Mon compte
    La Bataille de Solférino
    Note moyenne
    2,9
    956 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Bataille de Solférino ?

    104 critiques spectateurs

    5
    12 critiques
    4
    21 critiques
    3
    25 critiques
    2
    13 critiques
    1
    18 critiques
    0
    15 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Cecile M
    Cecile M

    25 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2013
    Un film au bord du documentaire d’une histoire toute banale.
    Et des acteurs pleinement en immersion c’est d’ailleurs le gros point d’intérêt de ce film, sa force.
    Quelques scènes drôles et d’autres agaçantes
    ffred
    ffred

    1 546 abonnés 3 982 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    ...je suis tombé par hasard sur cette Bataille de Solférino. Cette comédie, tour à tour dramatique et loufoque, sort à mon goût de l'ordinaire. Dans un premier temps, j'étais un peu mal à l'aise et j'ai trouvé les personnages plus que détestables. Les enfants qui hurlent en permanence, la mère débordée, le baby-sitter complètement idiot, le père limite psychopathe, etc...Mais dès que l'action sort du huis-clos de l’appartement et que...
    Jonathan M
    Jonathan M

    116 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2014
    "La bataille de Solférino", au contraire de "La fille du 14 juillet", a su m'émouvoir. Alors oui, gros boucan, personnages fantasques mais pourtant pas loin de la réalité. Justine Triet a su poser sa caméra autour de ce bordel sans nom pour nous concocter une histoire qui tiens la route. Parfois virulente mais aussi pleine d'enthousiasme, la prestation du jeune et prometteur Vincent Macaigne est à signaler.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 octobre 2013
    J'avais eu l'occasion/la chance de le voir en projo privée en présence de l'actrice principale L. Dosch et de la réalisatrice J. Triet .
    Je reste sur l'impression d' un film inégal.
    Le perso' de Vincent Macaigne en mode "nounours avec des bonnes intentions mais maladroit" qui se transforme par la suite en individu prêt à défendre bec et ongles ses droits pour la visiste de son gosse , presque incontrôlable est interessant.
    Le comique basé sur l'opposition entre le baby-sitter, mollasson face à Laetitia, hyper tendue avant d'aller couvrir l'élection me semble bien recyclée et ne fonctionne qu' à moitié.
    Greffer la tension personnelle à celle globale d' une élection et de la foule en attente des résultats devant le siège du PS est une idée intéressante assortie d'une dérison (facile) du rôle du journaliste dans ces moments réduit à commenter le vide dans l'attente des résultats.
    La dernière 1/2h ... Elle est particulière et assez pénible avec cette séquence d'engueulade presque forcée.
    Pour avoir discuté un bout de temps après le film avec la réalisatrice,sa vision était de présenter ces moments de tension dans leurs radicalité tout en les inscrivant dans la banalité du quotidien via l'alternance avec une scène posée et calme ensuite.
    Je ne suis pas totalement convaincu par la focalisation du sujet sur les trentenaires Parisiens . Quand "Première" par exemple estime que ce film vante le regard de ce film sur ces derniers, je trouve cela exagéré . Les professions représentées( jouranaliste, dessinateur, avocat) renvoyent à un univers déjà souvent représentés à l'écran selon moi.
    Par ailleurs, la thématique des trentenaires à fleurs de peau, leurs problèmes aux quotidiens est souvent traitée aussi. Le fait de ne pas vouloir le sacraliser, le traiter avec distance est certes en partie pertinent selon moi mais bon...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 360 abonnés 7 277 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 juin 2023
    Lors du second tour des élections présidentielles le 06 mai 2012, Laetitia, journaliste télé doit aller couvrir l’évènement au siège du PS, rue de Solférino (VII, Paris). Sauf que rien ne va se passer comme prévu, entre ses filles déchaînées, le baby-sitter à la ramasse et l’ex qui fait du forcing pour voir ses filles…

    Premier long-métrage pour Justine Triet (Anatomie d’une chute - 2023) qui nous plonge de plein fouet au cœur des élections présidentielles. La jeune réalisatrice s’était déjà intéressée aux présidentielles, notamment à travers son documentaire Solférino (2008) où Nicolas Sarkozy faisait face à Ségolène Royal.

