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26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Quel plaisir de voir un cinéaste qu’on aime se renouveler et offrir un rôle en or à sa muse ! Robert Guédiguian s’amuse comme un petit fou à faire rencontrer des personnages farfelus à Ariane Ascaride dans cette fable riche en surprises.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Rêverie éveillée qui suit une galerie de personnages touchants et réalistes, "Au fil d’Ariane" aborde les questions de la réalisation de soi, de l’amitié et de l’expatriation.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un moment délicieux.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Humanité
par Jean Roy
Les citations abondent, musicales (Ferrat, Brecht), littéraire (Aragon) ou cinématographique (Pasolini), Guédiguian promène son herbier, faut-il dire son univers ? plus totalement que jamais.
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Un film en liberté, où Robert Guédiguian, en suivant le fil de son Ariane Ascaride de complice, tisse la toile de son univers imaginaire, pour changer d’air et changer la vie.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Les adeptes du rêve éveillé, les poètes, les clowns qui s'ignorent goûteront à tous les reflets irisés de cette parenthèse enchantée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Jean A. Gili
"Au fil d'Ariane" est un peu le petit théâtre de Guédiguian (...) Au milieu de cet univers insolite, Ariane Ascaride déploie son charme de femme en fugue (...) Sous la forme ludique d'un divertissement, se cache un discours de la méthode dans lequel un artiste révèle sa part d'ombre et un bout de son jardin secret.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une comédie rêveuse, un film estival, vite fait bien fait, dont les enjeux sont à trouver du côté de l’imaginaire, de la liberté, du paradis sur terre.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Comme Hong Sang-soo, Guédiguian fait un nouveau film comme on rebattrait simplement un jeu de cartes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le mieux est de lâcher prise en se disant que Robert Guédiguian signe sans doute là son film le plus bancal mais aussi le plus poétique.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Léger, modeste, réalisé sans plus de nécessité que le désir de célébrer cette union si fertile, ce film qu'il [Guédiguian] qualifie lui-même de "fantaisie" offre un moment de plaisir en compagnie de cette famille d'acteurs heureuse de se retrouver pour un tour de piste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un conte farfelu et inégal.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Mehdi Omaïs
Une oeuvre attachante qui fait du bien.
Première
par Hendy Bicaise
Le cinéaste y ménage tout le monde, des banlieusards les plus endormis aux voyageurs les plus rêveurs. Film facile donc, voire mineur.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Malgré une fantaisie un rien forcée, l'émotion affleure.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Le film assume ses naïvetés, et Dieu sait qu'il y en a, mais il affiche aussi une volonté de lyrisme emportée par Ferrat, la baignade d'une naïade dénudée aux allures de Vénus, une admirable scène de tempête.
Télérama
par Jacques Morice
(...) c'est surtout le charme qui domine. Celui d'un film mineur, revendiqué comme tel, qui musarde et divague. Une parenthèse savoureuse, malgré ses maladresses. En raison même de ses maladresses, a-t-on envie de dire, synonymes ici de candeur retrouvée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
Une fantaisie de Robert Guédiguian, où le cinéaste retrouve les lieux marseillais qu’il affectionne et son fidèle petit monde. Une comédie sympathique et loufoque qui se regarde avec un certain plaisir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Comment ne pas devenir un vieux con quand l’embourgeoisement vous guette ? Même si la réponse est imparfaite, la question a le mérite d’être posée.
Critikat.com
par Julien Marsa
Une fantaisie qui, sous couvert d’une fable du bon sens un peu vieillotte, est rattrapée par un conformisme qui semble arriver après la bataille.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
La « fantaisie » va comme une embarcation légère (...) oscillante et déboussolée, s’élevant à l’occasion avec grâce pour retomber platement et s’exposer au risque de l’engloutissement sous le grotesque. On ne saurait blâmer Robert Guédiguian d’avoir tenté cet exercice libre qui donne à voir autre chose qu’un spectacle corseté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Au générique, "Au fil d'Ariane" se présente comme "une fantaisie de Robert Géudiguian". Effectivement, comment qualifier cette errance, souvent chaleureuse certes avec les comédiens habituels au cinéaste, mais également inconsistante et naïve dans son propos.
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Un rêve poétique et ludique, servi par la joyeuse bande d'acteurs pagnolesques d'un Guédiguian atypique.
Libération
par Bruno Icher
"Au fil d’Ariane" est une fable onirique dans laquelle tous les éléments chers au cinéaste sont détournés sur un mode poétique (…). Sauf que l’entreprise se prend les pieds dans le tapis d’une candeur et d’une naïveté d’autant plus forcées qu’on sait bien, pour avoir vu tous les autres films qui précèdent celui-ci, que tout ce petit monde a perdu ses illusions depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
(...) le cinéaste ne parvient pas à se défaire de la manière forte pour faire entendre ses convictions.
