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    Alabama Monroe
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    4,3
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    682 critiques spectateurs

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    elbandito
    elbandito

    315 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mars 2016
    Second film du prodige flamand Félix Van Groeningen, cette histoire d’amour sur fond de musique country est une œuvre lumineuse et poignante qui teste la résistance des êtres, la solidité du couple mis à rude épreuve. La photogénie d’Elise et Didier, authentiques rebelles contemporains, plein de rêves dans la tête, apporte énormément à la finesse et la sensibilité du propos. Ensemble, ils devront affronter la maladie de leur fille Maybelle. Sans jamais tomber dans le pathos, on reste accrochés à cette histoire palpitante, montée en flashback, entrecoupée de performances musicales brillantes, formellement inventive et tumultueuse jusqu’à la dernière seconde.
    selenie
    selenie

    5 431 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2013
    Après le succès de "La mertidude des choses" (2009) le réalisateur belge (flamand) revient avec un mélo audacieux dans sa construction et qui joue donc les funambules. Adapté d'un pièce de théâtre à succès (dans la belgique flamande et Pays-Bas + BO aux sommets des ventes) on suit donc un couple de leur coup de foudre au drame ultime en passant par une naissance... Le scénario est sacrément bien écrit, entre flasbacks et flash forwards on peut dire que le montage est pas toujours d'une grande fluidité surtout vers la 3ème quart. Néanmoins le couple Veerle baetens - Johan Heldenberg (ce dernier déjà présent dans les films précédents du réal) fait des étincelles, un couple magnifique dans tous les sens du terme. La construction du récit nous fait passer des moments de bonheur à des instants plus difficiles sur une cadence régulière mais qui n'empêche pas quelques longueurs, surtout à la fin. 10-15mn en moins aurait été une bonne chose. Le film frappe juste et fort parce que cette amour passion épris de Liberté et d'optimisme ne freine en rien la tragédie et les coups durs de la vie... Et de la difficulté de survivre, en avoir envie pour soi, mais aussi de la difficulté de surmonter à deux, au sein du couple le pire que le sparents puissent vivre... Rythmé au son d'une country sublime, avec un style certain le réalisateur signe un mélo dur mais qui ne manque pas d'instants de grâce avec des scènes franchement sublime.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 septembre 2013
    Ce genre de film, on déteste ou on adore. Didier joue du banjo dans un (excellent) groupe de "Bluegrass" et Elise tient une boutique de tatouage. De leur rencontre et de leur union va naître Maybelle, une petite fille adorable qui, vers l'âge de 6 ou 7 ans, déclarera une leucémie spoiler: qui l'emportera malgré les tentatives de traitements, chimio et greffe de moelle osseuse.
    La douleur immense des parents va briser leur couple, chacun d'entre eux vivant son deuil de manière différente de l'autre : Elise déprime, Didier est révolté. Le déroulement très crédible de la descente aux enfers de ce couple est totalement poignante, à la limite insupportable. J'aime en général les films qui se terminent bien : ici ce n'est pas le cas (sans déflorer le sujet). Attention, c'est film très dur et sans concession ni une seule once d'humour (à la limite, quelques fifrelins). Ames sensibles, préparez vos boites de mouchoirs : elles vont servir ! Ce film belge, en VO Néerlandais sous-titré, est une merveille de sensibilité, de lucidité et d'intelligence, même s'il dérange. Quant aux acteurs (tous des inconnus pour moi), ils sont totalement bluffants. A voir, en sachant qu'on n'est pas ici parti pour une partie de rigolade... Petit regret : les chansons ne sont pas sous-titrées. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 septembre 2013
    Attention, ce drame pour mélomanes n'est pas un mélodrame.

