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    Maps To The Stars
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    438 critiques spectateurs

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    Daisy C.
    Daisy C.

    5 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 juin 2014
    La bande annonce ne m'avait hélas pas trompée! Ce film illustre la névrose humaine dans toute sa splendeur et me donne l'impression d'avoir mangé quelque chose de pas frais! Toute sa violence et sa cruauté sont gratuites et n'ont absolument aucun sens et si je n'ai pas quitté la salle avant la fin du film c'est uniquement parce que je ne voulais pas laisser mes amies. Film à déconseiller!
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Los Angeles, terre mythique d’Hollywood, capitale internationale du cinéma, l’endroit d'où émergent tous les rêves de succès et où se croisent tous les « beautiful people »… Des « beautiful people » qui n’ont de beau que le nom, tant David Cronenberg souligne leur laideur dans le puissant "Maps to the Stars". C’est un portrait très cynique que fait le cinéaste de ce monde, refusant tout embellissement ou lissage de la réalité : on assiste aux guéguerres entre des acteurs très superficiels, passant plus de temps à faire de la promotion, voire de l’autopromotion, qu’à travailler sur les plateaux de tournage. Derrière le masque affable que les stars portent en permanence en public se cachent une vulgarité atterrante et une cruauté sans limite, les poussant à médire, à jalouser et à tromper sans regret. Ces personnalités se définissent comme des acteurs, et c’est bien ce qu’ils sont, mais dans la vie de tous les jours aussi bien que dans leurs films : chaque relation est en effet basée sur l’hypocrisie, sur l’apparence d’une sollicitude pourtant totalement absente. Ces gens-là ne se concentrent que sur eux-mêmes, et sont ainsi gagnés par la paranoïa et les névroses. Preuve que le moindre souci est immédiatement considéré comme un problème capital, le succès de gourous chantres du développement personnel et d’un mysticisme de pacotille, ces conseillers psychiques en promotion d’eux-mêmes à la manière de n’importe quel acteur. À côté de ça, on assiste à la naissance d’une nouvelle génération, pressée d’enterrer la précédente mais déjà inquiet de celle à venir. Les dialogues, excellemment écrits et très drôles, reflètent un mode de pensée cruel et violent, même si cette violence n’est que latente. Dans ce monde pourri jusqu’à la moelle, où les films dits indépendants se vendent comme des vitrines pour les acteurs, Agatha paraît être le désinfectant nécessaire pour sauver ce monde décrépit, nettoyer les célèbres avenues de la pestilence qui y règne. Elle, qui affirme sa liberté à chaque coin de rue comme un mantra, est sans doute la plus à même de résister aux illusions hollywoodiennes et d’incendier ce qui les provoque. Là, la ville pourra enfin être purifiée et repartir sur de nouvelles bases.
    Los Angeles, terre mythique, cité des rêves, l’endroit où se réjouir de la mort d’un enfant est quelque chose de normal.
    Lyon W.
    Lyon W.

