Avis : Vampire Academy - Page 3

Ce film n'a effectivement rien a voir avec Twilight et il le défend même dans une scène! Pourtant la qualité n'en est pas meilleure (ni moins bonne), c'est une banale histoire de jeunes adultes/ado qui sont face a des grands méchants tout en menant leur vie de lycéen et tout ce qui va avec en termes de flirt et d'amour. Rien d'innovant, le film se veut parfois comique ou un brin rebelle mais ça ne prend pas. A regarder s'il n'y a rien d'autre.

Ce n'est pas mauvais mais c'est très limité. Je me demande encore comment je suis allé au bout.

Très mauvais film ! Jeu d'acteurs horrible ! Mise en scène d'une nullité sans nom. A jeter à la poubelle.
Décevant.

Adapté d'un roman fantastique, cette énième version de film vampirique est doté d'un scénario prévisible, manquant cruellement d'originalité et interprété par des comédiens peu convaincants.
On attendait mieux.

j'ai vu le film hier il est super j'ai hâte de voir la suite il est dix fois mieux que n'importe quelle film de vampire franchement il vaut allez le voir

Réservé à un public entre 12 et 12 ans et demi.
C'est dans l'ensemble, très mauvais et très comique dans le mauvais sens du terme.
A éviter donc..

J'ai adoré le mélange d'humour, d'action et de romantisme :D Je n'ai pas lu les livres, je ne savais pas qu'ils existaient, mais je vais les lire sans tarder ;) Pour ceux qui n'ont pas vu la bande annonce, je leur conseillerai d'aller voir le film sans la voir, comme ça on a vraiment toutes les surprises! J'espère qu'il y aura une suite :D Un dernier conseil : tout le monde peut voir ce film, un adulte m'a accompagné et n'a ni été déçut, ni ne s'est ennuyé ( il ne s'est même pas endormi et à très souvent rigolé) ;)

Encore une saga, encore des vampires, encore des ados... Bref on ne dira jamais merci à la médiocrité de "Twilight"... Encore adapté de romans à succès, cette fois-ci écrits par l'américaine Richelle Mead et on constate très vite que l'originalité est la grande absente de cette histoire aussi calibrée qu'académique. Il s'agit ni plus ni moins qu'une équation avec du "Harry Potter", du "Twilight", du "Sublimes Créatures" et du "Lolita malgré moi" (2003) de... Mark Waters ! Car le réalisateur choisit est un spécialiste des films pour ados et surtout girly comme "Folles de lui" (2001), "Freaky Friday" (2003), "Et si c'était vrai" (2005)... etc... Bref la cible est très clairement le public ado féminin et ça fonctionne puisque j'étais, lors de la séance, le seul mâle et le seul adulte de la salle !... Un prologue explicatif pour bien être sûre que les filles vont comprendre ce que sont les moroïs, les dhampirs, les strigoïs et... les psycho-chiens ! L'université de vampires est une poudrière puérile typique des petites guerres entre nanas, poncifs et autres clichés étant omniprésentes. Le sexe masculin est représenté par des ados fades et effacés, suaf peut-être les deux prétendants dont une copie du copain roux de Harry Potter. Il y a aussi l'exception du gardien adulte qui tombe amoureux de l'héroïne. Là on tombe également sur un foutage de gueule au puritanisme ricain évident, à savoir que l'histoire d'amour est soit-disant impossible à cause de la différence d'âge qui est se trouve entre 6 et 9 ans (6 d'après le roman, 9 d'après le scénario) ce qui est franchement pas des plus choquants comme tabou. La mise en scène reste sans panache, trop classique on pense plus à une nouvelle série TV qu'à une réelle franchise ciné. Les ados vont s'y identifier sans soucis, le calibrage pour sans cervelle, le divertissement sans ambition doit, sans aucun doute, correspondre au cahier des charges de l'ennui et de la flemmardise. En conclusion c'est oui pour les ados girly et sinon c'est non !

Encore une nouvelle tentative dans la recherche du digne successeur de la saga Twilight. Cette fois ci ce sont les frères Weinstein qui tentent leur chance avec un nouveau best-seller de la "Bit Lit" intitulé Vampire Academy. Une saga encore peu connu en France qui va devoir tenter de séduire un nouveau public en faisant ses premiers pas au cinéma. D'autres s'y sont déjà cassé les dents...

Cette saga raconte l'histoire de Rose Hathaway, une jeune femme de la race des Dhampire, créature croisé entre un humain et un vampire. Son job est de protéger son amie la princesse Lissa Dragomir qui est elle une Moroï, une sorte de vampire encore vivant. Ensemble elles ont fuit l'académie où elles poursuivaient les études nécessaires au développement de leurs pouvoirs. Finalement rattrapées, elle y sont à nouveau envoyé au moment ou leurs ennemis jurés les Strigoi, sorte de vampire morts vivants fou de sang et super puissants, semble préparer une nouvelle attaque.