    Si le titre français du film, Alabama Monroe, exprime l'union et la réunion, celui de la pièce de théâtre dont il s'inspire, The Broken Circle Breakdown (1), exprime la rupture. Elle en conditionne pourtant toute la structure, bipartite : à la manière de ce cher Victor Hugo dans Les Contemplations, le Flamand Felix Van Groeningen articule son œuvre autour du décès de l'enfant. Cette rupture n'est pas tant celle du couple ou du groupe que celle du cercle familial, du cycle de la vie, du nous à travers la mort du je -qui, d'ailleurs, précède le suicide d'Elise, simple manifestation littérale, renoncement devant l'insurmontable. La réunion est, elle, plus sujette à discussion, sur le plan diégétique comme extradiégétique. Le père n'a pour religion qu'une Amérique fantasmée, qu'une terrible épreuve révèle dans toutes ses contradictions ; un discours furieusement anticlérical, sensé mais désespéré, la remplace. La mère croit en tout ce qu'elle peut croire, de l'au-delà à la réincarnation ; elle croit en un revoir. Mais cet antagonisme canalise les tensions plus qu'il ne les crée, comme si les parents, incapables de faire le deuil, cherchaient à se déchirer. Surtout, il témoigne de la solitude de ces êtres brisés, terrassés par la douleur, dont la peine -qui ne s'efface pas comme un nom, même gravé sur le corps- est à la fois universelle et personnelle.
    Deux parties, donc. "Un abîme les sépare, le tombeau." Mais la "pureté harmonique" du bluegrass les lie. Deux parties construites sur le même modèle, non linéaire, succession d'analepses et de prolepses : Alabama Monroe donne la vie et l'espoir pour, respectivement, la reprendre et l'anéantir quelques minutes plus tard. Ainsi, les émotions se mêlent et se renforcent mutuellement, sans jamais que le passage du rire aux larmes soit maladroit. Drame de bout en bout, le film n'est mélo qu'étymologiquement, c'est-à-dire accompagné de musique -et quelle musique, celle de l'âme ! Les morceaux, sublimes, servent souvent de transition entre deux scènes, tandis que les concerts mesurent l'état des relations entre Elise et Didier : des regards complices puis fuyants, des baisers puis des mains tendues en vain, ils témoignent de leur dégradation progressive. Et ces regards-là sont expressifs : aussi bons derrière le micro que derrière la caméra, Johan Heldenbergh et Veerle Baetens, d'un naturel extraordinaire, réalisent une performance à saluer bien bas.

    1) The Broken Circle Breakdown featuring the Cover-Ups of Alabama, Johan Heldenbergh et Mieke Dobbels.

    Si la critique vous a plu, n'hésitez pas à faire un tour sur mon site !
    Sylvie B
    Sylvie B

    4 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2013
    Très bons acteurs mais le film n'est pas parvenu a me toucher. Le scénario va trop loin dans le pathos!
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 septembre 2013
    Elise est solaire et tatouée de la tête aux pieds (on lit sa vie amoureuse à livre ouvert sur son corps). Voir la superbe affiche ! Didier est "taiseux", barbu tendance hirsute, et rebelle aux tatouages pratiqués par sa belle. Cependant ces deux-là se sont reconnus, aimés passionnément et communient dans la musique ("Bluegrass"), elle qui chante et lui au banjo (petite formation amateur, avec 3 ou 4 autres fans absolus). Mais leur vie n'est pas "un long fleuve tranquille", pour cause de "Maybelle" très gravement malade - leur petite fille.
    "Alabama Monroe" (titre justifié vers la fin du film seulement) est un très grand mélo. Un mélo fait d'air autant que de chair, flamboyant et sombre tout à la fois. Quand la douleur n'a même plus de nom, qu'elle fait chavirer la raison.
    Felix Van Groeninguen (36 ans seulement) confirme un beau talent, celui du truculent "La Merditude des Choses" (2009), mais dans un tout autre registre (un point commun cependant : "La Merditude" était l'adaptation d'un roman, et "Alabama", celle d'une pièce de théâtre). Un des atouts majeurs du nouveau film du Belge (néerlandophone) est l'époustouflante maîtrise du montage. Un autre est la respiration musicale, modulée suivant la dramaturgie. Un autre encore est l'interprétation. On retrouve Johan Heldenbergh, un des oncles du héros dans "La Merditude", qui assure le rôle de Didier : impeccable (maestria culminant dans le dernier concert, quand il hurle sa révolte sur l'air du blasphème). Mais "Elise" (Veerle Baetens) est peut-être plus extraordinaire encore (répondant à son compagnon sur l'air de l'espérance naïve). Tout le petit monde gravitant autour du couple dans la tourmente emporte aussi l'adhésion, qui "vit", bien plus qu'il ne joue (y compris la petite Nell Catrysse/Maybelle).
    Un des films qui m'ont le plus touchée cette année, assurément ! Magnifique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 mars 2016
    Je dois avouer que je m'attendais légèrement à mieux. Alors c'est un film qui a clairement des qualités indéniable : ça sonne juste, c'est touchant et émouvant sans tomber dans le pathos ou le cliché, la narration éclatée est très bien exploitée et les deux acteurs principaux sont très convainquants. Pour autant je n'ai pas non plus été captivé par le film, sans dire que je me suis ennuyé je n'ai juste pas toujours été à fond dedans et c'est bien dommage, mais je vous recommanderais vivement de le tenter, car c'est un film qui peut plaire et émouvoir.
    ChroniqueMécanique
    ChroniqueMécanique

