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    Blackbird
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    3,9
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    57 critiques spectateurs

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    eldarkstone
    eldarkstone

    181 abonnés 1 954 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    Une merveille, terriblement poignante, sur une adolescence perdue et surtout seule contre un monde extérieur !
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    138 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2013
    Librement inspiré de l'affaire Columbine , ce film canadien revient sur l'histoire d'un adolescent rejetté par ses camarades car il est gothique. Amoureux d'une fille avec qu'il ne devrait pas sortir d'après les bons conseils de son père. Ce dernier est chasseur. Il l’emmène à la chasse. Le gothique filme avec son caméscope un cerf tué . Lendemain , il montre la vidéo à ses camarades les mettant mal à l'aise. Il se réfugie dans le monde d'Internet et est accusé par suite de vengeances virtuelles envers ses camarades. Les policiers le croient coupable à cause des fusils de chasse de son père . Mais l'expérience en prison du jeune homme se passe mal , maltraité par ses camarades de prison qui le surnomment "Columbine" !!! Un brillant drame sur l’indifférence, sur la psychologie d'un personnage qu'on oblige à avouer ses crimes .
    eckman
    eckman

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 juillet 2013
    film tres sympa et realiste, mais un peu sombre. Une belle analyse des problemes liees au systeme juridique et des prejudices dans notre societe. Belle performance des acteurs. La fin (du moins, la scene finale) est peut-etre moins reussi mais n'enleve rien de mon appreciation de ce filme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 juillet 2013
    Un sujet chiant et racoleur, mais un très beau film, sensible et prude. Je l'avoue: j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps face aux humiliations subies par le finalement très sympathique protagoniste. Délicat et sensible.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    93 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 juillet 2013
    Un premier film canadien sur un ado goth accusé d'avoir voulu commettre un massacre à la Colombine dans son lycée de ploucs, mais les choses sont plus complexes que cela et les apparences sont plus que trompeuses. Le film montre d'une manière sobre que lorsque le "principe de précaution" de la justice est appliqué sans discernement, cela peut être absurde, le "freak" étant moins abruti et violent que certains des élèves qu'il doit côtoyer. La tension et le sentiment d'injustice montent graduellement et ne laissent pas indifférents. Dans la deuxième partie, notre ado corbeau finit avec une coupe à la Justin Bieber mais fait preuve de courage et de ténacité. On a droit aussi à une romance crédible. Le film sort dans peu de salles, il mérite pourtant d'être vu, par un public ado ou non. Quelques défauts au niveau du rythme et l'acteur a souvent les mêmes expressions, mais c'est sans doute son personnage qui veut ça.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 juillet 2013
    Le procés d'un procés, sans l'être.

    D'un côté , de vagues menaces proférées par un ado solitaire, différent des autres. Quelques mots de trop et la vie qui bascule.

    De l'autre, un jeune gothique qui écoute sa musique de sauvage. Un père absent. Son seul contact avec l'extérieur: l'écran magique, celui de l'ordinateur.

    Voici pour l'oiseau noir, héros malgré lui .

    Dans un récit parfois un peu scolaire, le réalisateur montre sans s'attarder. Très vite, les plans subjectifs prennent le dessus, afin de centrer le drame sur le jeune Bird est ceci pour l'essentiel: La cristallisation de Sean. Il lit Kafka en prison...

    Black Bird évite cependant les pièges moralisateurs et le sentimentalisme, comme on aurait pu le craindre : condamner la vente d'arme, les dérives d'internet, le monde carcéral. Le tout est montré sans démagogie et ces trois thémes sont d'ailleurs presque balayés pour finalement nous offrir un débat moral ouvert: celui de problèmes ordinaires sans véritables solutions.

    Le film est un bon dosage entre mise en scène, psychologie des personnages, dichotomie liberté/prison sans condamner les voyous, ni trop flatter la victime. Black Bird n' a pas vraiment de thème principal. Entre méfaits d'une société refermée sur elle-même et passage à l'âge adulte, Black Bird nous laissera surtout le souvenir d'un film qui préfère aux mauvaises réponses, les bonnes questions.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 juillet 2013
    Sean est un jeune gothique : blouson noir hérissé de pointes et clous, symbole sectaire dans le dos tracé en rouge, cheveux teintés et ongles peints en noir. Son look est assez détonnant et il n'est pas apprécié des autres élèves de son école, si ce n'est par les autres gothiques.
    Il est attiré par Deana, jeune fille de son lycée qui prend le même bus scolaire et semble partager ses goûts musicaux. Malheureusement celle-ci fréquente un autre garçon. Et ce dernier, membre de l'équipe de hockey, va chercher à lui nuire systématiquement.
    Bien qu'étiquetté Bad boy, Sean est sensible aux conseils des adultes mais ceux-ci le conduiront en prison.
    Il devra alors faire ses propres choix s'il ne veut pas renoncer à celle qu'il aime.

