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    Fast & Furious : Hobbs & Shaw
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    519 critiques spectateurs

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    Kana57
    Kana57

    32 abonnés 895 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 avril 2020
    Franchement j'ai bien aimé, l'action est la l'humour aussi ce qui donne un bon petit film bien testostérone
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 septembre 2019
    très bon film très divertissant et intéressant juste dommage que il manque des apparitions de personnages de fast end furious comme Dom ou le frère de swan
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    Il faut vraiment que la saga fast and furious assume son univers et en fasse quelque chose de complètement fou car ce film est à la limite du ridicule.
    Bender E
    Bender E

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 mai 2020
    Je trouve les mauvaises notes vraiment injustes!
    Ce nouveau volet est vraiment une bouffée d'air frais à la saga.
    J'ai aimé l'alchimie et l'autodérision de Statham et Dwayne "The rock". La performance d'Idriss Elba est titanesque. Les clins d'oeil dans le film sont cools, sans compter la présence de Ryan Reynolds, Kevin Hart et Romans Reign.
    Perso je n'ai plus autant aimé un F&F depuis fort longtemps. Ça a vraiment dépoussiéré le genre!!! Tout est bien ficelé et cohérent. J'ai beaucoup hésité à regarder celui-ci car depuis le 5e volet je me suis ennuyé devant toutes ces daubes.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2023
    OK « Dom » Toretto est absent et alors ? Oubliez les courses de rues nocturnes et les grosses cylindrèes! En fait "Fast & Furious Presents : Hobbs & Shaw" (2019) est ni plus ni moins qu'un spin-off de la franchise dont Dwayne Johnson et Jason Statham ont pour mission de sauver le monde! Leur duo confère à ce premier spin-off le statut de film d'action spectaculaire et sans temps mort! Ne vous titillez pas le pois chiche, c'est un dèluge d'action improbable qui fait du bien par où ça passe! En tout cas ça soulage les neurones après une semaine de dur labeur! Avec à leurs côtès, Vanessa Kirby, femme sublime qui porte en elle un virus mortel, une èpidèmie programmable qui s'apprête à liquèfier tous les organes de la planète Terre! ils sont quand même fortiches les Ricains pour pondre de tel scènario à coup de combats et de poursuites à gogo! On est ici dans l'excès le plus total, mais toujours sur le mode de l'humour et du divertissement! Alors pourquoi s'en priver...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 juillet 2021
    La saga Fast & Furious étant bien trop profitable ($ !) pour s’arrêter en si bon chemin et dans le but de faire évoluer certains protagonistes pour se détacher de la franchise (le tuning n’étant plus seulement beauf mais désuet), Universal n’a rien trouvé de mieux que de nous offrir un spin-off, en mettant en scène Luke Hobbs (Dwayne Johnson) & Deckard Shaw (Jason Statham). Le premier était apparu au sein de la saga dans le 5ème opus et le second dans 7ème. Et comme on n’est jamais mieux servit que par soi-même, ils sont tous les deux coproducteurs du film.

    Deux personnages diamétralement opposés et qui prennent un malin plaisir à se détester. Après avoir dû faire équipe dans le 8ème volet, on les retrouve tous les deux en tête d’affiche d’un film à leur nom. Exit donc toute la clique (et la « famille ») de F&F, pour ne garder que les meilleurs, ou plutôt, les plus lourdingues et saoulant, puisque durant les 130 minutes que compte le film, on ne fait qu’assister à une vulgaire petite guéguerre qui anime Hobbs & Shaw (depuis de nombreux opus de F&F). Une surenchère harassante & ultra-décomplexée où ils ne cessent de se lancer des bourres-pifs et autres des punchlines dans un seul et unique but, savoir qui a les plus grosses cou!lles entre les 2 énergumènes.

    Le scénario est (sans surprise), des plus affligeant, nos deux héros doivent s’unir (alors qu’ils ne peuvent pas se piffrer, quelle originalité) pour combattre un anarchiste génétiquement modifié (s’en est drôle tant c’est consternant).

    Cascades testosteronnées et abrutissantes, répliques écervelées et acteurs en roues libres sont au programme de ce spin-off qui ne fait qu'user jusqu'à la corde, ce que s'évertue à faire Fast and Furious depuis le chapitre 5.

    La mise en scène quant à elle nous offre des moments assez WTF en termes de météorologie et de logique temporelle (à défaut d’avoir droit à une intrigue intéressante, il faut bien trouver de quoi s’occuper, sous peine de clairement se faire chier). Ainsi, les plus aguerris d’entre nous auront constaté que sur les îles Samoa, le soleil se lève en moins de 30 secondes (ils se battent en pleine nuit et dans le plan d’après, il fait complètement jour) et la météo est changeante en un quart de seconde (il fait beau temps durant toute la séquence de l’hélicoptère et dès qu’il se crash, orage & pluie torrentielle, digne d’une fin du monde).