    Cette fois-ci, Sarkozy se retrouve face au mari de Ségolène, François Hollande et la suite, vous la connaissez... Le dispositif et le contexte, la réalisatrice le connait par cœur pour l’avoir déjà filmé en 2007, elle l’applique une seconde fois en 2012, à la différence que cette fois-ci, elle va y insérer une large part de fiction. Et c’est en cela que le film déçoit, oscillant sans cesse entre la fiction et le documentaire, avec toute cette hystérie ambiante (aussi bien rue de Solférino qu’à l’intérieur de l’appartement de Laetitia).

    Sans oublier les très nombreuses séquences d’improvisations ne faisant qu’étirer plus que de raison les scènes de dialogues et surtout, surtout, des protagonistes particulièrement insupportables. Le film n’a beau durer que 90min, le temps ressenti (ou plutôt, la douleur ressentie) avoisine aisément les 120min. C’est usant et assommant, bref c’est aussi chiant que de regarder une soirée électorale sur BFM TV.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    965 abonnés 4 893 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 février 2024
    Faut vraiment ne pas avoir passé une mauvaise journée pour voir ce film.
    C’est de l’hystérie totale à chaque plan.
    La bataille c’est aussi sa vie. Mais c’est un combat pour le spectateur également qui supporte ce bruit de tous les instants. Et ça commence avec les pleurs qui ne cessent pas, les huées, les batailles, les auditions.
    Franchement insupportable.
    Roub E.
    Roub E.

    783 abonnés 4 864 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 janvier 2024
    Je suis très partagé sur ce film. Il y a une vraie audace, une vraie recherche pour proposer quelque chose de différent. Cette histoire de gens qui hurlent mais qui n écoutent pas, qui se fracturent est intéressante dans la première partie même si elle peut s avérer épuisante. On est en effet dans un brouhaha permanent entre un Vincent Macaigne étonnant dans un rôle d égocentrique ultime qui soliloque, les pleurs des enfants et une foule qui s agite dans l attente des résultats de l élection présidentielle. J ai trouvé le personnage de Laetitia étonnamment transparent et me suis demandé tout le long si cela était volontaire pour la montrer dépassée par sa situation et cet ex conjoint pour le moins problématique ou si c était un raté d écriture ou d interprétation. Si j ai pu trouvé des points d intérêt dans la première partie, j ai trouvé que la seconde s effondrait totalement, frisait par moment le ridicule et finissait par dénaturer ce qui avait été fait auparavant. À moins d aimer passer une heure et demie avec des personnages insupportables ou insignifiants ça n est pas une expérience agréable.
    Hotinhere
    Hotinhere

    452 abonnés 4 793 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2024
    Dans la liesse populaire de l’élection présidentielle de 2012, la chronique intimiste vibrante d’un couple séparé se déchirant pour la garde des enfants, servie par une mise en scène frénétique et portée par l’interprétation épatante du duo Laetitia Dosh/Vincent Macaigne. 3,25
    Critique Facile
    Critique Facile

    84 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2023
    https://leschroniquesdecliffhanger.com/2023/05/21/la-bataille-de-solferino-critique/

    La première bataille est lancée très vite. Elle sera stridente, criarde, au bord de l’insoutenable, peut-être la pire des guerres, l’originelle, la plus cruelle, à savoir… : les pleurs d’un bébé… qui ne veut que les bras de sa mère. Aucun décibel de ses hurlements ne va nous être épargnée. Les intentions de Justine Triet par cet acte 1 de la mise en scène sont limpides : l’authenticité. Nos oreilles et nos neurones sont dans le même état que l’appart où le bébé a tout dévasté à lui tout seul : un champ de ruines !! La bataille va se poursuivre dans la rue avec Laetitia, mère de l’antéchrist en couche culotte. Un certain 6 Mai 2012, lors d’une certaine élection présidentielle où rappelons le changement c’était maintenant… ou pas !! Alors, Laetitia va se battre contre le temps, contre ses angoisses, contre la vie, qui précarise sa situation de mère seule et journaliste de terrain pour une grande chaîne nationale.