    19 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2014
    On pourrait être séduit sans véritable conviction, sans être emballé. Le film est plein de qualités à commencer par Julianne Moore qui campe parfaitement son personnage. Le scénario est très cru et à peine dans la caricature de ce milieu qui lui permet de fonctionner parfois avec humour. De plus, l'enchainement des scènes n'est pas prévisible. L'image donne un côté assez factice, genre papier glacé qui va justement avec le décor, les personnages et leurs actions ( spoiler: La mort du chien, le meurtre avec la récompense, l'immolation
    ). Le problème étant que le film pêche par son rythme, qui finalement nous empêche d'être emporté. Les hallucinations donnent un peu le sentiment d'être là pour justifier/expliquer la psychologie des personnages. Arrivé à la fin du film, on se demande si on a vraiment été intéressé.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    296 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2014
    Ah enfin, oui enfin le retour du grand David Cronenberg !! Après deux films plutôt sympathiques mais sans grande réflexion ou force comme le reste de sa filmographie ("A Dangerous Method" et "Cosmopolis"), il revient à nouveau à ses thèmes favoris à savoir l’être humains, ses déviances et sa chair : après avoir utilisé le fantastique pour les exposer ("Frissons", "Rage", "Chromosome 3", "Faux-Semblants", "Videodrome", "Le Festin Nu", "Scanners", "La Mouche", "Existenz"), notre ami canadien continu sur sa lancée de films plus ancrés dans la réalité qui a débuté avec "Crash" et qui fut vite suivi par "Spider", "A History of a Violence" et "Les Promesses de l’Ombre". D’ailleurs, le rapport entre l’âme et la chair nous est constamment rappelé dans le film par le poème de Paul Eluard que tous les protagonistes aiment à réciter. "Maps To The Stars" nous proposent donc de suivre les destins croisés de personnes dont le seul point commun est de se retrouver à Hollywood en plein milieu du 7ème Art. Cronenberg en profite alors pour nous servir une bonne satire croustillante de la fameuse « usine à rêves » américaine : les enfants stars totalement exploités par le système ou leurs propres parents mais qui eux-même deviennent fiers et hautains (quand ils ne finissent pas en cure de désintox avant leurs 15 ans !!), les promesses en l’air envers certains acteurs après leur casting (ah, l’hypocrisie humaine : quel vaste sujet !), les personnes prêtent à tout pour obtenir un rôle quel qu’il soit, les agents qui font miroiter mots et merveilles à leurs clients alors qu’en fin de compte tous ce qui leur importe c’est de toucher leur commission…ne chercher pas : tout le monde en prend pour son grade ! Mais, contrairement à ce que tout le monde a pu croire (c’est dingue comment les critiques de cinéma ne voient jamais plus loin que le bout de leur nez…en plus, en plein Festival de Cannes, ils sont encore plus cons que d’habitude !!!), la critique d’Hollywood n’est pas le thème principal du film : elle n’est là que pour servir à mieux cerner les protagonistes du film. Car oui, pour Cronenberg, l’important se sont ses personnages, chacun d’entre eux démontrant à quel point l’être humain peut être sombre, mauvais voire fou (en gros : des gens dont la chair a été marquée) : une femme qui ne vit que dans l’ombre de sa mère qui a pourtant abusé d’elle par le passé, une jeune fille qui a tenté de mettre fin à ses jours et à ceux de ses proches, un couple de bourgeois qui vit sur leur réputation et la carrière de leur fils mais qui cache un terrible secret inavouable, un p’tit con de 13 ans qui vient tout juste de finir une cure de désintox et qui cherche à se débarrasser à tout prix d’un rival encore plus jeune que lui, une personne qui s’extasie en apprenant la mort d’un proche d’une de ses rivales…bref, quand la chair est meurtrie, sommes-nous esclave à vie d’elle ou pouvons-nous arriver à évoluer ? Malgré une nature hostile et mauvaise, pouvons-nous changer ? Et si finalement la seule et unique rédemption possible était ce que nous propose le superbement nihiliste plan final de "Maps To The Stars" ? Vous l’aurez compris, Cronenberg est revenu à ses premiers amours avec brio et "Maps To The Stars" s’en retrouve finalement pas si accessible que ça au grand public…ce qui est une bonne chose. Même s’il a en le potentiel (et c'est un euphémisme !), je doute qu’il remporte la Palme d’Or à Cannes cette année (on préfèrera très certainement un film quelconque, réalisé avec les pieds, insipide, avec de mauvais acteurs…comme "La Vie d’Adèle" l’année dernière !). Je ne peux passer à côté de la prestation du casting de ce film qui est absolument remarquable : John Cusack et Olivia Williams nous campe un couple torturé par leur passé, le premier vivant dans le reniement le plus total, la seconde dans la culpabilité absolue ; Mia Wasikowska est splendide en jeune fille défigurée à cause d’un acte passé de pure folie et cherchant le pardon (elle confirme qu’elle est une honorable actrice après ses bons rôles dans Stoker et Only Lovers Left Alive…et prouve et au passage que sa passable performance dans Alice au Pays des Merveilles n’était qu’une erreur de parcours…en même temps on sait tous que Tim Burton est un piètre directeur d’acteurs !) ; Sarah Gadon marque à chacune de ses apparitions tant ces dernières amène un fort malaise ; Robert Pattinson, malgré son peu de présence, est bien en tant que petite lueur de bonheur dans la vie d’Agatha qui pourtant ne sera qu’un pauvre feu de paille ; une très jolie révélation en la personne d’Evan Bird qui nous interprète un jeune garçon bouffé par son statut de star (il y a du talent chez ce môme !) ; et un grand respect à Julianne Moore incroyable dans le rôle de cette actrice névrosée et hantée par le fantôme de sa mère qui lui a fait pourtant subir des horreurs par le passé : je ne serais vraiment pas étonné de la voir nominée à l’Oscar du meilleur second rôle féminin de cette année !! Voilà, je dis donc bravo et merci à Cronenberg pour m'avoir flanqué un nouveau coup de poing dans la tronche digne de ce nom et suis plus qu’impatient de voir son prochain bébé !
    joelle g
    joelle g

