Avis : Fast & Furious 8 - Page 5

Un nouvel opus surréalisme en vue d'amasser l'argent des prolétaires qui n'admirent que la partie superficielle du nanar: Des surhommes se téléportant pour donner un coup de point, des cascades de dizaines de mètres sans conséquences, un "scénario" invraisemblable, un casting gros-bras sans talents... Bref, les topoï de la cinématographie bollywoodienne

On pense ce qu'on veut de la franchise « Fast and Furious » mais on ne peut nier que chaque nouvel épisode apporte son lot de sensations fortes. Bien que le scénario atteigne des sommets dans l'invraisemblance et dans le délire pyrotechnique, j'ai encore pris un plaisir coupable à suivre les aventures « déjantées » de la « bande à Toretto ». Les personnages, qui nous sont maintenant plus que familiers, s'en donnent à cœur joie pour nous retourner la planète dans tous les sens avec une bonne humeur visible à l'écran. Les belles bagnoles, gonflées à bloc, sont également au rendez-vous, tout comme cette incroyable bande d'acteurs qu'on prend toujours plaisir à retrouver, tant ils semblent épanouis lorsqu'ils tournent ensemble. Le cinéaste F. Gary Gray (dont j'entends parler pour la première fois) succède à James Wan pour réaliser ce 8ème opus, dans la droite ligne des épisodes précédents. Les fans ne seront donc absolument pas décontenancés et retrouveront l'histoire exactement là où elle s'était arrêtée. Donc pas de panique, bouclez votre ceinture et enfoncez la pédale d'accélérateur, le compte-tour est déjà dans le rouge... Bonne chasse !

Soap multiculturel autour du pouvoir et des grosses bagnoles, avec pour trame l'esprit de famille et pour atout majeur de pures cascades qui repoussent sans cesse les limites de l'extraordinaire, FF8 est sans aucun doute l'épisode de plus tonitruant. Aussi jouissif qu'un épisode trois de Die Hard en plein été 93, cette story internationale​ débute sur une course déjantée sous le soleil brulant de Cuba pour d'achever par une course destructrice sur une plaque de glace en Islande. Jason Statham rend au passage hommage à Chow yun-fat dans une séquence aérienne À toute épreuve (Hard Boiled, 92). Les répliques fusent du début à la fin, Dwayne Johnson et Statham, s'échapperont d'une prison au point d'en rendre jaloux Schwarzy et Stallone. La surenchère passe par l'humour et les explosions avec classe lorsque nous apparaît Charlize Theron. De plus en plus fou et de moins en moins sérieux, FF8 colle parfaitement aux précédents épisodes et ne recule devant rien pour nous rendre de plus en plus addictif. F Gary Gray a tapé fort et vite.

Dans sa catégorie, le film « Fast & furious 8 » est excellent. C’est presque triste à avouer, mais oui ! Cette franchise est même de mieux en mieux, ce qui est une surprise alors que Paul Walker n’en est plus. Evidemment, ce film n’est ni nécessaire ni suffisant pour survivre dans notre société, mais il est excellent du point de vue de ceux pour qui il a été fait –et c’est le seul point de vue qui importe… Une brochette d’acteurs qui savent à merveille manier l’œillade, l’humour, la tendresse et les muscles et qui font what you can’t do comme la pub Samsung, sans pour cela avoir recours à ces satanés pouvoirs surhumains qui courent les rues du cinéma. Charlize Theron est excellente en méchante. A n’en pas douter, Dwayne Johnson est encore au top des millions de dollars versés pour son jeu mi Hulk mi suppositoire géant. Le scénario, on s’en fout, tant qu’il est vraisemblable. La réalisation est soignée. Celui qui est venu se détendre ne voit pas le temps passer avec ce thriller. Evidemment, ce n’est pas pour les gosses, il faut insister, ni pour ceux qui ne cherchent pas à se détendre, et encore moins pour ceux qui détestent Vin Diesel, Jason Statham… Même la tentative d’insérer dans l’équipe Scott Eastwood dans le rôle de l’idiot du village des services secrets est une réussite.

