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    Following, le suiveur
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    E.nigma
    E.nigma

    13 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2014
    Le scénario assez remarquable transporte facilement le public dans une machination machiavélique ou l'apparence et les faux semblant sont utilisés avec maestro. Premier film de la trilogie du rêve de Nolan.
    Emmanuel W
    Emmanuel W

    11 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2010
    Un excellent début pour Nolan. Après le court métrage "Doodlebug", il nous livre cette fois-ci une histoire de dingues ! A voir et à revoir !
    legend13
    legend13

    215 abonnés 1 021 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2020
    Premier film de monsieur Christopher Nolan et d'emblée le jeune cinéaste qu'il était faisait ressentir la pattes qu'il allait instaurer dans ces futures œuvres. Jouer avec le temps, de la manipulation machiavélique. Les ingrédients majeurs du grand cinéaste qu'il allait devenir. Une première œuvre vraiment sympathique donc.
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2010
    Dès son 1er long-métrage, le réalisateur anglais Christopher Nolan a démontré un savoir-faire impressionnant et imposer un style qui s’affinera au fil du temps sans jamais se renier. Dans les petites 70 minutes que durent ce "Following", on retrouve la plupart des recettes utilisées par Nolan parmi lesquelles une chronologie déstructurée, une place prépondérante pour la musique, un goût certain pour les héros border line, une intrigue riche en rebondissements et faux-semblants et un twist final qui donne au film une tout autre dimension. On retrouve également une ambiance qui rappelle aussi bien Alfred Hitchcock que David Lynch (ambiance dont était déjà imprégné son court-métrage "Doodlebug") avec un visuel noir et blanc conférant au film une ambiance glaciale et des plans qui s’allongent (parfois inutilement). C’est sans doute la seule faiblesse de "Following", défaut dont Nolan a visiblement parfaitement eu conscience puisqu’il a abandonné ce rythme trop lancinant dès "Memento" et gagne en efficacité à chaque film. Plus surprenant, le casting composé pourtant d’illustres inconnus réussit à marquer les esprits avec Jeremy Theobald (acteur fétiche des débuts du réalisateur) en écrivain voyeuriste et pigeon de l’affaire, l’insaisissable Alex Haw en classieux voleur (on ne peut que regretter que l’acteur se soit limité à ce seul et unique rôle) et Lucy Russell en héroïne blonde typiquement hitchcockienne. Enfin, Christopher Nolan parvenait déjà à passionner le spectateur avec un pitch pourtant pas forcément excitant mais qu’il a su porter à son paroxysme (comme pour l’amnésique de "Memento", le flic insomniaque de "Insomnia" ou encore l’affrontement entre magiciens du "Prestige"). Bref, malgré son budget cheap et ses quelques imperfections, "Following" est un film captivant et plein de promesse sur le talent d’un réalisateur qui, de "Memento" au récent "Inception" en passant par les derniers "Batman" (le logo sur la porte du héros est d'ailleurs un signe du destin), n’a eu de cesse de confirmer son génie.
    Akamaru
    Akamaru

    2 799 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2012
    Même si ce premier essai est très respectable,de par sa malice,son côté fauché et les conditions dans lesquelles il a été tourné(chaque samedi avec des amateurs),il n'est en soi pas terrible.S'il ressort du placard aujourd'hui,c'est qu'il attise la curiosité des fans de Christopher Nolan,soucieux de découvrir la matrice du cinéma complexe et spectaculaire du réalisateur à la trajectoire fulgurante.On y retrouve donc son goût pour une narration destructurée,avec des personnages énigmatiques et le sens du twist.Un homme intriguant suit les personnes dans la rue.Voyeurisme?Désoeuvrement?Intérêt quelconque?On ne le sait pas tellement.Quoi qu'il en soit,une autre personne découvre le petit ménage et la manipulation commençe avec le secours d'une femme blonde."Following,le suiveur"(1999)est très expérimental,ne dépasse pas les 110 minutes et son noir et blanc n'a rien d'alléchant.C'est une sorte de brouillon au "Memento" qui suivra.Nolan avait déjà tout compris,mais pas les moyens de le montrer.Pas facile de noter ce genre d'oeuvres.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 142 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    « Ce qui suit est ma version, ou plutôt l’histoire de ce qu’il est passé. J’étais seul depuis un moment. En proie à la solitude. A l’ennui. Rien à faire de mes journées. C’est là que j’ai commencé à "ombrer". Suivre des gens. N’importe qui pour commencer. C’était le but de la chose, quelqu’un au hasard, quelqu’un qui ne savait pas qui j’étais. Juste voir ce qu’ils faisaient. Où ils allaient… Puis je rentrais chez moi. »
    C’est par ces mots que s’ouvre, en 1998, « Following » ; obscur film réalisé par un jeune réalisateur anglais totalement inconnu ; film fauché primé dans quelques festivals et qui, par un mystère étrange, s’est retrouvé parmi les quelques bandes-annonces d’une des très rares VHS que je possédais à l’époque.