    Identité, apparence, justice, société, parents, filiation, prison, émancipation et passage à l'âge adulte vont être évoqués tout au long de cette histoire très prenante et bien actuelle.
    Ce parcours initiatique et parsemé d'embûches se révèle poignant. Le ton est calme et posé alors que règne une tension permanente car on sent le danger partout.
    La mise en scène est excellente et les plans fixes sont souvent bien appropriés pour nous donner à voir les éléments de cette dramaturgie.
    Les relations entre les différents personnages du récit sont à chaque fois bien brossées, et surtout elles sont très variées.
    J'ai beaucoup aimé la présentation de la famille de Sean (père, mère, soeur, beau-père), elle participe à l'effet de vide affectif dont il doit recoller les morceaux.
    Sa sortie du monde des adolescents se fera dans la douleur mais c'est la seule voie possible s'il veut rester digne de sa véritable identité, de son lui intérieur.
    Le système judiciaire est particulièrement mis à mal dans cette dénonciation du conformisme : les coupables, victimes de leurs actes, ne sont pas écoutés par la société des biens pensants qui rejette ces jeunes à cause de leurs différences sans chercher à les comprendre.

    Bon film sur la difficulté à s'intégrer dans la société et le droit à vivre la vie qu'on s'est choisie. A conseiller aux ados, et aux autres.
    Hakim1976
    Hakim1976

    92 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2013
    Les tueries dans les écoles, lycées ou universités commises par des étudiants sont un sujet très sensible tellement ce genre de crime peut heurter toute une population par sa froideur sanglante et morbide. Mais qu’en est-il des jeunes futurs tueurs qui sont arrêtés à temps avant de passer à l’acte car ils ont été grillés par leurs messages laissés sur internet ? Même en France, on a connu cela tout récemment, où le jeune adolescent de 17 ans qui avait proliférer des menaces de massacre collégien sur internet, a enfin été interpellé et mis en examen à Strasbourg! Et bien Blackbird, c’est exactement cela! Ce petit film canadien relate les faits similaire où un jeune gars, aux tendances gothiques, est rejeté par ses pairs de par sa différence physique mais aussi son mode de vie hors norme. De ce fait, il publie sur le net son envie de meurtres qui pour lui n’est qu’un rêve. Sans vraiment vouloir réaliser cela, il se fait quand même arrêter par les flics et est automatiquement jugé par toute la communauté de sa ville. Devenant un danger public sans avoir commis de délit au sens propre, il se retrouve incarcéré. Et c’est vraiment le point fort de ce long métrage qui pointe du doigt, tout ce mécanisme naturel zappant la présomption d’innocence face aux non-faits. Il plonge le spectateur dans le doute mais aussi le malaise en le poussant à choisir sa morale: soit celle du père et de la copine, ou alors celle de tous les autres habitants qui sont tout sauf cléments!