20 Minutes
Quel plaisir de voir un cinéaste qu’on aime se renouveler et offrir un rôle en or à sa muse ! Robert Guédiguian s’amuse comme un petit fou à faire rencontrer des personnages farfelus à Ariane Ascaride dans cette fable riche en surprises.
CNews
Rêverie éveillée qui suit une galerie de personnages touchants et réalistes, "Au fil d’Ariane" aborde les questions de la réalisation de soi, de l’amitié et de l’expatriation.
Femme Actuelle
Un moment délicieux.
L'Humanité
Les citations abondent, musicales (Ferrat, Brecht), littéraire (Aragon) ou cinématographique (Pasolini), Guédiguian promène son herbier, faut-il dire son univers ? plus totalement que jamais.
Le Dauphiné Libéré
Un film en liberté, où Robert Guédiguian, en suivant le fil de son Ariane Ascaride de complice, tisse la toile de son univers imaginaire, pour changer d’air et changer la vie.
Le Parisien
Les adeptes du rêve éveillé, les poètes, les clowns qui s'ignorent goûteront à tous les reflets irisés de cette parenthèse enchantée.
Positif
"Au fil d'Ariane" est un peu le petit théâtre de Guédiguian (...) Au milieu de cet univers insolite, Ariane Ascaride déploie son charme de femme en fugue (...) Sous la forme ludique d'un divertissement, se cache un discours de la méthode dans lequel un artiste révèle sa part d'ombre et un bout de son jardin secret.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
Une comédie rêveuse, un film estival, vite fait bien fait, dont les enjeux sont à trouver du côté de l’imaginaire, de la liberté, du paradis sur terre.
Chronic'art.com
Comme Hong Sang-soo, Guédiguian fait un nouveau film comme on rebattrait simplement un jeu de cartes.
La Voix du Nord
Le mieux est de lâcher prise en se disant que Robert Guédiguian signe sans doute là son film le plus bancal mais aussi le plus poétique.
Le Monde
Léger, modeste, réalisé sans plus de nécessité que le désir de célébrer cette union si fertile, ce film qu'il [Guédiguian] qualifie lui-même de "fantaisie" offre un moment de plaisir en compagnie de cette famille d'acteurs heureuse de se retrouver pour un tour de piste.
Les Inrockuptibles
Un conte farfelu et inégal.
Metro
Une oeuvre attachante qui fait du bien.
Première
Le cinéaste y ménage tout le monde, des banlieusards les plus endormis aux voyageurs les plus rêveurs. Film facile donc, voire mineur.
Télé 7 Jours
Malgré une fantaisie un rien forcée, l'émotion affleure.
TéléCinéObs
Le film assume ses naïvetés, et Dieu sait qu'il y en a, mais il affiche aussi une volonté de lyrisme emportée par Ferrat, la baignade d'une naïade dénudée aux allures de Vénus, une admirable scène de tempête.
Télérama
(...) c'est surtout le charme qui domine. Celui d'un film mineur, revendiqué comme tel, qui musarde et divague. Une parenthèse savoureuse, malgré ses maladresses. En raison même de ses maladresses, a-t-on envie de dire, synonymes ici de candeur retrouvée.
aVoir-aLire.com
Une fantaisie de Robert Guédiguian, où le cinéaste retrouve les lieux marseillais qu’il affectionne et son fidèle petit monde. Une comédie sympathique et loufoque qui se regarde avec un certain plaisir.
Cahiers du Cinéma
Comment ne pas devenir un vieux con quand l’embourgeoisement vous guette ? Même si la réponse est imparfaite, la question a le mérite d’être posée.
Critikat.com
Une fantaisie qui, sous couvert d’une fable du bon sens un peu vieillotte, est rattrapée par un conformisme qui semble arriver après la bataille.
La Croix
La « fantaisie » va comme une embarcation légère (...) oscillante et déboussolée, s’élevant à l’occasion avec grâce pour retomber platement et s’exposer au risque de l’engloutissement sous le grotesque. On ne saurait blâmer Robert Guédiguian d’avoir tenté cet exercice libre qui donne à voir autre chose qu’un spectacle corseté.
Le Journal du Dimanche
Au générique, "Au fil d'Ariane" se présente comme "une fantaisie de Robert Géudiguian". Effectivement, comment qualifier cette errance, souvent chaleureuse certes avec les comédiens habituels au cinéaste, mais également inconsistante et naïve dans son propos.
Les Fiches du Cinéma
Un rêve poétique et ludique, servi par la joyeuse bande d'acteurs pagnolesques d'un Guédiguian atypique.
Libération
"Au fil d’Ariane" est une fable onirique dans laquelle tous les éléments chers au cinéaste sont détournés sur un mode poétique (…). Sauf que l’entreprise se prend les pieds dans le tapis d’une candeur et d’une naïveté d’autant plus forcées qu’on sait bien, pour avoir vu tous les autres films qui précèdent celui-ci, que tout ce petit monde a perdu ses illusions depuis longtemps.
Ouest France
(...) le cinéaste ne parvient pas à se défaire de la manière forte pour faire entendre ses convictions.