    299 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2013
    Alabama Monroe, c'est une histoire d'étoiles. Les étoiles qu'ont dans les yeux Élise et Didier lorsqu'ils se rencontrent. Bien qu'assez différents, ils deviennent rapidement complices, complémentaires, et se prêtent à rêver aux mêmes choses, à une vie de bohème et de bonheurs simples. Mais à cause d'une terrible épreuve, leur horizon va s'assombrir, et le scintillement de leurs étoiles s'estomper. Le jeune mais non moins talentueux cinéaste flamand Félix Van Groeningen nous conte cette dure et poignante histoire de cœur (et de corps) avec une puissance digne des plus grands. Son mélodrame n'est jamais mièvre, jamais trop sucré à s'enliser dans le piège de la guimauve. Au contraire, il étonne - et séduit - par sa justesse de ton, son profond respect pour les personnages et leurs histoires. Cette chronique déchirante d'une passion déchirée, où les battements de cœur sont rythmés par des notes de banjo et par la chaleur des chants suaves, ne fait jamais de manière, et trouve la note parfaite pour nous toucher. Aussi beau qu'intense, Alabama Monroe est un drame intimiste et humaniste sublimé par des personnages attachants et complexes, finement écrit, et remarquablement mis en scène, avec son esthétique naturaliste entre lumières et noirceurs, son ingénieux montage fragmenté, et sa bande-son magistrale, véritable protagoniste du film. En parlant de protagonistes justement, n'oublions de mentionner les prestations de très haute-volée du duo Johan Eldenbergh – Veerle Baetens, bluffants de naturel et de sincérité, qui donnent corps (et cœur) à la lente désintégration de ce couple fusionnel. Une œuvre quasi virtuose qui se voit – et s'écoute – comme une douce balade country aux teintes automnales, comme une douloureuse poésie aux vers tragiques, et laisse le spectateur sous le charme, des étoiles (et des larmes) plein les yeux.

    Retrouvez ma critique complète de "ALABAMA MONROE" sur mon blog, ainsi que sur ma page Facebook ! Merci ! Chronique Mécanique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 septembre 2013
    Ils se rencontrent, ils se plaisent, ils s'aiment, chabadabada. Elle est tatoueuse, il est chanteur de folk.
    Le paradis ? Pas tout à fait, puisque le film se projette rapidement dans un futur hospitalier, dans un service de cancérologie où la petite fille du couple est admise pour ses chimiothérapies. Malheur, larmes, désespoir, dépression. En traversant une telle tempête, le couple vacille sur ses bases...

    Voilà l'archétype d'un film survendu.
    Une campagne de publicité à la limite de la malhonnêteté qui cache les deux tiers du film (la maladie), quelques critiques qui surfent sur le "renouveau" du cinéma belge (notez les guillemets), un sujet inattaquable, des pauvres à l'écran : vous êtes priés de trouver le film formidable sinon vous n'avez pas de cœur, d'autant qu'UGC multiplie les salles pour attirer le chaland.

    Mais voilà, malgré son sujet, ou peut-être à cause de lui, le film n'a rien à dire.
    On est forcés de faire le parallèle avec "La guerre est déclarée" qui, sur un sujet très proche, était une formidable boule d'énergie et d'émotion, portée par un montage incroyable. Rien de tout cela ici puisque la seule marque de mise en scène consiste à faire des aller-retours temporels réguliers, pour nous ramener dans la chambre d'hôpital.

    Nous sommes donc priés de souffrir et de pleurer avec cette famille au bord du précipice. De voir chaque partie du délitement d'un couple subi à la pire épreuve qui soit. C'est très pénible, épouvantablement long, et sans aucun objectif. Du misérabilisme en plaquette, de la tragédie à la becquée, qu'on doit ingérer en silence en plaignant de toute notre âme ces malheureux qui prennent sur la figure toute la misère du monde, avec dignité évidemment.