    77 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 juillet 2014
    Un film très particulier , que je n'ai pas apprécié malgré de très bons comédiens . Sinon on s'ennuie ferme .
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Cronenbergh nous fout une nouvelle fois la gerbe dans cette histoire.
    Film à oublier rapidement.
    Candice L
    Candice L

    25 abonnés 827 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2018
    Un véritable chef d'oeuvre! Le revers de la médaille des stars d'Hollywood, sans tabou ni détour. D'excellents acteurs, beaucoup d'émotion et de scènes crues qui rendent le film très réaliste. On se sent happé par cette spirale infernale qui entraîne tous les personnages, et on en ressort avec une vision différente du cinéma. A voir!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 juin 2014
    Satire complaisante d'un Hollywood consumé par le cynisme des faiseurs de divertissement. Mais qui ne détonne pas, contrairement à ce que certains en disent. Sous couvert de satire, Cronenberg veut en réalité tout faire péter, provoquer par l'absurde et le trash, et fondre ces deux ambitions dans un pseudo portrait d'une Amérique décadente. Mais les dialogues sont pauvres, l'histoire inintéressante et les quelques bribes de poésie parfaitement inodores. Julianne Moore a remporté un prix à Cannes pour son personnage d'actrice névrosée sur le déclin, et c'est bien tout ce qu'il y a de réussi dans ce film.
    antony Z.
    antony Z.

    66 abonnés 1 038 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mai 2014
    Mon sentiment est celui de la déception quant à la richesse du thème traité! J'attendais un film noir sur les dessous d'Hollywood mais surtout avec de la pertinence et pourquoi pas un scénario assez abouti. David Cronenberg semblait être le candidat idéal pour présenter un film réussi et captivant. Mais au final, pour ma part, seul la prestation remarquée de Julianne Moore est à retenir. Certes, les dessous des paillettes sont très sombre mais les différentes histoires sont trop excessive !! C'est même un grand n'importe quoi ! C'est dommage, ça nuit au film et à son scénario trop extrême qui ne tient pas vraiment debout.
    Marty08
    Marty08