Vampire Academy est une saga qui porte très mal son nom puisque ses personnages ne peuvent pas être considérés réellement comme de véritables vampires tels que popularisé par Bram Stoker. La romancière Richelle Mead est en fait aller chercher plus loin ses personnages en remontant aux origines du mythe du vampire dans les légendes roumaines. Les trois races décrites dans le livre ont fait l'objet de véritables croyances très vives dans la culture roumaine et ont inspirés Bram Stoker et même plus récemment Guillermo Del Toro avec La Lignée.

Le gros problème de Vampire Academy est que ces races sont au final beaucoup moins horrifiques que dans la légende. Des ados BCBG qui peuvent sortir en plein air de jour et boivent gentiment le sang de volontaires. Si le film se moque en ouverture de Twilight et des ses vampires qui brillent au soleil, on est cependant pas loin du même niveau d'aneries. Un film trop propre qui se nourrit plus de la saga de Stephenie Meyer que des classiques du genre. Les occasions de frissonner sont très rares et l'hémoglobine se fait vraiment discret.

Ce sont vraiment les amourettes et les coups bas d'un cours de lycée qui sont au coeur de cette histoire qu'on aurait du mal à qualifier de véritable film fantastique. La faute probablement au réalisateur Mark Waters qui a fait de la bluette adolescente sa spécialité avec des nanards tels que Freaky Friday et Lolita Malgré Moi. Des adolescents qui passent plus de temps à se faire les yeux doux avec en sous intrigue une enquête digne d'un mauvais épisode de Scooby-Doo ou des renards et des chats se font éventrer pour tenter de faire peur à une princesse de pacotille.

Si la bande annonce pouvait faire croire que le film jouait avec le second degré à la manière de la série Buffy Contre Les Vampires, il n'en est malheureusement rien. Cette histoire ressemble en fait vraiment aux Fan Fiction qu'écrivent toute adolescente après avoir refermé son livre de Twilight. On a du mal à croire que la romancière qui a écrit cette histoire avait à l'époque 28 ans tant cela manque de maturité. Pour une fois, il n'y a pas de triangle amoureux dans ce premier volet mais une héroïne tracassée par une question existentielle : doit elle succomber à son attirance pour son mentor de six ans de plus qu'elle !

Le seul point positif de ce film est son actrice principale Zoey Deutch, déjà vu dans l'adaptation de Beautiful Creatures qui s'est planté l'année dernière. On découvre ici son charme et son caractère très prometteur le jour où elle trouvera une histoire à la hauteur. Les autres actrices paraissent bien fades à coté d'elle : Lucy Fry en princesse fadasse et la belle Sarah Hyland cantonnée à un rôle de Nunuche. La sexy Olga Kurilenko est malheureusement pas assez exploitée en Directrice de cette académie. Le rôle principal masculin est tenu Danila Kozlovsky acteur russe inconnu qui est ici totalement ridicule mais qui fera saliver les petites adolescentes. La grosse interrogation reste bien sur qu'est ce qu'est bien allé faire le pauvre Gabriel Byrne dans cette galère ?

Adapté des romans à succès de Richelle Mead ce énième teen movie à la sauce vampire ne m'a vraiment pas convaincu. Déjà l'histoire est d'aucun intérêt, il ne se passe rien on dirait qu'on regarde un film qui n'a aucun but, on retrouve bien sur une histoire d'amour à l'image du film bien fade et sans intérêt. Le coté action est donc raté, c'est pareil pour la comédie je cherche encore une note d'humour et c'est la même pour le genre fantastique bien que disposant d'un budget de 30 M$ visuellement il n'y a rien c'est le vide total. Coté casting c'est aussi bien pauvre mis à part peut être si il faut en choisir une l'actrice principale qui s'en sort pas mal. Ce film à fait un bide au box office mondial et c'est pas étonnant il n'y a rien à garder.

Depuis la fin de la saga Harry Potter, les studios cherchent leur nouvelle poule aux œufs d’or. La saga Twilight s’est terminée et il faut encore en trouver une autre. Vampire Academy semble être le parfait mélange entre les deux.

De plus, le film est réalisé par Mark Waters, qui avait au préalable réussi un bon teen movie féminin, Lolita Malgré Moi, il y a donc de quoi s’attendre à un bon film de série, une petite comédie sans prétention… Malheureusement, pour deux gags réussis, quelques répliques bien piquantes (souvent suivies par une avalanche de banalités catastrophiques) et une tagline qui envoie du lourd (alors que le film reste un sage PG-13), Vampire Academy est un bon gros navet bien agaçant, de par les nombreuses règles toutes plus débiles les unes que les autres qui composent l’univers extrêmement bancal du film, avec des personnages bancals au mieux, insupportables au pire joués par des acteurs d’un talent plus que discutables (Sarah Hyland s’en sort bien, comme d’habitude. On ne peut pas en dire autant de Gabriel Byrne, qui enchaîne les chèques les yeux fermés). Le film s’est apparemment planté assez salement au box-office et il n’y aura pas de suite. Si la carrière de Zoey Deutch et de Lucy Fry peuvent s’arrêter net aussi, ce ne serait pas de refus.