    Suite : voir lien .
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 juillet 2013
    Réussir à faire un film qui traite tout à la fois de justice et d'injustice, d'adolescence et de parentalité, de conflits intérieurs et de cybercommunication, de communauté et de vie carcérale, sans jamais toutefois verser dans le cliché ni la subjectivité, relève du coup de maître. On sort du film remué comme jamais.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 juillet 2013
    Bon film dans l'ensemble. Le travail sur le rythme est remarquable, ce qui permet de maintenir la tension sans pour autant ennuyer le spectateur. Il faut aussi noter une certaine dénonciation du système judiciaire nord-américain qui ne semble pas du tout adapté (dépôts de plainte à outrance, peines de prison non justifiées, dérives d'une procédure dans laquelle on troque le mensonge avec la liberté). Sean, le vilain petit canard devient le souffre douleur de ses camarades de classe. Son look gothique ne plaide pas en sa faveur, et dans une société où l'apparence est reine, l'originalité est mal venue. Il ne s'agit pas de comprendre la différence mais de l'éradiquer. Ainsi, ce jeune adolescent un peu trop dark dans une société canadienne policée devient un coupable tout désigné. Jason Buxton livre un message percutant bien que déjà traité ( Elephant de Gus Van Sant ou Bowling for Columbine de Michael Moore). En effet, Blackbird n'innove pas vraiment, certains passages demeurent prévisibles. C'est en cela que réside la seule faiblesse du film car tout le reste est bon: jeu des acteurs, manière de filmer (beaucoup de plans rapprochés qui nourrissent l' empathie du spectateur envers le protagoniste). En résumé: un premier long métrage bien maîtrisé du début jusqu'à la fin. Avec Xavier Dolan et Jason Buxton, le cinéma canadien a de l'avenir devant lui. Dommage que Blackbird ne soit programmé que dans une seule salle à une heure tardive.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juillet 2013
    Un film à voir absolument.
    L'acteur principal Connor Jessup est bluffant.
    On est en total empathie avec le personnage
    C'est touchant mais pas mièvre.
    On se laisse porter de bout en bout par l'histoire.
    Septième Sens
    Septième Sens

    76 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juillet 2013
    20 mars 1999, Columbine. 16 avril 2007, Blacksburg. 20 juillet 2012, Aurora. Des tueries inexpliquées produites par des êtres déstabilisés psychologiquement. Comment peut-on en arriver là, et y a t-il des raisons à de tels actes ? D'une certaine manière, Blackbird essaye de répondre à ce genre de questions. Sean semble être un ado comme les autres. Sauf qu'il écoute du metal hardcore au lieu d'aimer les hits à la radio. Sauf qu'il porte une veste en cuir cloutée au lieu de s'habiller « à la mode ». Souffre-douleur de son lycée, il écrit une histoire de vengeance virtuelle sur internet. Le jour où la police tombe dessus, sa vie va basculer.

    Un homme réalisant son premier film doit forcément prendre des risques pour se différencier des autres, tout en assurant ses arrières en utilisant des codes bien établis. Il est vrai que le récit de Buxton est fait de stéréotypes (parents absents, archétype de l'équipe de hockey). Mais pour dénoncer certaines vérités générales, il faut bien passer par ce genre de schémas pour être le plus juste possible. Ça tombe bien, Blackbird arrive à tenir son propos du début à la fin.

    Cette première œuvre réussit dans deux domaines, sans forcément révolutionner les thèmes qu'elle traite. C'est à la fois un récit intelligent sur la prison et sur un système pénal parfois totalement inapproprié. Mais aussi et surtout un douloureux portrait d'un jeune homme (magnifiquement interprété par Connor Jessup) qui apprend la dure loi de la réalité : celle de se fondre dans la société pour être intégré. Mais il y a un prix à cela, qui est de renier son identité et ses convictions qui lui sont propres. Qui est-il et qu'a t-il vraiment fait ? Ce sont les questions que nous nous posons durant le visionnage.

    Si nous pensons forcément à la mise en scène de Gus Van Sant (Elephant) lorsque Sean est filmé de dos dans des espaces qui l'étouffent (maison, école, prison), c'est à l'excellent Boy A que Blackbird fait référence lorsqu'il évoque le sujet du repentir et de la réhabilitation difficile après un séjour en prison. L'Amérique est clairement remise en cause vis à vis de sa paranoïa sur d'hypothétiques attentats, mais le spectateur lui, se souviendra d'autre chose. Il aura eu l'impression d'avoir assisté à une vie bafouée et ressortira avec un goût amer. Preuve que le film est une réussite.
    Piwi47
    Piwi47

    29 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2013
    Pour son premier long métrage, le canadien Jason Buxton a choisi de décrire la spirale infernale pénitentiaire dans laquelle sombre un jeune adolescent psychiquement torturé, en proie à l’hostilité d’une communauté urbaine, avide de boucs émissaires.

    Synopsis Allociné : Sean, adolescent tourmenté, est rejeté par les élèves du collège de sa petite ville canadienne. Isolé et mal dans sa peau, il se sert d’Internet comme exutoire et imagine des scénarii de vengeance virtuels. Alertée, la police fait irruption dans la maison où elle trouve les armes de chasse de son père. Accusé de planifier un crime, Sean va devoir faire face à l’hostilité de la communauté et affronter une machine judiciaire obsédée par le principe de précaution.
    « La Chasse ». Oui, en voyant « Blackbird », on pense bien évidemment au drame cannois de Thomas Vinterberg, et cette terrible histoire d’enseignant danois (Mads Mikkelsen) accusé à tort de pédophilie par une petite fille aux sacrosaintes paroles intouchables.

