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    Gone Girl
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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    916 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    Assez torturé et franchement malsain. Je connais des thrillers plus haletants et moins glauques. J'ai vraiment détesté ce jeu machiavélique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 janvier 2015
    Gone Girl un chef-d'oeuvre ? Oui ! ... pendant une heure. Un véritable petit bijou. Malheureusement le film en fait 2h30, et la suite nous donne à voir l'enquête policière la plus bâclée et invraisemblable de l'histoire du cinéma. On a envie de se lever dans la salle pour apostropher la flic aveugle. Le reste des réactions des personnages est incompréhensible et le film devient un mix étrange entre SexCrime et la Guerre des Roses... Raté.
    lajeunefilledumetro
    lajeunefilledumetro

    8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 novembre 2014
    Epouvantable

    Ce film est terrible et nauséabond.
    Je ne comprends pas pourquoi autant de personnes y ont vu un si grand intérêt, notamment au niveau de l'intrigue. Que dire de Gone Girl, si ce n'est qu'il fait l'apologie du crime et de la perversion? David Fincher a fait beaucoup mieux, il est décevant de constater qu'il condamne ses spectateurs à devenir aussi tordus que lui en appréciant son histoire. La bande-annonce révèle une bonne partie de l'intrigue, ce qui anéantit partiellement l'effet de surprise. Ce film est à la fois misogyne et misandre: les femmes sont épouvantables dans le mariage, les hommes sont stupides et dupes. Belle image! Un climat d'angoisse règne malgré le fait que l'on connaît une partie de l'histoire; certaines scènes sont insoutenables: pourquoi avoir seulement opté pour un > Quand on pense qu'Orange Mécanique avait été interdit aux moins de 16 ans avant d'être carrément interdit...! Il était pourtant nettement moins abjecte.
    Concernant le suspense et le scénario du crime parfait, n'est pas Hitchcock qui veut. Même si l'intrigue semble bien mener, il y a plusieurs points invraisemblables.
    Certes, la critique acerbe des médias et de la télé-réalité ainsi que l'image rose bonbon du mariage n'est pas inintéressante. Mais il est regrettable de faire cette critique avec un film aussi sordide. Il n'était pas indispensable d'en arriver jusque là.
    Toutes les personnes qui l'ont vu avant moi ont jugé que c'était un film excellent: je me demande bien pourquoi. Proposer quelque chose d'aussi dépravé et malsain ne rend pas l'intrigue meilleure ni le film plus intéressant.
    Je regrette d'avoir gâché mon après-midi et d'avoir donné de l'argent pour ce film cautionnant ainsi d'une certaine façon la noirceur et l'horreur de ce film. Ce n'est pas de l'art, c'est de l'incitation à la haine et à la peur.
    Le premier mot qui me vient à l'esprit est dégoût. Je ne conseille ce film sous aucun prétexte, gardez votre argent et passez votre chemin. Ce n'est pas un film bête, mais il est bien trop malsain pour être un bon film. Si vous voulez avoir peur lisez les faits divers, ça coûte moins cher!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 octobre 2014
    Un film malsain et addictif à la fois sur fond de critique acerbe des médias. Entre jeux de pouvoir, mensonges et manipulation, un thriller haletant et psychologiquement diabolique...
    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2014
    La romancière américaine Gillian Flynn a participé à l’adaptation de son roman de Les apparences, mais il est impossible de ne pas reconnaitre derrière la qualité du film, tant esthétique que narrative, la patte de David Fincher, avec son talent pour instiller dans des décors chaleureux une ambiance glaçante et pour profiter du montage pour leurrer le spectateur de la véracité des événements. Le récit, tel que le laisse supposer la bande-annonce, a pour but de faire planer un doute autour de l’innocence d’un homme endeuillé par la disparition de sa femme, Nick, interprété par Ben Affleck (qui n’a plus à avoir honte de ses erreurs passées). L’une des thématiques du film nait d’ailleurs du pouvoir qu’ont les médias, incarnée par une insupportable présentatrice convaincue de sa culpabilité, pour influencer l’opinion publique, et donc à long terme un éventuel jury en cas de procès. Cette dénonciation de l’info-Entertainment à l’américaine n’est qu’un aspect de la société matérialiste qui apparait dans ce film car c’est le mensonge et les apparats superficiels qui sont, à une plus petite échelle, au centre du récit puisque c’est du bien-fondé d’un couple qu’il est question. La réussite d’avoir réussi à faire d’une femme disparue le personnage principal vient de la place importante que tiennent les flashbacks qui reviennent sur le passé des deux personnages en prenant son point de vue à elle. Et c’est de cette construction narrative non-chronologique que va naitre la suspicion autour de cet homme qui pourtant apparaissait comme innocent. Mais, comme la tagline l’indique, il ne faut pas se fier aux apparences. spoiler: Puis, à mi-parcours, vient ce twist qui bouleverse toutes les certitudes précédemment acquises. Dès lors que l’on comprend qu’Amy est bien vivante, le thriller prend une tournure machiavélique diaboliquement bien ficelé. Ce retournement de situation arrive surement un peu tôt mais le montage alternatif entre le récit centré sur Nick et celui centré sur Amy n’aura de cesse de rendre le suspense plus fort encore qu’il ne l’était jusque-là. Les véritables motivations de cette femme restent cependant trop peu exploitées pour que l’on ne puisse pas la catégoriser, tel qu’il est clairement dit dans le film, comme une simple psychopathe mais aussi que l’on risque d’y voir une allégorie des femmes, ce qui donnera de l’eau au moulin aux détracteurs de Fincher qui l’ont déjà plus d’une fois taxé de misogynie. Dans le rôle de l’ex-petit ami, Neil Patrick Harris réussit enfin à se trouver un rôle non-comique qui devrait faire évoluer sa carrière. Puis, après une scène d’une violence frappante, vient la résolution qui renvient sur la thématique du couple menteur. Alors que l’on attend, devant cette conclusion qui s’étire, un nouveau retournement, c’est en fait un faux happy-end qui se met en place, appuyant le cynisme de la situation, et à travers elle l’hypocrisie inhérente à notre civilisation où tout n’est qu’image.
    laurent r.
    laurent r.