    Je me souviens que cette bande-annonce elle m’avait intrigué en cette fin de XXe siècle. Ces mots m’intriguaient. Ce style noir et blanc m’intriguait…
    Il y avait dans ce noir et blanc parfois crasseux l’imagerie de ces films pensés autrement ; quelque-chose qui à l’époque détonnait pas mal et savait se présenter comme le marqueur des œuvres qui entendaient se faire à la fois expérimentatrices et stimulantes.
    Et l’air de rien, cette bande-annonce je me la suis regardé un paquet de fois avant que, au tout début des années 2000, l’occasion me fut donnée, au hasard des programmations Canal+, de découvrir ce premier représentant de ce qu’allait devenir par la suite le cinéma de Christopher Nolan.

    Quand bien même ce film est-il totalement fauché (à peine 5 000 £ de budget), tourné sur plus d’un an par petites tranches faute de disponibilités de la part de l’équipe d’acteurs et de techniciens, et le tout s’efforçant de cacher son manque de moyens derrière un noir et blanc pas toujours du meilleur niveau, on ressent malgré tout que s’exprime déjà dans ce film une patte. Une patte d’auteur.
    Alors certes, certains effets pourront paraître aujourd’hui quelque peu superfétatoires, comme cette idée de montage non-chronologique qui constitue depuis l’une des marques du cinéaste. Mais non seulement à l’époque cela savait détonner, mais en plus, avec le recul (j’ai revu ce film en 2020), cette manière de faire se révèle beaucoup moins superflu que certains pourraient le dire.

    Pour ma part, j’ai toujours apprécié chez Nolan cette envie de raconter ses personnages non pas au fil de la chronologie de leurs actes mais plutôt en cheminant autour de leurs contrastes.
    Découvrir Cobb, c’est découvrir un personnage au travers de ses propres oppositions. D’abord il dit vouloir suivre à distance sans jamais interagir, ensuite on le voit convulser puis recracher un gant ; gant qui sera le symbole de sa propre infraction, celle des règles qu’il vient à l’instant d’édicter.
    Ce jeu de va-et-vient n’est jamais anodin. Il montre que, dès le départ, Cobb contient sa propre contradiction, sa déchéance. L’histoire qu’on nous raconte n’est pas celle d’un homme qui va vriller mais celle d’un homme qui vrille déjà.
    spoiler: D’ailleurs, au fond, le film commence avec le récit de Cobb fait à l’inspecteur. Donc le film ne fait que raconter un instant ramassé dans le temps ; un instant qui contient déjà tout.


    Alors sûrement que certains diront qu’on ne fait que retrouver là que les signes de ce que d’aucun se plairont à qualifier de cinéma de « petit malin » ou de cinéma « d’enfumeur ».
    « Following » distrait uniquement, diraient-ils, parce qu’il s’amuse à nous embrouiller avec un petit tour de prestidigitation au final bien vain.
    A cela je répondrais qu’ils auraient bien tort de percevoir la chose ainsi, du moins en partie.
    Parce que oui, Nolan est bien un prestidigitateur. Il ne s’en est jamais caché. Son film « Le Prestige » en est d’ailleurs une belle illustration.
    Mais justement, c’est aussi cela la force du cinéma de Nolan ; un cinéma qui est incontestablement un cinéma d’auteur.
    Car Nolan exprime en fait déjà dans ce « Following » ce qu’il exprimera dans tous ses films par la suite : il exprime cette question de sa posture de cinéaste.
    Nolan a justement conscience de sa vanité, il n’est qu’un homme qui suit, qui observe, mais qui au bout d’un moment ne peut s’empêcher de modifier le réel, de glisser des objets à des endroits inconvenants pour ça fasse des histoires à raconter, de se raconter une histoire…
    Ainsi Nolan n’est-il rien d’autre qu’un chômeur qui a un sticker Batman collé sur sa porte d’appart miteux ; un chômeur qui se raconte un film comme quoi il serait l’écrivain, préférant une vieille machine à écrire à un ordinateur juste parce que ça le conforte dans l’image qu’il se donne de lui-même… Un chômeur qui se fourvoie lui-même au point d’oublier parfois où se trouve la frontière entre la réalité et la fiction…
    Nolan n’est pas dupe. Il nous le montre et il nous dit…
    …de la même manière qu’il nous dit que, nous, spectateurs, en venant voir son film, nous recherchons ça aussi : être dupés.