Nous changeons cette fois de réalisateur puisque nous avons F. Gary Gray aux commandes de ce huitième opus, sorti en 2017, mais la grande nouveauté, c'est surtout l'absence du regretté Paul Walker qui avait joué dans tous les films de la saga hormis "Tokyo Drift". Cette absence n'empêche pas au film d'attirer les fans puisqu'il effectue un des meilleurs démarrages de la franchise. Le scénario oppose cette fois Dom au reste de sa famille car il est entraîné malgré lui par une criminelle, Cipher, qui a besoin de lui pour mener à bien ses plans. Le scénario est quelque peu plus original que ceux des autres opus puisque la famille est scindée en deux, ce qui est une petite prise de risque car les fans auraient pu ne pas du tout apprécier. De plus, le scénario s'étoffe de plus en plus (enfin, il faut le dire vite), ce qui lui donne un ton "Mission : Impossible" de plus en plus appuyé. Effectivement, depuis le cinquième épisode, il ne s'agit plus de montrer à l'écran que de simples courses de voitures avec des filles dénudées (même si c'est un aspect qui reste encore très appuyé puisqu'il fait partie de l'identité de la saga) mais d'alimenter un peu le tout avec des missions toutes plus dangereuses, mais surtout plus folles, les unes que les autres. On pourrait penser que ça en devient, au bout d'un moment, lassant et c'est d'ailleurs ce qui oppose les fans de la saga aux non-fans qui avancent le fait que cette saga ne sert absolument à rien et qu'elle entache le cinéma. Personnellement, je la considère plus comme un simple divertissement avec des scènes d'action de plus en plus dingues et impossibles au fil des films, qu'il faut savoir apprécier et ne pas en attendre plus car c'est avant tout ça le but de "Fast & Furious" : divertir sans se prendre la tête. Et de ce côté là, cette saga est très réussie. Mais pour en revenir à ce huitième opus, je le trouve quand même un peu moins bon que les deux précédents que j'avais beaucoup apprécié. Le principal problème ici, c'est le rythme. Effectivement, il va y avoir des scènes très rythmées et d'autres où on s’ennuieraient presque car les dialogues sont trop longs et pas vraiment intéressants, ce qui est dommage car cela casse un peu le film à quelques moments. Mis à part cela, les scènes d'action sont toujours aussi bien réalisées et prenantes (on retiendra par exemple la scène sur la glace qui est la plus réussie) et le petit côté humour et lui aussi toujours bien présent. Du côté des acteurs, nous retrouvons donc la même équipe qui se donne toujours autant à fond et nous avons en plus Charlize Theron en parfaite antagoniste. "Fast & Furious 8" est donc un bon film qui se laisse regarder avec grand plaisir, surtout au cinéma pour profiter à fond du grand spectacle !

Je suis la saga depuis le début , j'ai revu tout les fast and furious avant d'allez voir le 8 qui me semblait ambitieux

Pour donner une critique a chaud , Un fast and furious qui Oublie peut a peut ses racines , le coté festif , course de rue , ambiance ect n'est présent que dans 10 % du film , dommage .
De plus , plus besoin de connaitre toute la série pour comprendre se film , puisque tout est expliqué au court du film , un peu triste quand ont pense qu'il y a eu 7 volet avant ...

J'avais une peur , l'absence de Paul Walker se face ressentir , et effectivement ma crainte étais fondé,
- le scenario tiré par les cheveux pour trouvé un prétexte a l'histoire d'avancé
- L’équipe d'acteur qui elle même ressente le manque du personnage de Bryan et cela se ressent a l’écran

J'ai été choqué des les premiers minute du film par 'l'attitude de Dom " , Mais ou est Dom , charismatique et plein de testostérone qui le caractérisais ... je n'ai pas reconnu Vins Diesel dans cette Opus

il y a de bon point

-Le Duo Dwayne Johnson et Jason Statham , fonctionne bien et rattrape un peu la niaiserie de Dom
-Les actions bien trouvé mais attendu
-Les effets pyrotechnique

Pour en finir , C'est un bon film d'action , que je conseille

Mais pour les fans de la Saga , je pense que l'on as perdu ou eloigné de l'univers Fast and Furious