    7 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 novembre 2014
    Le cinéma de la honte. On en ressort honteux d'avoir vu ce film. On se prends au jeu pendant deux heures, d'accord mais dans ce genre de film c'est généralement la fin qui dicte votre avis final. Là c'est trente minutes avant la fin qu'on s'aperçoit qu'on a été berné. Le film ne brillait déjà pas par ses dialogues vulgaires et ses scènes de voyeurisme mais on suivait l'enquête avec impatience. C'est quand est vraiment déclaré la folie de notre héroÏne que le sombre dans le choquant voire même très dérangeant: spoiler:
    La scène de la bouteille dans le vagin, l'égorgement. spoiler:
    . Avec de surplus une fin extrêmement mauvaise. C'est très facile de faire des scènes choquantes, a ne jamais regarder, brûler le DVD. Je demandais juste un peu de subtilité dans le scénario et pas que du choquant, c'est raté. Médiocre.
    circusstar
    circusstar

    112 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 août 2015
    Un scénario machiavélique, un film excessivement efficace, sans doutes trop excessif pour moi, je l'ai trouvé globalement malsain et pervers et quand je vais au cinéma c'est pour éprouver autre chose que du dégoût.
    allocedric
    allocedric

    4 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 décembre 2014
    Déception totale. Rire dans la salle face à l'invraisemblance des situation. Aucun suspense. Film raté. Il fera mieux la prochaine fois parce que David Fincher peut faire forcément mieux !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 octobre 2014
    Bof,bof... La première demi heure ennuyeuse comme une série américaine...
    Ensuite cela n'anime mais c'est tellement irréaliste..... Improbable....
    Enfin... Ca se regarde.... Les types qui ont écrit cela se sont tellement creusés la tête pour écrire des tas de rebondissements que forcement ça fini par marcher....
    Mais pour moi cela reste une histoire à dormir debout... Peut-être une question de culture...
    islander29
    islander29