    12 abonnés 388 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2014
    On annonçait le nouveau film de Cronenberg comme une satire corrosive à l'encontre de Hollywood. L'histoire d'une famille vaguement dysfonctionnelle. Un best of des pires moeurs du milieu cinématographique.
    Il n'en est rien. A la vision de cet opus nouveau du cinéaste de la chair cérébrale ne découle qu'un pensum vide comme tout.
    La plus grande frustration s'illustre par une simple question : mais où est donc passé David Cronenberg ? Les puristes y verront l'ADN concentré du cinéaste. Hors, qu'il y a t-il de plus agaçant que d'y voir une simple trace d'ADN quand on aurait demandé la patte ? Le cinéma du canadien a toujours été un cinéma agressif, tourmenté, caractériel, où la chair organique se mêlait par adaptation narrative à la chair cérébrale. Mais David, pour la première fois de sa carrière, a changé de camp. Le mauvais goût assumé de ses films, quant à l'avis général du politiquement correct et de l'appétit du spectateur, s'est désormais muté en vulgarité. Autrefois, David filmait la chair, la vraie, dans toute sa gestuelle difforme ("La Mouche", "ExistenZ", "Le Festin Nu") ou plus récemment humaine ("A History of Violence" à "A Dangerous Method"). C'était là le principe même de son cinéma, la caractérisation évidente de sa mise en scène qui adoptait cet amas de sang.
    Aujourd'hui, David, oui, a troqué sa substance contre l'ectoplasme. Des fantômes, "Maps to the Stars" n'en manque pas. Mais quel intérêt y a t-il à filmer des hallucinations si celles-ci ne sont pas justifiées et ne s'incluent que par intermittences ?
    Le trauma de la famille Weiss est semble t-il un incendie provoqué par la fille aînée, Agatha. Autrefois, Cronenberg aurait parsemé son film d'images subliminales, arrivant logiquement dans la lignée de la déréliction mentale de ses personnages. Maintenant, le champ contre-champ se charge, avec toute la charge explicative du monde, de faire passer l'émotion. Mais à un certain stade du film, Cronenberg n'est pas fait pour ça. Dans "Maps to the Stars", le dialogue a remplacé le mouvement. Les caractères se substituent à la mise en scène. Ce sont des épaves qui déambulent dans un Hollywood aseptisé. Voudrait-il parler par le biais de ces pantins de la vacuité de ce monde ? Jamais. L'espace dans lequel évolue les différents personnages ne fait jamais qu'un avec eux. Jamais ne ressent-on le trouble obsessionnel de chacun. Le problème est bêtement narratif. Aucune évolution, juste un parcours pré-défini de ces marionnettes interprétées avec force mais sans face cachée. Les rares scènes de violence ne sont précédées que par une dispute. L'exaltation vertigineuse dans laquelle on aurait aimé se plonger n'arrive jamais. Canalisée dans sa limousine, la mise en scène de "Cosmopolis" brillait, laissant la chair humaine se contracter dans un espace réduit, laissant place à un dialogue alimenté par une certaine claustrophobie avant d'exploser en trouvant dans sa dernière partie une libération du récit et des personnages dans un milieu hostile, contre point parfait du grand espace vis à vis de l'intérieur d'un véhicule.
    Dans les villas de Hollywood, Cronenberg n'a plus rien à filmer, si ce n'est, comme la preuve d'un premier degré tellement flagrant d'hommage au reste de sa filmo, des scènes fantomatiques.
    Cronenberg s'attaque à l'esprit plutôt qu'à son épicentre, le cerveau. Un organe qu'il rendait tellement plus vivant par le passé en ne filmant, que par le biais d'un visage apeuré, l'homme face à sa propre constitution. Un art du matériel, premier degré en ascension de la graduation de l'imaginaire du spectateur. Une osmose que "Maps to the Stars" n'atteint jamais, et qu'il n'essaie même pas d'atteindre.
    Ce 21 mai 2014, Cronenberg a troqué le fluide contre l'esprit. Le matériel contre l'immatériel. Si c'est un mal, c'est justement parce que le génie canadien n'est pas fait pas pour ça. Ou plus explicitement en référence au poème répété encore et encore durant le film, la liberté contre l'enfermement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mai 2014
    Après le très en demi-teinte Cosmopolis, Cronenberg revient avec une nouvelle parade de freak, et livre un film extrêmement puissant et fort, notamment grâce au formidable travail fait sur la musique, et a un cast au top (Julianne Moore, magique). Le final, paradoxalement si chaotique et si calme, nous reste dans la tête longtemps après la fin du film. Bref, nouvelle réussite pour le génial canadien.
    Marvelll
    Marvelll

    81 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2014
    David Cronenberg enchaine avec un troisième ratage et fait autant d’effet qu’un pétard mouillé. Il faut dire que le scénario de Maps To The Stars accuse un certain nombre d’années de retard et ne fait qu’enfoncer des portes ouvertes. Décidément, il ne fait pas bon de faire des cartes du ciel (remember Cloud Atlas).

    Lisez la critique complète sur le blog de Marvelll.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 juin 2014
    Après ses (peut-être) 2 meilleurs films A History of violence et Les promesses de l'ombre, Cronenberg nous signe 3 mauvais films d'affilé .... A dangerous method : vraiment pas fan du sujet, Cosmopolis : une purge sans nom avec un casting de merde et maintenant un Maps to the stars qui sans toucher le fond de Cosmopolis a du mal a surnager. Une partie du casting fait de la peine (Pattinson qui vit très mal son après-Twilight) et l'autre partie (Moore, Cusack) on se demande ce qu'elle est venu foutre sur ce navire en perdition. Cronenberg devrait retrouver Mortensen pour un nouveau polar dans les plus brefs délais...
    Aston L
    Aston L

    30 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2014
    De loin mon film préféré de l année!!! Très drole, très intelligent, hyper bien mis en scène. Un portrait cruel et passionnant d Hollywood, Julianne Moore est extraordinaire, le reste du cast aussi, ma palme d or!! A ne pas rater
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 mai 2014
    Galerie de clichés entre vulgarité, sexe et luxure

    Il semble que les anecdotes soient souvent réelles. Il n’en demeure pas moins que je n’y ai trouvé ni histoire ni fil conducteur.

    Je ne retiendrai que Mia Wasikowska, dans la peau d’Agatha Weiss, cette jeune femme perdue, défigurée, bannie pour une erreur de jeunesse, que j’ai trouvée particulièrement attachante.
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