Dommage

On connait la chanson avec la saga « Fast and Furious »… Un peu trop même et on se demande comment Vin Diesel va réussir à encore innover jusqu’au dixième (et normalement dernier) épisode. Mais on accorde à l’acteur d’avoir réussi à porter sa franchise de bolides et d’action à des sommets pyrotechniques et spectaculaires rarement atteints au cinéma. Et même, c’est certainement une première dans l’histoire du septième art et encore plus flagrant dans celui-ci, d’avoir su mêler gros film d’action décérébré à une espèce de feuilleton romanesque et familial avec rebondissements, trahisons et retours de personnages à foison. Parfois quelque peu exagérés d’ailleurs, à tel point que ça en devient risible. Les rapports entre les personnages passant un peu trop facilement d’amis à ennemis et inversement. Mais on est pas vraiment là pour une psychologie fouillée des personnages et un réalisme de premier ordre…

Si on prend ce huitième épisode pour ce qu’il est, c’est-à-dire un divertissement mettant les neurones en mode pause, le contrat est toujours relativement bien rempli, même si depuis le retour en force de la saga au quatrième épisode, les cinquième (celui à Rio) et septième (celui passant par Dubaï) envoyaient plus que celui-ci. Un sur deux en somme. Avec ce numéro huit, l’inflation de budget et de spectaculaire dans les scènes de bravoure (le dernier acte élevant le n’importe quoi au sommet d’art au point qu’on ne comprend même plus qui fait quoi et pourquoi) tout comme l’ajout de comédiens pour gonfler l’affiche (Helen Mirren venue payer ses impôts ou Luke Evans dans un retour inutile) virent à la pantalonnade. Plutôt plaisante cela dit.

La première scène à Cuba fait pourtant craindre le pire. On y retrouve tous les mauvais côtés périmés et sexistes de la saga, des filles à moitiés nues filmées en contre bas en passant par une course-poursuite sans queue ni tête ou des seconds rôles jouant terriblement faux. Quant à la dernière partie dans une Russie glacée, elle fait penser à une mauvaise série B des années 90 gonflée aux dollars. Mais entre deux, l’intrigue sait se faire palpitante et certains passages sont très réussis. On retiendra tout particulièrement le segment à New York où les voitures se conduisent toutes seules, preuve du savoir-faire de F. Gary. Gray (« Braquage à l’italienne ») dans les courses automobiles. Et il faut avouer que Charlize Theron se fait plaisir et nous avec dans un rôle de méchante plutôt réussi. Alors on se marre, on en prend plein les yeux à certains moments et on attend le suivant qui sera sans doute plus réussi.

Le concept de la saga "Fast & Furious" est parfaitement rodé : de belles bagnoles, des scènes d'action toujours plus absurdes, des gros bras pas bien malins et des punchlines improbables (de préférence en-dessous de la ceinture)... le tout dans l'optique de faire "plus gros" que l'opus précédent. Dans ce numéro 8, on assiste donc, ahuri, à une incroyable surenchère d'action et d'effets spéciaux... Fatalement, en absence d'un scénario digne de ce nom, et en raison d'une mise en scène qui ne prend jamais aux tripes, on arrive très vite à saturation. Au milieu de ce marasme très couteux, on sauvera une ou deux séquences (la voiture écartelée), et on s'amusera de voir des grands noms du cinéma venir toucher un joli petit chèque.

De l'action, du rythme, un bon casting, de l’humour, une histoire qui tient la route, énormément d'action, de vannes, de belles femmes et surtout des bolides et des cascades à couper le souffle. Un film d’action et de courses bien fichu, fun, grandiloquent et décérébré. Peut-être l’un des meilleurs “Fast & Furious” jonglant autant avec les bolides qu’avec les personnages phares de la saga qui semble ne jamais vouloir s’arrêter.

Ça va être le Meilleur de toutes la Saga et rendre un grand Hommage à Paul Walker et Sa Famille merci beaucoup vin Diesel

Un gros block buster américain mais avec une histoire vide. Film totalement fade dénué d'intérêt à part si vous aimez les explosions. Une saga en décadence totale où seul le chiffre compte.