    "Alabama Monroe" semble vouloir attraper au vol une histoire à la fois belle et tragique, mais jamais le cinéaste ne se rend compte que filmer deux être sur le déclin et la destruction d'un couple par la tragédie et la maladie ne fait pas un film. Haneke et son "Amour" en avaient déjà apporté la preuve.
    Dans ce (très) très long chemin, reste quand même quelques belles éclaircies : les passages musicaux. Soudain, l'émotion affleure, les sourires et les larmes prennent du sens, on a envie d'être aux côtés de ce groupe de folk et de la voix sublime de sa chanteuse.
    Mais pour le reste, on pourra s'épargner cette interminable descente aux enfers...
    Aspro
    Aspro

    13 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 septembre 2014
    Alabama Monroe est le genre de film qui, pour reprendre un cliché éculé, vous fera rire et vous fera pleurer. C'est la façon dont il m'a touché. C'est un film puissant qui s'appuie sur d'intenses émotions bouleversantes, avec un noyau très humain. Van Groeningen enroule le chagrin et la colère dans l'amour et le soutien. Il nous laisse célébrer la beauté de ce qui était plutôt le deuil.

    En prime une collection de classiques bluegrass qui reconnectent les morceaux de l histoire 4/5
    Alain D.
    Alain D.

    492 abonnés 3 204 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 février 2015
    Ambiance intimiste, Didier rencontre Elise qui travaille dans un salon de tatouage. Lui est musicien, il joue du banjo et chante dans un groupe Country. Elise se met au chant et intègre le groupe musical de Didier. Ils vont former un couple heureux. Lorsqu'Elise est enceinte, Didier accélère les travaux de la maison pour accueillir Maybelle, leur fille... spoiler: Merveilleuses scènes de l'enfance, puis tout se gâte : à 6 ans l'enfant tombe gravement malade.


    La mise en image est très délicate accompagnée d'une belle lumière. Des symboles forts (scènes de l'oiseau qui s'écrase sur la véranda). Les dialogues sont sobres mais efficaces ; même l'absence de paroles est pertinente, donnant des scènes silencieuses superbes. La bande son de Bjorn Eriksson est magnifique, nous délivrant de jolis extraits de Bluegrass Country. A souligner également Le très brillant duo d'acteurs Johan Heldenbergh (Didier) et Veerle Baetens parfaite dans le rôle d'Elise.

    Une histoire intense et très dure. Un film émouvant et sensible qui aborde avec beaucoup de tact les problèmes de l'enfance, du couple, de la maladie, des croyances religieuses.
    Une excellente réalisation de Felix Van Groeningen à ne pas manquer.

    spoiler: Alabama est le nouveau nom indien d'Elise ; si vous désirez savoir pourquoi elle change de nom : regardez ce film !
    Guillaume W
    Guillaume W

    26 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2013
    Absolument magnifique !!
    Des acteurs géniaux (même la gamine de 10 ans est à couper le souffle); des plans magnifiques, une histoire émouvante, des dialogues fins, drôles et touchants, une petite pépite !
    En revanche, ne pas oublier les mouchoirs, tout le monde pleurait comme des madeleines dans le cinéma ! :-)
    reymi586
    reymi586

    402 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 septembre 2016
    Le cinéma belge nous livre encore un très grand film pour cette rentrée 2013. Alabama Monroe est une magnifique histoire qui nous transmet de la bonne humeur comme beaucoup de tristesse, animée tout le long par une excellente BO. Le montage, en mode ascenseur émotionnel, est parfait. Le duo formé par Johan Heldenbergh et Veerle Baetens est génial. Ce film est à ne pas louper et il devrait soulever pas mal de récompenses cette année.
    Ghighi19
    Ghighi19

    51 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 novembre 2020
    Désolé encore une fois de ne pas être d accord avec la majorité des spectateurs mais je n ai pas du tout adhéré à ce film . Non ce n est pas un sujet pour un long métrage cette négation de la vie en générale suite à un deuil non . Bien sûr la vie est difficile pour chacun mais il y a aussi des façons d exprimer cette douleur ou ce mal-être. Ici tout est chiadé dans la mise en scène avec des scènes très esthétiques qui ne servent pas le propos et plus le film avance et plus c est pire il faut vous faire pleurer sinon vous n êtes pas humain. Désolé mais cette émotion ne passe pas pour moi .
    MC4815162342
    MC4815162342

    366 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2014
    Mouais, mouais, mouais, une bonne réalisation, une excellente bande son, un très bon casting mais un scénario qui ne ma pas attiré, les histoires de couples qui déjante après la mort de leur gosse c'est bon on connait et moi ne supportant pas les gosses pas mal de chose mon soûlé dans ce film.
    Donc à voir mais une seule fois pour ma part.
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