    Face à un scénario toujours aussi invraisemblable (la cascade de l’hélicoptère avec les 4 pick-up) et con comme pas possible, on regrette que le réalisateur n’ait pas exploité davantage un lieu tel que la centrale électrique de Eggborough (avec ses 8 tours de refroidissements) qui offrait du potentiel en termes de mise en scène (sans en faire des caisses).

    Les amateurs du genre devraient être comblés, si vous aimez les intrigues aberrantes, les joutes verbales pathétiques d’école primaire, la surenchère de gros beaufs musculeux, des Samoans qui se battent en claquettes (!) et le charme de Vanessa Kirby. Pour les autres, passez votre chemin ou mettez votre cerveau sur OFF (et encore, cela ne sera même pas suffisant pour supporter toute cette surenchère bourrine & crétine).

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    AMCHI
    AMCHI

    5 034 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Je savais tout à fait à quoi m’attendre pour autant je n’ai pas eu droit au film bourrin, fun et sans Vin Diesel auquel j’espérais.
    C’est lourdaud, les vannes tombent à l’eau, trop de longueurs (très bavard par moment) et le final est too much (désolé mais des gars en tongs battant des gars surentraînés même au 1000ème degré ça ne passe pas).
    Niveau action je n’ai pas été épaté, le duo Johnson/Statham m’attirait mais je trouve qu’ils ne font pas d’étincelles et Vanessa Kirby coincée entre les 2 est transparente.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 032 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2020
    Au fana de voiture qui se la collait en suivant Paul Walker jouer les beaux gosses en passager de Vin Diesel, légende mutique de la route pas même plus expressif lorsqu'il se bat contre Dwayne Johnson que lorsqu'il mime d'avoir perdu sa compagne, il ne servira à rien de jeter un oeil à Hobbs & Shaw, qui n'a décidément de Fast & Furious que le nom d'affiliation de spin-offs à la saga, qu'on n'aura jamais vu plus éloignée de ses intentions initiales.

    Lancé tambour battant dès ses premières minutes, ce mélange curieux entre un tas de bons films d'action connus du grand public installe un fossé profond avec la saga "officielle" en assumant totalement la direction entreprise par les 6 et 7 : ce concept de faire absolument n'importe quoi avec de grands moyens propulse la franchise dans une direction inattendue que le 9ème (!) épisode devra amener jusqu'à son paroxysme (c'est du moins ce que sa bande-annonce promet).

    Il paraît pourtant complexe, après le visionnage de ce premier spin-off, de partir encore plus loin dans le délire what the fuck : débile à en crever, il met tout de même en scène des voitures plongeant de building et survivant à des effondrements de bâtiments quand elles ne truck pas des hélicos de combat pilotés par des <>, pilotées par nos deux compères ou la famille Samoa d'Hobbs, soit de Dwayne Johnson qui aura compris que les origines d'une star adorée du public reste un excellent argument marketing à exploiter.

    Seulement, le too much de l'oeuvre couplé à son humour affligeant lassent la première heure passée : là où la surprise de voir un nanar de luxe (moitié de surprise, me direz-vous) donnait lieu à un émerveillement du niveau de stupidité déployé, se rendre compte que l'oeuvre se contente de sa bêtise sans vouloir sortir des sentiers battus lui assène un ressenti de répétition qu'on assimilerait presque à une boucle temporelle, le schéma action-blague-dragounette se repointant inlassablement, jusqu'à ce que son générique mi-comique mi-pathos vienne y mettre un terme en promettant forcément une suite, et en jouant sur l'humour attendu d'un Ryan Reynolds complètement inutile (mais toujours présent pour nous abrutir de ses blagues Deadpool).

    D'autant plus qu'on ne pourra s'enlever de l'esprit que là où la saga officielle a créé ses propres codes jusqu'à les parodier sans retenue, Hobbs & Shaw ne les reprenant qu'en fin de bobine préfère se monter comme un melting-pot foireux de tout un tas d'autres long-métrages cultes : principalement mélange entre les derniers Mission : Impossible et John Wick, son incapacité à inventé le pousse à pomper, tant qu'on y est, du côté du Transporteur et des Bond de Craig pour s'assurer un tout explosif et un succès garanti.