Là vraiment on touche le fond, on peut même dire qu'on s"enfonce dans la vase tellement c'est surréaliste dans les cascades et ridicule dans les dialogues et le scénario. Pleins de stars et d'effets spéciaux mais plus rien pour payer l'essentiel : un vrai scénario. Tous les clichés y passent. Je conseillerais plutôt aux fans de courses poursuites l'excellent collide (no way out).

Scénario sans aucun sens, les dialogues sont vides, inutiles et insipides. La pseudo trahison de Dom n'est absolument pas crédible. Qui plus est, l'accent est mis sur la ou plutôt les familles de Dom, ce qui rend ce film encore plus pathétique.

Après l'excellent "Straight Outta Compton", F. Gary Gray revient vers un registre qu'il connaît bien et retrouve des acteurs qu'il a déjà dirigés. On pourrait écrire à chaque fois la même chose sur cette franchise à différents degrés par contre puisque tous les films ne se valent pas, mais la recette reste la même notamment depuis le quatre et ce virage plus orienté action pris par la saga. Dans ce nouveau volet, la famille va devoir encore éviter le pire et va devoir faire face à Dom qui fait un "heel turn" forcé par Cipher qui est parfaitement incarnée par Charlize Theron. Plus le budget est conséquent plus on a droit à quelque chose d'énorme avec chaque fois une surenchère au niveau des scènes d'action toujours plus spectaculaires, extravagantes et limite grotesques, mais dans le bon sens du terme, car tout est au service du divertissement. Les scènes à New York et en Russie sont vraiment impressionnantes, jouissives et assez folles autant dans l'idée que dans l'exécution, on a l'impression qu'ils repoussent sans cesse les limites du possible. Comme souvent l'histoire n'est pas ce qu'il y a de plus réussi, elle sert avant tout de prétexte, mais c'est quand même pas mal et l'ensemble fonctionne très bien grâce à un bon mélange entre humour et action. Je suis sûr que le studio Asylum est jaloux de ce que devient cette franchise, c'est très série B et nanardesque, mais j'adore surtout que c'est totalement assumé. Bref, c'est un excellent divertissement et comme toujours, c'est un plaisir de retrouver tous ces personnages.

Énième suite pour cette saga qui semble ne plus vouloir s’arrêter et semble (aussi) se complaire dans la médiocrité de l’entertainment écervelé (c’est désormais une époque révolue, celle des courses automobiles beaufs). On retrouve une fois de plus toute la clique (pardon, « la famille »), excepté Paul Walker (décédé des suites d’un accident de la route, avant la fin du tournage du 7ème opus).

Fast & Furious 8 (2017) ne déroge pas à la règle, à savoir vous proposer du grand spectacle débilisant à grands renforts de courses-poursuites et autres explosions toujours aussi démesurées et invraisemblables. Si vous êtes venu dans l’optique de vous abrutir devant un "film pop-corn" bêtement bourrin, vous ne devriez pas être déçu, pour les autres, tentez de mettre votre cerveau sur OFF et laissez-vous porter par l’abrutissement général du film.

Cette surenchère éreintante (au fil du temps, les suites sont de plus en plus longues) ne nous épargne rien et nous offre son lot de scènes toutes plus WTF et irréalistes les unes que les autres. Inévitablement, on repense à des séquences telles que la boule de démolition qui pulvérise les bagnoles de police, les voitures autonomes (ou "voitures zombies") en plein New-York, le harponnage de bolide, la torpille déviée par la main d̶e̶ ̶D̶i̶e̶u̶ de Dwayne Johnson ou encore, l’explosion du sous-marin avec les 4 bolides qui surgissent de nulle part pour former un bouclier afin de protéger Dom. Du grand n’importe

F. Gary Gray retrouve pour l’occasion Vin Diesel qu’il avait dirigé dans Un homme à part (2003), ainsi que Charlize Theron & Jason Statham (Braquage à l'italienne - 2003). Ce dernier a visiblement coché consciencieusement toutes les cases du cahier des charges du blockbuster estival et nous en met littéralement plein les yeux et les oreilles. Du grand n'importe nawak, dont visiblement les scénaristes se sont donnés pour mission de repousser les limites toujours plus loin, quitte à s’affranchir d’une quelconque logique ou crédibilité.

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