    Ici, Sean, l’adolescent tourmenté, est violemment accusé d’avoir délibérément planifié un crime. Indignation et douleur sont les mots d’ordre de Jason Buxton, qui, soutenu par une écriture lente, majestueuse, sobre et silencieuse, navigue sur une corde entre le cérébral et le viscéral, ne tombe jamais dans le piège facile du mélodrame, du pathos et des stéréotypes, et s’engage in fine radicalement dans les processus de comparution d’une « machine judiciaire obsédée par le principe de précaution ».

    Jason Buxton porte également le mérite d’avoir révélé au monde un acteur talentueux, un Grand en devenir, en la personne de Connor Jessup, qui tient « Blackbird » sur ses épaules comme un chef, grâce à sa maturité et son jeu tout en nuances.

    Même si l’on pouvait aisément reprocher à Jason Buxton de semer trop rapidement des indices sur la bonté de Sean, incapable par exemple d’abattre de sang froid un daim, le bougre se rattrape largement avec le reste des festivités, et notamment sur toutes les séquences carcérales, filmées avec une sincérité poignante, rappelant la naïveté d’« American History X », autre premier coup de maître d’un jeune réalisateur (Tony Kaye), ou la violence de Dog Pound.

    Aux côtés de Connor Jessup, Alexia Fast, la Sandy de « Jack Reacher », incarne avec brio la muse de l’adolescent mal dans sa peau, la belle Deanna, source de son bonheur et de son malheur, « celle qu’il ne doit pas approcher à plus de cent mètres à sa sortie ».

    Si la caméra de Jason Buxton épouse le point de vue de Sean afin d’empathiser, elle ne délaisse pas pour autant les personnages secondaires, tous interprétés remarquablement par des comédiens pour la plupart inconnus (les prisonniers), qui ont leur chance tour à tour d’exister, de partager, d’être désireux et compris.

    De ses événements, on retiendra enfin la puissance de feu des mots de Sean prononcés à son père dans un élan de rage, lorsqu’il évoque l’emprisonnement symbolique qu’on lui propose à sa sortie de prison, davantage nocif que l’internement réel.

    Si « Blackbird » a tout du film prometteur, il n’échappe cependant pas à l’imperfection, facilement pardonnable, des « premiers » films, avec cette spontanéité qui devient corrosive par moments, marquée par cette volonté de vouloir parfois trop en dire et/ou trop en mettre.
    Bilan : « Blackbird » est une perle cinématographique, un premier long métrage qui frappe l’inconscient collectif d’un coup de masse sur la question de la stigmatisation des adolescents marginaux par leurs pairs, un peu à la manière d’un Gus Van Sant, ou de « Bowling for Columbine », puis qui s’interroge ensuite sur les failles du système judiciaire américain. Jason Buxton, réalisateur à suivre de près. Connor Jessup, révélation.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 juillet 2013
    "Blackbird" retrace l'histoire de cet adolescent ou plutôt, de ces adolescents qui se retrouvent exclus de la société à cause de leurs apparences. Ce film nous fait en parallèle une critique virulente de la normalité, du moule auquel le personnage se retrouve confronté à suivre pour garder son peu de liberté encore présent. Contrairement à certain articles que j'ai pus lire dans un catalogue traitant en grande partie du cinéma, ou bien même dans certains catalogues du même genre, on ne sort pas les "poings serrés" et la "gorge" dans le même état étant donné que ce film se rapproche si près de la réalité, que certains faits nous paraissent réels. Ce film est une bonne leçon sur la vie, et je le recommande. VU !!
    JotaB
    JotaB

    4 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2013
    Un film qui m'a scotché du début à la fin. La musique et le montage font qu'on a toujours l'impression que le personnage prncipal va péter un cable et puis non au contraire il s'assagit, grandit, prend du recul. Par contre, le film perd une étoile pour le choix de l'acteur principal. Il ne joue pas mal mais son personnage est censé intérioriser ses sentiments mais ces derniers doivent transparaitre dans les gestes, le regards, les expressions. Ici c'est toujours la même mou et puis un truc pas possible: tous les ados canadiens ressemblent à Justin Bieber?
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