    Le résultat, fidèle à ce qu'on pouvait en attendre, se foire lamentablement du fait de son humour insupportable et présent la plupart du temps, en ce sens très inspiré de la recette Marvel actuelle, où les blagues prennent le pas sur les thématiques et détruisent tout enjeu. Et si le gros de l'oeuvre est laissé aux vannes ainsi qu'à la détente, c'est aussi pour respecter et toujours mieux glorifier la réputation et l'image de marque de ses deux héros, The Rock et Statham se la jouant autodérision au travers d'une bobine parodiant l'ensemble de leur carrière.

    Le soucis inhérent à la démarche de construire une oeuvre sur la douce moquerie à l'égard de ses stars place les jalons de son ambition : Hobbs & Shaw, qu'on savait loin d'être réfléchi, n'a donc rien d'autre à proposer qu'un ramassis de références pseudo geek et de repompes variées sur un fond d'esthétique reprise du style de Chad Stahelsky, collègue de travail du réalisateur David Leitch, et rendu célèbre pour avoir élevé, au moment du départ de la trilogie de Leitch, l'esthétique John Wick à un niveau artistique et lisible impensable, cela ajouté à des vannes lourdes et étouffantes seulement ajoutées pour rendre l'action sous CGI plus digeste et "proche du spectateur".

    Symptomatique de ce qui déconne en ce moment dans le cinéma de genre américain, Fast & Furious : Hobbs & Shaw, devenu bordélique comme si le rendre ridicule nous le ferait considérer comme une bonne comédie, n'existe que dans ses emprunts kitschs et ses inventions too much laissant penser qu'il ne sait inventer autrement qu'en poussant à leur paroxysme des concepts usés jusqu'à la moelle. Le surréalisme de son action, placé en édifice du divertissement ultra-spectaculaire lorgnant du côté du film de super-héros (l'invincibilité des personnages et la considération d'Elba comme Superman en témoignent), s'érige en ode à la connerie dont l'utilité principale est de justifier l'existence de spin-off non pas comme un mauvais film d'action excessif, mais bel et bien selon une nouvelle mouvance naissante dans le cinéma de genre moderne : le plaisir coupable volontaire et paresseux, si simple à faire quand on est incapable de pondre une oeuvre un tant soit peu aboutie.

    Le prétexte du plaisir coupable est en ce sens mignon qu'il renvoie aux nanars cultes des années 80, et l'excuse de ses âneries, de ses défauts, de ses emprunts et du but purement pécuniaire de son existence plutôt brinquebalante. Comment lui reprocher d'être mauvais s'il pointe un écriteau "Je suis un film de merde" le long de sa durée? A défaut de ne pas pouvoir le démonter pour cela, on pourrait au contraire lui reprocher de ne pas être suffisamment catastrophique pour ses ambitions nanardesques.

    Le pire dans l'histoire, c'est qu'on prend un pied raisonnable.
    Jorik V
    Jorik V

    1 195 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2019
    La saga « Fast and Furious » est clairement la poule aux œufs d’or actuelle d’Universal. Alors pour dire de capitaliser au maximum sur la marque qui en est bientôt à son neuvième film (fait très rare hors du cinéma horrifique), la major lance en grande pompe le premier spin-off de la saga centré sur deux personnages annexes mais iconiques, Luke Hobbs et Deckard Shaw. Et comme l’entente de l’interprète du premier, Dwayne Johnson, avec le héros tutélaire des « Fast and Furious », Vin Diesel, n’est pas au beau fixe dans les coulisses, ce film dérivé permet de garder le personnage dans une production qui ouvre les portes à un univers partagé à la Marvel. On garde le même esprit avec grosses scènes d’action improbables, des filles sexy, des courses de voitures dans le but de sauver le monde avec en fond la famille comme point d’attache. Un cocktail explosif et divertissant que les films de la saga mère épousent à chaque fois de manière de plus en plus exponentielle et débridée d’épisode en épisode, avec plus ou moins de plaisir selon l’opus. Et pour ce premier spin-off c’est tellement poussé à l’extrême que ça en devient souvent ridicule. Si au début on retrouve avec plaisir ces deux personnages grandes gueules, gros bras et fortes têtes (les deux acteurs nous rejouent ce qu’il font couramment dans leurs films respectifs depuis des années sur grand écran sans changer d’un iota leurs partitions), plus le film avance et plus on se dit que tout cela n’apporte pas grand-chose de plus au sillon déjà plus que fourni des films d’actions bourrins et décérébrés qu’Hollywood affectionne tant. On est très loin de la maestria visuelle et du renouveau amené par les « John Wick » par exemple. Et niveau improbable et débile, le long-métrage se pose là.



