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7eme critique
459 abonnés
2 778 critiques
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0,5
Publiée le 14 mai 2018
Ah, une bonne vieille balade en congélateur dans les montagnes, il n'y a que ça de vrai... Ce qui paraît inconcevable au cinéma ne l'est finalement plus ! Rien ne tient debout dans ce "Big game" affligeant de conneries. Il faut le voir pour le croire. "Big game" en serait limite fascinant tellement il est lamentable. Plus ridicule que ça, tu meurs ! (sauf pour Samuel L. Jackson qui ne manquera pas de réitérer dans d'autres films du même acabit type "Cell Phone"). Une daube intergalactique qui a le malheur de se prendre au sérieux ; et lorsqu'on apprend que c'est le film finlandais le plus coûteux de l’histoire, il y a de quoi halluciner.
Un petit film d'aventures qui se laisse regarder. L'avion du président des Etats Unis qui s'écrase en Laponie, un petit garçon sympathique qui va aider le président à s'en sortir . Certaines invraisemblances, mais le but est de passer un moment de détente et de voir le président s'en sortir face à des terroristes mal intentionnés.
Un film de série B pour enfants au pitch plutôt loufoque dans lequel Samuel L. Jackson s'auto-parodie un peu. Sans prétention et assez convenu mais distrayant.
Le nanar qui venait du froid. Et ce n'est pas parce que c'est un film finlandais que je vais l'épargner. Ce film n'aurait pas détonné...dans les années 90 en bonne place aux côtés d'Air Force One, Cliffhanger et autres "Roland Emmericherie". Mais là, en 2014, faut pas exagérer. Ou alors il y a un second degré que je n'ai pas du tout perçu. Le must, c'est la tête de L. Jackson dans les airs quand le gamin dégomme le méchant avec une flèche. J'avais la même. Même lui devait se demander ce qu'il était venu faire dans cette production américano-finlandaise. Là où il se contente de cachetonner, comme dans les Avengers, le réalisateur ne se privera pas de le ridiculiser : perdant sa chaussure, affublé d'une couverture, se ramassant des pains dans la tronche, racontant la fois où il s'était uriné dessus à un sommet, enfermé dans un congélateur. Comme tout nanar d'action, il comporte son méchant nanar : un terroriste psychopathe arabe bien entendu et un vilain traître américain. A quoi on voit qu'il est vilain ? Parce qu'il tue ses propres hommes de main. On a aussi les habituelles scènes du QG américain où on voit les grands pontes réunis sans que ça ne serve à grand-chose. La femme qui joue la directrice de la CIA je crois a un faux air de Dana Scully. Même le côté survie, qui aurait pu être intéressant, n'a pas du tout été exploité. Et puis bon, le président des États-Unis étant l'homme le plus puissant du monde, donc le plus surveillé, on ne parviendra jamais à me faire croire qu'il peut se retrouver paumé avec un gosse dans une forêt. Même un soir avec des potes, des bières et du poulet, pas sûr qu'on trouve ça marrant contrairement à un Des serpents dans l'avion.
Quand j'ai lu les critiques de ce film, j'ai eu peur, je me disais que j'allais m'ennuyer et trouvé ça nul. En fait, ceux qui critiquent en mal ce film l'ont pris au premier degré. Alors qu'il suffit de se détendre, de se laisser aller et ce film se regarde avec plaisir et peut nous offrir un bon moment, un bon divertissement sur fond de catastrophe !!
Du fin de fond sa Finlande natale, Jalmari Helander semble avoir été un de ces nombreux garnements nourris exclusivement de péloches du meilleur du cinéma américain 80's-90's. Et c'est tant mieux ! Car, après "Père Noël Origines", cet excellent conte horrifique sous forte influence des productions Amblin de la grande époque, le revoilà à nouveau en train de titiller notre fibre nostalgique de cinéphile avec "Big Game", un deuxième long-métrage qui semble s'inscrire directement dans l'esprit fun des films d'action du début des années 90.
Et, comme tout bon film du genre de cette décennie qui se respecte, "Big Game" démarre sur un pitch complètement improbable où, après une attaque terroriste, le Président des Etats-Unis se crashe en plein milieu de la forêt finlandaise. Poursuivi par ses assaillants, il trouve un allié miraculeux en la personne d'un tout jeune chasseur local en plein rite de passage à l'âge adulte...
À la naïveté (sans que cela implique quoi que ce soit de péjoratif) typique de ces films de l'époque qui n'oubliaient pas de faire de l'émotion un élément indispensable à leur récit prétexte à un déluge de scènes d'actions (et dont la formule semble s'être égarée au fil des années), s'ajoute un contexte finlandais parfaitement exploité aussi bien dans son cadre atypiquement sublime, que dans son côté traditionnel désuet ou encore dans cet humour nordique ravageur (l'anecdote de la tâche d'urine présidentielle restera dans les esprits !).