    Pendant que son baby sitter, totalement pas formé à la fonction, va se fighter de son côté face à deux lutins qui ne veulent que leur maman et rien d’autre. Débarque Vincent, plus géniteur que père, qui se bat contre lui-même et ses propres turpitudes névrotiques en revendiquant un droit de garde, mais avec un jour de retard. La bataille est partout et la dramaturgie voulue par la cinéaste va subtilement s’installer.

    Évidemment, à un moment, tout ce petit monde va converger en toute intranquillité vers Solférino dans une ambiance festive d’un peuple de gauche, ce qui avec le recul est saisissant car plus tard, ce ne fut ni la fête, ni la gauche… Les batailles vont se croiser et c’est comme si le drame latent s’installait à travers les psychologies respectives de chacun des protagonistes, qui sont découpées au scalpel, sans pour autant en faire trop dans la démonstration. Force d’un cinéma de suggestion, à ellipse, qui nous fait deviner, ressentir. C’est malin, frais et flippant à la fois.

    La caméra de Justine Triet capte les sentiments avec une virtuosité émotionnelle d’une force redoutable, qui est difficile à oublier. La mise en scène est à hauteur d’humains, avec ce sens de la vérité qui nous fige, sans doute car elle nous ressemble. Les ressentis nous sont communiqués dans une urgence qui nous fait violence, aussi car le réel est partout.

    Laetitia Dosch est toujours aussi étincelante de sincérité. Ses combats, ses batailles sont permanentes et on ne veut que l’aider. Elle virevolte partout, tout le temps et sans arrêt. Sa sensibilité est folle dans tout ce qu’elle touche, c’est à fleur de peau, à vif et c’est un bonheur de jeu. Vincent Macaigne est son parfait complément. C’est tout autant une affaire d’extrême sensibilité, tant il joue avec son tout. Son corps, sa voix, ses mouvements, son expressivité hallucinante. Comme d’habitude avec lui, c’est un régal de chaque seconde, et il nous manque dès qu’il disparaît du champ. La bataille de Solférino porte en son sein cette originalité plastique de forme, tant les personnages sont l’histoire et avec cet abime social de fond, tant cette bataille, c’est un peu et beaucoup aussi la nôtre.
    mazou31
    mazou31

    83 abonnés 1 267 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2024
    *Oh là là ! Nous sommes loin de* Anatomie d’une chute *! Nous tombons dans un tourbillon électoral – la victoire de Hollande le 6 mai 2012 – avec, dans l’œil du cyclone, un grand fourre-tout contemporain où tourbillonnent, là aussi, tous les clichés : le divorce guerrier, des quadras hystériques ou instables, mais vraiment instables, la pression du boulot ou le refus du boulot, l’irresponsabilité masculine, la vacuité de la foule électorale, les enfants ballottés ; etc.*
    *C’est filmé façon documentaire, pas intimiste alors que ça devrait l’être, tourbillonnant comme l’histoire, interprété façon « névrose et psychose sont dans un bâteau » peu convaincante. Reste le thème essentiel sur l’incompréhension mutuelle, sur l’impossibilté de se parler, sur l’intimité des êtres dans la grande confusion de la vie actuelle : dans sa réalité hystérique – bien rendue – ça dérange beaucoup.*
    *Film à oublier. Mieux vaut voir et revoir* Anatomie d’une chute *!*
    Flore A.
    Flore A.

    33 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2013
    Un film original, qui entremêle fiction et documentaire, l'histoire d'une famille et l'histoire d'un pays, les deux en pleine rupture et tumulte ... Différents angles de vue sur notre société où la communication semble si difficile, et où il est difficile de ne pas se laisser déborder quand des digues craquent de partout ! Les acteurs sont impeccables, le film est plein de frénésie, très rythmé et foisonne de scènes très drôles. Seul bémol : j'ai juste trouvé que la conclusion (le retour au calme) était un peu longuette.
    Ismael
    Ismael

    66 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mars 2024
    La Bataille de Solférino est le tout premier film de Justine Triet (lauréate de la Palme d'Or du dernier festival de Cannes avec Anatomie d'une Chute, pour ceux qui ne le sauraient pas) sorti il y a maintenant 10 ans . Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il semble loin de faire l'unanimité parmi les différentes critiques en herbe que j'ai rarement vu partir autant dans tous les sens, ce qui m'a rappelé par ailleurs qu'il ne faut évidemment jamais s'en inspirer avant d'écrire la sienne. Bon là c'est trop tard, mais habituellement je ne commets pas cette erreur.