    Et l’air de rien il est là tout le charme de ce film pourtant formellement boiteux.
    Il est dans cette lucidité précoce. Il est dans cette version condensée et épurée de ce qu’est le cinéma nolanien.
    Un cinéma de simple suiveur…
    …Mais un cinéma qui donne envie d’être suivi.
    Themistocle_480
    Themistocle_480

    47 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2011
    Lorsqu'on a visionné les cinq chef d'oeuvres (à mon sens) de ce cinéaste exceptionnel (à mon sens), de ce génie (l'avenir me donnera raison...) qu'est Christopher Nolan, on ne peut que regretter de voir seulement cinq éléments à sa filmographie. Cinq? C'est sans compter ce "Following", obscur long métrage en noir et blanc, à la réputation de film d'auteur déjà déroutant. Il est frappant de constater que les principales caractéristiques des films de Nolan (chronologie embrouillée, ambiance psychologique, coup de théâtre final) sont d'ores et déjà présentes dans cette pemière oeuvre. Comme dans tous les Nolan, le film débute sur une idée originale (un homme a pour obsession de se mettre à suivre des inconnus dans la rue...). Cette idée est intégrée dans une narration non linéaire, comme plus tard dans le Prestige: le spectateur suit le déroulement d'une histoire sur plusieurs niveaux temporels. L'ambiance est noire (adée par la photographie, sobre et monochrome), psychologique, tendue. Enfin, Nolan gratifie le spectateur d'un coup de théâtre surprenant et ambigü, qui bouleverse la manière dont on considérait le film, et incite à le revoir pour en comprendre les subtilités. Seulement voilà: je n'ai personellement aucune envie de revoir ce film. Et si je loue son intelligence, je m'y suis plus ennuyé qu'autre chose. Pour moi le défaut majeur du film réside dans ses personnages, tellement froids et vides d'une quelconque once d'humanité que l'empathie est impossible pour le spectateur. Et l'empathie avec un personnage est une condition sine qua non pour pouvoir être captivé par un récit, Nolan l'aura compris par la suite. Ici le spectateur garde une distance avec les personnages, les regardant parler et se mouvoir comme des automates, comme un spectacle extérieur, sans parvenir à vivre l'intrigue avec eux. "It is inhuman to be so cold", dira par la suite un personnage dans le Prestige du même Nolan, cette citation peut s'appliquer à ce film. De plus, Nolan gère son suspense avec beaucoup moins de brio que d'habitude, le spectateur assiste avec un intérêt limité à ces tergiversations aparemment sans fondements ni finalités. Le film ne prend un intérêt véritable qu'à la lumière de son twist final. Comme son nom l'indique, il n'apparaît qu'à la fin: tout ce qui se trouve avant est peu passionnant. Il manque à ce film un fil conducteur scénaristique en plus d'un fil conducteur émotionnel; une fois encore Nolan dotera ses films suivants d'une narration plus efficace. Un film intelligent néanmoins, qui surprent (à la fin) par l'ingéniosité de son scénario. On peine néanmoins à reconnaître dans ce film le réalisateur qui, plus tard, sera responsable du brio novateur de Memento, du suspense labyrinthique du Prestige, de l'univers génial d'Inception ou de l'humanisme de Batman Begins. Ses chef d'oeuvre sont à chercher à partir de Memento, ce "Following" reste un pur exercice de style. Un exercice de style intelligent, certes, mais aussi désespérément froid et bavard.
    oranous
    oranous

    131 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2008
    Le montage est encore différent de "Memento". Un film noir signé Nolan, excellent réalisateur. Il réalise ici son premier film qui est un moyen-métrage bien interprété. On assiste a un vrai dénouement. L’histoire quant a elle fait preuve de beaucoup d’originalité.
    Julien T
    Julien T