    758 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2014
    un grand film de psychopathe où l'on passe bien une heure et demie à se demander qui est le psychopathe et qu'est ce qu'il veut......D'ailleurs le film avec subtilité ne répond pas à la question....
    La mise en scène classique propose un voyage plus ou moins linéaire, sous forme de journal disons, dans le temps à dater de la disparition de Rosamund Pike....Il faut le dire l'écriture du scénario est précise et retient tout à fait le spectateur au fil des deux heures trente....Ben Stiller encore une fois montre ses qualités de grand acteur, un acteur qui en impose et qui sait communiquer l'intensité réaliste d'une histoire à la fois dramatique et policière.......C'est extrêmement bien filmé, peut être avec une musique trop discrète, mais avec une prise de risque évidente dans le scénario....On pense de loin à Basic instinct, à Seven, les idées du film et les tensions ont parfois des parallèles.....Pour info, le film se déroule à Carthaje Missouri, petite ville de 15000 âmes dans l'Amérique profonde............ On s'aperçoit par la couverture médiatique de l'affaire (dans le film) qu'il n'y a plus rien qui ne se sache pas, même en Amérique......Si vous aimez le suspense, l'intrigue décalée ou le policier (ce n'est pas vraiment un thriller) précipitez vous dans la salle de cinéma la plus proche......
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 février 2015
    Très très bon début, vraiment, sur la complexité des relations homme / femme dans le couple et... et puis patatra - spoiler: Ca se transforme en un truc hyper classique, en un scénario qui pue la vengeance masculine et la déculpabilisation d'une société viriliste où chaque année dans le monde des millions de femmes meurent sous les coups de leurs maris, frères, cousins... En gros, une nana - bien sûr psychotique (on avait déjà vu ça avec Glenn Close) - est prête à faire passer sa disparition pour un meurtre, parce que son mari la trompe et devient de plus en plus beauf (elle orchestre cette beaufitude en partie en l'entraînant). Du grand tapage pour dire qu'une femme peut être très très méchante au point de faire envoyer un homme à la chaise électrique... Et pendant ce temps-là, dans le monde réel, les femmes continuent à mourir (hein ? mais vous avez vu dans Gone Girl, les femmes sont aussi cruelles - oui, mais c'est un FILM, ça). Dans ce monde réel, les "journalistes" appellent ces meurtres quotidiens de femmes des "drames familiaux" - et jamais des meurtres misogynes (et une fois par an, ils versent des larmes de crocodiles lors d'une petite journée contre les violence faites aux femmes). Il est dommage que le cinéma continue d'aller dans cette sinistre voie sexiste. Je vous renvoie au Livre de Susan Faludi Backlash (Prix Pulitzer) qui montra en son temps que Liaison Fatale était un retour de bâton patriarcal contre les féministes dénonçant les violences masculines... on est ici dans la même opération. Et le drame, c'est qu'elle plaît : ça en dit long sur le peu d'évolution sur la question des violences des hommes.
    Continuons à ne pas penser : c'est "juste" du cinéma.

    Hyper déçu.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 novembre 2014
    Je mets une étoile et demi pour le jeu de Rosamund Pike qui est superbe voire magistral. Par contre, comme je n'ai pas lu le livre je ne sais pas si tout est fidèle mais j'ai été très déçue de l'histoire. Beaucoup de violence, du sexe, des personnes désabusés et même machiavéliques. Très décevant et surtout long trop long.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 octobre 2014
    David Fincher revient une nouvelle fois avec un chef d'oeuvre! Toutes les recettes qui font de lui le maître du suspens sont réunis dans ce thriller, à noter les performances époustouflantes de Ben Affleck et Rosamund Pike! Un film plein de rebondissements et de détails à couper le souffle, n'y aller pas, courez-y!
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 032 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2019
    Attention, cette critique discute de Gone Girl en prenant en compte son twist final.

    A défaut d'être un film titanesque, chef-d'oeuvre d'un genre rempli de classiques, Gone Girl est un excellent film, une expérience qui marque par tout un tas de qualités rarement trouvées ailleurs avec tant de profusion. Tout d'abord, on tient là le rapprochement de deux grands réalisateurs : d'un côté David Fincher, de l'autre une inspiration sous-jacente de l'art d'Alfred Hitchcock. Une belle rencontre qui promet non seulement un divertissement d'exception ainsi qu'un film d'auteur marquant.

    Alors on met du temps à se projeter dans l'histoire : entre cette histoire de mari violent, les indices laissés mystérieusement et ces faux-semblants dans lesquels on plonge, trop d'informations sont amenées trop rapidement sans qu'on puisse toutes les digérer, ou même les comprendre dans leur contexte. Ce qui permet alors de maintenir l'intérêt n'est autre que la mise en scène plastiquement admirable d'un David Fincher auquel on ne peut plus, vraisemblablement, apprendre grand chose.

    Placé maître dans la tension et la manipulation de son public, et outre le fait qu'il continue de nous manipuler pendant plus de deux heures pour quelques petits twists sympathiques, il affiche non seulement un sens du cadrage détonnant (ce n'est pas étonnant, en même temps), mais gère la lumière et la géométrie avec une virtuosité rare : les carreaux des vitraux de chez Ben Affleck et Rosamund Pike sont, par exemple, un objet de fascination à chaque plan. Verts, parfaitement mis en valeur, ils démontrent toute la maîtrise de Fincher au sujet de sa photographie.

    Et tandis que l'homme s'amuse avec sa caméra et qu'on le ressent, ressortent des acteurs au sommet de leur art, si ce n'est de leur charisme : Ben Affleck, figure virile d'homme trompé, trahi, trouve ici la posture, la classe, que dis-je, la prestance des acteurs du temps d'Hitchcock : on se croirait face à un genre de star hollywoodienne de l'époque, qui accorderait plus d'importance à l'aura qu'il dégage qu'à la complexité de son jeu. Il affiche toujours ces mêmes expressions qui l'ont rendues célèbres, avec cette classe presque animale en plus, et ce jeu certes rigide mais fort, solide.