    « Hobbs and Shaw » tente de se différencier un peu en augmentant le curseur de l’humour et en essayant vainement de renouer avec les buddy-movies à succès des années 80 du type « Bad Boys ». Sauf que les joutes verbales entre les deux protagonistes amusent parfois mais font rarement rire. Pire, elles s’étirent souvent plus que de raison. On ne reniera pas en revanche, la complémentarité et la complicité apparente dans l’opposition des deux acteurs/personnages déjà éprouvée dans les « Fast and Furious ». Mais ce pour quoi on va voir ce type de films c’est bien sur les scènes d’action dantesques. Certes elles sont au rendez-vous et elles impressionnent. Au début en tout cas. Elles sont au nombre de trois gros (et longs) morceaux de bravoure. Mais elles sont tellement improbables, sans queue ni tête, et réalisées sans vraiment de panache (pourtant orchestrées par le co-réalisateur du premier « John Wick ») qu’elles en deviennent éreintantes et qu’on est pressé que tout ce vacarme se termine. Comme dans les blockbusters du Michael Bay des mauvais jours. Et au vu du budget pharaonique, on est surpris par exemple de voir si clairement l’utilisation de fonds verts (dans la course-poursuite en Russie notamment). Pris au second degré, ce grand n’importe quoi pourrait être drôle, mais trop exagéré en durée et en excès, il finit par user. On prend donc un certain plaisir la première heure, puis on finit par se lasser. Heureusement l’apparition de quelques guests-stars viennent réveiller notre attention et « Hobbs and Shaw » peut compter sur son atout majeur : le personnage de Atty Shaw incarnée par une Vanessa Kirby déchaînée et convaincante. Elle assure le quota féministe de la femme de poigne très à la mode en ce moment. Elle impressionne plus qu’Idris Elba, un peu décevant dans le rôle du méchant. Bref, à réserver aux amateurs de testostérone et d’action idiote, loin des « Mission : impossible ». Et très loin de la meilleure réussite du genre et de la saga : « Fast and Furious 7 ».


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    Ti Nou
    Ti Nou

    405 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 avril 2023
    Ce spin-off ne se démarque pas de la bêtise et de la surenchère des autres épisodes de la saga. Cependant Jason Statham et Dwayne Johnson, offrant quelques sympathiques moments d’autodérision, s’y amusent suffisamment pour que le moment ne soit pas trop déplaisant.
    moket
    moket

    434 abonnés 4 202 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2021
    Un divertissement bien bourrin avec moins de bagnoles et plus de castagne. Pour la finesse on repassera mais c'est toujours un plaisir de voir Jason Statham faire ce qu'il fait le mieux tout en décontraction ou encore Dwayne Johnson rentrer dans le lard avec un brin d'autodérision.
    bsalvert
    bsalvert

    319 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2019
    Un spin off avec des acteurs qui en veulent plus que le dernier film de la franchise. On retrouve tous les éléments, voiture, humour, muscles et pas de question à se poser
    Incertitudes
    Incertitudes

    170 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Deux heures quinze pour un film de ce genre, ça fait beaucoup. Pour ce que ça a à raconter. C'est vrai que ça bavarde. Qu'est ce que ça bavarde ! C'est trop long. Bien trop long. Je ne dis pas que quelques vannes ne décrochent pas un sourire ici ou là. Hobbs et Shaw ne peuvent pas se sentir. Les concours d'insultes pleuvent. Entre deux grosses scènes d'action toujours plus invraisemblables. Londres, Moscou, îles Samoa. Ce sont les destinations de ce spin-off proposant les habituelles cascades, explosions, courses-poursuites toujours plus explosives et acrobatiques tel ce sprint sur un gratte-ciel. C'est digne d'un cartoon. Il n'y a pas de sang. Rien. A chaque fois qu'on pense qu'ils sont morts, ils se relèvent. C'est du divertissement à l'état pur. Bien loin des courses du premier Fast and Furious de 2001. C'est un film d'action un peu comme on en voyait dans les années 90 avec certains buddy-movie. Un mélange d'action et d'humour où on s'ennuie ferme pendant les dialogues.
    Nico F
    Nico F

    177 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 août 2019
    Le vrai bon spectacle d'été . Scénario certes faible mais ça envoie de partout et beaucoup d'humour . Trop bon
    Eponaa
    Eponaa

    178 abonnés 1 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2019
    Pas trop de renouvellement dans la guerre des EGO entre les 2 heros . Par contre les scènes d action sont très efficaces et très inventives. L actrice choisie pour leur donner réplique est très bien.
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