C’est de la très mauvaise Fantasy et c’est ce qui abreuve nos écrans depuis maintenant trop longtemps maintenant. Pour un Vampire Academy qui se plante, on va devoir se taper des suites de Divergente.

Au moment de la folie “Twilight”, des producteurs malins avaient profité de l’engouement pour cette saga pour nous sortir en 2010 une parodie/farce (“Mords-moi sans hésitation” pour ne pas la nommer). En 2014, se basant sur une série de bouquins à succès d’autres producteurs ont apparemment décidés de nous ressortir une nouvelle parodie : “Vampire academy”... à ceci près que la parodie est, ici, involontaire ! Alors, “Twilight” nous avait fait une relecture assez fantaisiste du mythe du vampire avec ces vampires boule-à-facette, “Vampire academy”de son côté, nous sort son, ou plutôt ses modèles, puisqu’il sort en trois déclinaisons. Le “Moroï” sorte de sorcier suceurs de sang à peine dérangé par la lumière du jour mais mortel. Le “Strygoï” méchant vampire mort-vivant fuyant la lumière et assoiffé de sang surtout de son compère moroï. Et enfin, mon préféré, le “Dhampyre” (hé non, il n’y a pas de faute de frappe !), mi-humain, mi-vampire, qui ne suce pas de sang, n’a pas peur de la lumière et n’est destiné qu’à protéger les pauvres moroï… Ce bestiaire, un peu risible (un peu…?), évoluent dans une histoire inepte sorte de mélange entre grand mystère ésotérique, amourette interdite et soap-opéra teenager. Les péripéties sont complètement stupides et sombrent régulièrement dans le grotesque tout en se payant le luxe d’être en outre très prévisibles. Les personnages sont caricaturaux, fadasses ou simplement ridicules, au choix. Quant à l'interprétation elle du ressort d’une bande d’inconnus (ou peu s’en faut et c’est pas grâce à cette nullité qu’ils vont sortir dans la lumière...) dont la prestation est si mauvaise qu’ils finissent de clouer le cercueil de ce navet pour ados décérébrés. Seigneur qu’est-ce que Gabriel Byrne est allé faire dans cette galère ? Des impôts en retard probablement… Bref un long-métrage imbécile qui donne peu envie de lire la saga littéraire dont il est issu si elle est aussi crétine que ce qui transparaît à l’écran. Un film absolument dispensable dont vous ne pourrez que regretter le visionnage. Bonne nouvelle ! l’échec du premier épisode nous sauve de l’adaptation des autres tomes de la saga. Merci à tous ceux qui ne sont pas allés le voir au cinéma.

les 20 dernieres minutes sont exelentes , si le reste du film aurait été aussi bon , mais helas on s'ennuit beaucoup.

Une nouvelle saga littéraire au cinéma ? C’est mal partit pour Vampire Academy. Ce pseudo Twilight ne trouve pas sa propre inspiration. Le spectateur passera son temps à se demander si c’est une blague ou un navet qui s’échoue dans l’indécision de personnalité. Purement adolescent, on a presque l’impression que ces élèves de l’université vont nous fredonner une chanson comme le ferait ceux de la série Glee. Quant au côté fantastique, l’erreur est bien présente. Les combats entre les Dhampir et les Strigoï pour protéger les Moroï sont trop secondaires pour donner un quelconque intérêt. Mark Waters aurait pu réussir un minimum s’il avait englobé le tout dans un second degré. Il ne l’a pas fait, il échoue.
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Adaptation du premier tome de la série de romans écrite par Richelle Mead, Vampire Academy se vantait d’être un anti Twilight. La bande annonce promettait en effet un film fun sans romance bêtifiante avec des vampires un peu plus crédibles que ceux de Stephenie Meyer. Le film de Mark Waters se révèle n’être qu’au final, un teen movie fantastique sans grande originalité. On attendait davantage du réalisateur de Mean Girls, et encore plus de son frère Daniel Waters chargé d’écrire le film. Avec les scénarios de Demolition Man, Batman le défi ou Heathers à son actif, on était en droit d’espérer une histoire moins puérile et plus mordante. Une transposition télé aurait certainement été plus appropriée.
Vampire Academy suit Rose Hathaway, une Dhampir chargée de protéger sa meilleure amie Lissa, une princesse Moroï menacée par de méchants Strigoïs alors qu’elles sont toutes deux scolarisées à la prestigieuse académie Saint Vladimir. Vous n’avez rien compris ? C’est normal ! Et le film excessivement rythmé ne risque pas de vous renseigner. À moins d’avoir lu le livre ou de s’être fait briefé par quelqu’un qui l’aurait fait, difficile d’y voir clair. Pour résumer, les Dhampirs sont des créatures mi-humaines mi-vampires qui ne se nourrissent pas de sang, les Moroïs sont des vampires mortels pouvant aller au soleil (sans briller) tandis que les Strogoïs sont des espèces de zombies suceurs de sang. Pour la défense de cette hiérarchie vampirique un brin complexe, Richelle Mead s’est inspirée de mythes russes et roumains. Dommage que ces personnages mythologiques manquent de...

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