    Rosamund Pike représente, quand à elle, son exact opposé : pas bien solide, pas bien classe, on la croirait plutôt sortie du Tarantino des années 90 ou début 2000 (un côté Kill Bill pendant le twist final, génialement balancé après une heure de film), voir du Fincher de Seven. Profondément diabolique, le regard fou, possédé, elle traverse l'histoire comme LA révélation du film, dans lequel elle semble s'épanouir à jouer les rôles à contre-emploi, et prouver ainsi au public que plus qu'une actrice de physique, elle peut et sait surtout jouer les rôles complexes, profonds, riches.

    Cela, elle le fait admirablement bien et s'en sort haut la main, dépassant le casting entier sans qu'il ne puisse ne serait-ce que rivaliser; seul Ben Affleck la suit de près, prêt à épouser son statut d'acteur charismatique de Gone Girl. Si elle interprète la folie avec un talent inattendu (son regard dans la salle d'interrogatoire est effrayant), Affleck campera son rôle avec une sobriété et une justesse exemplaire. Quoi que Neil Patrick Harris, dans ce rôle de grand névrosé stalker, marquera aussi par son changement abrupt de style d'interprétation, dont on ne reconnaîtra en conclusion que ce sourire narquois qu'il ne peut pas refréner.

    Un acteur qu'on suit finalement très peu, et qui prend un semblant d'épaisseur en fin de film, avec un jeu d'inversement des rôles intéressants; chasseuses chassées, homme trahi qui contrôle son ancien amour au point de la forcer à commettre l'irréparable. Une superbe histoire de malaise s'installe entre les deux, jusqu'à conduire à cette scène de coucherie hachée menue proche du Psychose d'Hitchcock, et qui marque autant par son côté très pictural (la colorimétrie est magnifiquement gérée) que par la violence de son montage et le cadrage inventif de ses plans.

    En voyant cela, on pouvait naturellement s'attendre à une conclusion à la hauteur des attentes; et c'est là que Gone Girl blesse : bâclé sur sa fin, rapidement expédié, il nous renvoie le couple en statut quo comme s'il fallait esquiver les conclusions prévisibles à la "elle finit en prison/il la tue/il meurt par sa faute/il va en prison puis est exécuté/...", sans que la conclusion de l'enquête ne trouve jamais de logique, de crédibilité.

    En voyant Pike raconter son histoire, mener elle-même ses propres interrogatoires, répondre froidement, sans afficher la moindre émotion et tout en méprisant l'inspectrice qui lui tient tête, sûrement que la consultation d'un psychiatre, profiler, comportementaliste n'aurait pas été de trop pour résoudre cette enquête conclue en queue de poisson. Sûrement que la logique de la fin est sacrifiée au profit du propos du film : dans le sens où Pike est devenue une icône médiatique nationale, elle semble avoir atteint le stade de surhomme, et se place de fait comme supérieur aux règles de logique humaines.

    Ultime trait de critique, le film se termine sur un plan posé là pour faire réfléchir, et laisse l'impression désagréable d'avoir deux heures d'un excellent film, profond, travaillé, oppressant, angoissant, pour se boucler en une petite demi-heure trop vite expédiée, bâclée. Sûrement qu'il aurait mérité quelques minutes en plus, en un quart d'heure et une demi-heure, pour qu'on puisse enfin dire que Gone Girl est, en plus d'être un grand film, un authentique chef-d'oeuvre. Là, on a tout de même l'un des films les plus proches de ce que pouvait faire Hitchcock de qualitatif, sans pourtant l'égaler ou le surpasser.

    A charge de revanche, David.
    dai72
    dai72

    121 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2015
    Un thriller qui se casse la figure moins de 5 minutes après avoir commencé, qui enchaîne les incohérences, les illogismes et tout le monde crie au chef d'œuvre ?! Parfois, je trouve le monde bizarre. Le film ne s'améliore jamais après son départ raté. Il y a bien une dizaine de minutes excellentes mais elles sont entourées de vide absolu, de bavardages inutiles, de scènes ridicules et ne tenant pas debout. À aucun moment l'histoire d'amour n'est crédible, les détails non plus, quant aux personnages ils sont exaspérants, impossible de s'attacher à l'un d'entre eux. Et je ne parle pas de l'interprétation de Ben Affleck, en dessous de tout. Vraiment, je ne comprends pas l'engouement autour de ce film !!
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