Néanmoins, si "Big Game" réussit totalement à nous attacher à son duo aussi invraisemblable que complémentaire (parfait petit Onni Tommila déjà présent dans "Père Noël Origines" qui prend les choses en main face à la veulerie d'un Président US peu habitué à échapper à des tentatives répétées de kidnapping), le film pêche par une intrigue qui n'apportera pas suffisamment son lot de surprises, surtout du côté des antagonistes où les trahisons semblent être l'unique porte de sortie en matière de rebondissements. Dans un sens, peu importe, certaines péripéties visuellement impressionnantes (celle de l'hélicoptère renvoie d'ailleurs irrémédiablement au final du premier film de Jalmari Helander) et un casting impeccable (des têtes connues dans quasiment tous les seconds rôles et un Samuel L. Jackson qui ne cabotine qu'à 50%, fait assez rare pour être souligner) rattrapent amplement cette faiblesse pour laisser devenir "Big Game" ce qu'il veut être, un divertissement anachronique et dénué de tout cynisme. Même si on aurait aimé y déceler un petit plus pour qu'il s'inscrive durablement dans la mémoire collective, ce "Great" Game à défaut d'être vraiment "Big" fait franchement plaisir à voir ! Et il n'est pas à douter qu'on a déjà réservé notre place pour un troisième film de ce réalisateur qui ne se fait que trop attendre...
Résumer ce film en un mot? Assez simple: caricatural. Tout dans ce film, depuis l’administration américaine jusqu'à la représentation des Lapons, sent le cliché à quinze mille kilomètres, et rien ne sera rattrapé par le jeu des acteurs ou par une quelconque innovation scénaristique. Le pire est que tout est fait avec un sérieux extrême au point d'en devenir navrant, même les splendides décors naturels de Finlande ne sont pas mis en valeur. A oublier.
Petit film d'action qui se laisse voir par la qualité du jeu des acteurs (surtout parce que le role principal est un enfant !) ... et un Samuel L.Jackson un peu limite crédible un président un peu froussard et peu sur de lui (il est quand meme Nick Fury dans d'autres films : soit l'antithèse de ce personnage).
Un film à très très vte oublier pour Samuel Lee Jackson qui devait vraiment avoir besoin de sesterces pour accepter ce rôle. Le scénario est complètement tiré par les cheveux et invraisemblable entre la chasse intitatitique du gamin, la chasse à l'homme de l'émir du moyen-orient, les décors mélangeant sans vergogne décors naturels et décors factices grossiers, les personnages ridicules comme ce vieux professeur has been en chandail qui est plus intelligent que tous les agences réunies, les dialogues risibles... spoiler: Le gamin a peur d'une capsule marquée USA en gros et s'enfuit comme un chat apeuré mais déclame des provocations guerrières en finnois avant de sauter dans le vide pour s'accrocher une corde à 10m de la falaise .
Jalmari Helander, auteur du très remarqué Père Noël origines, balance de nouveau un film contenu. Même en y apportant le plus gros soin il se retrouve de nouveau accessible sans distribution en salle, s'expliquant par un manque de consistance générale. Ce qui aurait pu se présenter comme le nouveau Maman j'ai retrouvé l'avion du Président reste inconnu pour la majeur partie du public et c'est bien regrettable.
Un film façon "américain" qui pourtant ne l'est pas. C'est pas fin, mais c'est divertissant et il en vaut bien d'autres. Les incohérences scénaristiques qui frisent parfois le grotesque ne sont pas pires que ce que l'on voit d'habitude et les grosses ficelles ne sont pas plus grosses que ce que l'on voit communément dans ce genre de films. Quelques scènes de bagarre très mal filmées avec une caméra qui gigote, mais ce film offre le reste du temps une excellent qualité photo, quelques belles scènes et des paysages grandioses. Un divertissement qui joue parfaitement son rôle et qui ne mérite pas que l'on soit trop dur avec car c'est quand même pas mal du tout.
Abattu en plein vol par de vilains-pas-beaux terroristes, Air Force One s’écrase dans les montagnes forestières du nord de la Finlande. Pourchassé au sol, le président des USA devra survie et assistance à un indigène de 13 ans, sur place pour passer une épreuve initiatique de chasse destinée à faire de lui un homme. Evoluant crescendo vers le rocambolesque, la voltige, la bonne humeur et la légèreté, le principal intérêt de ce gros nanar enfantin, dont la légèreté fait du bien de temps en temps, réside dans la subordination totale de l’homme le plus puissant du monde, et à travers lui des puissantes agences américaines et des équilibres du monde, à un enfant de la nature. Quand on a Samuel Jackson en président américain qui dégringole une pente enfermé dans un frigo avec lequel il finit par surfer dans les torrents montagneux sous les sifflements furieux des mitraillettes, très vite on ne peut penser qu’à un gros cartoon aux excès fantasques, aux acrobaties improbables et aux joyeuses explosions, dont l’ambition touche au but si elle ne dépasse pas le jovial divertissement familial.