    22 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2011
    Juste waouh!!! Nolan est un réalisateur de génie et un visionnaire.
    Pour le côté visionnaire: Ce premier film contient des références à quasiment tout ses films suivants (excepté "insomnia" où je n'ai pas vu de lien, mais je peux l'avoir manqué).
    Le cambrioleur Cobb, qui vole des coffres personnels, car c'est "la clef qui ouvre la porte de leurs mémoires", fait obligatoirement pensé à "Inception".
    La porte d'un cambriolage qui possède le logo de "Batman" (obligatoirement une coïncidence, mais troublante).
    Un déroulement décousu dans le temps comme "memento".
    Il y a également une similitude avec "le prestige" mais je ne veux pas spoiler.
    Je peux également rajouter un scénario de malade comme tous ses films ou presque ( je n’ai pas trop accroché à "insomnia").
    Pour un premier long métrage, c'est vraiment impressionnant (même s'il ne dure que 1H...), j'ai eu la sensation de me retrouver devant un mélange de "Usual Suspects" et "Fight Club". Les acteurs me sont inconnus, mais sont bons. La musique à une grosse présence comme d'habitude. Bref à part la durée trop courte je n'ai rien à reprocher à ce film. Merci Nolan!
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    185 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2011
    Premier long-métrage de Christopher Nolan ! Un film amateur plutôt banal, malgré un scenario qui tient la route et des acteurs pas tellement mauvais... Rien ne décolle mais rien n'est mauvais, c'est regardable c'est tout. C'est a voir surtout par curiosité, et afin de se rendre compte que le seul moyen pour Christopher Nolan de faire des bons films, c'est d'avoir des petits moyens ! Ce genre de films est plutôt vu par curiosité de la part des fans du réalisateur, ce qui n'est absolument pas mon cas, mais en toute franchise, c'est un film tout a fait correct ! Qui par contre devrait justement déplaire aux fanatiques de ce cinéaste qui les as rapidement habitués a du grand spectacle plein d'actions et d'effets spéciaux, et au scenario bas-de-gamme.
    Caine78
    Caine78

    6 009 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    Un film expérimental mais assez convaincant au final. Christopher Nolan, qui nous a prouvés avec Insomnia et Memento qu'il était un excellent metteur en scène, nous offre ici un film dont le plus grand intérêt est surtout l'ambivalence des personnages, et à l'évolution de l'excellent scénario, jusqu'à la chute finale, très réussie. Pas mal et surtout très prometteur.
    Aulanius
    Aulanius

    173 abonnés 1 682 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2007
    C'est très court mais aussi très efficace, on pourrai presque parler de moyen métrage (je sais pas si on peu le dire, les experts m'en toucheront quelques mots). C'est une belle réussite pour moi. Une des premières oeuvre de Nolan, qui m'avait épaté par l'excellent "Memento". L'acteur principal est vraiment très bon, et ressort de loin du lot. Un scénario très bien ficelé comme notre réalisateur sait si bien le faire. Une autre particularité le noir et blanc qui rend vraiment très bien. Ca donne sa dose de charme. Le dénouement est anthologique, et franchement ça nous convaint tout de suite. Je pense pas que ce soit parfait, mais c'est loin d'être nul, bien au contraire. Il raviera les amateurs de cinéma, j'en suis certains, alors régalez vous !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 mai 2011
    Christopher Nolan montre avec son 1 er long metrage qu' il est un grand du cinéma. Ce film en noir et blanc (pas vieux) est un pur bijoux de cinema. Des acteurs pertinents ,une tres bonne intrigue un bon twist. Nolan est un grand , et ce film est un bon moyen d'annonce le grandiose Memento.
    Lenalee23
    Lenalee23

    34 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2009
    Très peu de moyen pour ce premier film en noir et blanc de Christopher Nolan, pourtant c'est du pur génie et on remarque que c'est la base du travail de ce réalisateur qui monte. 4 étoiles pour récompenser un génial premier essai.
    ElAurens
    ElAurens

    61 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2010
    Après son très bon cours-métrage " Doodlebug ", Christopher Nolan reprend Jeremy Theobald et signe son premier film " Following, le suiveur ". Un premier film plus que réussi, avec un scénario surprenant excellent. Nolan est au début de sa carrière, il n'a pas encore la maitrise qu'il a aujourd'hui, mais il prouve qu'on peut faire quelque chose de très bon sans avoir besoin d'un budget énorme.
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