers de soldats pour le défendre.

Passé la surprise des moustaches improbables de Morgan Freeman, on découvre un divertissement qui, sans révolutionner le genre, contient ses bons moments, et réussi même à être prenant par instants. Souvent comparés à 47 Ronins, il est cependant à mon sens meilleur que ce dernier, notamment grâce à l’interprétation de Clive Owen. On a là un film d’action qui tient la route sans incohérence scénaristiques manifestes, avec des personnages bien définis et une réalisation de plutôt bonne facture, ce qui est finalement plutôt rare en matière de films du genre. On évite en effet ici fort heureusement les grands travers en la matière, à savoir un scénario décousu et un comic relief insupportable.
En résumé si vous aimez l’action médiévale (non historique), à voir en mangeant une pizza un soir ou vous n’avez pas envie de vous prendre la tête.

Freeman une petite demie heure peu convaincu et peu convainquant.
Owen idem mais jusqu'au bout.
Ils ne parviennent pas à porter autre chose que le montant des impôts qu'ils ont à payer et pour lequel ils se sont engagés.
Dialogues médiocres.
Scénario vide.
Réalisation commune.
Jeu d'acteur : le strict minimum.
A éviter.