    Alors que certains n'hésitent pas à comparer le film à du Cassavetes, d'autres hallucinent véritablement devant ce qui en substance semble constituer pour eux être 1h30 de vide sidéral. Pour ma part je vais être beaucoup plus pondéré. D'un côté je trouve que oui effectivement le film n'a pas de propos particulier et malgré son titre évocateur, pas vraiment de message politique, sociétal ou autre. Pas spécialement de dimension artistique non plus. Il ne parle de pas grand chose finalement et n'en montre pas d'avantage que ça soit dans la forme ou le fond.

    En revanche , il arrive curieusement assez bien à capter ce qu'on peut appeler "l'air du temps", du moins dans une certaine sphère géographique, culturelle et sociale.
    Il est en effet assez réaliste dans sa façon de montrer comment certains jeunes parisiens, plutôt aisés pour le coup (même si ce point n'est bizarrement jamais mis en avant), vivent leurs vies à cent à l'heure, avec cette fameuse "charge mentale" du moins pour le volet féminin. Ça pourrait presque être un documentaire sur les trentenaires bobos - qui aujourd'hui sont devenus des quadragénaires pour le coup- vivant dans Paris intra-muros et c'est peut être son but d'ailleurs. La réalisatrice appartient elle même à cette génération et d’après ce que j'ai compris a fait tourner ses amis et même ses propres enfants dans le film. Dire qu'elle parle de ce qu'elle connaît me semble être une évidence.

    Sinon l'autre point fort de cette Bataille de Solférino c'est Vincent Macaigne, dans un de ses tout premiers rôles il me semble. Il crève littéralement l'écran avec son personnage à la fois paumé et écorché vif. Bon j'ai un peu tempéré mon enthousiasme en le voyant par la suite souvent jouer exactement le même type de personnage. Mais sur le moment et si on ne le connaît pas, il est assez impressionnant (ou bizarroïde selon votre sensibilité) .

    Voilà en somme la Bataille de Solférino est une petite curiosité sympa, qui avance tambour battant et devant laquelle on ne s'ennuie pas particulièrement. Un petit film dans l'air du temps en somme. Un temps qui appartient au passé maintenant.
    REM_75
    REM_75

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2015
    Pas mal, le début est prometteur mais le film fini par tourner en rond à en devenir stérile et ennuyeux.
    Black-Night
    Black-Night

    167 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2015
    La Bataille De Solférino est un film moyen. Pour un premier long métrage, il faut quand même souligner que l’effort est présent et que le côté documentaire du métrage est celui qui ressort le plus fort et est le plus intéressant, une sorte de coulisse derrière le phénomène du second tour des élections présidentielles de 2012. Tandis que le côté intimiste du film de la vie de ce couple séparé est souvent pénible à suivre et s’étire un peu trop. Présenté dans la sélection de l’ACID au 66ème Festival De Cannes en 2013.
    Pas de bande son a déclaré, ici ce sont les pleurs des gamins, les énervements du couple et les bruits de foule qui rythment le film rendant le tout parfois pénible.
    La jeune cinéaste Justine Triet réalise tout de même un film tout en tension avec une bonne mise en scène assez virevoltante et une bonne réalisation d’ensemble avec des passages caméras à l’épaule très bien gérés. L’ensemble du jeu des acteurs est correct avec un côté très naturaliste avec Laetitia Dosch, Vincent Macaigne, Arthur Harari, Virgil Vernier, Marc-Antoine Vaugeois.
    Un film où c’est finalement l’ampleur de la bataille dans le couple qui prend le dessus et fini par agacer, dommage car le plus intéressant était la bataille rue de Solférino.
    Ma note : 5/10 !
    Alolfer
    Alolfer

    91 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2024
    Ce premier long métrage de Justine Triet est tellement surprenant ! Quel réussite ! Entre la tension par la mise en scène et le jeu des acteurs, on a un film percutant ! Notamment sur les dialogues ! On sent que le film a été assez libre. L'improvisation prend le dessus et cela donne une "authenticité" des dialogues.

    Bravo pour ce premier long metrage !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top